ACCUEIL > Exhibition > Récit : A poil au bureau! (2/2)

A poil au bureau! (2/2)

+113

Lue : 6635 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 14/03/2020

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Jeudi 15 juillet 1999

Pas trop de progrès hier, si ce n’est qu’elle est maintenant bien habituée à me voir évoluer à poil en permanence et qu’elle a bien voulu l’après-midi enlever son soutif, exposant enfin ses seins modestes surmontés pas de tout petits tétons. Mais ce matin, comme elle a mis un string-ficelle beaucoup plus réduit que les autres jours, je décide qu’il est temps de la pousser un peu. Il ne me faut pas insister trop pour réussir enfin à la décider à m’imiter totalement. Elle enlève donc aussi son string, mais garde encore pudiquement une main devant son triangle. Je la laisse s’installer dans cette nouvelle configuration de travail et attends un moment avant d’aller la voir, le temps qu’elle s’habitue un peu.

Quand je vais enfin vers elle pour une question sur un client, je me remets les fesses contre son bureau et j’ai enfin une vue partielle sur son pubis. Juste assez pour constater qu’elle est bien rousse et qu’elle se taille la touffe dont je vois le haut. Je l’attaque sur ça:
- Dis donc, il a l’air mignon ton petit buisson ardent. Tu le tailles comment, en triangle ou en ticket de métro?
- Euh… oui, en ticket de métro.
- Allez, fais voir, on est entre filles!
- Bon, tu as gagné, voilà!
- Ouah, j’avais bien deviné. Je vois que tu l’as taillé assez étroit, mais pas trop ras.
- Euh oui, pas comme toi, je dois dire…
- Oui, c’est vrai, moi j’aime ne plus rien avoir du tout.

Ce point étant acquis, je la laisse tranquille pour le moment. Le midi, je la pousse à ne rien remettre sous son pantalon ni sous son chemisier pour aller manger.

Dans l’après-midi, je me permets une nouvelle fantaisie. Je suis debout à côté de son fauteuil mais je reste un peu en retrait pour qu’elle ne voit pas que je me caresse la fente tout en parlant avec elle. Je mouille un maximum et mon doigt coulisse de mieux en mieux sur mon clito. Du coup, quand je la quitte, je continue à me masturber en retournant à mon bureau, où je m’installe confortablement pour continuer ma branlette.

A notre pause-café de milieu d’après-midi, elle semble maintenant bien décontractée et ne fait rien pour masquer quelque partie de son corps. Et le soir, c’est sans se presser qu’elle se rhabille pour retourner à son hôtel.


Vendredi 16 juillet 1999

Ce matin, pour son dernier jour de travail avec moi, elle se déshabille directement comme si c’était une vieille habitude et se met au travail après notre premier café. Je me paye une nouvelle branlette debout dans son dos, mais cette fois je m’enfile un gode quand je me retrouve cachée derrière mon bureau. Je ne mets pas les vibrations en route, elle pourrait les entendre.

D’ailleurs, quand elle vient à son tour me voir, je garde le gode bien au fond avec les cuisses un peu serrées pour qu’elle ne le voie pas. Et comme elle a besoin qu’on examine ce cas sur son ordinateur, je me lève quand elle se retourne et je la suis en maintenant le gode en place. Je reste debout en retrait de son fauteuil et me permets de faire doucement aller et venir l’engin dans ma chatte pendant qu’on règle son dossier en cours.

Pendant la pause-déjeuner, elle m’apprend qu’elle n’a son train que le lendemain en fin d’après-midi pour avoir le temps de visiter un peu Marseille. Je me dis que ça tombe bien car notre fille Lola est en camp de vacances cette semaine et ne rentre que dimanche. Je propose donc à ma collègue de venir manger ce soir à la maison:
- Ce sera l’occasion de se voir dans un cadre autre que le travail et de connaitre mon mari.
- Ce serait volontiers, mais après, comment je ferais pour retourner à mon hôtel? J’ai cru comprendre que tu habitais un peu loin du bureau et qu’ensuite il n’y a plus de bus.
- C’est pas un problème, on peut te raccompagner. Mieux même, tu vas dormir à la maison, on a plein de chambre. Et demain on te pose à la gare!
- Bon, OK. Merci, c’est sympa!

Après avoir fermé le bureau et récupéré ma voiture au sous-sol, nous partons vers la maison. Quand nous arrivons, je mets la voiture au garage, nous traversons le séjour, et dès que nous sortons sur la terrasse, Sophie est directement plongée dans le bain: Ber est à poil dans un transat près de la piscine. il se lève et vient vers elle:
- Bonjour Sophie! J’espère que ma tenue légère ne te dérange pas. Anna m’a parlé de toi et du fait que tu travaillais comme elle toute nue au bureau.
- Euh, oui, c’est vrai. Mais c’est tout nouveau pour moi.
- Eh bien, il n’y a qu’à continuer. Ici, tu n’as pas à te gêner. Et si tu veux profiter de la piscine, c’est encore mieux, pas besoin de maillot!

Comme je me suis déshabillée pendant cet échange et que j’ai directement piqué une tête dans l’eau, elle se laisse aller et enlève ses fringues à son tour pour vite me rejoindre. Elle a forcément remarqué l’épilation de Ber avec son petit filet de poils sur le pubis, et surtout les dimensions généreuses de son service trois pièces, pourtant calmement au repos.

Puis nous sortons et nous faisons sécher au soleil sur les transats. Sophie ne fais plus rien pour cacher sa fente surmontée de sa carte orange. Je me lève pour aller chercher les apéros pendant que Ber allume le barbecue. Après deux tournées il lance les grillades sur les braises et nous passons à la table de jardin. Le repas est déjà bien arrosé d’un petit rosé du Ventoux, puis comme la nuit est tombée, nous rentrons pour nous installer dans le canapé pendant que Ber propose en digestif sa liqueur de thym maison.

Installée dans le fauteuil en face de nous, Sophie qui est déjà bien allumée ne peut cependant pas refuser et goûte un petit godet. Elle trouve ça bon et donc il lui en sert un autre. L’ambiance chauffe petit à petit. Je décide qui est temps d’attaquer Sophie pour la suite:
- Tu sais, Ber adore les rousses, c’est son péché mignon. Pas de chance avec moi!
- Oui, c’est vrai que tu es brune, mais ça se voit pas trop avec ton épilation.
- Par contre, toi, on doit voir ta flamme même en pleine nuit!
- Hi, hi, c’est marrant, ça!
- Allez, montre-nous un peu mieux!

Pendant ce temps, j’ai laissé mes genoux s’écarter et mes fesses glisser sur le canapé, de sorte que mon abricot est clairement exposé à son regard. Les vapeurs d’alcool l’ont bien désinhibée car elle ouvre les jambes sans attendre et nous montre non seulement son petit rectangle de poils, mais aussi sa fente. Je la complimente:
- Hmm, joli! et regarde ce que je te disais: mon mari adore les rousses…

Et là elle se rend compte que Ber est en train de développer une érection qui rampe d’abord à l’horizontale sur le coussin du canapé avant de se dresser par à-coups et finalement se reposer sur son ventre. Elle ne sait quoi dire, car d’une part elle est forcément un peu surprise de le voir bander sans gêne pour elle devant moi et d’autre part elle est hypnotisée par la taille de l’engin qu’il lui exhibe sans honte. Je reprends les choses en main, c’est le cas de le dire. Je décalotte doucement le gland:
- Tu vois combien tu l’inspires? C’est flatteur, non?

Elle ne répond pas et je commence à le branler lentement tout en me caressant le clito du majeur de l’autre main. Elle me regarde faire sans bouger. Je la relance:
- Tu peux faire comme nous, ça fait du bien. Tu verras, ça détend!

Elle ne répond toujours rien mais finit par envoyer timidement sa main dans sa fourche. Puis le mouvement de son poignet nous indique qu’elle a cédé et qu’elle se masturbe.

Quand elle est bien lancée, je vais la chercher pour l’amener vers le canapé. Docile, elle se laisse guider. Je la fais assoir entre nous et lui mets la main sur la queue de Ber qu’elle commence instinctivement à branler. Pendant ce temps je lui tripote ses petits seins bien fermes et ses tétons minuscules mais qui ont l’air très sensibles vu sa réaction.

Enfin je descends ma main entre ses cuisses et elle ne résiste pas. Bien au contraire, elle les écarte pour me faciliter le passage vers son petit bouton que je trouve bien humide. Elle commence à gémir et à accélérer son mouvement sur la tige de Ber. Celui-ci lui fait lâcher prise et se lève pour lui présenter son gland sous le nez. Elle a compris sans besoin de mots et le gobe, entamant une succion qui a l’air de plaire à Ber car il me fait signe avec un pouce en l’air au-dessus de la tête de Sophie.

Bien pré-chauffé maintenant, Ber a envie de rentrer dans le vif du sujet et la fait mettre à quatre pattes sur le tapis devant moi pour la prendre en levrette. Il la baise avec de bons coups de reins qui la font avancer vers moi, sa tête se retrouvant dans ma fourche. Je la prends par la nuque et lui pose la bouche sur ma fente. Elle ne fait trop rien au début, puis je sens qu’elle se met à téter mon clito et à me lécher la fente. C’est gagné.

Elle a un premier orgasme, Puis Ber s’installe sur le canapé et la fait s’empaler dos à lui. Elle le chevauche un moment au grand galop, puis hennit sa nouvelle jouissance. Du coup, changement de position. il se met en long sur le canapé et elle revient s’enfoncer sur son mât de face. Je la guide en la faisant se pencher sur lui afin de pouvoir lui mettre un premier doigt au cul. Elle l’accepte assez facilement. Je vais donc chercher un petit vibro et le lubrifie bien pour qu’il entre sans forcer dans son anus. Elle a l’air d’apprécier.

Elle jouit un troisième fois et semble un peu fatiguée. Alors Ber se désengage et vient lui présenter à nouveau son gland. Elle le reprend en bouche et le branle tout en le suçant. Tout à coup, il sent que ça vient et lui tient la tête pour qu’elle ne se retire pas quand il éjaculé. Elle reçoit les giclées de sperme au fond de sa gorge et s’étouffe un peu. Il la relâche et elle ressort la queue badigeonnée de foutre de ses lèvres d’où s’échappent aussi des filets sur son menton. je viens à leur aide en nettoyant d’abord la bite de Ber de ma langue pour ensuite venir partager ma récolte avec elle de Sophie.

Nous faisons une pause réparatrice tous les trois sur le canapé. Elle nous avoue alors qu’elle n’avait pas fait grand chose jusqu’à présent sur le plan du sexe. juste deux ex-amis avec qui elle a baisé simplement et qu’elle a un peu branlés, mais rien d’autre, même à leur demande. Et là, elle s’étonne encore d’avoir sucé quelqu’un qu’elle ne connaissait pas quelques heures avant, de plus le mari d’un collègue de travail et en sa présence. Mieux, elle a léché le sexe de ladite collègue. Et enfin, elle s’est laissée investir le cul, de plus avec un vibro, engin qu’elle n’avait même jamais vu en vrai. Le bonus, c’est qu’elle a aussi avalé le sperme et qu’elle a aimé tout ça. J’en profite pour proposer:
- Eh bien si tu as aimé ça, pourquoi s’en priver. regarde, Ber est rechargé!

Et en effet, pendant les confidences, Ber qui est entre nous deux s’est fait remettre en forme d’abord par moi, puis par Sophie qui s’est laissée prendre la main et la mettre sur sa tige. Elle faisait machinalement des va-et-vient pendant qu’elle nous avouait être novice dans ce domaine. Du coup, pendant que Ber commence à s’occuper d’elle, je vais chercher mon strapon cette fois. Et c’est avec Ber dessous comme tout-à-l’heure que je les retrouve et donc je me place derrière pour la sodomiser. Voilà, comme ça elle connaitra aussi le sandwich!

Quand elle a joui deux nouvelles fois, Ber décide de se faire un peu plaisir en l’enculant à son tour. Le calibre est supérieur à celui du strapon, mais comme je l’ai bien rodée et qu’elle est suffisamment lubrifié, ça passe sans douleur. Il la pistonne un moment, la refaisant décoller, et quand elle atterrit il lui lâche toutes ses réserves dans le boyau.

Enfin rassasiés, il est temps de la guider vers la chambre qu’on n’avait pas encore eu l’occasion de lui montrer. Nous la laissons dormir seule pour bien récupérer.


Samedi 17 juillet 1999

Comme Sophie n’a son train qu’en fin de journée, ce matin nous avons du temps devant nous. Mais comme elle tarde à se lever, nous prenons l’initiative d’aller la réveiller avec un plateau chargé de café fumant, de tartines grillées et de plein de bonnes choses à étaler dessus. Nous prenons le petit-déjeuner à trois dans son lit, puis nous écartons le plateau maintenant bien vidé pour attaquer dans le vif du sujet.

Après de bons préliminaires, nous révisons un peu toutes les figures du programme, y ajoutant un soixante-neuf pendant lequel Ber lui prend la rondelle avec un peu de beurre qui restait dans la coupelle. Et elle a le droit de tester le strapon en s’en équipant pour m’enculer pendant que je chevauche Ber au petit trot. Elle a enfin droit à une dernière rasade de sperme, que je partage avec elle après l’avoir récupérée avec la langue sur sa poitrine où Ber avait choisi de se finir à la main.

Il est grand temps ensuite de prendre une bonne douche et de s’habiller pour la ramener au train en passant par l’hôtel pour récupérer la note et la valise avec ses autres affaires. Je pense ne pas me tromper en disant qu’elle se portera volontaire si notre siège parisien a une nouvelle fois besoin d’envoyer quelqu’un à Marseille pour un remplacement…

Fin
113 vote(s)


Histoire de Hannapurna

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : A poil au bureau! (2/2)

Le 16/05/2023 - 18:16 par valeriane
j'adore
Le 02/04/2020 - 14:31 par Seeley68
Très beau récit excitant.

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :