Amour interdit, ou infidélité 2

Les deux amants s'aiment comme des bêtes. Mais après des mois d'infidélité, Loane, commence à avoir des remords. Elle se rend compte que ce qu'elle fait à son mari est ordurier. Elle n'en dort plus la nuit, ses nuits sont atroces. C'est le week-end, après sa douche, elle enfile sa nuisette et rejoint son mari au salon. Ses yeux sont rougis par les larmes. Elle se laisse tomber à côte de lui sur le canapé, elle le regarde longuement et en reniflant lui dit :

-Ludovic mon chéri, je ne te mérite pas, je suis une grosse salope, je te trompe depuis plusieurs mois, je ne mérite plus d'être ta femme, je suis une catin !

Ludovic vient de recevoir un coup de poignard en plein cœur, il reste un moment sans voix puis demande :

-Ah, je peux s'avoir le nom du veinard qui baise ma femme, qui me cocufie quoi !

Loane pleure à chaudes larmes, et répond :

-C'est Mickael le jeune dont je t'avais parlé, il y a un moment, tu m'avais répondu que, je l'oublierais vite, eh bien non !

Ludovic sursaute et réplique en serrant les poings :

-C'est Le petit con du magasin, mais tu as plus du double de son âge, qu'est-ce qui t'a pris !

Loane en reniflant souvent, et avec des trémolos dans a voix répond


- C'est inexplicable, je deviens folle, je vous aime tous les deux, je ne peux choisi, oh comme j'ai honte de t'avoir trompée, comme je voudrais mourir !

Mais au lieu de rager, comme il pourrait le faire et à juste titre d'ailleurs. Il l'enlace, et lui donne plusieurs baisers sur tout le visage. Il la regarde longuement, et gobe les perles salées qui coulent sur ses joues. Il pousse un gros soupir et dit :

-Ce n'est pas simple pour nous ma chérie, aimer deux hommes en même temps, c'est rarissime, que comptes-tu faire ?

Loane hausse les épaules et répond :

-Il ne me reste qu'à partir, changer de ville, je crois que c'est ce qu'il y a le mieux pour tous !

Ludovic la serre très fort dans ses bras et lui dit :

-Donc tu choisis la fuite, je te croyais plus courageuse, là, tu me déçois !

Loane sursaute, s'essuie les yeux d'un revers de la main et demande :

-Tu as une autre solution mon chéri ?

Ludovic, lui dit :

-Il ne faut pas s'emballer, gardons notre calme, je ne veux pas que tu me quittes, je t'aime trop pour cela. Pourquoi que tu ne me présenterais pas ce phénomène qui me cocufie, tu sais, chaque problème a une solution !

Loane semble ne pas comprendre ou veut en venir son mari :

-Tu veux que j'amène ici mon amant ?

Ludovic en la regardant lui répond :

-Oui, c'est cela, je veux connaitre le type, qui fait monter ma femme aux rideaux, je suppose qu'il te baise bien !

Loane en baissant les yeux répond :

-Avec lui, j'ai des jouissances terribles !

Ludovic en faisant une moue affreuse dit :

-Fait le venir demain, c'est le week-end, nous en reparlerons tous les trois !

Elle se blottit contre lui, et commence à ronronner comme une chatte. Lui la caresse, passe sa main sous la nuisette et dit avec un air moqueur :

-Je peux encore te baiser ?

C'est en soupirant peut-être de soulagement que Loane ouvre doucement les jambes. La main de son mari se plaque directement sur son intimité. Quelques caresses suffisent pour faire suinter la chatte de Loane. Doucement, il enfonce deux doigts dans la gaine qui s'humidifie de plus en plus. Et avec douceur, commence un doux ramonage. Les intrus coulissent aisément dans la chatte débordante de cyprine. Loane commence à geindre de plaisir. Son mari lui dit :

-J'adore comment tu mouilles ma chérie !

Il en profite pour joindre un troisième visiteur. Loane ne peut retenir c'est quelques mots :

-Oui mon chéri, fouille-moi bien, vas-y oui plus profond, oui plus profond, oh comme c'est bon, continue, continue !

Ludovic ramone la chatte de sa femme en prenant de la vitesse, il tourne ses doigts, fait des demi rotations. Il veut faire jouir sa femme, qui agite en bassin en grognant comme un animal qui se rue sur sa proie. Un quatrième visiteur est utile pour fait exploser Loane, elle grince des dents en geignant bruyamment. Ludovic retire ses doigts et présente à la corolle bien ouverte sa queue gonflée au maximum. Il l'enfonce violemment en faisant cabrer sa femme qui gémit :

-Oui, oui, mon chéri comme ça, oh comme c'est bon, vas-y, vas-y !

Ludovic ne reconnait plus sa femme, là la coquine en veut plus que d'habitude, elle s'agite sur le pal en geignant de plaisir. Elle donne des coups de reins pour être totalement empalée. Une jouissance terrible la fait hurler. Ludovic serre les dents et en grimaçant remplit le ventre de sa femme qui semble en transe. Il lui faut plusieurs minutes pour qu'elle refasse surface. Ludovic est satisfait de sa performance, il ne connaissait pas sa femme si vorace. Est-ce à cause de son jeune amant qu'elle se libère complètement. Il lui offre sa bite à sucer, autant encore profiter de son corps tant qu'elle est demandeuse.

Elle décalotte le gland gluant et le prend en bouche, elle suce, tète comme une affamée, une violente décharge manque de l'étouffer. Mais courageusement, Loane avale la substance visqueuse jusqu'à la dernière goutte. Ludovic retourne brusquement sa femme, elle se retrouve à quatre pattes. Il lui enfonce sa queue, encore tendue, dans la chatte et la prend en levrette. Loane adore cette position. Elle agite sa croupe pour parvenir rapidement à la jouissance. Elle jouit fortement en soufflant comme un dragon. Le bougre de mari donne encore quelques estocades avant de déverser sa semence dans le ventre de sa femme.

Ensemble, ils prennent une douche, et montent se coucher, car demain la journée s'annonce dure. Comme convenu, Loane fait venir son amant chez elle. Pas très rassuré, Mickael sonne à la porte d'entrée. Loane va lui ouvrir, il n'ose pas l'embrasser. Elle le fait rentrer au salon ou Ludovic l'attend. Les deux hommes se saluent, s'observent un moment, puis Ludovic prend la parole :

-Ma femme m'a tout raconté, il parait que vous vous aimez, et que vous baisez ensemble et qu'elle prend des pieds d'enfer. Et moi qu'est-ce que je deviens dans tout ça hein, à part être le cocu !

Mickael ravale sa salive, il ne peut répondre, car il n'a pas la solution. Ludovic ajoute en toisant son rival :

-Prenons un verre, nous aviserons après !