ACCUEIL > SM > Récit : Asservissement

Asservissement

+19

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 7 - Histoire postée le 01/08/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Ma tante Irène, demi-sœur de mon père, est attirante. Elle vient souvent seule depuis sa séparation ; elle m’achète des vêtements qu'évidemment mes parents lui reprochent de m’offrir, trop sexy, trop « pute » a dit un jour ma mère.

Irène change souvent de coiffure ; cette fois c’est la coupe carrée courte, cheveux droits, châtain foncé. Ses yeux marron très clair ressortent. Elle a un sourire si beau que je ne comprends pas qu’elle ne soit pas avec quelqu’un ; mais du haut de mes 20 ans, je ne sais pas encore tout. Je l’admire, c’est tout.

J’ai mis la jupe portefeuille fleurie fendue sur le côté avec un nœud ; elle découvre ma jambe galbée, et je porte de simples escarpins. Elle m’a félicitée, d’autant que je ne porte que mon blouson léger préféré dont la fermeture Éclair est toujours descendue sur ma petite poitrine sans soutien-gorge : mes seins sont petits et tiennent tout seuls. C’est toujours la bagarre avec mon père pour qu’il comprenne que les soutiens-gorge et moi nous ne sommes pas amis.

Le repas est terminé. Je me suis réfugiée dans ma chambre, avec un fond de musique rock. Plongée dans mon ordinateur, je ne me suis pas rendu compte qu’Irène est là ; elle me regarde sans un mot. Je souris, surprise par son intrusion.

— Je dois hélas partir rapidement aujourd’hui, Agatha… Tu es splendide, vraiment.
— Oh, déjà ?

À peine levée de mon fauteuil, Irène me prend dans ses bras ; je sens son corps mince, élancé. Elle a de beaux seins fermes ; ils pourraient être un peu plus gros, mais bon. Ses jambes sont longues et fines, ses fesses superbes. J’aimerais être comme elle à son âge.

Je pose mes lèvres sur sa joue pour un au-revoir, mais elle tourne son visage pour prendre ma bouche. Je suis surprise, mais ne la rejette pas. Juste sa bouche sur la mienne ; rien d’autre. Pas de langues qui se touchent : juste un baiser.

Elle sort une carte de son sac à main.

— Voilà, viens demain, ici, sans rien sous cette jupe. Je le veux !

Le ton est ferme. Je ne suis même pas étonnée par mon assentiment ; mon hochement de tête est ma seule réponse. Mes yeux vont d’Irène à cette carte où sont écrits son nom et une adresse qui n’est pas celle habituelle.

Sur ce, elle part sans un mot de plus.

Restée seule, je cogite rapidement : demain, oui, bien sûr, ce sont les vacances ; je peux y aller… non, je VEUX y aller, sans rien sous ma jupe, nue donc. Je suis surprise ; que veut-elle ? Mais c’est excitant, et j’aime ça !

Pas d’argent pour un taxi, alors je prends divers transports en commun. Je rougis même, par moments, persuadée que tout le monde sait que je ne porte rien sous ma jupe portefeuille. J’ai mis un chemisier à boutons-pressions sous une veste légère et des escarpins noirs hauts de huit centimètres.

J’ai juste dit aux parents que j’allais voir tata, rien d’autre. J’ai encore l’image de sa bouche sur la mienne et de son ton autoritaire, ce qui fait que j’obéis, un peu excitée, troublée.

J’ai déjà embrassé une autre fille. Nous nous sommes collées, nos langues ont joué dans nos bouches et j’ai mouillé, comme elle. Nous nous sommes fait jouir une autre fois, la main de chacune sur la chatte de l’autre. J’ai aimé ça, c’était sensuel, et la jouissance très forte car l’impression de braver un interdit était présente !

Je viens d’arriver. Le bâtiment est ancien ; pas d’interphone ni de sonnette, juste une grande porte en bois brut verni. Je suis au bon numéro ; c’est au troisième. Après tout, je vais tenter.

La grande porte poussée. Le hall, de style rococo, est décoré de miroirs, de tableaux, de coquillages et de petites pierres. Irène m’en a parlé souvent, elle aime ce genre de choses.

Entouré de plantes vertes, l’ascenseur vieillot en fer forgé ne doit pouvoir contenir que deux, voire trois personnes en se serrant. Sa porte coulissante ne grince pas alors que je m’attendais à un bruit strident. Mon cœur bat plus vite que de coutume.

Je peux voir que l’escalier est recouvert d’un tapis dans les tons mauves, retenu sur chaque marche par une barre de cuivre. Tout est feutré. Il n’y a qu’une porte au troisième étage ; elle porte une plaque de cuivre rouge avec le nom de ma tante.

Je sonne une fois. Je respire calmement, mon sac à main serré contre moi. J’entends quelqu’un arriver ; la porte s’ouvre : c’est Irène. Elle porte un kimono blanc en mousseline dont les boutons sont presque tout défaits, un soutien-gorge, une culotte, le tout dans différents coloris de blanc. Elle est belle et attirante ; son parfum envahit mes narines. Elle sourit.

Sans un mot, elle fait un pas vers moi et tend son bras ; sa main passe dans l’entrebâillement de ma jupe et va directement se poser sur ma chatte où elle reste un peu puis se retire.

— C’est bien. Obéissante, sinon tu serais repartie de suite.
— Ça m’a plu de le faire ; c’est excitant, tata.
— Arrête les « tata » quand nous sommes toutes les deux. Allons prendre le thé.

Assise sur le canapé, ma jambe gauche à l’air, je suis encore surprise, excitée par la présence sensuelle d’Irène. Je suis comme une petite fille avide d’apprendre. Je la vois dans la cuisine américaine, qui prépare le thé, avec par moments un regard vers moi. Ses yeux me matent sans vergogne.

Une douce chaleur monte dans mon corps ; je me lève pour ôter ma veste et la poser sur l’accoudoir du canapé. Irène arrive avec un plateau garni d’une théière, de deux tasses, de lait, de sucre et de gâteaux secs. Je tends mes mains pour l’aider à le poser.

— Laisse ; tu vas me faire tout renverser, ma chérie.

Elle vient s’asseoir, se colle à moi.

— Tu veux du lait, du sucre ?
— Non, juste du thé. Merci tat... pardon, Irène.

La pièce est feutrée ; peu d’éclairage, les rideaux de la porte-fenêtre sont fermés, une odeur d’encens est présente. De beaux coussins sont posés un peu partout ; tout est beau autour de moi. Je prends ma tasse chaude et avale ce thé au jasmin, très fort !

— Tu avais déjà été embrassée par une femme, Agatha ?
— Oui, une amie, mais pas avec la langue. Juste un baiser comme… comme le tien.
— J’ai senti que tu aimais bien. Tu es si jolie, si jeune… je vais t’apprendre à aimer le sexe. Pour toi, mais aussi pour MOI.

Je manque d’avaler de travers. Je repose ma tasse, ne sachant quoi dire, troublée.

— Et avec un homme ? Es-tu toujours vierge ?

Après tout, nous sommes deux complices ; alors pourquoi le lui cacher ?

— Non, je l’ai fait une fois avec un copain ; enfin, un amoureux, mais je ne suis plus avec lui.

Irène pose sa main sur mon genou et déplace ma jupe pour libérer mes cuisses. Son ongle long passe sur mon genou, tourne autour.

— J’aime ta peau de rousse, toute blanche… Défais ton chemisier, doucement, que je puisse regarder tes seins se découvrir.

J’essaye de respirer calmement. Je suis venue pour ça, pour obéir. Ça m’excite vraiment ; je tremble un peu en déboutonnant mon chemisier. Mes tétons sont déjà tendus, mes mamelons marron clair sont tout hérissés. Mon chemisier ouvert, ils sont là, pointés vers ma tante.

— Caresse-les ; je vais chercher une surprise pour eux.

Elle se lève, va vers une des armoires massives de la pièce, ouvre un tiroir, en sort une petite boîte bleu nuit tout en longueur et revient vers moi avec un air que je commence à apprécier, un air vicieux. Irène reprend place sur le canapé et me tend le cadeau.

— Lâche tes seins. Vas-y, ouvre-la ; c’est pour toi. Regarde.
— Merci !

Le coffret ayant juste une fermeture aimantée, je découvre une chaînette apparemment en argent équipée de pinces à chaque extrémité. Je me mords les lèvres, n’osant pas y toucher.

— Les embouts sont protégés. Ce sont tes premières pinces ; tu en auras d'autres plus tard.

Irène prend la chaînette comme si c’était une offrande et la tient d’une main tandis que de l’autre elle caresse doucement ma joue, ses doigts effleurant ma peau. Je vais pour parler, mais ses doigts viennent sur ma bouche.

— Chut. Laisse-toi faire, ma douce Agatha.

Son visage s’approche et sa bouche se pose sur ma joue ; je sens sa langue lécher ma peau. Mon corps est pour elle ; je me sens offerte à tout ce qu’elle voudra. Je ferme les yeux sous la caresse de cette langue.

D’une main experte elle pose la première pince sur mon sein droit. Une pression, pas si horrible que je l’avais pensé ; c’est même extrêmement sensuel, et je sens ma cyprine couler un peu. C’est bon !

Partout où elle dépose un baiser, elle sort sa langue pour me lécher ; sa salive se répand sur ma joue. Alors que ses lèvres se trouvent à l’encoignure des miennes, j’ouvre ma bouche, prête à la recevoir. Elle en profite pour poser la deuxième pince, puis laisse tomber la chaînette. Je suis en transe quand Irène m’abaisse la tête et tire sur la chaîne pour qu’elle passe par-dessus mes cheveux.

— Redresse-toi !

Quand je le fais, mes petits seins se relèvent. Mes tétons me brûlent, mais j’aime de plus en plus cela.

Irène me regarde ; son regard devient noir vicieux. Je vois que ses tétons sont eux aussi tendus : je lui plais ainsi. Elle verse le thé et me tend ma tasse, souriante, redevenue ma « tata ».

— Tu as menti à tes parents, alors tu vas continuer. Tu sais que je donne des cours de guitare ; alors tu leur diras que tu viens pour ça. D’ailleurs je t’apprendrai un peu, au cas où ils te demanderaient où tu en es.
— Mais je n’ai pas de guitare…
— Ce n’est pas un souci : nous allons t’en acheter une. Plein de cadeaux pour ma beauté obéissante et dévouée. Maintenant, mets-toi entièrement nue !

Pendant que j’obéis en laissant tomber ma jupe, Irène se lève et son kimono disparaît, nue devant moi, avec son corps de femme, je tremble un peu.

— Maintenant, tu es à MOI ! Tu ne penseras plus qu’à MOI ! Tu vas vivre pour MOI !

Je me sens si vulnérable, nue devant elle, également nue et si attirante… J’ai le désir de l’embrasser, de lécher, de sucer sa chatte toute douce, ses seins craquants, sa bouche sensuelle…

— Oui, Irène, comme tu le voudras.

Je n’ose le faire ; c’est toi qui décides pour moi : tu as attaché mes beaux seins ronds et fermes en posant des pinces sur mes mamelons saillants, et tu me tiens autant par cette chaînette que par tes caresses et tes baisers. Tes mots me rappellent que je t’appartiens, que je suis ta chienne soumise ; j’aurai mon collier et tu me tiendras en laisse. T’appartenir à toi, si belle et sensuelle, je suis déjà sous ton emprise à la foi rassurante et inquiétante... Je ne peux que t’obéir.

Tu tires sur la chaînette pour me rapprocher de toi et me lécher, m’embrasser, me mordre ; c’est doux et sauvage à la fois, ce qui excite délicieusement mes sens, mes mamelons douloureux et tes caresses bienveillantes.

Je veux t’appartenir et t’obéir, être ton animal sexuel. Je m’exécute quand tu me demandes de m’installer comme une chienne en demande de caresses, offerte à sa maîtresse. Tu me récompenses de mon obéissance en avalant ma chatte dans ta bouche si douce, avec ta langue qui me lèche comme une crème glacée et se délecte de ma cyprine abondante. Mes sens sont si tourmentés… Je sens ce lien entre mon vagin que tu broutes, féline, et le bout de mes seins douloureux et excités, attachés entre eux par une chaînette. Je sais ce que tu es, ce que tu vas être pour moi : ma Maîtresse.

Je gémis :

— Oouuiiiiiiiiii, ouiiiiiiii, ouiiiiiiii…

Sous ta domination, le désir s’accélère dans mon vagin, mon ventre, jusqu’au bout de mes tétons. Et je jouis si fort que je hurle comme une chienne :

— OOOHHHhh OUIIIIiii, MAIIIIITRESSSSSE, je suis votre ESCLAVE SOUMISE !

Je suis perdue sous son emprise qui est totale.

Ensuite Irène lèche toute ma chatte, avale toute ma mouille et en garde en bouche pour prendre la mienne dans un long baiser, ses lèvres appuyées contre les miennes, dans un baiser fougueux.

L’instant suivant elle est déjà debout.

— Ce sera notre baiser à nous, avec ta mouille, ou la mienne, ou les deux, le tout mélangé avec nos salives.

Elle regarde la pendule de l’entrée avant d’ajouter :

— Repars comme ça avec ta chatte trempée. Tu ôtes ta chaîne et ne la remettras que dans ta chambre. Tu m’enverras des photos et des vidéos sur mon smartphone.

Je l'entends dans la cuisine pendant que je réajuste mes vêtements. Quand je retire les pinces, j’ai comme un manque auquel je ne m’attendais pas, puis je range la chaînette dans mon sac à main, toute fière.

Quand Irène revient, je suis prête. Elle caresse mes cheveux en se collant à moi.

— N’oublie pas : c’est notre secret. Pense aux photos et aux vidéos pour ta « maîtresse », comme tu m’as appelée tout à l’heure ; cela me plaît bien : ta maîtresse et toi MA soumise.

Elle ferme mon blouson.

— Je vais te faire parvenir une guitare pour débutant : comme ça, ils te croiront.
— Merci, Irène… Maîtresse.
— Quand tu reviendras et que je le déciderai, nous irons acheter ton collier de chienne et ta laisse. Ça me plaît de devenir la maîtresse salope et vicieuse de ma belle chienne.

Elle rit en me claquant les fesses, m’attrape par les cheveux, et sa bouche prend la mienne encore une fois. Sa main passe sous ma jupe et frotte ma vulve ; je me cambre vers cette main aussitôt, mais elle la retire.

— Bonne chienne, bonne salope… N’oublies pas tout ce que tu dois faire pour MOI.
— Oui, Maîtresse.

Dans l’ascenseur puis dans le hall, je me sens différente : je suis une soumise, ne sachant pas trop ce que c’est, sauf que j’appartiens sexuellement à ma tante en douce, et j’aime ça !
Ses mots « ma salope, ma chienne » m’accompagnent sur le trajet du retour.

Dans ma chambre, après avoir parlé à maman des cours de guitare, je me réfugie rapidement dans mon petit monde. Mes doigts passent sur mes tétons, mais je n’ose pas encore remettre les pinces. Ce soir, oui, après le dîner.

Je regarde sur le Net des vidéos de maîtresses et de soumises ; certaines me font peur, d’autres m’excitent. La cravache, le fouet, les liens, tout cela me trouble tellement…

Tout s’est bien passé : mes parents ont gobé l’histoire des cours et ont même presque applaudi que j’aie une occupation saine. S’ils savaient…

Je suis nue au bord de mon lit, mon ordinateur tourné vers moi, la webcam en route. Je parle doucement à ma tante en m’enregistrant, puis je pose avec délectation les pinces sur mes tétons et tire un peu dessus horizontalement pour étirer mes petits seins. Je laisse retomber la chaînette et j’écarte bien mes jambes tandis que d’une main j’ouvre bien ma chatte humide et que de l’autre je fais pénétrer deux doigts en moi, les faisant aller et venir en gémissant doucement.

Mes yeux fixent la caméra. Je les ferme par instants. Malgré moi j’en rajoute un peu dans mes gémissements ; j’espère qu’Irène va se toucher en me voyant lui obéir. Finalement, je me fais jouir en me branlant le clitoris avec frénésie que j’en pleure. Ma vulve coule… Avec mes doigts je récolte un peu de mon jus, et je les porte à ma bouche pour les sucer, perverse, salope pour ma maîtresse.

L’enregistrement terminé, je l’envoie à son adresse mail puis j’attends une réponse. Mais après une attente interminable, comme rien ne vient, j’ôte mes pinces et, trempée, je cours prendre une bonne douche.

Dans la semaine qui suit, la guitare arrive. Une lettre l’accompagne. Allongée sur mon lit, je la relis encore ; Irène me donne ses ordres, bien clairs : je ne dois pas lui téléphoner, mais juste lui envoyer chaque soir une vidéo où je porte mes pinces et où je jouis pour elle. Je dois lui donner une date et une heure pour qu’un chauffeur passe me chercher quand aucun de mes parents ne sera là ; c’est pour ma formation de soumise.

Depuis ce jour, je cherche frénétiquement des informations sur la formation d’une soumise, mais il y en a trop ; je verrai bien…

Hier soir, j’ai appris que mes parents vont aller chez des amis à eux pour jouer aux cartes, et qu’ils resteront dormir là-bas. Je transmets aussitôt l’information à ma maîtresse ; j’aime penser à elle comme cela…

La réponse est presque instantanée :

[i]« Tu vas être le jouet sexuel d’hommes et de femmes. On va t’ordonner de les sucer et de les lécher. Tu seras soumise, pénétrée, sodomisée dans toutes les positions sans qu’on te demande ton avis, ligotée, humiliée, traitée pire que la dernière des putes. Tu auras peur mais tu seras excitée ; tu vas supplier, pleurer, mais tu jouiras comme jamais auparavant.

Quand mon chauffeur viendra te chercher à 21 heures précises, il te remettra la tenue que tu devras revêtir pour cette soirée. Tu auras juste à te maquiller et te parfumer suivant ton inspiration : je sais que tu as très bon goût. Une précision, pour que tu ne sois pas surprise : pour le trajet, mon chauffeur te bandera les yeux : simple précaution pour que tu ignores où se trouve la propriété. Moi je serai déjà là-bas, et je t'attendrai devant l'entrée. »[/i]

Rien que de lire et relire sa réponse, je suis humide. J’imagine tellement de choses…

19 vote(s)


Histoire de Agatha

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Asservissement

Le 02/08/2024 - 15:57 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire qui nous fait plaisir
Le 02/08/2024 - 15:57 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire qui nous fait plaisir
Le 02/08/2024 - 15:57 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire qui nous fait plaisir
Le 02/08/2024 - 15:57 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire qui nous fait plaisir
Le 02/08/2024 - 15:57 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire qui nous fait plaisir
Le 02/08/2024 - 15:57 par Sexty53
Bonjour très jolie histoire qui nous fait plaisir
Le 01/08/2024 - 21:47 par JacBZH
Très beau histoire J’adore bien bandé

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<


Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :