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Aventures en Angleterre - I

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/08/2024

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Note :le récit ci-dessous (ou les récits si vous appréciez et en voulez d’autres) est inspiré de faits réels, plus ou moins enjolivés. Les noms et professions ont bien évidemment été changés. Il est aussi à noter que le récit ne fait pas mention de l’utilisation de préservatifs, alors qu’en réalité ceux-ci ont été utilisés chaque fois. On ne joue pas à la roulette russe avec la santé. SORTEZ COUVERT.

Récit1 :la voyageuse

Voilà, je me suis installé dans le Nord-Ouest de l’Angleterre. Après 3 ans de recherche d’emploi infructueuse, s’expatrier a été la solution. Très rapidement un boulot alimentaire, puis quelques contrats temporaires et 6 mois après mon arrivée, enfin un emploi d’ingénieur dans ma spécialité en contrat définitif. Le salaire n’est pas mirobolant, mais il me permet de louer une petite, mais confortable, maison dans un quartier résidentiel, ma foi, plutôt ouvrier et il me reste à la fin du mois assez pour pouvoir vivre sans problème et faire des petits extras. La ville est assez petite, 50 000 habitants, au fin fond d’une péninsule et c’est une ville industrielle qui a connu son heure de gloire entre la fin du XIXe siècle et les années 1970. La crise pétrolière et la fin de l’industrie lourde dans les années 1980 ont faits des gros dégâts.
Que je me présente : je m’appelle Éric, j’ai 42 ans. Je mesure 1.84 m pour 78 kg. Pas très musclé mais pas de ventre proéminent. Cheveux blonds foncés tirant sur le brun, coupés assez court en brosse. Des yeux gris-vert. Et une petite cicatrice sur le haut du nez suite à un accident étant gamin. Accessoirement, je suis souvent tout habillé de noir, jean et T-shirt étant ma tenue préférée. Ceci venant du fait que depuis mon adolescence je suis ce qu’on appelle un « gothique ». Oh, et selon pas mal de mes connaissances féminines j’ai un « joli » cul. Le reste est dans la moyenne, ni trop gros ou trop fin, ni trop petit ou trop long. Vous voyez de quoi je veux parler.

Cela fait donc un mois que je suis dans mon nouvel emploi. Je m’habitue peu à peu à la vie ici. Ce vendredi soir les collègues m’ont invité pour leur habituelle tournée des bars. Nous avons commencé gentiment dans les pubs, puis les bars karaoké, très populaires ici, pour finir dans les nightclubs. J’ai bu approximativement 4 pintes de Guinness, pas assez pour me rendre ivre mais suffisamment pour être un peu parti. Le DJ du dernier nightclub où nous sommes allés passait essentiellement des titres années 70 et 80 ce qui me convenait assez bien. Puis les collègues ont voulu aller dans le club situé un peu plus loin dans la rue, très axé techno-dance. Je les ai donc salués et je suis resté là, seul.
Il est 2 heures du matin, le club commence à se vider. Déjà tous les jeunes sont partis, ne restent qu’une clientèle âgée entre 30 et 50 ans et la viande soule. Je m’apprête donc à rentrer à pied chez moi. La station de taxi est bien à 10 m du club mais l’air frais du mois d’Avril m’éclaircira les idées et 15 minutes de marche m’aideront à éliminer la bière. Un dernier aller aux toilettes du club et je marche vers la sortie. C’est alors que je la vois.
Taille moyenne, probablement aux alentours de 1.65 m, fine sans être maigre, un joli visage ovale avec une bouche aux lèvres minces, un petit nez retroussé, des yeux de couleur sombres mais surtout des cheveux mi-longs, fins, soyeux et d’un noir de jais (teinture ou couleur naturelle ?). Elle est habillée d’un jean fuseau délavé, un top en soie noire qui lui laisse les épaules et les bras nus. Une veste en jean délavé est passée au-dessus de son sac à main. Aux pieds, elle porte des escarpins à talons assez hauts. Elle doit avoir une petite quarantaine d’années. Le jean laisse deviner des hanches bien définies.
Ce qui me frappe c’est que malgré son sourire le regard est légèrement triste. Elle est aussi seule, adossée à une colonne, un verre de vin blanc posé sur la tablette près d’elle.
En temps normal, ma timidité naturelle m’aurait empêché de l’aborder. Mais là, la chance va tourner en ma faveur. Alors que je passe près d’elle en direction de la sortie, elle se retourne pour se saisir de son verre et trébuche. Je n’ai que juste le temps de mettre mon bras pour l’empêcher de tomber.

- Merci. Je crois que j’ai un peu trop bu. Je devrais renter chez moi. Je n’arrive plus à tenir debout.
- Il n’y pas de quoi. N’importe qui aurait fait de même. Quant à rentrer, j’allais faire pareil. De toute façon, le club fermera dans peu de temps. Et je ne crois pas que vous soyez trop ivre. Vous vous rendez compte de votre état, c’est bon signe.
Elle rit d’un petit rire perlé.
Je la regarde de plus près. Elle a de grands yeux marron. Sa peau est soyeuse, légèrement bronzée d’un bronzage qui me parait naturel. Son maquillage est très discret, plus fait pour mettre en valeur que pour cacher. Elle porte un parfum fruité avec une dominante de vanille. Sur son épaule droite il y a un tatouage : une Licorne cabrée, mon animal fantastique préféré. Tout pour me plaire. Est-elle une princesse d’Ambre en villégiature sur l’ombre Terre ?
- Je devrais réellement partir. J’ai fait 2 heures d’avion suivies de 2 heures de train aujourd’hui. Mes amies m’ont laissé tomber il y a peu, juste avant que je ne vienne ici. Et demain midi je dois aller chez ma sœur pour mon diner d’anniversaire. Dans quelques jours, je repars pour les Açores.
Les Açores, tout s’explique. C’est là-bas qu’elle a dû gagner son bronzage.
- Oh, eh bien bon anniversaire. Reposez-vous bien.
- Merci. C’est gentil. Je peux vous posez une question ?
- Bien sûr. Je ne promets cependant pas une réponse.
- Vous avez un léger accent, mais je n’arrive pas à le reconnaitre. Est-ce je peux vous demander d’où vous êtes ?
- Ahh, ça je peux répondre. Je suis français.
- Vraiment ? Que venez-vous faire ici si ce n’est indiscret ? La ville n’est pas des plus attrayantes. Peut-être contractuel aux chantiers navals ?
- J’ai un bien travail ici mais pas aux docks et pas comme contractuel. Quant à l’attrait de la ville je me vois être obligé de vous contredire. Vous êtes ici et cela la rend beaucoup plus attrayante.
Elle rit de nouveau. Cette fois l’étincelle de tristesse de son regard a disparu et a été remplacé par de la gaité.
- Charmeur, va ! Mais j'apprécie, merci beaucoup. Au fait, je m’appelle Michelle, comme dans la chanson des Beatles.
- De rien, et je suis sincère. Moi c’est Éric. Michelle est un beau prénom et il vous convient bien et comme dans la chanson il rime avec Ma belle.
- Vraiment ? Est-cela ce que l'on appelle le charme français ? Si oui, j'en connais certains qui devraient prendre exemple ! Autre question :comment un Français dit-il « Au revoir » à une femme ?
- Ahh, cela dépend. S’il ne la connait pas, il lui serre la main, ou lui fait un baise-main s’il est un peu guindé. S’il la connait, cela varie : soit 2 bises, une sur chaque joue, soit 3, une sur les joues plus une sur le front, soit 4, deux sur chaque joues en alternance. Cela dépend de son degré de connaissance et de la région d’origine.
- Et bien, vous me connaissez maintenant et je vais faire la gourmande. Je veux 4 bises.
À mon tour de rire.
- Accordé !
Je me penche légèrement et commence à poser les bises. Arrivé à la quatrième et dernière, elle tourne subitement la tête, prends la mienne entre ses mains et écrase ses lèvres sur les miennes.
Je suis surpris, mais je ne m’écarte pas. Ses lèvres sont douces, chaudes et humides. Le baiser s’éternise et nous nous séparons finalement. Elle est un peu à bout de souffle.
- Désolé, … je ne sais pas ce qui m’a pris. Vous ne m’en voulez pas ?
- Pas du tout, je suis même prêt à recommencer.
- Ohhh … Vraiment ? Moi aussi !
Cette fois, pas de surprise. Mon regard plonge dans le sien, mes lèvres s’approchent, touchent les siennes. Peu après je sens sa bouche s’ouvrir et sa langue, ferme et pointue s’aventurer. Je ne résiste pas et fait de même. Je la sens se blottir contre moi. Mes mains se placent sur la peau nue de son dos pour la rapprocher encore plus. Sa peau est douce. Je sens des petits seins dans leur soutien-gorge au travers de mon T-shirt.
- Encore …, me souffle-t elle.
Je m’exécute. Ses mains prennent les miennes et les déplacent de son dos jusque sur ses fesses. Elles sont fermes et bien rondes. Après cela ses mains viennent elles aussi se placer sur mes fesses.
- Hummmm …, dit-elle, un petit cul bien ferme, comme je les aime. Voyons si le reste est à l’avenant.
Et sans crier gare, la voilà qui plaque une main sur mon entrejambe. Comme vous pouvez vous en douter, tout cela ne m’avait pas laissé de marbre et je sentais une érection de belle taille dans mon jean.
- Ma foi, cela semble intéressant, me chuchote-t elle, tu as quelque chose de prévu pour cette nuit ?
- Je pensais avoir une nuit tranquille, mais je peux réviser mes plans.
- Bien. Il n’y a plus qu’à décider de l’endroit. Chez toi ou chez moi ? Où habites-tu ?
Je lui donne le nom du quartier.
- Aaah, ça sera donc chez moi, me dit-elle. Je connais un peu ce quartier et nous serons plus tranquilles chez moi.
Nous sortons du club, main dans la main. Les taxis sont justes là et ils sont suffisamment nombreux pour que notre attente soit très courte. Nous en prenons un et pendant le trajet, parlons de choses et d’autres. Le taxi nous emmène dans un coin de ville que je ne connais pas, à l’opposé du mien. Nous nous arrêtons finalement après une dizaine de minutes de route quasiment à la sortie de la ville. Le terminal gazier est visible à quelques kilomètres de là. Le quartier est bien plus résidentiel que le mien et toutes les maisons ont un jardin devant. La maison où nous nous sommes arrêtés a un panneau de vente.
Michelle fouille son sac à main, prend un trousseau de clés, se tourne et me dit.
- Voilà ma maison, je n’y suis pratiquement jamais. Ma sœur s’en occupe et comme je l’avais prévenue de mon arrivée tout est prêt.
Nous entrons. Pour ne pas salir, j’enlève mes Doc Martens. Michelle rit et me demande combien d’années il me faudra pour enlever tous les lacets et surtout pour les remettre. 18 trous, cela demande du temps mais en quelques minutes c’est fait.
La décoration de la maison est sobre, papier peint uni de teinte ocre, des reproductions de peintures et quelques petites sculptures de bois. La plupart d’entre elles représentent des chevaux. Je pose la question à Michelle et elle me confirme être une cavalière émérite. Elle a même fait de la compétition en dressage étant plus jeune.
Le salon se compose d’une table à café en verre, un canapé 3 places en cuir et une télé et une chaîne Hifi qui ont dû coûter chacune une petite fortune. Michelle allume les deux, place un DVD et une musique douce mais électronique monte. Je connais cela. Ah oui :Enigma, Sadeness. Je doute qu’elle ait compris le jeu de mot franco-anglais.
- Éric, je peux te demander un petit service ? J’adore ce titre mais je ne comprends pas les paroles et il me semble qu’une partie est en français. Peux-tu me les traduire ?
- Pas de problème, mais je ne garantis rien pour les paroles en latin.
- Merci. Tu veux boire quelque chose ? Thé, café, jus d’orange, eau ? Désolé je n’ai pas d’alcool ici.
- Jus d’orange ce sera parfait.
- J’amène cela de suite. Mets-toi à l'aise. Donne-moi ton blouson d’ailleurs. Ouchh, il pèse une tonne ! On sent que c’est du vrai cuir.
Je m’installe dans le canapé et regarde le salon. Je ne pas m’empêcher de remarquer une photo d’un homme, barrée dans le coin droit d’un ruban noir. Plus loin, une autre photo, un petit garçon de 7 ou 8 ans environ.
Michelle revient dans le salon avec un plateau, 2 verres et une bouteille de jus d’orange pressée. Elle remarque la direction de mon regard.
- Mon mari, me dit-elle, il est décédé il y a 4 ans. Il était avocat aux Açores, raison pour laquelle je suis la plupart du temps là-bas, ça et le climat. L’autre photo, c’est mon fils. Il vit avec sa tante ici, mais je l’aime de tout mon cœur.
- Je suis désolé.
- Tu ne pouvais pas le savoir. Il me manque énormément. Je ne pense pas pouvoir être capable d’être à nouveau amoureuse. Aimer, oui, amoureuse, je ne crois pas.
Je me tais. Je pensais avoir simplement une nuit de sexe sans complication. Je crois que je vais plutôt y mettre beaucoup de tendresse.
Michelle me sert, se sert ensuite et viens s’asseoir à califourchon sur mes genoux. J’ai son buste juste à hauteur de mes yeux.
- Bien. Où en étions-nous ? Ah, oui, je crois que nous en étions-à ce point, me dit-elle en recommençant à m’embrasser.
Je réponds à son désir. Cette fois mes mains passent sous son top, caressent la peau de son dos, puis passent devant, caressent les seins dans le soutien-gorge. Je repasse une main dans le dos et le dégrafe. Puis je glisse mes mains en dessous. Ses seins sont plus gros que je ne le pensais et remplissent agréablement mes paumes. Je titille un peu ses tétons et les sens se dresser. Michelle gémit.
- Ooohhh … Ouuuuuiiiii … Continue …
À contrecœur nous nous séparons. Je remonte le top, afin de dégager sa poitrine. Michelle enlève le top et le soutien-gorge puis tire mon T-shirt pour que je l’enlève aussi. Nous sommes maintenant tous les deux à moitié nu.
Même sa poitrine est bronzée, aucune trace de maillot. Pour une femme de son âge, ses seins sont remarquablement arrogants. Bien sûr, ils se sont un peu affaissés mais ils sont très loin d’être complètement tombés. Deux jolies poires avec des petites aréoles sombres et des tétons ronds et dressés.
- Tu aimes ? Je suis désolée, je ne suis qu’une femme de quarante se…
Je mets un doigt sur sa bouche avant qu’elle ne puisse finir.
- Chuuut. Un gentleman ne doit pas savoir l’âge de la femme avec qui il est. Et puis, j’ai vu des gamines d’une vingtaine d’années qui pleureraient de jalousie en voyant ces joyaux. Ils sont magnifiques.
J’approche ma bouche d’un sein et commence à agacer le mamelon. La réponse est immédiate, il durcit, devient arrogant et Michelle bascule la tête en arrière et exhale un soupir profond – Aaaaahhhhh …
Pas question de faire un jaloux. Je passe sur l’autre globe et lui applique le même traitement. Et même cause, même effets.
De mon côté, mon érection est revenue et la pression se fait importante dans le jean.
Michelle a dû le sentir, car elle quitte sa position à califourchon, défait ma ceinture, descend le zip puis le pantalon. Mon sexe jaillit comiquement de mon slip mais celui-ci est prestement descendu par Michelle.
- Dis-donc ! … Je t’en fait de l’effet !
Elle s’agenouille au pied du canapé, décalotte le gland avec sa main, puis approche sa bouche doucement. Elle commence par lécher le gland, très lentement, insistant sur le frein. Je ne peux m’empêcher de pousser un soupir de plaisir. Puis elle ouvre la bouche et commence à me sucer. Je sens sa bouche chaude aller et venir. De temps à autre elle sort mon dard de sa bouche et le lèche avec application, comme si elle léchait une glace. Puis elle descend un peu plus et me lèche les couilles. Je suis content de m’être fait une épilation intégrale avant de sortir. Les sensations sont exquises et je ne sais combien de temps je pourrais me retenir. Ma dernière relation sexuelle remonte à quelque mois et la masturbation n’est qu’un piètre substitut.
Michelle se relève et je respire un peu. Elle dégrafe son jean et l’enlève. En dessous, elle porte un petit string ficelle noir qu’elle descend aussi. Je vois un petit triangle de fins poils noirs coupés court. Humm, ça doit être sa couleur naturelle finalement. Le sexe en lui-même est glabre. Elle a dû aussi se faire une épilation récemment. Je ne peux qu’approuver. La fente est discrète et les petites lèvres ne sont pas visibles. Là, par contre, je peux voir des traces de maillots. Elle n’a pas osé le bronzage intégral.
- Alors, tu en penses quoi ? Toujours envie de moi ?
- Plus que jamais ! Tu es vraiment magnifique.
- Bien ! De toute façon tu n’as pas le choix. Vu l’état dans lequel tu m’as mis, si tu me disais non maintenant, je crois que je trouverais la force te violer ! me dit-elle en riant.
Ma main s’est approchée de sa minette et je découvre qu’elle trempe abondamment. Mes doigts excitent ses lèvres, remontent vers le clitoris. Je trouve le petit bouton, bien caché dans son écrin. Mon doigt commence à cercler autour puis le titille lentement. Son corps s’arque et elle exhale un râle profond.
- Rhaaaa … Ouuuuuuiiii … Comme çaaaaa … oooohhhhh … Tu vas me faire jouir … Ne t’arrêtes surtout pas … Aahhhhh …
Elle crache dans sa main, saisit ma pine et l’astique doucement. Je ferme les yeux et à mon tour commence à râler de plaisir.
Je continue de la masturber lentement, insistant sur le clitoris. Soudain, je sens le corps de Michelle être saisi de spasmes et un très léger flot de liquide chaud trempe ma main. Elle jouit, murmurant des mots sans aucun sens. Toute à son plaisir, sa main s’est arrêtée sur ma pine et c’est tant mieux.
Un baiser me fait rouvrir les yeux.
- Merci. C’était bon. À mon tour maintenant …
Elle redescend du canapé, revient à califourchon en me faisant face. Sa main saisit ma pine qu’elle guide vers l’entrée de sa minette. Elle s’empale lentement, en poussant de petits cris à chacune de ses poussées. J’ai peur de lui faire mal et j’essaye de remonter ses fesses. Pour toute récompense, je reçois une tape sur les mains.
- Laisse-moi faire, me dit-elle.
Changeant de tactique, elle s’empale brutalement en poussant un grand cri. J’espère que la maison est bien insonorisée ou que les voisins ne sont pas là. Puis elle commence à aller et venir doucement. Cette fois ce sont de véritables gémissements de plaisir qui montent. Je me sens bien. Ma queue coulisse à merveille dans sa chatte abondamment lubrifiée. Mes mains se saisissent de ses fesses et accompagnent le mouvement. Elle change de temps en temps de position, essayant de trouver l’angle qui lui apportera le plus de sensations.
Elle se dégage, se remets à genoux et recommence à sucer ma queue trempée de sa mouille. Puis elle se relève, remonte à califourchon mais en me tournant le dos. Je suis assis avec les fesses sur l’angle du canapé. Heureusement celui-ci est confortable. Elle reprend ma bite et se ré-empale dessus. Je lui malaxe doucement les seins, puis une de mes mains descend et vient exacerber le clitoris. Les gémissements reprennent. Sa chatte va et vient sur ma pine dure comme du béton. Bien que le salon soit un peu frais, nous sommes tous les deux couverts de sueur. Nos gémissements couvrent presque la musique.
Le rythme de ses vas-et-viens s’accélère. Mes gémissements se transforment peu à peu en cris de plaisir et plus je crie, plus elle accélère. Finalement je n’en peux plus et la jouissance arrive, brutale, presque douloureuse. Je déverse en elle de gros bouillons de sperme. Je suis prêt à parier que cela a duré pendant plus d’une minute. Mes souvenirs sont un peu confus, il y avait tellement de temps que cela ne m’était pas arrivé. Je reste en elle pendant un certain temps. Mon érection diminue peu à peu. Michelle m’adresse alors la parole en riant.
- Tu sais, je crois que nous sommes allés un peu vite en besogne. Je n’ai rien prévu pour la quantité de sperme dont tu viens de me gratifier.
Je me mets à rire à mon tour.
- Si il n’y a que cela qui t'inquiètes, ce n’est pas grave.
Je parviens tant bien que mal à me saisir de mon jean qui trainait par terre et sort triomphalement le paquet de mouchoirs en papier que j’ai toujours avec moi.
- Tadaaaaa …
- Hummm, un homme prévoyant. Décidément tu m’étonnes. Tu as toujours cela pour ce type de situation ?
- Disons, pas nécessairement pour ce genre-là. Et je n’avais pas vraiment programmé de trouver une jolie femme ce soir, je te rappelle. Mais il est toujours utile d’avoir un paquet en cas d’urgences, sexuelle ou pas …
Je passerais sur les détails sordides, mais peu de temps après Michelle me dit :
- Ne crois pas que tu t’en tireras aussi facilement. Je n’en ai pas fini avec toi. Allez ! Direction la douche, la nuit ne fait que commencer.
Je la regarde, l’admire plutôt.
Effectivement la nuit ne fait que commencer et elle promet d’être intéressante, fatigante mais intéressante.
Je la suis. Elle se dirige vers l’escalier et commence à monter. Ses hanches swinguent harmonieusement.
- Dommage que l’escalier soit si court. La vue est admirable d’ici, dis-je en riant
- Mais veux-tu bien te taire, espèce de cochon voyeur ?, répond-t’elle en riant, tout en se penchant pour me faire admirer son postérieur.
Nous arrivons dans une assez grande salle de bains. La température y est agréablement chaude. Dans un coin il y a une de ces larges cabines de douche sophistiquées avec des jets latéraux pour les massages. Elle est suffisamment grande pour que 2 personnes s’y tiennent à l’aise. Michelle ouvre un placard et sort 2 draps de bain et les pose sur un radiateur chauffe-serviette. Puis elle prend un chapeau de bain et arrange pour que tous ses cheveux soient couverts. Je ris et elle prend un air faussement offusqué.
- Il n’y a rien de risible avec ça ! As-tu simplement idée du temps qu’il faut à mes cheveux pour sécher ? Et je ne veux pas mouiller mon oreiller, du moins pas comme cela.
Nous entrons dans la cabine. Je remarque que Michelle utilise le même gel douche parfumé à la vanille que moi. Elle règle la température de l’eau et ouvre le circuit principal. L’eau est chaude, sans l’être trop. Parfait. Elle ouvre la bouteille de gel douche, en prend une quantité importante et commence à me savonner le torse, puis les bras et enfin le dos. Elle en profile pour se coller à moi et commence à me mordiller les tétons tout en massant les fesses.
Puis elle s’écarte légèrement et sa bouche me réclame un baiser, désir que je m’empresse d’assouvir. Je prends à mon tour du gel et la savonne, insistant sur la poitrine sans toutefois toucher les tétons. Surtout ne pas brusquer les choses. L’eau chaude dénoue mes muscles peu à peu. La vapeur commence à s’accumuler dans la cabine et l’odeur de vanille est lourde, sensuelle et excitante. Michelle saisit un flacon de gel intime et se savonne la minette. Puis elle en prend une seconde noisette et me lave la pine.
- Voilà. Elles sont quasiment prêtes. Te sens-tu capable de me faire mouiller encore ? Moi, je sais que je saurais te faire bander, me dit-elle d’un ton espiègle
- C’est ce que l’on verra tout de suite.
Je m’accroupis, lui fais écarter doucement les jambes et j’approche ma bouche de sa fente. Ses petites lèvres sont réellement petites et complètement cachée par la vulve. Ma langue en parcours l’extérieur, puis passe à l’intérieur. Je sens la chaleur y affluer et Michelle pousse de petits soupirs. Puis je remonte vers le clitoris, en masse le capuchon puis vais titiller très doucement le bouton. Les soupirs se font plus profonds, plus rauques.
- Aahhhhh … Tu me rends folle …
Ma bouche couvre complètement sa minette. Ma langue s’agite, essayant de trouver le rythme qui lui procure le plus de sensations. Rapidement, je sens un gout salé sur ma langue. Elle mouille, au moins une partie du contrat est remplie ! Je continue ainsi pendant plusieurs minutes. Ses soupirs sont de plus en plus sonores. Soudain, elle prend ma tête et s’écarte doucement.
- A moi maintenant.
Elle s’agenouille, saisit ma pine dans sa main et commence à me branler doucement, en me regardant droit dans les yeux. L’érection n’est pas longue à venir. Quand ma pine est presque rigide, Michelle la prend goulument dans la bouche. Sa langue roule autour de mon gland, s’attardant longuement sur le frein. Puis elle avale ma pine jusqu’à la gorge et remonte doucement. Elle répète ceci plusieurs fois de suite. Je bande maintenant comme un âne mais il m’est plus facile de me contrôler. Michelle pose sa main sur mon dard et me branle tout en léchant le gland. Sa langue est délicieusement agile. Puis elle descend, me gobe les couilles une par une et reviens me lécher le dard partant de la base des couilles jusqu’en haut.
Puis elle se relève, me tourne le dos et se penche en avant. Elle écarte les jambes. Je peux voir sa minette s’entre-ouvrir. Elle s’est complètement plié en deux.
- Vas-y. Prends-moi. Je n’en peux plus …
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je prends mon sexe, le frotte plusieurs fois sur sa chatte afin de le lubrifier et la pénètre doucement. Ma pine s’enfonce en elle comme un couteau dans une motte de beurre chaude. Elle commence à gémir. Mes mains caressent ses fesses, ses hanches et ses cuisses. Je vais et viens lentement, retirant presque totalement la tige puis m’enfonçant de nouveau jusqu’à la garde. Michelle commence à faire osciller ses hanches de gauche à droite.
- Ooohhhhh … Ouuuuiiiii … doucement mais à fond comme ça … Oooohhhhh … Aaahhhh … Tu ne peux pas savoir comme tu me fais du bien …
Les oscillations s’arrêtent et elle commence à se synchroniser avec mon rythme puis elle accélère peu à peu. Mes couilles claquent contre son clitoris à chaque fois. Son sexe est relativement étroit et ma pine le remplit bien. Elle passe une main entre ses jambes et vient caresser puis masser son clitoris. Puis elle se dégage, se redresse et soulève sa jambe droite. Je la pénètre dans cette position. La pénétration est moins profonde mais l’angle est différent. J’accélère le rythme et je la sens se tendre, sa respiration se fait plus rapide. Sa main repart vers son bouton qu’elle masse furieusement. Je change un peu le rythme, me retirant lentement et m’enfonçant beaucoup plus rapidement sans être sauvage. Chacune de mes poussées lui arrache un cri de plaisir.
- Rhaaahhhh … Tu as trouvé le bon rythme. Ne t’arrête pas … Ouuuuuuuiiiiiiii …
Je continue donc et je sens monter ma jouissance. Michelle râle comme une folle. Ses doigts s’enfoncent dans mon dos. J’espère simplement qu’elle ne me lacèrera pas. Je jouis finalement, ma bite crache de longues saccades et Michelle se raidit. La sensation m’est bien plus agréable que la première fois.
Michelle m’enlace, emprisonnant ma bite dans sa chatte.
- Tu sais quoi ? Il y avait longtemps que je n’avais baisé comme cela. Tu me rends folle.
Nous nous séparons à regret, finissons la douche et Michelle me guide vers sa chambre. Celle-ci parait petite mais c’est probablement dû à la présence d’un lit king size. La décoration est similaire au reste de la maison, toujours cette variation dans les tons ocre. Le lit est couvert d’une épaisse couette et de multiples coussins.
- J’espère que tu ne vois pas d’inconvénient à prendre le côté gauche ? J’ai du mal à dormir si je ne suis pas à droite … bien que je n’envisage pas de dormir tout de suite !
- Pas de problème. Et qu’as-tu l’intention de faire dans l’immédiat ?
- Ohhh, je ne sais pas. On peut jouer à Scrabble si tu veux ?
- Oh, je dis … Il va falloir que tu sois un peu plus imaginative.
- On verra … mais il faut que je te prévienne. Je n’ai qu’un seul tabou. Enfin j’en ai plus d’un mais un seul me semble être applicable en ce moment.
- Vas-y. Je n’ai jamais forcé une femme à faire ce qu’elle ne voulait pas. Je pars du principe que Non veut dire Non.
- Mais, tu es une perle ! Elles ne savent pas ce qu’elles perdent ! Bien, la seule chose d’interdite est mon petit trou. Un seul homme y a jamais eu accès et cela restera comme cela.
- Comme tu veux. De toute façon je ne t’aurai pas demandé cela aujourd’hui. J’aurais attendu de te connaître plus.
Michelle laisse tomber sa serviette et se glisse, nue comme un ver, dans son lit et tapote la place à sa gauche.
- Allez, viens à côté de moi et imagine que je suis encore une belle femme.
- Ne dis pas de bêtise. Je n’ai pas besoin de l’imaginer. Tu ES une belle femme. Et toute personne qui te dit le contraire est un gougeât.
Je m’allonge près d’elle et elle vient se lover tout contre, ses seins touchant mon bras. Puis elle le soulève s’approche encore plus et vient poser sa tête sur mon torse. Ses mains me caressent de partout.
Je crois bien que nous avons discuté pendant une bonne heure et demi, faisant réellement connaissance l’un de l’autre. Nous avons plus de points communs que je ne l’aurais pensé. Je n’ai pas arrêté de la caresser et de l’embrasser.
Finalement je sens sa main s’aventurer sur ma pine et commercer à la branler doucement. Son visage se tourne vers le mien et ses lèvres se collent aux miennes. Son autre main vient sur mon torse, commence par le caresser puis s’en va pincer et tourmenter un peu mes tétons. Ils se dressent et la sensation est très agréable. Elle sait réellement doser la pression. L’érection est plus longue à venir, mais je suis excité.
Michelle rejette la couette, me chevauche et guide ma pine dans son fourreau étroit qui était déjà bien lubrifié. Puis elle commence à aller et venir, lentement tout d’abord puis accélérant. Ses mains ont pris appui sur mon torse. J’ai une superbe vue sur ses seins aux pointes complètement érigées. Je vais les caresser, puis pince les mamelons. Je les sens durcir. Michelle gémit doucement au rythme de ses hanches. Je vois son bassin onduler avec un effet des plus érotiques. De temps à autre, elle sert les fesses, ma pine devenant réellement à l’étroit dans ce cas.
Après de longues minutes, elle se dégage, se tourne et se prépare pour une amazone inversée. Elle fourre ma queue dans sa chatte, prends appuis sur mes genoux et fais coulisser sa chatte sur mon engin. J’ai une vue plongeante sur sa chatte rasée et ma queue est luisante de son jus. Ses gémissements sont continus, juste un peu plus sonore quand elle s’enfonce. Sa chatte va et vient à un rythme assez rapide et mes sensations sont délicieusement bonnes. Je ne crois pas que j’aurais pu résister longtemps si elle avait choisi cette position lors de nos 2 premiers rapports.
Je la sens qui se fatigue. Je me redresse un peu, attrape ses seins à pleine paume et l’attire doucement sur mon torse. Elle soulève le bassin afin de me laisser faire le travail. Les gémissements sont maintenant assez rauques. N’étant pas un grand fan de cette position, je bascule sur le coté et nous place en cuillère. Ceci me laisse les mains libres pour la caresser. Je passe de ses seins, à son ventre plat puis descend sur sa fente, trouve son bouton. Un simple toucher sur celui-ci la fait s’arquer et un grand frisson de plaisir la saisit. Je vais et vient en elle, profondément, alternant séquences rapides et lentes, suivant les indications de son corps.
Je me dégage, relève son ventre et la mets à quatre pattes. Elle pose ses coudes sur le drap et relève sa croupe afin de me laisser voir un sexe bien ouvert, trempé de mouille. Je la pénètre doucement, commence mes allers-retours puis accélère le rythme. Michelle saisit un oreiller et mords dedans. Elle gémit tout en secouant la tête. Je sens son sexe se serrer autour du mien. Je sens aussi que je ne pourrais plus tenir très longtemps. Je la sens tout d’un coup s’arquer, elle pousse des cris stridents et je sens sa chatte pulser : elle jouit. Cela suffit aussi à déclencher ma jouissance. Ma pine libère les dernières gouttes de sperme que j’avais encore en longues saccades. Nous sommes tous les deux complètement luisant de sueur et surtout épuisés.
Je me retire et m’effondre sur le lit. Michelle se redresse, les yeux luisants et le visage rouge. Une trainée de sperme coule sur sa jambe. Elle s’approche de moi, me donne un long baiser.
- Ne dis rien surtout. Il ne faut pas gâcher ce moment magique.
Je ne peux qu’être d’accord avec elle.
Nous passons de longues minutes, silencieux, essayant de calmer nos battements de cœur.
- Je ne sais pas pour toi, mais demain j’ai un programme assez chargé et il faut avouer que tu m’as bien épuisée. Que dirais-tu d’un peu de sommeil réparateur.
- J’approuve et pour ma part de toute façon je crois que je ne serais plus bon à rien. Je suis vidé.
- Et bien, dans ce cas, bonne nuit.
Elle éteint sa lampe de chevet, me donne un long baiser, se blottit contre moi, et passe son bras sur mon torse. J’éteins la mienne et me relaxe. Peu de temps après j’entends sa respiration se faire plus régulière et plus lourde. Elle s’est endormie. Il ne faudra pas beaucoup de temps pour que j’en fasse pareil.
Je m’éveille le lendemain. Le soleil est déjà haut dans le ciel. Michelle vient de sortir du lit, nue. Elle est toute aussi belle que la veille, même avec les cheveux ébouriffés et de petits cernes de sommeil sous les yeux.
- Oh, je suis désolé. Je voulais te laisser dormir. Moi je dois me préparer, je dois être dans moins d’une heure chez ma sœur et il y a au moins 20 minutes de trajet.
- Quelle heure est-il ? Whooaaa, 11 heures déjà ?
- Nous avons tout juste le temps de prendre une douche rapide. Ensuite je t’appellerai un taxi.
Nous prenons notre douche ensemble mais sagement. Avant d’entrer nous nous sommes regardés, et sans aucune parole échangées nous nous sommes compris : il sera difficile sinon impossible d’égaler ce qui s’est passé hier. Alors, autant ne pas gâcher cela avec un rapport rapide et peu satisfaisant.
Pendant que je m’habille et remets mes bottes, Michelle appelle un taxi. En l’attendant nous nous échangeons nos numéros de portables. Je n’y crois pas trop mais sait-on jamais ?
Le taxi est là. Michelle m’embrasse longuement. Ses yeux sont mouillés.
- Au revoir Michelle. Portes-toi bien et amuses-toi chez ta sœur.
- Au revoir Éric. Pense à moi de temps à autres.
- Promis
Je monte dans le taxi, lui fais signe de la main. Je la vois rentrer chez elle alors que le taxi s’éloigne.
Deux jours se sont écoulés. Aucune nouvelle de Michelle. J’ai repris le travail. Mes collègues me demandent si j’ai passé une bonne fin de soirée. Je réponds que oui sans épiloguer plus.
16h30, je rentre du travail, allume mon ordinateur, regarde mon courrier. Bref, la routine se réinstalle. Mon téléphone portable sonne. Je regarde le numéro : Michelle ! Je décroche.
- Allo.
- Allo Éric, c’est Michelle. Je t’appelle de l’aéroport. Je repars dans quelques instants. Je voulais juste te remercier de m’avoir fait me rappeler ce qu’être une femme voulait dire.
- Michelle, c’est moi qui devrais te remercier. Ce n’est pas tout le temps que je rencontre une femme comme toi.
- Tu ne peux pas comprendre. Tu es le premier qui m’a regardé comme une femme. Les rares hommes que j’ai eu depuis 4 ans ne m’ont jamais vu que comme un vagin sur pattes.
- Je suis flatté et j’espère sincèrement que tu rencontreras un autre qui t’aimeras comme tu le mérite.
- Désolé, je dois te quitter. Mon vol est annoncé. Ne m’attends pas, je serais de plus en plus rarement là-bas. Trouve-toi une petite femme qui t’apprécieras. Ça ne devrait pas être trop difficile. Un seul conseil : méfie-toi des très jeunes mères célibataires. Adieu, je t’aime
- Adieu Michelle, moi aussi.
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Histoire de Antinea92

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