Camille me rend fou !

Un ami d'enfance m'a invité, avec notre pote Adrien, à passer une partie de l'Eté chez lui, dans la maison secondaire de ses parents. Nous nous connaissons tous les trois depuis l'école primaire, et on ne s'est jamais quitté.
Les parents d'Alex passent exceptionnellement tout le mois d'août en Bretagne, donc il en a profité pour nous "réserver" la maison. Sa grande sœur Camille va venir y passer trois semaines avec son mari.
Les premiers jours nous sommes seuls tous les trois, on profite de la grande maison avec piscine, à deux pas d'une petite plage très peu fréquentée. La vie de rêve pour des jeunes adultes d'à peine 20 ans !
Puis un jour arrive Camille et son homme. Ah Camille... que de fantasmes j'ai nourris à son égard... Une belle plante, plutôt grande, les cheveux longs châtains bruns, les yeux marrons, un sourire à tomber. Et un corps avec des rondeurs qui ne m'ont jamais laissé indifférent. Bien en chair, une poitrine pas énorme, mais totalement désirable. Pas besoin de préciser que je fantasme sur elle depuis que je suis en âge de fantasmer. Elle a 28 ans, mariée et sans enfant.
J'aurais pu être frustré par sa présence, car elle va sans doute faire office de parent pendant les vacances, mais je suis plutôt ravi de l'avoir sous les yeux quelques jours, surtout en cette saison !
Je la connais bien Camille, un tempérament de feu, rigolote et joueuse mais elle peut vite changer d'attitude et se transformer en furie autoritaire si le besoin s'en fait sentir. Une vraie grande sœur pour nous, quoi.
De la piscine sur la terrasse surélevée où nous étions, nous les voyons arriver en voiture et se garer. Je regarde Camille descendre. Elle porte une petite robe salopette en jean, laissant voir beaucoup de son joli corps dodu et déjà bronzé. Elle porte un débardeur en dessous, mais d'ici on a l'impression qu'elle est complètement à poil sous la robe.
"Mmm toujours aussi bonne, Camille !" me dis-je.
Elle monte l'escalier de la terrasse pour venir nous dire bonjour, pendant que son homme décharge la voiture. Elle nous fait la bise en nous disant qu'elle est contente de revoir "ses petits".
Je ne sais pas comment j'ai réussi à ne pas bander en ayant son corps moulé dans sa robe salopette sous mes yeux, et en sentant la peau douce de ses joues sur les miennes. Elle est luisante de transpiration, et ça va vite m'exciter si je ne me dérobe pas rapidement. Heureusement on repart vite dans la piscine et Camille rentre dans la maison.
On passe les jours suivants à alterner piscine et plage, puis bien sûr le soir apéro et parfois sortie en boite dans la ville d'à côté. Avec pour moi toujours l'espoir de voir Camille se joindre à nous. Elle passe le plus clair de son temps au bord de la piscine avec son homme, et au village où ils mangent parfois en amoureux.
Je ne me lasse pas de la matter, et chaque jour sous la douche je me fais plaisir en pensant à elle... je me sens tellement frustré de l'avoir sous les yeux si souvent !
Si frustré que j'en viens même à avoir un comportement de voyeur : pendant qu'Alex et Adrien font la sieste sur des transats, et que Camille et son mec sont partis à la plage, je m'introduis dans leur chambre au demi sous-sol. Je ne sais pas ce que je suis venu chercher, mais rien que le fait d'être dans sa chambre m'excite. Je ne tarde pas à sortir mon sexe et à me branler. Je regarde dans les placards et tiroirs, regardant ses vêtements, ses maillots, ses dessous. Je tombe sur le tiroir de ses petites culottes, en sort quelques unes et les frotte contre mon sexe. Mmm quel délice ! Tiens, qu'est-ce que c'est que ça ? Mmm un porte jarretelle ! Qu'est-ce que tu fais avec ça ici, ma coquine ? J'ouvre en grand un autre tiroir, le porte jarretelle enroulé autour de ma queue et me branlant avec. Caché au fond sous une pile de vêtements, je découvre un gode de belle taille. Oh la salope... je le prend en main, actionne l'interrupteur, et le gode se met à tourner sur lui même en vibrant. Je l'arrête, et le renifle en espérant sentir l'odeur de sa chatte. Je continue de me branler avec son porte jarretelle sur le sexe, et je me m'aperçois d'un coup que du liquide a déjà coulé de ma queue sur le tissu. Pile à ce moment là j'entends une voiture arriver par la fenêtre ouverte. Ni une ni deux, j'essuie rapidement le porte jarretelle sur mon short, et range tout ce que j'avais sorti, le cœur palpitant.
Je suis à peine remonté au rez-de-chaussée que la porte s'ouvre sur Camille et son mec !
Je me faufile rapidement dans ma chambre, de peur qu'ils voient ma queue toujours tendue sous mon short. Le temps de débander, je retourne sur la terrasse. Cette petite espacade m'a complètement retourné, ça doit être une bonne cochonne la Camille ! Mais ça m'a donné envie d'en voir plus...
Alex propose d'aller prendre un verre le soir, et pourquoi pas d'enchainer par une sortie en boite.
Nous partons en vélo, comme on a l'habitude de faire quand on prévoit de boire un peu. Après quelques verres, Alex et Adrien sont partants pour la boite. Prétextant un coup de chaud dû au soleil de la journée, ce qui n'est qu'à moitié faux, je leur dis que je préfère rentrer. Je rentre donc seul, sur les coups de 23h. La voiture de Camille est garée devant la maison. Tout est éteint à l'intérieur. Déjà couchés ? Me dis-je. Je vais pour ranger le vélo sur le côté de la maison, et j'aperçois un rai de lumière sortir plus loin du mur. C'est la fenêtre soupirail de leur chambre. Essayant de ne pas faire de bruit, je me glisse entre le mur et la haie. Plus j'avance, plus l'espace se rétrécit. Je me sens comme un vulgaire voyeur, mais je ne peux pas résister. Arrivé à la fenêtre, je me rends compte qu'elle est ouverte. Je reste plaqué contre le mur, hésitant à faire un pas de plus. J'entends comme des bruits de bouche et des petits gémissements. Putain j'y crois pas, quel coup de bol ! Mon sexe commence à durcir. Gonflé d'adrénaline, je risque un coup d'œil du coin de la fenêtre, et que vois-je !
Camille en petite culotte noire, allongée sur le côté, me montrant son magnifique gros cul, en pleine fellation. Son mec est sur le dos, en tête bêche, un bras passé entre les cuisses de Camille et lui caressant les jambes. Elle se redresse à quatre pattes, toujours la queue en bouche, et son compagnon commence à la caresser et la doigter en écartant le tissu de la culotte. Les gémissements de Camille me rendent fou, je sors ma queue et commence et à me branler. Ils basculent en 69, mais je ne vois pas le visage de Camille, juste son gros cul avec la tête de son mec entre les fesses, la culotte enroulée sur elle-même, de travers sur son beau derriere..
Putain comment elle bouge la salope, une grosse gourmande mmm...
Elle relève la tête en gemissant "mmm putain c'est trop bon", se met à branler son mec en tournant la tête vers lui, remuant son cul sous les coups de langue. Elle lui sourit. Tellement envie de la filmer cette pute, mais j'ai trop peur de me griller avec la lumière du téléphone...
Il arrête de la lécher et lui dit "vas y doucement, je vais pas tenir". Elle répond "ah non, me lâche pas. J'ai envie de te sentir en moi".
Elle s'écarte de lui, reste à quatre pattes sur le lit, lui offrant la vue de ses fesses, le regarde et lui dit "Tu veux venir ?".
Avec juste un petit grognement de plaisir, il se met sur les genoux et vient se coller à elle. On dirait qu'il frotte jusque sa queue sur son vagin.
Camille a glissé une main entre ses jambes, je crois qu'elle se caresse le clito, et peut-être aussi la queue de son mec.
"Tu la veux ?" Lui demande t'il doucement.
"Mmm un peu que je la veux. Envie que tu me prennes, oui..." répond-elle.
Il la pénetre ensuite, et je continue de me branler en regardant Camille bouger son cul tout en prenant des coups de queue, jusqu'à temps qu'elle jouisse en mordillant l'oreiller. J'entends ses petits cris de jouissance atténués par son baillon de fortune. Il doit jouir juste à la fin de son orgasme, car il pousse un grognement et son corps se raidit. Il gicle en elle ! Quelques secondes de pause, puis un second spasme, et Camille rigole en disant "et ben dis donc, t'es en forme". Mmm il la remplit, le salaud...
Ils s'allongent ensuite côte à côte, m'obligeant à reculer mon visage de la vitre, par peur d'être aperçu. Puis j'entends Camille dire "oups, faut que j'y aille, ça coule". J'ai juste le temps de l'apercevoir enfiler une nuisette et sortir de la chambre. Je range ma queue, essaye de reprendre mes esprits, puis rentre dans la maison comme si de rien n'était. Je vais me servir un verre d'eau dans la cuisine. Et là arrive Camille, moulée dans sa nuisette blanche, les yeux brillants, l'air ravi. Elle transpire comme si elle avait couru un marathon.
"Ah t'es là ?" Me dit-elle.
"Oui, je suis rentré, la boite me disait rien, je suis claqué. Pas sortis, vous ?"
"Non, on est resté tranquille, mais on sortira peut-être avec vous la prochaine fois. Il fait chaud ce soir..."
Elle ouvre la porte du frigo, se baisse pour sortir la bouteille d'eau. Mmm putain comment ne pas bander sur ce gros cul ? Et ses belles jambes... son corps me rend fou !
"Et ça fait longtemps que t'es rentré ?" Demande-t'elle en buvant son verre d'eau.
"Oh non, à peine 5mn".
"Ah je t'ai pas entendu."
"C'est parce que je suis discret."
"C'est sur que vous êtes moins discrets quand vous êtes tous les trois !" Me lance t'elle avec un sourire taquin. "Bon allez, je vais me coucher moi, sois sage et m'attends pas pour te border" ajoute t'elle en rigolant.
Et là je sais pas ce qui me prend, je répond "Ah dommage", espérant à moitié qu'elle n'entende pas. Elle tourne la tête vers moi, avec un air surpris et amusé à la fois : "Allez bonne nuit" .
Je la regarde s'éloigner, la queue encore tendue pour elle. Cette nuit, seul dans ma chambre, je me fais jouir comme je n'ai jamais joui en repensant à ce que j'ai vu dans sa chambre. Et dire que ce n'est que le début de son séjour avec nous !

À suivre...