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Chacha et les playmates partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/07/2024

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CHA-CHA ET LES PLAYMATES partie 1 C'est à la pré-adolescence que j'ai vraiment compris ce qu'était la sexualité, la force qu'elle pouvait avoir mais aussi son importance dans nos vies. Et sans doute que c'est en grande partie grâce à celui que tout le monde surnommait 'Chacha' mais qui s'appelait de son vrai patronyme Chasseigne. Il était employé comme ouvrier professionnel dans l'établissement où mon père travaillait, et je le connaissais depuis que j'étais tout petit. Il adorait les enfants, peut-être parce qu'il n'avait pas pu en avoir, et il avait toujours été d'une grande gentillesse avec moi. Je n'étais ni sourd ni aveugle, et j'ai bien entendu, très tôt, ce qu'on pouvait dire de lui. Qu'il était un homme à femmes. Il n'y avait d'ailleurs rien d'étonnant à cela. Car il était vraiment beau garçon. Grand, musclé mais svelte, avec une belle gueule, et une fine moustache qui lui allait bien. Il habitait un appartement de fonction sur le même niveau que nous, et effectivement, s'il ne vivait avec personne, on le voyait très souvent avec des filles vraiment somptueuses. Je souviens encore de mon père disant à un collègue...'Je ne sais pas comment il fait Chasseigne, mais il sort avec des filles sublimes...' Et son interlocuteur avait rétorqué: 'Oui, mais ça ne dure pas.' Et c'était vrai que, si belles soient-elles, elles restaient deux trois mois avec lui pour disparaître, et être remplacées par une autre. Tout aussi belle. Au début de l'adolescence, ma libido a pris un sacré coup. Il y avait ce que j'avais vu avant mais pas compris et que, rétrospectivement, j'ai enfin compris, et ce que j'ai vu. Il n'était pas spécialement exhibitionniste, mais quand on a envie, c'est n'importe où, je me rendais souvent chez lui, et j'entrais sans frapper, c'était pour ainsi dire mon second papa, et de plus, il avait tendance à considérer que le bâtiment d'habitation était un terrain où on pouvait tout faire...Et il ne s'en privait pas... Quelques images...Quelques moments...Lui dans le couloir devant sa porte, les clefs à la main, et une superbe brune penchée sur lui pour une fellation, qui recueillait sa semence dans sa bouche. Du sperme, un trait blanc et crémeux avait coulé à la commissure de ses lèvres. Lui encore dans le couloir, prenant une autre fille magnifique, pliée en deux contre le mur, et la fouillant bien avec sa queue. La queue glissant entre ses lèvres. Rentrant et sortant. Quelque chose d'hypnotique. Quelque chose de plus classique, sans doute, chez lui, une fille installée sur lui, sur le divan, se faisant monter et descendre sur sa queue et jouissant comme lui jouissait. Elle avait sorti sa queue de son vagin au moment où il explosait, et sa semence, blanche, crémeuse, avait arrosé son ventre, montant jusqu'à son visage. Je devais avoir seize ans, on bricolait ensemble, quand il m'a dit : — Tu as une copine? — Pas pour l'instant, non. Je n'y pense pas. — C'est pas toujours évident les filles, tu sais... Je n'ai pas pu m'empêcher de lui répondre: — C'est toi qui dis ça...Alors que tu as les plus belles...J'ai du mal à le croire... — Je n'ai pas toujours été comme ça. Mais j'ai trouvé des solutions...J'ai eu un parcours particulier. Toi aussi tu suivras le tien...Je reste convaincu qu'il ne sera pas très différent du mien. Des paroles que je n'ai pas oubliées. C'était quelqu'un que j'écoutais toujours, dont les paroles avaient du poids et de la puissance. Les...phénomènes me semble le mot juste, se sont manifestés quelques jours avant mes dix-neuf ans. J'étais en fac, un jeune adulte, pas sûr de lui, sans relation avec une fille...Timidité, manque de confiance en moi...J'avais pourtant connu, comme tout un chacun, des relations intimes avec des filles, mais ça n'avait jamais été très loin, ni duré très longtemps. Et j'étais toujours très ami avec Chacha. Qui sortait toujours avec des filles magnifiques. Ça s'est passé un dimanche, en début d'après-midi. Généralement, après le repas dominical, je lui rendais visite, et on passait une partie de cet après-midi ensemble, qu'on aille se balader, au cinéma, qu'on joue aux cartes ou qu'on regarde la télévision. Sa porte, comme souvent, n'était pas fermée. Je me suis glissé à l'intérieur. L'appartement n'était pas comme d'habitude. Il y avait quelque chose qui ne collait pas. L'appartement, habituellement lumineux, était plongé dans la pénombre. Et il semblait n'y avoir personne. Je me suis avancé dans le long couloir qui le traversait. Les pièces étaient vides. Mais tapissées de posters. Surpris, curieux, décontenancé, je me suis glissé dans l'une d'entre elles. Il s'agissait de ces posters dépliants, sur trois pages, qui paraissaient dans les magazine dits pudiquement 'de charme'. Dessus, des filles magnifiques, qui s'offraient, aux trois-quarts ou totalement nues, dans des positions qui permettaient de bien profiter de leurs charmes, dans ce qu'ils avaient de plus intimes. Elles avaient toutes un profil, et je me suis dit qu'elles ressemblaient bien aux filles avec qui il sortait. Je ne me trompais pas, je l'ai compris dans les minutes qui ont suivi. Il y a eu un moment de déclic, de basculement, quand je me suis arrêté devant le poster d'une fille blonde, avec des cheveux coupés courts, entièrement nue, assise sur un bord de fenêtre, avec un physique sans défaut, poitrine lourde, taille fine, les jambes entrouvertes sur son sexe orné d'une toison blonde. Il y avait quelque chose qui me plaisait en elle, et qui ne tenait pas tant à son corps, toutes les filles qui posaient ainsi avaient des corps impeccables, mais plutôt à ce qu'il y avait dans son regard, une ironie, une distance qui n'existait pas dans le regard des autres filles. Ca s'est passé quelques secondes plus tard. Je continuais d'explorer les murs, troublé bien sûr par la beauté de ces filles. J'ai senti une présence derrière moi. Je me suis retourné. Devant moi il y avait une jeune femme. Magnifique. Enveloppée dans une robe noire simple, mais collante. Et cette jeune femme était celle que j'avais admiré trois minutes plus tôt. La blonde avec de l'ironie dans le regard. Ca a été assez curieux, parce que je n'ai pas été surpris. Je crois qu'en fait, à partir du moment où j'avais vu ces murs entiers de photos alors que l'appartement n'avait pas cet aspect d'habitude, j'ai compris que j'avais basculé sur autre chose. Où rien n'était surprenant. Mu par une envie, j'ai attrapé l'ourlet de la robe, et j'ai tiré ladite robe vers le haut, révélant sa nudité. Je crois bien que je voulais, tout simplement, vérifier si sa nudité était en conformité avec la photo. Non, ça collait parfaitement. Une silhouette de rêve. — Tu peux toucher où tu veux, y a aucun souci. Au cas où j'aurais hésité, elle a attrapé ma main et elle l'a posée sur ses seins. Ils étaient pleins, charnus, elle avait une peau brûlante. J'étais bloqué, je me suis débloqué immédiatement...Puisqu'elle m'y autorisait...Je me suis aventuré partout. Explorant, découvrant, restant un moment sur place pour une caresse...Parcourant les pleins, les creux...La découverte d'un corps de femme...Elle se laissait faire, totalement offerte...Elle semblait y prendre du plaisir. Il est arrivé un moment, j'étais sur les lèvres de son sexe, et je sentais à la fois qu'elle se dilatait, et qu'elle coulait sur ma main, elle a tendu la main vers moi. C'est quand elle a été en contact avec ma queue que je me suis rendu compte que j'étais en pleine érection. Elle a mis ma queue à nu, et elle l'a masturbée doucement. C'était ce qui avait composé ma sexualité pendant longtemps: me faire masturber par des filles qui n'avaient pas envie d'aller plus loin. Là, je sentais bien que ça allait être différent. Pas de blocage, pas de tabou. Surtout, je l'ai compris dans les minutes qui suivaient, pas non plus cette maladresse, que j'avais pourtant bien aimée de mes partenaires qui étaient peu aguerries et qui, connaissaient peu à tout ce qui avait trait au sexe. Elle au contraire, elle savait, et il y a eu, dès les premières secondes, cette heureuse constatation de l'habileté d'une jeune femme, et la découverte de caresses possibles, que je n'avais même pas imaginées. Je n'avais pas pensé par exemple qu'une fellation ce pouvait être une langue qui venait tourner sur une queue, qui caressait bien et longtemps le gland, qui descendait sur des couilles toutes gonflées, mordillant celles-ci... J'étais en transes tellement c'était bon. Elle m'avait enfin pris dans sa bouche et avait bougé sur moi. La dernière petite copine qui avait fait glisser ma queue dans sa bouche l'avait recrachée immédiatement, en gémissant 'Oh je peux pas, c'est trop gros!' Elle au contraire, une question d'habitude, a su caler ma queue dans sa bouche sans que ça la gêne, et me caresser tout en me gardant dans sa cavité buccale, merveilleusement chaude et humide. Je voulais tenir, et tenir longtemps, mais j'ai fini par exploser. Elle m'a gardé en elle, buvant ma semence. — Viens. Regarde, tu es tout encore tout dur, même si tu as joui. Tu vas me pénétrer. On a glissé dans une autre pièce. Sombre, éclairée par une lumière artificielle, mais avec au milieu un grand lit, couvert par des draps colorés. Sans transition, elle s'est faite glisser sur le lit, s'offrant à moi à quatre pattes, ses parties intimes projetées vers moi et offertes. Il aurait fallu être de marbre pour ne pas être troublé par cette position. Ca a d'ailleurs bien été mon cas. J'avais craché mon sperme dans sa bouche, mais j'étais encore tout raide. C'était comme si tout le manque et tout le désir qui s'étaient accumulés au fil de ces années de frustration remontait en moi. J'avais le sentiment que j'aurais pu rester ainsi pendant des mois, dur, à fouiller un corps de femme. Je ne savais pas ce qu'elle était vraiment...Créature issue d'un monde parallèle, dans lequel je me trouvais, j'en étais convaincu, rêve, fantasme. En tout cas elle avait toutes les aptitudes d'une fille normale. Un sexe chaud, humide, ruisselant même, qui se dilatait sous mes yeux, me laissant voir un intérieur tout rose... Je me suis un peu surpris. Je n'avais pas d'expérience, d'habileté...Et pourtant, c'est venu tout seul. J'ai avancé vers elle, avec la nette intention de la pénétrer. Elle a tendu la main vers l'arrière, et elle a attrapé ma queue pour la faire rentrer en elle. Je me suis dit: 'Ca va pas le faire!' et puis finalement si, et j'ai glissé dans sa vulve, assailli immédiatement par des sensations fortes, celle qu'un homme peut ressentir quand un sexe féminin entoure sa vulve. Je me suis enfoncé aussi loin que je le pouvais, et mon gland est venu cogner contre son utérus. Ensuite, ca s'est développé tout seul, et en grande partie parce qu'elle était une partenaire avec laquelle on ne pouvait qu'être en harmonie. J'ai bougé en elle, doucement, plus rapidement, la sentant chaude et ruisselante autour de moi. Elle a fait quelque chose à quoi je ne m'attendais pas, quand j'arrivais au fond d'elle, resserrant les muscles de son vagin autour de ma queue, et me caressant ainsi, me faisant perdre toute autonomie, tout entier dans ce plaisir qui s'est prolongé jusqu'à l'explosion dans un orgasme d'une rare intensité. J'ai fermé les yeux un instant. Quand je les ai rouverts, l'appartement était tel que je l'avais toujours connu. Je me suis retourné. Chacha était devant moi, il rentrait. — Tiens, tu tombes bien. Je vais installer une chaudière chez un particulier. Tu viens me donner un coup de main ? Il se faisait un peu d'argent en allant faire des travaux chez des gens en plus de son salaire habituel. Et m'apprenait en même temps pas mal de choses. Je me suis dit que j'avais rêvé. Un glissement hors de la réalité. Même si je ne me rappelais pas de m'être assoupi. Ce qui s'est produit deux jours plus tard m'a prouvé le contraire. J'avais pris le bus pour aller en ville. J'étais parti m'acheter un livre dont j'avais besoin pour réviser mes examens. Le bus était quasi désert. J'aurais pu m'asseoir, mais j'ai fait le choix de rester debout. Accroché à une barre. Quelqu'un est venu se coller dans mon dos. J'ai d'abord senti le poids d'une paire de seins, épais, lourds, puis un ventre est aussi venu, en décalage, et une main a contourné mon corps pour venir masser ma queue, à travers le tissu de mon pantalon, — Ca te dit qu'on passe l'après-midi à faire l'amour? Tu es libre? — Ce serait un bon moment. Je n'ai pas été surpris, parce que notre relation échappait au rationnel, mais aussi au réel, cela je l'avais bien compris, qu'on bascule du bus à un grand appartement, aussi lumineux que la pièce où je l'avais rencontrée était sombre. Un lit immense. Elle m'a contourné. Elle avait sur le dos une robe très simple, qu'elle a fait passer par dessus ses épaules, et elle m'a offert sa nudité. Si un jour, je devais être blasé, ce n'était pas encore le cas. Elle m'a entraîné vers le lit. M'a d'abord mis à nu, pris dans sa bouche avant qu'elle bascule son corps pour qu'on se retrouve dans un 69 impeccable. Le premier pour moi, comme pas mal de positions sur lesquelles on a enchaîné dans les jours et les mois à venir. Vision idyllique, même si je n'avais eu que ça, ça aurait déjà été beaucoup, de sa croupe que sa position ouvrait, avec les plissements de son anus bien visibles, et juste en dessous, son sexe, plein, gonflé, ouvert sur un intérieur rose, dont suppuraient ses liquides intimes qui faisaient sa chair luisante. J'ai donné un coup de langue sur les lèvres gonflées, ai eu le goût de ses sécrétions dans ma bouche. C'est venu tout seul, et j'ai entamé un cunni pendant qu'elle me dévorait la queue, la caressant de la langue et des lèvres. Il y a eu un très long moment de plaisir pur, qui s'est étiré, dans cet univers à part, où le temps et l'espace n'existaient plus vraiment. Quand ça a été fini, et je n'en ai pas non plus été surpris, je me suis retrouvé dans le bus, accroché à la barre. Pas une seconde ne s'était apparemment écoulée. Et elle s'était éclipsée. Dans les mois qui ont suivi, j'ai vécu sur un autre rythme. Elle apparaissait et disparaissait, selon un critère que j'ai compris au bout d'un moment, faire en sorte que contrairement à ce qui se passait avec Chacha, on ne soit pas vus ensemble. Par rapport à ma famille, j'imagine. En fait, elle se calait, se moulait sur moi, ce que j'étais, comme si elle avait été programmée. Chacha? Ou elle simplement qui lisait en moi, connaissait tout de moi? De bonnes questions à se poser. J'avais à peu près compris comment Chacha avait toutes ces filles. Une sorte de magie noire, dont il avait voulu me faire aussi profiter, même si on n'en a jamais parlé. La différence, c'était que lui se baladait avec. Je ne pouvais pas envisager d'arriver devant mes parents avec une pareille bombasse, sortie de nulle part. Mais elle surgissait quand j'avais un espace de liberté et on basculait dans cet univers parallèle, son monde sans doute, pour des moments consacrés totalement au sexe, qui m'ont donné un bonheur, une aisance dans la sexualité, une confiance en moi que je n'avais pas avant. J'ai été radicalement transformé. Et ça s'est certainement vu car, moi qui laissais toutes les filles indifférent, je me suis trouvé soudain la cible de trois étudiantes qui ont multiplié les tentatives de séduction, parfois très audacieuses. Par tentatives de séduction audacieuses, je parle d'une fille qui vient s'appuyer contre vous, en se collant et qui vous souffle au creux de l'oreille: 'Tu aurais envie de mettre ta queue dans ma bouche? Je suce très bien...' ou d'une autre fille qui s'assied en face de vous, avec des tables en U et exhibe pendant une heure son absence de slip sous sa robe...Ou une autre qui vient vous voir avec sa meilleure copine et vous propose un plan à trois et de mettre votre queue 'où tu voudras...' Ce sont elles qui l'ont emporté. Ou plutôt qui m'ont emporté. Une fin d'après-midi, elles m'ont entouré, et dit: 'Viens, on te ramène chez nous.'
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