Chacha et les playmates partie 2

CHACHA ET LES PLAYMATES
partie 2
Elles me plaisaient bien. Elles n'avaient rien de pin-up. Elles n'étaient pas très grandes, rondes, avec des seins, des fesses, des cuisses, de la cellulite, sans doute, mais on sentait qu'elle adoraient le sexe. Que c'était vraiment une de leurs raisons de vivre.
Elles avaient une Mini-Austin. Il y en a une qui a pris le volant, je me suis calé derrière et sa copine m'a rejoint. Je ne m'y attendais pas, je pensais que ça commencerait quand on serait chez elles. Mais elles avaient apparemment très envie. La petite blonde conduisait, la brune derrière...En passant entre les sièges, elle a soulevé sa robe pour me montrer qu'elle n'avait pas de slip en dessous. J'ai aperçue une chatte travaillée au rasoir, et les lèvres qui sortaient d'elle, et commençaient à luire des sécrétions qui coulaient d'elle, d'excitation. Elle a attrapé ma main et l'a plaquée contre son sexe. Elle était là, calée debout, et je l'ai caressée comme je n'aurais pas su le faire quelques mois plus tôt, prenant soudain conscience de l'habileté que m'avait donnée ma maîtresse venue d'ailleurs. J'ai bien frotté ses lèvres, caresse facilitée par la lubrification amenée par les jaillissements abondants de ses liquides intimes. Elle m'a confirmé:
— Tu branles bien !
Et pour confirmer que c'était bien le cas, je suis remonté sur son gland clitoridien, qui s'était décalotté d'excitation, pas très long, mais très gros, et je l'ai branlé. Elle a poussé un petit cri, s'est tordue.
— Tu es vraiment une sale chienne, a jeté sa copine. Tu penses qu'à te faire toucher le cul.
— Sale hypocrite va. Tu donnerais n'importe quoi pour être à ma place.
Et ça a sans doute été encore plus vrai quand j'ai fait glisser deux doigts en elle. Ca a fait un bruit visqueux, et éjecté un flot de liquide. A chaque retour en elle, il y avait un jaillissement de mouille vraiment conséquent. Debout dans une position bancale, mais c'était souvent dans les positions bancales qu'on faisait le mieux l'amour, entre les deux sièges, et appuyée contre l'un d'entre eux, elle se laissait aller à la jouissance. Elle a voulu tendre la main, je suppose pour attraper ma queue, mais elle s'est rendue compte que ça ne collait pas. Trop loin.
Elle s'est tendue en arrière, et je me suis demandé si elle parlait à sa copine ou à moi, ou les deux, quand elle a dit:
— Putain, je vais jouir!!!
Et là, il y a eu un jaillissement de mouille, quelque chose de puissant, en plusieurs fois, qui est sorti entre mes doigts et nous a éclaboussés.
Elle s'est laissée glisser sur le siège, groggy. Pourtant, une seconde plus tard, elle venait chercher ma queue dans mon pantalon. Elle a eu le sourire ravi de quelqu'un qui trouve un trésor.
— Tu as une belle queue! On a fait une bonne affaire!
Et elle s'est mise à me masturber, faisant tourner sur ma chair une main qui avait déjà connu et caressé pas mal de queues, ça se voyait d'évidence.
On est arrivés comme ça devant chez elles. Elles louaient un appartement dans un immeuble blanc et neuf.
On est descendus de la voiture dans un état à peu près décent, qui ne s'est pas prolongé très longtemps. On a pris l'escalier, et la petite brune a soulevé la robe de sa copine blonde, exhibant une croupe charnue et une absence de culotte.
— Regarde son cul, il te plaît ?
On était sur le palier entre le premier et le deuxième. Elle a attrapé ses fesses à pleines mains, et elle s'est mise à les malaxer avant de les ouvrir et de venir passer sa langue dans sa raie. La fille a gémi de plaisir.
— Viens, approche-toi, elle m'a jeté. On va lui faire sentir quelque chose de bon.
Elle a sorti ma queue de mon pantalon. J'étais figé dans une érection à la mesure de la situation, excitante au possible avec ces deux filles qui avaient le sexe dans la peau et beaucoup d'imagination.
On s'est arrangés, elle a gardé une main sur une fesse, j'ai calé la mienne sur une autre, pour bien ouvrir son cul, et, prenant ma queue au creux de sa paume, elle l'a baladée dans la main, appuyant
contre la chair délicate, en restant un moment sur la muqueuse anale.
— C'est une chienne...Elle voudrait que tu l'encules. Elle adore ça. Mais c'est trop tôt ma chérie. Tu peux juste imaginer ce que ça sera quand sa grosse bite rentrera en toi.
On a trouver la force de continuer notre route jusqu'à l'appartement. Un petit appartement clair et spacieux. Dans le living, les filles se sont calées devant moi et elle m'ont dit:
— Enlève-nous nos robes !
Elles se tenaient devant moi, souriantes, offertes...Difficile, impossible en fait de leur résister. Dessous elles étaient nues, et leurs formes tendaient le tissu. Je me suis penché et j'ai tiré la robe vers le haut, dévoilant l'intégralité de leur corps. Leurs chairs pleines, dodues. Sexes entrouverts et humides d'excitation, hanches pleines, seins lourds aux tétons durcis. Une première fille toute nue. La robe de la deuxième a suivi le même chemin. Leurs corps m'étaient offerts. Deux filles, un garçon, une configuration dans laquelle on s'est calés dans les minutes qui ont suivi tout naturellement. C'était exaltant de penser qu'il y avait des possibilités de plaisir infinies, et décuplées.
On s'est tout de suite harmonisés, sans fausses notes, pour un maximum de plaisir. La petite brune, à droite, a plongé sur un des seins de sa copine, et moi sur l'autre, pour lui bouffer les tétons. En même temps ses mains ont glissé sur le corps de sa copine, rejointes par les miennes, nos doigts se mêlant pour venir pétrir ses fesses, glisser dans sa raie, appuyer sur les plissements de sa muqueuse, venir à l'orée de son sexe, frotter ses muqueuses. Cambrée, la petite blonde a gémi. Elle s'est raccrochée, comme une bouée de sauvetage, à ma queue qu'elle a mis à nu.
Elles m'ont entraîné vers le divan. Se laisser tomber dessus, elle ont rapproché leurs visages pour venir jouer avec ma queue de leurs langues. C'était...Vraiment très bon. Deux langues habiles qui se partageaient le terrain, avec autant le plaisir de sentir leur caresse sur ma peau, que de voir ces deux langues roses courir sur ma chair, l'une le long de ma tige, l'autre sur mes couilles, l'une sur mon gland, l'autre glissant aussi loin que possible dans mon méat, avec cette expression de ravissement. La cerise sur le gâteau, c'était quand leurs langues se rejoignaient et qu'elles les mêlaient, pour leur plaisir mais aussi le mien. On voyait bien que leur complicité n'était pas une vue de l'esprit et qu'elles étaient habituées à se donner du plaisir, intensément et sans retenue.
L'étape suivante était inévitable. Elles m'ont pris dans leur bouche, pour des caresses qui disaient leur capacité à personnaliser une simple fellation. En allant et venant sur ma queue, en la calant dans leur bouche et en faisant tourner leur langue autour, en la poussant en gorge profonde, mais aussi en la travaillant à deux, l'une gobant mes couilles et jouant avec pendant que l'autre s'acharnait sur ma queue.
Les minutes qui ont suivi ont été tout aussi intenses. On a continué à trois, dans des compositions que je trouvais excitantes au possible, qui s'initiaient tout naturellement. La blondinette est venue se caler à quatre pattes sur le lit, s'offrant dans cette position que beaucoup d'hommes, sinon tous les hommes adorent, cul tendu et offert, et c'était bien évident, je ne me posais même pas la question, qu'avec l'une comme avec l'autre, c'étaient leurs chattes qui étaient offertes, mais aussi les plissements de leur muqueuse anale, et que je pouvais rentrer dans l'une comme dans l'autre sans aucun problème.
J'avais vraiment très envie, et c'est tout naturellement que je suis venu glisser ma queue gorgée de sang dans la vulve de la jeune femme, vulve ouverte, chaude, dégoulinante de mouille et surtout bien accueillante. Etre au cœur de son sexe m'a fait éprouver un plaisir très fort, plaisir qui s'est épaissi au fil des minutes, et qui est encore monté d'un cran quand sa copine s'est calée au niveau de son visage, et lui a offert sa vulve, qu'elle s'est mise à fouiller de la langue avec avidité. On a basculé sur un autre assemblage quelques secondes plus tard, c'est la brune qui s'est allongée classiquement, je suis venu sur elle, j'ai glissé ma queue en elle, et je l'ai fouillée, pendant qu'elle caressait de la bouche la vulve de sa copine, elle aussi allongée, et offerte.
Je garderai un moment particulier, pourtant dans ma tête, celui qui a mis en jeu le plus de trouble et d'excitation. Les filles se sont offertes à moi dans une position qui m'a profondément remué. L'une d'entre elles, la brune, s'est mise à genoux, et sa copine, la blonde, est montée sur elle. De la sorte, c'étaient deux intimités qui m'étaient offertes, dans leur intégralité, croupes pleines, ouvertes par la position sur leurs muqueuses anales et plus bas sur leurs vulves.
Elles ont tourné leur tête vers moi, et, sans un mot, elles m'ont souri. Leurs sourires et leurs regards disaient clairement une chose: 'Viens en nous, dans nos chattes et dans nos anus, dans nos bouches aussi, pénètre-nous, fouille-nous, prends du plaisir, autant de plaisir que tu peux, et donnes-nous en aussi.'
Leur position, leur expression...Difficile d'y résister. J'ai enfoncé, sans l'ombre d'une hésitation, ma queue dans la vulve de la petite blonde, qui a gémi, et je me suis mis à la fouiller, restant un moment en elle avant de descendre sur sa copine, et de la fouiller aussi. J'ai ensuite choisi de remonter à nouveau, négligeant la vulve béante pour appuyer mon gland dilaté sur une muqueuse anale. L'une comme l'autre avaient du déjà pas mal se faire enculer, car je suis rentré en elles comme dans du beurre.
Je les ai fouillées longtemps, avant qu'elles ne se mettent à jouir, de concert, comme si elles étaient connectées l'une à l'autre, et c'était en grande partie le cas, et que j'explose moi aussi. Je m'étais retenu trop longtemps. J'ai explosé dans un orgasme qui m'a scié en deux.
On s'est endormis dans les bras l'un de l'autre.
Le lendemain matin, on a pris une douche et le petit déjeuner ensemble. Je pensais que ce serait un one shot, mais la brune m'a dit:'On t'attend ici en fin d'après-midi pour remettre ça.'
On en a bien profité. A trois c'est aussi infini qu'excitant.
Quelque chose que je n'aurais pas envisagé quelques mois plus tôt.
Je continuais à voir Chacha bien sûr.
On n'avait jamais abordé le sujet de ces filles qui venaient d'ailleurs. Mais je savais qu'il y avait recours, tout comme il savait, c'était même lui qui m'avait guidé dans leurs bras que j'avais côtoyé l'une d'entre elles, et que ça m'avait libéré.
Il y avait deux questions que je brûlais de lui poser, c'était de savoir pourquoi alors qu'il était vraiment beau gosse il continuait à avoir recours à elles. Il y avait dans la vie autant de jolies filles, qui avaient autant envie de sexe, et il pouvait avoir recours à elles.
Il préférait peut-être cette configuration particulière.
Il y avait indubitablement de la magie noire dessous, et sans doute aussi qu'il préférait ce schéma de fonctionnement, auquel il était habitué.
La réponse, je l'ai eue par hasard.
Il était chez nous, il discutait avec mes parents.
On avait pas mal de miroirs. Certains dans l'axe des autres.
Il était au milieu, et son image, dans un miroir, était renvoyée à un autre miroir.
Il y avait eu un moment, de quelques secondes, où je l'avais vu tel qu'il était vraiment.
Et j'ai tout compris.