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COLLECTION ADULTÈRE. Les femmes de mon village (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 21/05/2024

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L’aventure que je vais vous raconter à eux lieu dans un petit village de la Creuse dans les alentours d’Aubusson.
Je pourrais donner plus de précisions sur sa géolocalisation, mais ce que j’ai fait été là, pourrait éveiller les soupçons de certains fermiers et de maris, s’ils lisaient mes lignes.
Je venais d’avoir dix-sept ans et non dix-huit comme dans la chanson de Dalida et on m’appelait Gigi.
Pardon, je confonds les deux chansons de cette grande dame trop tôt partie, Gigi c’était à Napoli qu’elle en parlait et m’émouvait, à je dois le dire, jusqu’à me faire bander.
Gigi, Gérard, c’était le nom que ma maman et mon papa m’avait donné, mais qui m’avait abandonné à ma naissance et où je me suis retrouvé élevé par la grosse Raymonde et son mari Léon.
Les vaches, les moutons, sans oublier les porcs et les poules, la ferme, les fermes je les connais toutes par coeur à un kilomètre à la ronde.
Je venais donc d’avoir dix-sept ans et je me promenais en vélo et mon chien berger belge noir Rex, troisième du nom, tous les chiens de notre famille s’appellent Rex.
Nous approchions de la ferme du père François et de sa femme Berthe, quand il a détalé refusant de revenir à mon appel alors qu’en temps normal il m’obéissait au doigt et à l’œil.
J’ai été obligé de le suivre jusque dans la cour de la grosse Berthe, il grattait à la porte de l’écurie alors qu’elle était devant la porte de ça cuisine.

• Gigi, laisse le faire, c’est la nature, Bella notre chienne est en chaleur et elle est enfermée dans l’écurie.
Tu sais ce que c’est lorsqu’elles sont chaudes, rien n’empêchera ton chien de vouloir la sauter.
Tu te promènes avec lui, il fait chaud, je t’offre un verre de citronnade fraiche avec une part de tarte aux abricots, je viens d’en sortir une du four !

J’ai posé mon vélo, j’ai appelé Rex qui sentant que son coup lui échappait a accepté de répondre à ma sollicitation.
J’ai réussi à ce qu’il vienne se coucher près du vélo alors que je rentrais dans la fraicheur de la cuisine.
Dans nos fermes, les murs sont épais et ces pièces, l’été comme l’hiver ont des températures constantes.

• Dit-moi Gigi, tu as bien grandi, je suis sûr que tu dois les tomber toutes avec ta jolie gueule.

Un coup de folie m’a pris, même si je suis puceau.
Le gros cul de Berthe m’a fait envie alors que pour perdre mon pucelage je révais toutes les nuits de sauter Francette la fille des boulangers, mais qui n’avais d’yeux que pour mon copain Roland.

• En me promenant, je pensais à toi, les filles de mon âge, je les trouve fades alors que toi tu as tout ce qu’il faut pour satisfaire la main d’un jeune homme comme moi.
• Tu es fou Gigi, je pourrais être ta mère et je suis mariée au père François.
• Parlons-en de ma mère, tu sais bien qu’elle m’a abandonné à ma naissance. Ton mari est parti labouré, je l’ai croisé avec son tracteur et sa charrue à quelques kilomètres d’ici.
• Oui, il est allé au Val fourré, nous avons un grand champ, il rentera tard et une nouvelle fois il sera crevé.

J’ai compris l’appel du pied, étant crevé, il dinera et partira se coucher sans s’occuper de ses désirs, elle m’a posé ma part de tarte étant à mes côtés.
Je l’ai pris par la taille et je l’ai collé contre moi.
Je me sentais en toute impunité à part le facteur qui devait passer par le chemin de terre menant à cette ferme, j’avais peu de chances que nous soyons dérangés.
J’ai su que j’avais gagné lorsqu’elle a mis sa main sur ma verge, je bandais comme le taureau se trouvant dans le pré cent mètres avant chez eux entouré d’une quinzaine de vaches qu’ils devaient saillir pour faire grandir le cheptel de la ferme.

• Gigi, tu es malade, je suis folle, mais ce que je sens là sous ma main, je veux la voir, elle est prometteuse.

C’est sans le moindre remords qu’elle s’est baissée en sortant ma queue avec facilité je porte un pantalon de survêtement tenu par un élastique.
Elle a pris ma bite en main et se l’est fourrée dans la bouche.
J’ai déjà vu une fille faire une fellation, Francette à Roland le jour des feux de la saint Jean.
Nous avions sauté le feu et mon copain le lendemain m’avouait pour mon plus grand malheur qu’il l’avait dépucelé le long de la rivière un peu plus loin des buches qui se consumaient.
La différence entre les deux, fille et femme, c’était la bouche de Francette trop petit pour faire entrer intégralement la bite de mon copain.
Berthe m’a avalé jusqu’aux couilles avant que l’aidant à se relever, je l’aie couché sur la table, justement à l’endroit où le père François mange.
Je le sais, car j’étais passé un midi leur apporter un harnais de cheval que mon père avait réparé, il était à table devant son assiette et son verre de vin.
Dans le village en plus de notre ferme, ayant travaillé le cuir avant de s’installer, celui que je considère comme mon père effectue ce genre de réparation en cas de besoin.
Nous savons nous entrainer entre paysans dans ces lieux retirés du monde et baiser la grosse Berthe, c’était là encore se rendre service, du moins je voulais m’en convaincre.
La grosse salope, lorsque je lui ai relevé les jambes les posant sur mes épaules, sa chatte sous sa bouse avec sa grosse touffe de poils, m’est apparue, elle avait oublié de mettre une culotte.
J’avais envie de lui bouffer cette chatte que je voyais dégoulinante, mais ce trou sans fin dont j’avais rêvé depuis des jours et des nuits, il me fallait y plonger ce que j’ai fait tout en sortant ses gros seins de sa blouse.
J’ai fermé les yeux pensant à Francette, avant de faire couiner de plaisir cette femme approchant la cinquantaine.
La porte de la cuisine était restée ouverte, j’ai vu Rex se pointer sur le pas de la porte, faisant tourner sa tête de droite à gauche l’air un peu con.
Il semblait m’envier d’avoir perdu mon pucelage alors que celle qu’à l’odeur il convoitait était enfermée dans l’écurie.
Elle a dû avoir un orgasme, car elle a hurlé de plaisir au moment où j’ai lâché mes rafales de sperme, deux fois, dix fois, mille fois plus puissantes que lors de mes masturbations nocturnes dans ma chambre.
J’ai eu droit à une double part de tarte et deux verres d’orangeade.

• Gigi, revient quand tu veux, j’aurais toujours une part de tarte au four pour toi.

Et ma bite à t’enfourner dans le vagin salope.
Berthe, c’était la première d’une longue série.
C’est fou dans ces villages retirés du monde le nombre de salopes, qui dès que le mari est parti au champ, se couche sur un canapé, mais le plus souvent sur la table de la cuisine cocufiant leurs maris sans le moindre remords.

Mais parlons de la deuxième, la plupart des femmes de notre village, ce sont des femmes d’agriculteurs bien que quelques-uns d’entre eux soient hélas célibataires.
Il est dur de trouver chaussures à ses pieds dans ces villages retirés du monde pour y faire des heures et des heures de travail.
La deuxième, ça a été la bonne du curé, oui les femmes sont rares, mais notre bon curé vieillissant hélas, à pour bonne la fille de la précédente.
Certains disent que c’est sa fille, mais sans preuve pour autant.
Un jour Yolande la mère est partie en ville et en est revenue quelques mois plus tard avec un couffin et Violette sa fille.
Elle a repris sa place de bonne du curé, mais les ragots sont allés bon train au café du village tenu par Solange et Constantin.
Je vous vois venir, Violette, oui, ma mère m’avait demandé de passer à la cure voir si le curé était rétabli et s’il dirait la messe pour les morts de notre famille, le dimanche suivant.
Violette m’a dit que oui, mais m’a aussi dit « oui, encore » lorsque je l’ai emmené dans sa chambre.
Contrairement à Berthe, elle était épilée et j’ai pu lui manger la chatte, lorsque je l’ai dénudé.
J’ai entendu du bruit dans une pièce voisine, c’était la première fois que je rentrais dans la cure.
J’ignore si lorsqu’elle a hurlé de plaisir sous ma langue, son clito étant énormément gonflé, si c’était le curé qui était à côté.
Comme l’on dit, je m’en bas la queue, je venais de sauter ma deuxième femelle à quelques jours d’intervalle.

Mais la chance je l’ai trouvé quelques jours avant que les enfants ne retournent à l’école.
Ma mère m’a demandé de passer à la boulangerie prendre la commande qu’elle avait faite à Rolande, la mère de Francette.
Après la messe de 10 heures, je suis passé boire un petit verre d’apéro chez Constantin, je voyais Solange préparer le repas du dimanche dans sa cuisine.
Il était midi moins cinq lorsque je me suis rendu compte de mon oubli étant en train de refaire le monde avec quelques bouseux.
J’ai couru, jusqu’à la boulangerie, heureusement de l’autre côté de la place.

• Te voilà Gigi, j’allais fermer, tu viens chercher la commande que Raymonde a faite à ma mère.
Je tiens la boutique, ils sont partis manger chez ma tante, dès que mon père a fini ses cuissons.

En disant ces mots, elle a fermé la porte derrière moi nous isolant d’un risque d’être dérangé par un autre retardataire comme moi, du moins je l’ai prise ainsi.
Avant de me donner ma commande, elle a baissé les rideaux nous isolant encore plus des regards d’éventuels passants, j’ai été à deux doigts de prendre ça comme une invitation.

• Viens, tu sortiras par-derrière.

Je l’ai suivi, il faisait chaud et elle avait une magnifique robe à fleurs.
Je l’ai coincé le long de la table du fournil ou son père travaillait sa pâte à pain.
J’avais raison, lorsqu’elle m’a pris en bouche, elle a dû se contenter de la sucer contrairement à Berthe qui a pu l’avaler.
C’est par-derrière, j’ajoute, dans sa chatte bande de vicieux, que je l’ai sauté ses seins bien plus petits, mais comme sa mère plein de promesse, qu’elle a posé sur la table.
J’étais à deux doigts de lui parler de Roland mon copain, mais ça aurait été une faute de goût.
Elle avait bien perdu son pucelage, je suis entré comme dans une motte de beurre dont se servait son père pour faire ses croissants.
Lui ayant rempli la chatte de mes nouvelles giclées de sperme, pour la première fois je l’ai embrassé.
Je vois là derrière ses lignes les puristes de la capote se demandant si je m’étais couvert !
Inutile, le premier du mois de septembre, je commençais mon contrat d’apprenti boulanger, auprès de Raoul le boulanger.
Il cherchait un jeune courageux pouvant se lever de bonne heure, ce qui est mon cas et non le cas de mon copain Roland.
Dans peu de temps, avec Rolande ma belle-mère, mon beau-père va prendre sa retraite nous laissant la boulangerie à Francette et moi.
En plus de faire le pain, je fais la tourner pour les livraisons.
C’est l’occasion d’aller dans les fermes isolées, telle celle de Berthe où je sais pouvoir manger une part de tarte aux fruits de saison et plus si affinités les maris étant dans les champs.

















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Histoire de Chris71

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