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COLLECTION COCU. Le journal intime de madame (1/2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/08/2024

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Je suis un homme heureux, je suis un homme comblé, Jennifer ma femme coche toutes les cases qu’un mec peut espérer de sa moitié.
Dix ans de bonheur dans deux jours depuis que je l’ai épousé.
Pour cette occasion, profitant de son absence jusqu’au jour de nos dix ans de vie heureuse, j’ai regardé à quoi correspondaient ces dix ans d’années de mariage.
Noces d’étain, j’ai été un peu déçu, je m’attendais à des diamants ou toute autre forme de pierres précieuses.
Je suis allé dans la même boutique où j’avais acheté sa bague de fiançailles ainsi que nos alliances.
La vendeuse fort appétissante au demeurant, me montrant généreusement ses seins dans un chemisier et certainement un soutien-gorge pigeonnant a essayé de me conseiller.
Mais sans plus qu’un regard, car depuis notre mariage, j’ai été parfaitement fidèle, c’est vers un porte-clefs en étain en forme de feuille qu’elle m’a aiguillée.
Bien sûr, ce porte-clefs, c’était pour être dans la tradition, mais au bout, une seule clef à y mettre.
Celle de sa Peugeot électrique neuve, bien sûre.
La voiture, le concessionnaire me l’a livrée en temps et en heure.
J’ai eu cette idée lorsque j’ai reçu de la copropriété dans l’immeuble où nous habitons la proposition de poser des chargeurs électriques pour ceux qui voulaient passer à l’électriques.
Jennifer est partie avec sa vieille berline 208, à son retour elle trouvera une 208 électrique.
Je décide de cacher la clef du système de démarrage, dans l’armoire dans la chambre d’amis où elle range les draps qu’elle change régulièrement.
Qui aurait l’idée d’aller fouiller dans cette armoire et regarder entre les draps de réserves si une telle chose s’y trouvait cachée.
Elle ?
Elle a changé nos draps avant de partir et comme je suis propre depuis bien des années, je suis certain qu’elle était bien cachée.
Je passe ma main entre les deux derniers draps avant le bois de l’étagère et je sens quelque chose qui bloque l’avancée de ma main.
Je prends cet objet et je trouve ce qu’il ressemble à un livre intime qu’écrivent les jeunes filles, journal de leur adolescence.
Bien sûr, le journal pour rester intime possède une serrure avec une clef.
Je me souviens d’une discussion, il y a un an après son anniversaire où j’ai vu une petite clef avec sa croix de baptême autour de son cou.
Clef d’or, je l’ai interrogé, sur ce bijou, elle m’a dit que c’était son amie Sophie, qui lui avait offert pour son anniversaire, c’était leur « clef de l’amitié » m’avait-elle dit.
Depuis, à part la nuit, ou elle est avec sa croix dans sa boîte à bijoux, je la vois autour de son cou sans me poser de question.
Je sais « journal intime », mais je suis étonné qu’à son âge, elle sente le besoin d’écrire comme une midinette.
Curieux, je l’emporte dans mon bureau étant architecte je travaille dans une agence, mais aussi à domicile lorsque le besoin s’en fait sentir.
Je suis à cinquante, cinquante avec Jacques, mari de Sophie.
Nous nous sommes connus jeunes et nous avons fait carrière ensemble épousant sans la moindre dispute nos deux copines.
J’aime bien Sophie, mais elle est rousse et moi j’adore les blondes, Jennifer est blonde.
Dans le tiroir de mon bureau, je récupère une boîte de tournevis de précision qui appartenait à mon grand-père horloger et que j’ai récupéré à sa mort.
Elle est là depuis des années sans jamais servir.
Rapidement je crochète la serrure, entendant le clip lorsque l’elle saute.
Un mouvement dans l’autre sens, ouf ça se referme.
Je l’ouvre, ouf ça se referme.
Je l’ouvre, de suite je reconnais l’écriture appliquée de Jennifer, elle aurait pu travailler dans une imprimerie sur livres enluminés comme le faisaient les moines dans les abbayes des temps anciens.
Heureusement, qu’il y a les traitements de textes et les ordis, je suis gauché et j’écris comme un cochon, je commence à lire.

« 15 avril, Sophie m’a demandé si j’avais déjà écrit dans le journal intime qu’elle m’a offert le 1er avril date de mon anniversaire.
Chaque année, elle m’offre des objets insolites, une année elle m’a fait livrer une caissette de sardines fraiche qui avait embaumé l’appartement pendant des semaines.
Surtout que Luc, habitué par sa mère à éviter de jeter à eux l’heureuse idée de les faire cuire sur le mini barbecue que nous avons sur le balcon.
Même en avril, il a embaumé tout le quartier décuplant les rires de Sophie. »

Je me souviens de ça, ça puait sauf pour Abel et sa famille, Portugais d’origine, ils ont retrouvé pour quelques instants l’odeur de leur village.

« Ouf, cette année, c’est ce journal intime, je l’ai rangé dans mon tiroir d’armoire de chambre.
Je le ressors quinze jours plus tard, que vais-je pouvoir y écrire, à part que j’aime Luc.
À oui, j’ai mis la clef en or avec ma croix de baptême, Luc m’a posé la question, pourquoi cette clef !
J’ai réagi très vite, mentant à moitié, ce qui est loin d’être mon habitude, je suis franche et j’aime toujours dire la vérité.
Je lui ai dit que c’était le cadeau de Sophie, ce qui est vrai, mais que cette clef étant en or, c’est la clef de l’amitié entre nous deux.
Il a accepté cette explication sans plus de question, je viens de découvrir qu’il est facile de duper un homme, lorsque rapidement on sait trouver le mensonge qui sauve. »

Ça commence à m’intéresser, c’est drôle les pensées de l’autre, pourquoi aurais-je eu des soupçons sur l’amitié entre ma femme et sa copine ?
Au pire, j’aurais appris qu’elle se gouinait entre elles, aurais-je été un peu surpris à aucun moment, nos femmes nous ont montré un début d’envie de la chatte de l’autre.

« 20 avril, cinq jours sans la moindre écriture, ce midi, j’ai déjeuner au restaurant avec Sophie, c’est incroyable ce que j’ai appris, elle trompe Jacques avec un beau black.
Quel cliché, je regarde des pornos lorsque je suis seule sur mon portable via Internet.
J’aime les belles bites bien épaisses, mais les blacks sont loin dans mes fantasmes.
Mince, je viens d’écrire que Sophie trompait Jacques, même si mon journal intime est fermé par une clef, il faut que je le cache à un autre endroit que dans mon tiroir de notre meuble de chambre. »

C’est drôle, j’apprends que Jacques est cocu sans avoir eu le moindre soupçon des tromperies de Sophie, bien qu’à y bien y regarder, ses tenues sont assez provocantes.
Je me lève, en ce mois de juillet, il fait chaud surtout que j’attends le réparateur, la clim est en panne.
Je vais dans la cuisine avec le journal intime chercher une bière fraiche.
J’ouvre la porte du frigo, la fraicheur vient sur mes couilles, j’ai oublié de dire qu’à la maison je suis souvent à poils.
Je le pose sur la table, lorsque je le reprends, j’ai le temps de voir que presque toutes les pages sont écrites de la prose de mon épouse.
Je m’installe dans mon fauteuil pour continuer ma lecture.

« 18 avril, c’est dur d’avoir du temps pour écrire, même si je suis oisive, Luc subvenant grandement à mes besoins.
Je parlais du secret que j’ai écrit et qu’il fallait que je trouve une autre cachette que l’armoire de notre chambre.
J’ai trouvé, dans la chambre d’amis, c’est là que je stock mes draps dans une armoire normande acheté lors d’un week-end en amoureux avec Luc.
Au fond de la pile de draps, je suis sûr qu’à moins d’avoir des soupçons de ce qui est improbable, une tromperie de ma part, c’est la meilleure cachette de cet appartement.
Ce journal intime rejoindra le cadeau que m’a fait Sophie, il y a déjà deux ans, une parure de pute, la petite culotte ayant une fente à hauteur de ma chatte.
En rigolant, elle m’a dit qu’elle portait la même et que c’était bien pratique lorsqu’elle espérait trouver un bon amant.
Comme je l’ai écrit le 20, c’est fait, elle a un amant black à grosse queue. »

L’armoire normande, mémorable week-end, ou lorsque l’on cherche, l’on trouve, certes, une armoire, mais aussi un coup rapide dans les vagues de la manche assez loin de la plage ou des gens se baignait.
Elle s’est pendue à mon cou, nous nous sommes embrassés, pour la première fois, je voyais ma femme topless à l’extérieur.
Ses seins bandés par le froid bien que l’eau soit chaude, m’ont permis de bandé et dans un moment incertain pour notre équilibre j’ai pu la pénétrer et lui faire obtenir l’un des meilleurs orgasmes que je lui ai procuré.
Si j’ai bien lu, dans cette armoire, par chance j’ai trouvé le journal intime, il semble que j’aie loupé d’autres objets.
Je me lève, abandonnant ma lecture une nouvelle fois.
Chambre d’amis, le journal était entre les avants derniers draps bleus, dans ceux du dessus à fleurs, ma main sent ce que je cherche.
Rouge sang, un soutien-gorge pouvant simplement entourer ses seins avec de simples lanières de tissus.
La culotte elle présente une particularité, une fente à hauteur de sa chatte peut permettre à une verge de passer sans avoir à l’enlever.
Sur ce qu’elle doit avoir sur ses fesses, un mot brodé « salope. »
Je retourne vers mon siège continué ma lecture, pourquoi je la porte à mon nez ?
L’odeur, je reconnais l’odeur en dix ans de mariage et après souvent avoir senti ses petites culottes dans le bac à linge, celle que j’ai en main a été porté.
Elle a dû être dérangée pour la laver, mais je m’interroge sur ce que je vais trouver dans la suite de ma lecture.
Oui, je dois reconnaitre un fantasme que je réalise chaque fois que je suis seul dans notre salle de bains.
J’aime sentir les odeurs que dégagent les petites culottes de mon épouse.
Je suis malheureux si dans la journée elle a fait une lessive me privant de mon plaisir somme tout anodin.
Je comprends aussi pourquoi elle veut que nous achetions un sèche-linge, elle pourrait les faire sécher, surtout celle que j’ai en main, sans le risque que je tombe dessus me posant des questions.
Je m’installe, au lieu de reprendre immédiatement ma lecture, je mets le soutien-gorge, il me serre un peu, mais mes pectoraux sont mis en valeur.
La petite culotte, j’aurais envie de la passer, mais j’y renonce, elle est en voile si léger que je risque de l’éclater surtout qu’à cause de l’odeur je bande.
Je passe ma verge dans le trou et je me masturbe avec, rapidement je m’éclate et mon sperme gicle dans tous les sens.
Jennifer avait eu un méga orgasme en baisant dans la mer, moi, c’est plus intérieur, car je suis seul.
Je pose la culotte, j’enlève le soutien-gorge et je pose le tout près de moi, il faut qu’elle sèche.
Je reprends le journal, je relie la dernière phrase,

« Comme je l’ai écrit le 20, c’est fait, elle a un amant black à grosse queue. »

Quand Jennifer a-t-elle mis sa petite culotte de salope, c’est écrit dessus, a-t-elle profité de la queue du noir surtout si comme elle le dit, elle regarde des pornos sur la toile.
Elle dit à ce moment de ma lecture, que ces grosses queues sont loin d’être son truc. Moi aussi si l’on m’avait interrogé il y a quelques minutes, j’aurais juré que jamais au grand jamais, je me serais masturbé dans sa petite culotte...


















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Histoire de Chris71

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