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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (1/6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/08/2024

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Douze ans de mariage avec Calvin.
Douze ans de bonheur, presque car désespérément nous essayons d’avoir un enfant, hélas, sans y arriver.
Douze ans de visite chez les médecins qui tous nous disent que nous pouvons procréer, que nos appareils génitaux sont tout à fait fonctionnels.
Douze ans de plaisir chaque fois qu’il me fait l’amour deux trois fois par semaine.
Douze ans qu’il m’a dépucelés.
Même cette fois qui aurait pu être douloureuse, il m’a fait jouir, je dirais même qu’il m’a fait atteindre un magnifique orgasme.
Douze ans que chaque fois qu’il me fait jouir, il m’apporte des orgasmes.
Et puis il y a un mois, je m’en souviens bien, c’était le jour anniversaire de notre mariage.
Comme chaque année, après un restaurant où il avait été très prévenant, il a voulu me prendre dans la voiture comme à nos plus beaux jours.
Il était assis au volant et en souvenir de la première fois après quelques kilomètres le soir de nos noces, nous nous sommes arrêtés sur un parking du supermarché.
Je lui ai sorti la bite, je l’ai sucé comme il m’avait appris à le faire le lendemain de mon dépucelage.
La sucette terminée, j’ai allègrement sauté sur lui et je me suis enfourchée en écartant simplement ma petite culotte rose.
Pendant que nous baisions, le volant me rentrait dans le bas du dos, ce qui a décuplé ma jouissance.
En souvenir, car moins souplement que douze ans auparavant.
J’ai tout de même réussi à me la faire entrer dans la chatte.
Est-ce la voiture qui était différente où l’angle du volant, tout ce qu’il y a de sûr, c’est que la douleur au bas de mon dos était difficilement supportable.
Même s’il m’a pénétré durablement, pour la première fois de notre vie de couple, il a rempli ma vulve sans, qu’en moi, la moindre étincelle vienne mettre le feu dans mon corps.
Sur le coup rien pour m’alerter, même les deux ou trois fois suivantes où il m’a pris jusqu’au matin.
Il a éclaté en moi sans que je ressente du plaisir.
Lui jouissait, rien pour l’affecter voir même semblant l’interroger.
Il remplissait mon corps de sa semence et il se retournait satisfait d’avoir fait son devoir conjugal.
Au bout d’un mois, j’ai eu des doutes sur sa fidélité aussi pendant plusieurs jours, je l’ai suivi à différentes heures où il était susceptible d’avoir le temps de me tromper.
Même le matin, dès qu’il était parti, j’enfilais une robe sans mettre le moindre sous-vêtement.
Grâce aux embouteillages, je le suivais sur mon vélo jusqu’à son entreprise qu’il avait créée et qui me permettait d’éviter de travailler.
C’est aussi un peu ça que j’avais peur de perdre.
L’un de ces matins mon anti-vol étant coincé me retarde.
J’ai pédalé si vite que deux boutons de ma robe se sont défaits.
Avant que je réussisse à rétablir la situation, ma chatte est apparue à un homme tellement étonné que j’ai tourné la tête pour voir s’il avait vu, il s’est emplafonné un lampadaire.
Le midi, mon mari va manger au restaurant, alors je le piste.
Le soir idem, je me suis même infligé un cinq-à-sept près des grilles pour finir par le voir sortir avant de revenir tranquillement chez nous par le plus court chemin.
Sauf sa secrétaire ou toute autre employée qu’il sauterait dans mon bureau, hors de ma vue, ma chatte reste toujours insatisfaite.
On dirait qu’il a fait un nœud à sa verge.
J’ai essayé les tenues sexy, il me baisait, mais mon corps refusait d’avoir du plaisir.
J’étais devenue comme un pruneau d’Agen entièrement sec.
La vie de quiétude que me donnait Calvin compensait ce manque de jouissance.
Depuis mon mariage en faire le moins possible, était devenu mon credo.
La situation perdurait jusqu’au jour où l’on a sonné à ma porte à dix heures du matin alors que j’étais encore allongé dans un demi-sommeil.

• Bonjour madame, je venais me présenter, je suis votre nouveau voisin, j’ai emménagé hier.

Lorsque j’ai ouvert, j’ai cru qu’un mauvais plaisantin sachant que je me levais tard m’avait fait une mauvaise plaisanterie en venant sonner à ma porte.
En suivant le bruit de la voix et en baissant la tête je me suis aperçue que j’ai devant moi un homme de petite taille.
Juste le mètre, le mètre dix.
On aurait dix un petit garçon de six ans prêt à entrer au CP à la rentrée suivante.

• Je me présente Mathéo, je vois que sur votre sonnette, vous vous appelez Juliette et votre compagnon Calvin.
Je vais vous laisser, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous sonnez si je peux, vous êtes utile, ce sera avec plaisir.
Je pense que Calvin est au travail, saluez-le pour moi.

Il tourne ses petites jambes et rentre chez lui avant que la mienne soit refermée.
Dix minutes et l’on sonne de nouveau, cela me met hors de moi, car je m’étais recouchée.

• C’est le livreur, je vous livre les courses de la semaine.

C’est vrai depuis deux ans Calvin à passer un contrat par le drive du supermarché que je connais bien, celui de mes jouissances aidées du volant.
Dans la journée du lundi, il fait ses choix par Internet et le lendemain, nous sommes livrées.
Ce midi, je m’aperçois, au moment de me préparer un petit repas qu’ils ont oublié les œufs, je contrôle le frigo et la liste que le livreur m’a donnés, ils étaient bien prévus.
J’hésite à le faire, mais étant une flemmarde chronique cela me pousse à sonner chez mon voisin Mathéo.

• Juliette, quel bon vent t’amène.
Je suis contente que tu sois venue.
Je me disais en moi-même en me levant ce matin, que j’ai été un voisin correct avec Juliette en me présentant, mais elle est trop fière pour me rendre ma visite !
Entre, ici, tu es chez toi !

J’entre dans une salle à manger emplie de fumer.
Moi qui ai horreur du tabac froid, je suis servie, une vraie tabagie.

• Excuse-moi, nous avons fait un petit poker entre amis cette nuit, j’aère, mais l’odeur est difficile à faire partir.
Je t’offre un café, je viens de me lever et j’étais en train de le préparer.
Tu verras, je le fais venir directement de Colombie par un ami, c’est autre chose que celui que l’on peut trouver en France.

Le café sera le piège, j’adore un bon café et pour être bon celui-là était le meilleur bu dans ma vie.
Le café servi, prestement il s’assoit sur une chaise face à moi dans la salle où il m’a servi.
Lorsqu’il m’a ouvert, j’ai bien vu qu’il était en slip ou plutôt en boxer.
Aussi, il me présente quelque chose de phénoménal.
Sa verge dans ce boxer semble prendre une place impossible à décrire, surtout qu’il est au repos.
J’avais bien entendu que les nains étaient très bien pourvus, à ce point je crois rêver.

• Juliette, sais-tu jouer au poker Texas Holden ?
• Non, j’en ai vu à la télé, mais sans jamais pratiquer.
• Tu veux que je t’apprenne.
• Cela peut être drôle, pourquoi pas.
• Demain après midi, viens à partir de quatorze heures.
• Compte sur moi.

C’est comme cela que le lendemain, je sonne chez Mathéo.
Il est en short, mais c’est tout de même la bosse que je regarde discrètement.
La leçon se passe bien et la nuit qui suit, mon corps réagi lorsque je me doigte en pensant à ce qui se trouve dans le sous-vêtement de Mathéo.
Je suis contente, le matériel fonctionne encore et c’est donc bien les rapports avec Calvin qui joue à l’élastique.

• Après les règles, nous allons jouer réellement sur Internet contre de vrais adversaires, mais pour commencer nous allons jouer sur un site non payant qui vous donne des jetons renouvelables à l’infini, es-tu d’accord ?
• Cela peut être drôle.

Pour la première fois, il s’assoit auprès de moi et je jette un œil en biais pour retrouver ma convoitise.
J’ai toujours pensé que tromper mon mari est inconcevable.
Mais les circonstances m’ayant entraîné dans le manque de plaisir et la bosse du pantalon de mon petit voisin me font douter de ma certitude.
Ma chatte retrouve son humidification lorsque pour me faire voir une erreur qui m’aurait fait perdre plus de dix mille jetons, il me met la main sur ma cuisse.
Même avec ma robe le fluide passe et c’est le moment qu’il choisit sentant un grand désarroi en moi pour sauter sur sa chaise et sortir ses quarante centimètres au repos.

• Je vois que depuis que l’on se connaît, tu lorgnes sur elle.
Prends-la en bouche, attentions certaines se sont étouffées.

J’aurais dû me sauver, mais pourquoi refuser l’envie qui me taraudait.
Le peu que j’ai vu à part sur Canal seul Rocco doit avoir à quelques millimètres prêts la même, sauf le diamètre qui est supérieur sur la bite de Mathéo.
Heureusement, la nature m’a pourvu d’une bouche que je peux ouvrir et en enfoncer une grande partie jusqu’à ma glotte.
J’ai pris plaisir à sucer ce pieu surtout lorsque j’analyse la situation, son sexe est dans ma bouche alors qu’il est debout sur son siège et moi le cul sur le mien.
Je fais courir ma langue dessus et à un moment où il me la remet au fond de la bouche, il m’empoigne par les oreilles pour mieux se masturber à l’intérieur.
Il a tellement grossi qu’à un moment, j’espère que ma bouche sera le seul réceptacle à ce que je finis par prendre pour une infirmité.

• Avale tout.

Moi qui ai sucé mon mari pour le faire bander jamais ma bouche ne s’est trouvé à avaler son sperme.
Là, je subis et j’aime le flot qui sort de son méat et vient couler dans ma gorge où je récupère jusqu’à la dernière goutte.
Le goût un peu fade au début fini par me plaire car la quantité que je bois me donne le temps de déguster.
Au moment où je vais le recracher un éclair de flash me parvient du dessus de ma tête sans que je m’inquiète.
J’hésite à penser que notre liaison va continuer, un moment je vais finir par réagir, mais la situation est tellement exceptionnelle que j’ai des doutes si Mathéo me sollicite à nouveau.
Une fois de plus je vois mal sa verge défoncer ma chatte, car j’aurais peur de rester infirme.

• Regarde comme tu es belle lorsque tu me suces, tu remarques tes yeux qui se révulsent et montre le plaisir que tu prends.

En me montrant cette photo qu’il a prise avec son portable qu’il a récupéré à côté de l'ordi où nous étions en train de jouer, j’ai l’air d’une idiote.
À aucun moment la domination se trouve dans mes pensées, même à cet homme de petite taille…









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Histoire de Chris71

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