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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (2/6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/08/2024

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Douze ans de mariage avec Calvin.
Douze ans jusqu’au jour où je fais la connaissance de mon voisin, homme de petite taille, mais de sexe supérieur à tout ce que j’ai vu à ce jour.
Pour avoir sa verge à hauteur de ma bouche, il est monté sur sa chaise devant l’ordinateur où il était en train de m’apprendre à jouer au poker en ligne sur des sites ou les parties sont sans argent.
Il prend des photos où je le suce sans qu’à aucun moment je prenne conscience du risque que j’encours.

• C’est bon pour aujourd’hui, Juliette, revient demain à la même heure.
• Je crois que l’expérience de cet après-midi m’a servi de leçon, Mathéo, j’aime mon mari et je veux qu’on en reste là !
Tu auras été un agréable moment de ma vie à un moment où j’étais vulnérable.

Debout sur sa chaise, il me prend par les cheveux et me fait relever la tête.

• Tu crois t’en sortir par une pirouette, tu m’allumes, tu me suces et tu crois que tu peux me laisser, comme cela en carafe !
Demain même heure sinon ton mec recevra sur son portable numéro 06 03... de jolies photos, tu vois desquelles je parle !
• Donne-moi cet appareil, que je les efface !

Il est petit, mais la force qu’il a dans les bras m’empêche d’attraper ce qui va devenir mon cauchemar.

• Demain, tu viens à poil, on gagnera du temps, enfile juste le peignoir que tu avais sur toi lorsque tu m’as ouvert à notre première rencontre, on gagnera du temps avant que je t’enfile !

Il saute de sa chaise, je me lève et vais vers la porte pour rentrer chez moi.
Il me claque les fesses.

• Allez, ma poule va rêver au bâton que je vais te mettre demain.

Le lendemain après une nuit blanche, je me présente pour recevoir mon coup de bâton.
Cavin ce matin m’en a mis un bien plus petit, mais une fois de plus mon corps est resté sec.
Mathéo m’ouvre nu comme un ver.
Il ouvre mon déshabillé, car sans m’en rendre compte j’ai ressorti ce vêtement que j’avais rangé depuis notre nuit de noces le trouvant trop osé si un livreur avait sonné à ma porte.
Pourquoi suis-je allée jusque-là, celui de tous les jours aurait suffi, aurais-je vraiment une immense envie de découvrir les plaisirs qu’une telle verge doit apporter à la salope que je suis, hélas, prête à le devenir ?

• Putain, t’es canon, ma bite va apprécier, elle t’attend depuis hier où elle sait qu’elle va te défoncer.
• Tu parles de ta bite comme ci c’était une personne humaine, t’es taré.

Une paire de baffes arrive sur ma joue après qu’aussi rapidement qu’un serpent, il se soit mis sur la pointe de ses pieds.

• T’as intérêt à parler différemment à ton maître, c’est un ordre.
• Jamais une demi-portion me dictera quoi que ce soit.
• Tu as envie d’en prendre une, ici ton cul m’appartient.
Tu es venue, c’est que tu as envie de sentir mon sexe te pénétrer.
File dans la chambre te mettre en levrette, j’arrive.

Mes fesses en ramassent une de nouveau.

• Oui, je t’obéirais sans rien dire et je cours dans ta chambre pour que ta verge vienne en moi, je vais te dire la vérité, j’ai mouillé toute la nuit.

Une fois de plus en lui avouant ma servitude à son sexe, je mets ma vie et surtout mon couple en danger, bizarrement j’aime ça.
Le cul en l’air la tête dans les bras, je l’entends parler au téléphone.
Il passe la tête et m’apostrophe.

• Ton mari est bien parti pour deux jours.
• Oui, il est en Angleterre.

Qui peut lui avoir dit ça.
Une connerie de plus, pourquoi lui avouer que mon mari a pris l’Eurostar pour accompagner son ministre dans une réunion sur le climat.
Je pense qu’il a coupé, car l’a conversation s’est arrêté.

• À nous ma belle salope, j’espère que tu seras à la hauteur des espoirs que je mets en toi.
• Dépêche, avortons, prends-moi qu’on en finisse.

Mes fesses ramassent de nouveau une volée bien méritée.
Mon ton était de mauvais goût lorsqu’il me met deux doigts dans le vagin.
Il doit constater que ma cyprine coule avec abondance.
Je le vois approcher son bâton tendu un max simplement en regardant mon trou du cul, il est à la porte de mon vagin.
Je sens que dès qu’il me l’introduira ma jouissance voire mon orgasme, va réapparaître comme aux plus beaux jours avec Calvin.
Je sens, vu sa grosseur, que le début de son introduction va être douloureux.
C’est peu dire, c’est pire que cela, sans me le demander ou mieux de me prévenir, il me prend ma rosette d’une seule poussée m’enfonçant au moins vingt centimètres.
Enfin, comme je suis placée, je le suppute.
La prise de ma virginité anale et ma défloraison auraient pu être plus harmonieuses.
J’ai l’impression d’être ouverte en deux, mais très vite je m’habitue à être empalé et la verge qui avance et qui recule en moi, ça devient très supportable.

• J’adore enculer les bourgeoises qui sont des salopes comme toi.
Je suis sûr que c’est la première fois qu’une bite entre là.
J’ai senti que tu étais très serré, ton bourge l’a toujours joué petite bite avec toi.

Comme hier, un éclair puis deux et trois crépitent.

• Souvenir pour mes vieux jours.
Tu seras classé dans la série « bourge enculée. »
J’en ai déjà plusieurs à mon tableau de chasse, je te les ferais connaître, j’adore quand vous vous gouinez.
Tu vas voir, comment un nain vous fait mouiller.
Chaque fois que je vois votre regard posé sur ma verge, je sais que vous allez y passer, tu as regardé, je l’ai vu et tu l’as dans le cul.

C’est pourtant vrai, il avance et recule et mon derrière devient feu.
Toutes mes terminaisons nerveuses sont rougies comme s’il m’avait introduit un bâton chauffé à blanc comme dans une forge, dans l’anus.
Un ou deux mouvements de piston et c’est parti, je jouis par le cul aussi fort que j’ai joui de ma chatte la première fois où Calvin m’a dépucelé.
L’orgasme dévastateur plus intense que par devant éclate et je suis la femme la plus heureuse au monde.
Mathéo me demanderait de me prostituer pour lui, même pour sans un rond pour moi, il aurait la plus grande des gageuses.
Un deuxième éclatement de mon corps m’attache définitivement à mon amant lorsqu’un flot de sperme sort de sa verge, m’inondant comme hier lorsqu’il s’est vidé dans ma bouche puis mon estomac.
Il en sort tellement que son sperme se trouve éjecté par les côtés de notre coït, je sens qu’ils coulent le long de mes cuisses venant inonder ses draps.

• Tire-toi, rentre chez toi, ce soir vingt-deux heures, nous ferons, un poker avec quatre copains, tu participeras à la partie.
Trouve deux mille euros, c’est la cave qu’il te faut pour commencer à jouer.
Mets ta tenue que tu avais lorsque tu m’as sucé la bite, tu troubleras mes adversaires, ils seront plus lisibles.
Je sens qu’avec toi je vais me faire un max de blé.

Je quitte l’appartement et je me rends chez moi devant mon ordinateur afin de comprendre ce que veulent dire « deux mille euros de cave. »
Cave, mise de fond pour entrer dans une partie de poker.
Je m’habille et je vais à ma banque pour sortir les deux mille euros de mon livret de caisse d’épargne ouvert par Calvin et sur lequel il a déposé dix mille euros s’il lui arrivait un problème.
Tout le long du chemin, je sens encore la verge de Mathéo qui m’a bien cassé le cul.
La douleur est vive surtout lorsqu’en marchant l’une des pommes de mon fessier vient frotter la pomme opposée.

La soirée se passe sans encombre pour moi, sauf la fumée de leurs cigarettes qui finit par m’indisposer, mais comme les pépettes entre, je fais contre fortune bon cœur et je reste assis à ma place.
Je décave deux de mes adversaires et Mathéo un autre.
Au petit matin éreinté, mon cul en position statique des heures entières me rappelle à son bon souvenir lorsque je me relève.

• Bien jouer poupée, tu vois, je te l’avais dit, tu vas gagner un max avec moi et tu me porte-chance.
Allez, dit au revoir à nos adversaires, pour fêter ta victoire, ta chatte va ramasser.

Deux heures, il me baise à la limite du bestialement m'apportant un maximum de plaisir.
Ma rosette est encore sollicitée alors que la douleur de ma première fois soit toujours présente.
Mais je dois le dire, ma chatte est à la fête lorsqu’il la pilonne peu importe, comment il me place pour mieux me pénétrer.
Ce qui est drôle avec les nains, c’est que leur torse est à peut près de taille normale.
J’aimerais qu’il me prenne la bouche dans un baiser langoureux ou s’il le veut vorace.
Hélas, le baiser doit être banni de sa panoplie du meilleur amant au monde.
Tout du moins de mon meilleur amant, heureusement pour Calvin, il est le seul.
Vers dix heures, il dort encore, je lui prends le sexe dans ma main le guidant vers ma bouche et je le pompe sachant que ce soir, mon corps aura à sa disposition ce sexe commun, très commun.
La bouche pleine, je prends le chemin du foyer conjugal pour tout remettre en ordre aussi bien sur mon livret de caisse d’épargne avec une gratte ainsi que sur moi.

Tout s’est bien passé au retour de Calvin à qui j’ai su cacher ces moments tumultueux passés chez Mathéo.
Le lendemain dès qu’il est parti au travail, on sonne à ma porte.
Même impression que la première fois, il faut que je baisse la tête pour voir mon amant.

• Je viens te baiser sur le lit conjugal…




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Histoire de Chris71

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