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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ils font de moi une grande salope (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

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Je m’appelle Ludivine, j’ai trente-six ans, juste le double de ma fille qui donc en a dix-huit.
À son âge lors de ma soirée de réussite au bac, j’avais un peu bu et je me suis retrouvée dans une partie sexuelle qu’il m’a été impossible de maîtriser.
Combien étaient-ils, à me prendre à tour de rôle après m’avoir dépucelé et m’avoir apporté un maxi de plaisir ?
Oui, j’ai énormément joui sous les coups de boutoir de ces garçons, certains déchargeant dans ma bouche d’autres dans ma chatte.
Si j’avais été consentante à cent pour cent, du moins lucide, je pourrais dire que j’ai été la principale actrice d’une partouze.
Lequel m’a fécondé, je l’ignore mais ce qui est certain c’est que neuf mois plus tard, après mon troisième mois de retard, je me suis trouvée dans l’obligation d’avouer à mes parents que j’avais été légèrement insouciante lorsque je me suis retrouvée dans cette situation plus que compromettante.
Sofiane est née sans père, bien que j’aie eu de nombreux hommes dans ma vie, certains voulant se considérer comme tels, la salope que j’étais devenue m’ayant conduite à m’assurer dès mes dix-huit ans.
J’aurais pu virer pute, pour arriver à vivre et même à survivre avec ma fille, mais la chance de trouver un travail dans l’hôtel où j’avais pris l’habitude de venir me faire baiser m’a évité de tomber dans ce coin sordide de la sexualité.
J’aurais pu rentrer dans le rang des femmes fidèles lorsque j’ai rencontré Louison, garçon ayant les pieds sur terre et qui était prêt à m’épouser, même fille mère, mais un accident de la circulation a fait de moi une veuve avant l’heure.
Je suis tombée en dépression, ma source principale de nourriture étant ces petites pilules que mon médecin savait si bien me donner, soi-disant devant me remettre sur pied, mais faisant de moi une espèce de légume.
Sofiane, ma fille, c’est comme ça que l’administration l’avait enregistrée, Sofiane m’a aidé à en sortir et maintenant je fais partie de ces femmes qui refusent toutes pharmacopées.
J’ai de temps en temps des règles douloureuses, il fut un temps je me bourrais de cachets de Doliprane, maintenant j’accepte de souffrir et dès que je le peux, je mets un loup noir et je me couche, jusqu’à ce que j’aille mieux.
Bon an, mal an, j’ai retrouvé un équilibre et ma fille a grandi jusqu’à ce soir ou ayant réussi son bac, Sofiane m’a demandé d’aller faire la fête chez une copine.
Je connaissais Manon, fille sérieuse et comme elle était majeure, j’ai simplement fait mes recommandations sur la présence de la gent masculine prompte à vous séduire et vous laisser avec un paquet-cadeau à la sortie.
Comme je l’ai dit, j’ai grandi et je me fais des moments persos ou je me fringue en tenue belle salope et ou je sors trouver un coup d’un soir.
J’ai appris à les choisir et à avoir sur moi des capotes, sans oublier l’alcool que j’ai définitivement banni.

• 00000Sofiane, tu es majeure, tu peux être libre de rentrer à point d’heure.
Mais pour ta première sortie et pour éviter mon anxiété naturelle de mère j’aimerais que tu prennes dans ton sac ces étuis qui te serviront à couvrir la verge de garçons t’entraînant dans une farandole de plaisir.
• Maman, je suis vierge, mais je sais ce que sont les capotes dans leurs étuis et regarde, j’en ai déjà deux à l’intérieur.
Comme tu l’as dit, je suis majeure et je sais dans quelle galère tu t’es trouvée étant jeune, bien que tu le sois encore, ma petite maman.

Rapidement, pensez à l’angoisse d’une mère voyant partir sa fille avec dans son sac de quoi baiser, comme je l’avais fait dix-huit ans plus tôt.
Une heure en semblant quatre, à une heure, j’étais liquéfiée.
Toute cette soirée, dix minutes m’ont paru quatre heures.
À une heure trente, je m’habile et je prends ma voiture, une modeste Modus et je pars chez sa copine Manon.
J’arrive à son pavillon, la lumière est allumée, mais aucune musique pour se faire entendre, ce qui a tendance à m’intriguer si ici une fête bat son plein.
Je sonne, du temps là encore me paraissant très long et Manon vient m’ouvre en pyjama, décoiffée, bref venant certainement de se relever de son canapé ou j’ai dû la réveiller.

• Sofiane, je lui avais dit que je la couvrais à la seule condition qu’elle suive vos instructions de renter à l’heure à quelques minutes près.
Je vais vous dire, elle avait rendez-vous avec le beau Matéo qui habite au 25 allée du Champ fleuri.
Voyez-vous où c’est ?

Je reprends ma voiture et sachant où se trouve l’allée du Champ fleuri, je l’arrête devant le numéro 25.
Là, c’est une tout autre histoire, la musique mériterait une descente de police et sur les marches du perron, trois gars sirotent des bières.

• Vous connaissez Louison, c’est ma fille, j’ai appris qu’elle m’avait menti et qu’elle se trouvait ici dans cette maison !
• Louison, son copain Marc, l’a raccompagné il y a plus d’une heure, ma petite dame.
• Vous êtes Matéo, je peux visiter votre maison, vous pouvez très bien me dire qu’elle est rentrée avec un hypothétique copain, afin de la couvrir et qu’elle est dans une chambre avec d’autres garçons comme vous !
• Oui, je suis Matéo, je vois que la confiance règne, venez, je vais vous faire visiter, quatre autres copains sont en train de regarder le porno à la télé.

Je sais, il faut faire confiance, mais la confiance, je l’ai donné une fois et les cris de plaisir qui viennent à mes oreilles, étant loin de me rassurer, ça baise non loin de moi.
J’entre, sentant le regard de ces garçons sur ma jolie croupe et comme Matéo me l’a dit, c’est une actrice de films pornographiques qui doit feindre de jouir en se faisant prendre en double pénétration à la télé.
Je connais la double pénétration, j’ai moi-même pratiqué ces façons de baiser avec deux amants un soir ou comme je l’ai dit, j’étais sortie pour satisfaire mes besoins de sexe.
J’ai eu mal au cul pendant trois jours, même si pendant un instant tout mes sens se sont embrasés.
Rien en bas, rien à l’étage, la salle à la télé et la cuisine étant pleines de bouteilles vides, ce qui était loin là encore de me rassurer, j’ai déjà dit tous le mal que je pensais de l’alcool.
Je dois me rendre à l’évidence je fais encore chou blanc où se trouve Sofiane !

• Madame, pour qui vous nous avez donc pris, des salopards profitant d’une jeune fille pour la baiser et en faire une salope.
Peut-être avec une jolie femme comme vous connaissant la vie, nous nous serions surement laissés aller, mais Sofiane, elle avait un peu bu et il aurait été hors de question que nous profitions de la situation.
Par compte, si vous...

Matéo se colle à moi au bas des escaliers me faisant sentir la vigueur d’un garçon de dix-huit ou vingt ans ayant toute ce qu’il faut pour satisfaire une salope comme moi.
Je sors sa verge de son écrin, dix-huit, vingt centimètres avec un gros gland circoncis.
Ayant respecté ma fille, ça vaut bien une petite fellation.
Je suis rattrapée entre l’angoisse d’une mère et cette dernière voulant récompenser ceux qui ont eu le respect de ma fille.
Combien ai-je dit qu’ils étaient, trois dehors dont Matéo et quatre matant du porno !
Nue, je mérite de l’être après avoir sucé x bites, toutes plus grosses les unes que les autres.
Je pourrais dire que je suis dans mon élément, revenant en arrière de ce que j’avais subi avec plusieurs verges présentées par plusieurs garçons.
Je suce, je masturbe alternativement tout ce que l’on me présente.
Ma bouche un instant est libre, un goulot de bouteille les remplace et je sens la chaude coulée d’alcool au fond de ma gorge.
Je dois reconnaitre que je perds le contrôle, lequel s’allonge sur la moquette pour que je puisse m’empaler.
L’on m’aurait mal élevé, je dirais que je m’en tape, le principal c’est que l’on me baise.
Même mon cul retrouve le plaisir d’être fouillé, dix-huit ans sont passés et je jouis sous les coups de boutoir de ces deux verges inconnues.
Une verge retrouve ma bouche et une autre se retrouve dans ma main.
Mon cul explose comme ma chatte, je suis en plein délire avalant le sperme que les verges venant dans ma bouche m’offrent avant s’être remplacé.
Plaisir d’être enculé, là encore lors de mes nuits d’un soir, j’aime que l’on continue à me sodomiser, pourquoi m’en priver, nous sommes entre adultes consentants.
L’actrice porno que je vois sur l’écran non loin de moi, continue à gueuler son plaisir feint, moi je hurle dès que je le peux, mais de toutes ces bites à ma disposition.
Ai-je tourné de l’œil, une pièce non visitée, les chambres m’ont suffi lorsque je cherchais Sofiane ?
Qui m’a porté, je me retrouve dans un bain avec Matéo me présentant sa verge.
Je croyais être satisfaite, est-ce de nouveau l’alcool qui coule dans ma gorge, ce qui me rend folle, mais j’ai plaisir à m’empaler sur lui, collant mes seins à sa poitrine musculeuse.

• Viens, je te reconduis chez toi, ils t’ont fait boire de la vodka et il est hors de question que tu prennes le volant.
Je buvais une bière sur les marches, rêvant à ta fille que nous avions épargnée lorsque tu es arrivée, c’est le seul alcool que je me suis permis.

Encore un peu chancelante, Matéo m’a aidé à me rhabiller, puis m’a soutenu jusqu’à ma voiture et après m’avoir installé sur le siège arrière, a pris mon volant jusque chez moi.

• Maman ou étais-tu passé, j’étais dans la voiture de Marc un copain devant chez nous lorsque je t’ai vu prendre ton volant et partir comme une furie.
Les pneus ont crisé sur les graviers de l’allée avant que tu t’éloignes.
Depuis je suis rentrée et je t’attends.
J’ai vu Matéo repartir à pied, mais maman tu as bu !

Eh oui, j’ai replongé fifille en tout point de vue.
Alcool et partouze, mais je me suis lavé la chatte après que Matéo m’ait fait une nouvelle fois jouir dans la salle de bain de ses parents.

Nous sommes neuf mois plus tard, dans deux boxes différentes de la maternité ou nous accouchons à quelques minutes d’intervalle Sofiane et moi.
Une seule différence, Matéo à mes côtés et Marc auprès de Sofiane, va couper le cordon de mon fils et de sa fille pour ma fille.
Lorsque je l’ai revue sa demande, je venais d’avoir quelques jours de retard pour mes règles.
Le lendemain de ma nuit de débauche, j’avais regardé dans le sac de ma fille, les deux capotes étaient là bien au chaud dans leur étui.
Voulant des enfants jeunes, lui et elle, c’est dans la voiture qu’ils baisaient lorsque je suis partie la chercher.
La vie me direz-vous ?
Même si cela peut être surprenant, pris dans mes délires, j’ai oublié de me protéger
Matéo veut tenir un garage nous saurons raisonnable le temps de sa formation et la place est libre, Sofiane est partie vivre chez ses beaux-parents.
Comme nous l’avons faite, la cougar que je suis, vient de se pacser alors que Marc est le fils de, lui enlevant tous les problèmes que j’ai pu connaitre.

Une dernière chose, Matéo me baise comme une reine, hors de question de participer à une troisième partouze.













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Histoire de Chris71

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