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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Mon homme (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 06/08/2024

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Quand ma vie sexuelle a commencé, j’avais environ seize ans, nous étions au lycée, Ugo et moi, bisous, caresses sur mes seins, conflit avec mes parents.
Conflit, car Ugo est aussi noir que je suis blonde, mes parents voient un noir, je vois un homme séduisant, jovial et drôle.
Un homme décrochant ses diplômes comme moi les miens les doigts dans le nez, nous permettant d’envisager une vie de rêve.
Mes parents surtout mon père a du mal à admettre que j’ai, dans un premier temps des rapports sexuels avec un garçon qui met à mal ses convictions politiques.
Il est dur de dire à ceux à qui pendant des années on a rabâché, « chaque putain dans son bordel et les vaches seront bien gardées » et se retrouver devant sa contradiction à chaque repas de famille.
Chez nous depuis que je suis petite, j’ai toujours vu des tracts pouvant être considérés comme raciste pour une grande partie de la population.
Comment conduire sa fille devant le maire, puis le curé afin qu’Ugo me passe la bague au doigt avec sa couleur faisant tache dans sa famille ?
Dans cette contradiction, j’ai eu la chance d’avoir une grand-mère ayant fait mai 68 et à qui le slogan ayant guidé sa vie était.

« Faites l’amour, pas la guerre. »

Cette phrase avait déteint sur Yvette ma mère, elle avait simplifié, « si tu me veux, tu me prends. »
En femme du monde, elle avait ses œuvres, je les connaissais depuis que j’étais petite.
Maman quand elle recevait un homme influent pour son association, me demandait de rester dans l’anti-chambre à jouer avec les quelques objets qu’elle y avait placés.
Dans ces années-là, j’enregistrais des sons, qui quand je les ai pratiqués avec Ugo, m’ai fait comprendre que papa était cocu à la limite de l’indécence.
Plus le temps avançait et plus j’avais conscience qu’il fallait être aveugle pour nier l’évidence.
À moins que de son côté, mon père ait une vie parallèle, il était un cadre supérieur et il était fréquent qu’il parte deux, voire trois à quatre jours à des séminaires.
C’était un peu plus tard par rapport à maman qui recevait ses hommes et qui devait se faire sauter sur son bureau que papa un matin m’a conduit au collège, je commençais, moi aussi, à vouloir m’émanciper.
Avec Corinne, nous avions décidé d’aller voir le film de Brad Pitt, en faisant l’école buissonnière.
Le rêve de tous les jeunes, du moins de nous.
Nous attendions avec impatience le jour de la sortie de ce film, nous avions mis de côté euro par euro, car notre plan comportait deux volets.
Le ciné à la première séance de 14 heures et un repas chez Ronald le canard américain.
Ronald, avec Corinne, nous en rêvions autant que de Brad.
Nous avions plusieurs fois demandé à nos parents de nous y emmener.
Hélas, manger avec leurs doigts, très peu pour ces bourges.
Ils préféraient vivre leur vie parallèle que de profiter du moderniste que la société met à notre disposition.
Les Macs ou les Burgers en font partie, du moins pour nous.

Nous sortions de chez Ronald la peau du ventre bien tendu, contre toute volonté de rester svelte, nous nous étions gavés de frites.
Qu’elle régale d’avoir dévoré notre pain trop mou avec à l’intérieur de la viande trop cuite et que dire des frites, heureusement peu grasses.
À la maison, la bonne savait nos goûts et moi la viande rouge, il fallait juste la mettre à saisir de chaque côté, mais l’interdit balayait tout ça.
Papa, au petit déjeuner nous dit qu’il partait une nouvelle fois pour trois jours.
Il nous avait fait la grande scène du trois à la limite de nous faire pleurer, car ces trois jours de solitude loin de nous, surtout le soir, seul dans sa chambre était un calvaire à ses dires.
Quand je suis arrivée près d’un immeuble assez huppé et moderne, son calvaire montait dans sa voiture.
Sans équivoque, le pauvre chéri, il était serviable quand il ouvrait la portière de notre voiture à une brune devant avoir mon âge, après avoir déposé sa valise dans son coffre.
Calvaire quand s’étant assis à sa place, il a penché la tête pour l’embrasser me prouvant le salaud qu’il était.

• Dis-moi Lise, on dirait ton père, regarde c’est votre voiture.
• Impossible, il m’a déposé et a pris la route d’un séminaire, regarde, la voiture est noire, la couleur de la nôtre est bleu foncé.
• J’ai dû mal voir, mais crois-tu vraiment qu’elle était noire, elle est si loin maintenant !

Aucune autre question, c’est Corinne qui m’a présenté Ugo, elle l’avait rencontrée lors d’une soirée.
Il venait d’arriver, dans un premier temps, ce dadais tout noir a fini par m’intéressé.
Comme je l’ai dit, son humour, sa jovialité ont fait qu’il a été mon premier et dernier homme de ma vie.
Dès la première fois où j’ai vu sa bite, sans aucune comparaison, je l’ai reçu en moi.
J’ai eu très mal, au point que pendant plus d’un mois, j’ai refusé tous rapports.
Jusqu’au jour ou sous couvert d’une dissertation à préparer en binôme, j’ai accepté de nouveau de craquer pour mon plus grand plaisir.
J’ai même hurlé les mêmes cris que maman dans son bureau en deux fois plus fort.
C’est ce jour-là, qu’il m’a appris à lui faire une fellation.
Il était si gros et si long que malgré ce qu’il m’a dit être une gorge profonde, il en restait une bonne partie hors de ma bouche.
Quand il est en moi, mon vagin, à partir de ce jour est entièrement rempli.
Il me façonne au morceau à recevoir et comme il m’apporte orgasme sur orgasme, mon amour pour lui est mon seul crédo.

Il m’épouse grâce à maman, son association pour de bonnes œuvres étant un peu catho, d’où l’ambiguïté avec ses cris de plaisir, mais bien utile pour moi.
Vivre dans le pécher pour sa fille étant une assurance de se retrouver en enfer au moment du jugement dernier.
Mais surtout lorsque je fais du chantage à mon géniteur le menaçant de dire à ma mère ce que j’ai vu avec Corinne.
En plaidant ma cause, je sentais depuis quelque temps une tension entre eux.
J’ai appris plus tard qu’elle lui avait parlé de ses maîtresses dont une d’un bord politique très opposé au sien et qui pouvait casser sa montée vers la députation, étant son objectif.

Notre mariage depuis huit ans sans aucun nuage important coïncide avec l’avènement des portables et de différents sites Internet montrant des particularités physiques d’homme souvent black ayant les mêmes dispositions que mon mari.
Un peu nunuche, je pensais que les proportions que me proposait mon homme étaient normales.
Que tous les hommes étaient aussi développés, prenant conscience de la chance que j’avais, je redoublais d’actes sexuels avec Ugo.
Nous baisions presque plus qu’au premier jour, je comprenais mieux la chance que j’avais de l’avoir rencontré.
Maman avec ses nombreux amants, cherchait-elle les orgasmes qu’il déclenche en moi chaque fois qu’il me prend, c’est là, la question.

Autour de moi, mes copines font des allusions à leurs mecs et à ces beaux gosses qu’elles voient dans des petites vidéos pornographiques, jusqu’au jour où les choses basculent, à l’initiative de ma copine Corinne.

• Lise, je me pose une question, ton homme fait-il partie des blacks que l’on montre dans des sites et qui nous font mouiller ?

C’est comme cela qu’elle formule les choses, Corinne est elle aussi mariée, avec Louis, garçon bien moins séduisant qu’Ugo.
Corinne et moi, on est des copines depuis l’enfance.

• Je pense que tu me parles de la bite de mon mari sans arrière-pensée, je suis contre une partie carrée.
• Je m’en doutais, mais, dis-moi tout de même, est-il monté comme un âne !
• Tu as de drôles de demandes et de comparaison, c’est bien parce que nous sommes plus que des amies étant témoins l’une l’autre de nos mariages que je vais te répondre très simplement, « oui » bien que la sienne est la seule que j’ai vue de près.
• Merci, tu me permets de rêver à l’avoir en moi.
Louis, tu sais, la sienne mesure environ dix centimètres.

C’est ainsi que quelque temps passe, jusqu’au jour où elle nous invite à venir dîner, nous arrivons, il y a une surprise.

• Louis a été appelé au chevet de sa mère.
Je vous reçois toute seule, mais entrez, nous allons passer une soirée sympa.
Il vient de m’appelé, elle va bien, elle était tombée, elle a une jambe cassée.
Il va y rester jusqu’à demain.

Elle nous a préparé un gentil repas, c’est la première fois que je vois Ugo aussi prévenant envers une femme.
Il va même jusqu’à danser avec elle une lambada enflammée sexe contre sexe, cul contre cul lorsqu’il la retourne.
Je suis à deux doigts de m’interposer, quand le morceau se termine et qu’enfin il se sépare.

• Ugo, ton enveloppe, tu la veux avant ou après m’avoir baisée, je pense que tu as dit à Lise, que tu étais une escorte qui se vend à de vieilles rombières pour du fric sur « Blacks pour vous ».

Je suis tombée des nues, je savais que des sites pour les putes femelles existaient, mais d’apprendre qu’il en était de même pour des hommes et surtout des blacks, j’ai eu du mal à revenir sur terre.

• Bonjours monsieur, merci de votre enveloppe, vous permettez que je vérifie, 1 000 € pour rester avec vous toute la soirée, c’est parfait.
Par quoi voulez-vous que je commence, une pipe, on me dit championne du monde de cette pratique, je suis sûr de vous avaler en gorge profonde.
Pardon, j’ai mal compris avec votre bite dans ma bouche, vos mains sur mes oreilles pour rythmer ma fellation m’ont empêché d’entendre complètement.
Je pense que vous m’avez demandé si après, vous pourriez m’enculer !
Pipes et pénétrations vaginales, c’est 1 000 € mon cul, c’est 500 € de supplément, mais c’est tout à fait possible, je suis ouverte à toutes sollicitations de ce genre moyennant quelques jolis billets.

Eh oui, à la découverte que Corinne m’a fait voir sur Internet et ou Ugo est référencé, j’avais deux solutions.
La première c’était de le quitter, en donnant raison à mon père et de rentrer dans le rang en épousant un homme de même couleur que lui.
La deuxième, c’est de gagner plus de fric que lui après le profil que je place sur le site, « Escortes pour vous ».
Je suis en passe de dépasser les sommes que nous mettons sur nos livrets pour nos vieux jours.
Nous avons un accord l’un avec l’autre, chaque fois que l’un de nous se fait un client ou une cliente, dès notre retour nous baisons comme des malades effaçant toutes traces de tromperies.
C’est grandiose dans notre maison lorsque l’un et l’autre nous avons décroché un contrat et que nous ouvrons nos enveloppes.
Nos clients et clientes sont de simple morceaux de chair qui entre en moi avec leur capote et sa bite dans leurs vagins, recouvert elle aussi d’une capote Xxl.
Un grand plaisir dans ces moments de folie, nous baisons sans capote et merde si les conséquences me font perdre mon pari de dépasser sa fortune le temps de mettre au monde un petit métisse aussi beau que son père.




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Histoire de Chris71

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