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COLLECTION PUTE. Service rendu (1/6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/07/2024

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• Corinne, j’ai un service à te demander !

Cette phrase prononcée par Gladys va bouleverser ma vie.
Je vais vous raconter l’histoire où ce remplacement va me conduire, moi Corinne Lefèvre.
J’ai dix-huit ans depuis quelques jours lorsque j’ai mon bac avec mention « bien », 15,8, je loupe le « très bien » de 0,20 point, le plus couillon c’est qu’après coup je sais ou je les ai perdus.
C’est seulement pour mon amour-propre que je regrette cette erreur, car je choisis une classe de Philo à Créteil ou maman sais me trouver un hébergement en co-location.
On comprend bien qu’en plus de découvrir Paris et plus simplement Créteil, ma vie est bouleversée par ce changement et surtout la découverte de ma vie indépendante en colocation.
Notre logement trois-pièces se trouvent dans une tour non loin de la mairie, au 15ème étage avec vue sur le lac.
Nous avons chacune notre chambre.
Je peux d’un coup de vélo retrouver l’université et aussi acheter en commun avec Gladys, nos provisions au centre commercial « Créteil Soleil. »
Gladys suit des cours pour travailler dans la radiothérapie, elle est de la même taille que moi, mais s’habille bien différemment.
Moi blonde classique, elle brune plus sexy que je le suis.
À Créteil Soleil nos centres d’intérêt, hors bouffe dont je m’occupe gérant le budget et les achats, sont bien différents, classiques pour moi et comme je l’ai dit sexy pour elle.
Au début, la bouffe s’était celle qui avait le temps qui s’en occupait.
Mais je me suis aperçu qu’au rythme ou elle achetait des sucreries qu’avant la fin de l’année universitaire, on risquerait de terminer diabétique avec en plus un gros cul.
Dans ma province, chez maman, elle fait un jardin et nous mangeons principalement des légumes, j’ai appris à Gladys à aimer, les choux, navets et salades de diverses variétés.
Maman aime mettre en terre, des variétés souvent à la limite de disparaître.
Une autre différence, surtout les samedis soir, elle sortait en me disant qu’elle rejoignait des copines alors que je restais à bucher.
Maman, m’élevant seule depuis ma naissance, on dit de ces femmes qu’elles ont fauté avant mariage avec toutes les conséquences qui s’en sont suivi.
Pour ma part, j’ai perdu mon pucelage, il y a quelques mois avec mon oncle son frère, mais ayant double protection, pilule pour moi et capote pour lui.
Tonton, dire qu’après ce qu’il m’a fait faire, je dis encore tonton.
Comment est-ce possible, de baiser avec son tonton ?
J’étais dans la cuisine, certes, en tenue légère, je dors avec un tee-shirt, cachant ma minette, mais qu’il a pu soulever en venant se coller à moi.
Il m’a embrassé dans le cou, me saisissant un sein en soulevant mon tee-shirt de son autre main.
J’ai senti sa verge chercher son chemin, j’aurais pu crier au viol.
Mais comme au lycée les unes après les autres de mes amies racontaient ce passage obligé pour une fille, je me suis laissé faire surtout quand je l’ai vu avec ses dents déchirer un étui et se mettre cette capote.
Maman était déjà à sa petite supérette et je savais avoir mal, mais j’ai tout accepté le lendemain je me ventais de l’avoir fait sans dire la vérité sur celui qui m’avait ôté mon pucelage.
J’ai prétexté une sortie en boîte avec des amis ou le mari de l’une d’elles m’avait ôté mon pucelage dans les toilettes après un slow langoureux.
C’était pratique, j’évitais les questions sur le frère de ma mère et le fait que cette fois était la seule, mon pseudo dépuceleur étant marié avec des enfants.
J’ai passé ça d’un coup d’un soir, mais qui à ce jour a été le seul, Tonton retournant le lendemain au Sénégal où il travaille à l’ambassade de France à Dakar.
J’ai servi ce mensonge à Gladys quand entre filles, nous avons parlé de notre sexualité.
Pour sa part, j'ai compris que lorsqu’elle rejoignait ses copines, elle cherchait seulement elle aussi un coup d’un soir, comme le faisaient mes copines de lycée, jusqu’à ce qu’elle prononce cette phrase.

• Corinne, j’ai un service à te demander !
• Oui, lequel ?
• Je t’ai caché une partie importante de ma vie.
• Oui, laquelle ?
• Les samedis lorsque je sors, j’ai rendez-vous avec des hommes !
• Oui, je sais bien tu serais lesbienne, depuis six mois que nous sommes ensemble si tu avais aimé les chattes des filles, je m’en serais bien aperçu, sauf à te déplaire !
• Détrompe-toi, même si tu es un peu classique, tu as tout ce qu’il faut pour plaire à une fille, mais c’est vrai, je me contente des hommes !
• Au lycée dans notre petite bande, il y avait Susy, c’était une brouteuse de chatte, nous l’avons sue rapidement.
Son regard vers d’autres filles était assez éloquant de ses envies de sexe féminin, elle nous l’a rapidement avoué.
Elle est restée notre amie, tant qu’elle évitait de nous coller, étant toute hétéro.
• Bien vue, les hommes que je rencontre, je le fais pour de l’argent.
• Tu es une pute !
• On peut le dire, nous nous disons « escorte », nous accompagnons des hommes dans des soirées et il nous arrive de coucher avec eux si nous le désirons.
Tu m’as dit que tu avais perdu ton pucelage, dans les toilettes d’une boîte avec un homme marié.
Veux-tu gagner 2 000 €, il faudrait prendre ma place dans une soirée entre adultes consentants.
J’ai un autre rendez-vous avec un homme à qui j’ai accepté son rencard par erreur ce même soir, sans savoir qu’une soirée me serait proposée.
• Ça constituerait en quoi précisément !
• Je suis inscrite à une boîte de mannequins qui est une couverture pour des filles rencontrant des hommes.
Nous avons des rendez-vous individuels ou en groupe, là c’est une soirée où il y aura dix filles et certainement trente ou quarante hommes.
Souvent un séminaire en province se finissant par une soirée de baise dans un manoir ou un château.
• Oui, entièrement de la prostitution et tu veux que je te rende ce service, tu as jusqu’à quand pour te désister ?
Demain matin 10 heures, je remplace déjà une fille qui a eu un empêchement de dernières minutes et si je refuse, je serais hors jeu dans d’autres soirées.
J’ai besoin de cette argent, sinon, je serais dans l’impossibilité de continuer mes études, je serais obligé de me prostituer de façon moins protégée comme je le suis grâce à cette boîte.
• Je t’aime bien, tu es une fille sympa et ouverte, la nuit porte conseil, je te donnerais ma réponse demain.
Une soirée seulement, je peux faire l’impasse sur mes bouquins, mais c’est de me vendre, surtout que tu garderais l’argent.
• Tu m’as mal comprise, l’argent tu le garderas pour toi, nous avons rendez-vous au pied de la Madeleine avec les autres filles.
Le chauffeur du mini car appellera Gladys Dubois, c’est le nom sous lequel je suis inscrite à l’agence de mannequins nous servant de couverture.
Tu montes dans le bus et tu prends une place où tu le veux, au début évites d’approcher trop les filles, tu risquerais de te couper.
Aucune autre question de qui tu aies, je connais des filles, je connais des prénoms, mais j’ai oublié leur nom, chacune nous sommes là pour l’enveloppe qui nous sera remise par le chauffeur à la fin de ta prestation.
• Je vais y réfléchir, bonne nuit.

Comment dormir après une telle proposition, mais chaque fois c’est le « non, » qui l’emporte ?
Seulement, la vision d’une enveloppe d’où dépassent des beaux billets chèrement gagnés m’apparaît.
Au matin, j’ai dû finir par m’endormir, mais lorsque j’ouvre un œil mon dilemme est le même.
Outre le fait de devenir une pute, même pour une soirée, dix filles, même divisée par une cinquantaine d’hommes, ils doivent avoir un âge certain pour nous payer pour baiser.
Même si, comme je l’ai dit, je suis née de père inconnu, me faire baiser par des hommes ayant son âge, me chamboule l’estomac.
Je suis à deux doigts d’aller vomir.

• J’ai réfléchi, c’est pour toi que je vais te rendre ce service, sans pour autant connaitre la prostitution au long terme, une fois seulement j’irais à ta place.

C’est une autre que moi qui prononce ces mots, il y a trente secondes, je pensais que j’allais dire « non ».

• Merci, je savais pouvoir compter sur toi.
Je vais devoir faire un travail sur toi, si tu te présentes dans cette tenue sans maquillage et avec autre chose que ce chignon de grand-mère, tu seras repérée et le chauffeur te renverra dans tes foyers.

Coupe, mon chignon y laisse sa peau.
Manucure, c’est la première fois que j’ai des serres aux bouts des doigts lorsqu’elle m’a collé de faux ongles.
Côté vêtements, elle ouvre son armoire, me fait mettre à poil et me fait essayer ses fringues qui finissent ma transformation.
Pour les sous-vêtements, nous descendons à Créteil soleil, Gladys estime que ces bouts de tissu nous sont personnels et je me retrouve avec bustier soulevant mes seins, les bonnets étant en demi-lune, avec jarretière et donc bas de soie.
String, la ficelle me coupant les fesses.
Et c’est là que ce produit l’incident, les chaussures...
Nous faisons la même pointure, le problème est ailleurs, marcher avec des talons de plus de dix centimètres de haut.
Deux mètres et je dégringole, par chance sur son lit.
Par chance, aussi nous avons quelques heures pour que je m’entraine.
À l’heure dite, je sors de mon immeuble, je traverse le centre commercial, je longe le multisalles de cinéma et je récupère le métro, direction la Madeleine.
Dès que je suis dans le centre, pourtant vite traversé, enfin le plus vite possible, car ma mini entravant mes jambes et mes talons hauts bien mieux métrisés, mais encore un peu incertain, je veux éviter l’incident.
M’allonger, devant ces commerces bourrés d’acheteur en ces veilles de fêtes, ça me mettrait dans la lumière, moi qui aspire à passer incognito.
Tiens, le cinéma, depuis que je suis à Paris, je reste toujours dans notre logement et je sors principalement pour aller en vélo à l’université.
Si je veux être à l’heure au départ du car, pas le temps de regarder ce qu’il y a à l’affiche, surtout dans un multisalle.
On verra avec les 2 000 € que je vais gagner, je pourrais, peut-être, venir me faire une toile.
Il va sans dire, si j’y viens, ce sera sans ces chaussures, mes escarpins et mes vêtements moins voyants quand je vois les paires d’yeux qui me mattent.
Et encore, je vois les regards des hommes que je croise, un métro venant d’arriver. Mais sur mes arrières, ma mini et mes talons accentue certainement le balancement de mon postérieur.
Ouf, juste quand j’atteins, le quai un métro arrive, derrière moi, il y a un banc avec un homme d’un certain âge, même arrêtée, je sais que mes fesses sont à hauteur de ses yeux.
Tiens, contrairement au moment où je marchais, s’il a des pensées salaces, est-ce, ma tenue osée, j’apprécie.
Enfin, j’arrive à destination, il y avait une place assise en face d’un autre homme âgé.
Son regard se porte entre mes jambes et surtout sur mes cuisses, jamais au grand jamais, en public, j’en ai autant montré sauf à la piscine, mais là nous sommes tous en maillot.
À mon côté, une mémé, ça m’empêche d’écarter mes cuisses, mais sinon, j’aurais montré à ce vieux ce que d’autres vont se servir ce soir.

• C’est la première fois que tu vas à une de nos petites sauteries !...



















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Histoire de Chris71

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