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COLLECTION PUTE. Service rendu (5/6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/08/2024

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Voilà à quoi ça mène de vouloir rendre service.
Combien de fois ai-je aussi entendu, « il faut sortir couvert » lors des spots du gouvernement aux jeunes de notre nation.
C’est une pute qui dit ça après ces deux soirées où je rends service à Gladys ma colocataire et où l’argent que j’ai reçu me classe dans cette catégorie.
Une fois et demie, la première, cette soirée dans ce manoir avec d’autres filles dont Blanche la négresse qui m’a chaperonné lors de mes premiers pas comme péripatéticienne m’y a aidé.
Et une demie, car je suis obligée de venir rencontrer le client qui m’a regardé en évitant de me toucher lors de cette soirée alors que j’avais accepté l’argent me livrant intégralement à lui et à ses confrères mâles.
Si Gladys était venue reprendre sa place, la direction de l’agence de mannequins lui donnant sa couverture pour venir trouver des hommes la payant pour faire l’amour auraient pu la virer.
À ce qu’elle m’en a dit, ils sont très stricts sur la discipline envers les filles.
J’ai pu le constater lors du départ lorsque j’ai failli faire perdre du temps au groupe au départ de la Madeleine.
Je dois être réaliste, j’ai aimé toucher l’argent que ces soirées procurent, comme l’on dit, même pour une étudiante en psycho, écarter ses cuisses, pour une femme, c’est si facile.
Je vais peut-être en choquer quelques-unes.
Après c’est vous et votre conscience, vais-je réussir à rencontrer des hommes, voire un homme qui acceptera ce que j’ai fait pendant ces longues heures en groupe et ce soir en solo avec Charles, mon client.

« Chéri, je dois t’avouer quelque chose avant de devenir ta femme, j’ai fait la pute pour rendre service à une amie ! »

Combien d’hommes sont capables d’entendre une telle vérité et de vous dire « oui ma chérie, tu as bien fait de rendre service à ton amie » et continuer à m’emmener devant monsieur le maire.
Lorsque avec ma bouche, ou j’ai placé une capote, j’arrive à la faire glisser tout le long de la verge de Charles et que centimètre après centimètre je le couvre avant de baiser, ces pensées me parcourent le cerveau.
Pour cet homme, celui qui sera l’amour de ma vie, l’avenir nous le dira où j’en serais dans mon futur.
Surtout que je suis certaine que certains ou certaines peuvent penser, « il suffit qu’elle garde ça pour elle. »
Je sais que ma franchise l’emportera sur les risques qu’il parte en courant, ayant horreur du mensonge ou de cacher quoi que ce soi aux gens que j’aime.
La seule à qui je réussis à lui cacher certaines étapes de ma vie, c’est Françoise, ma maman.
Et encore depuis peu, surtout après l’épisode de la cuisine avec son frère.
Je me vois mal, lui dire « maman ton frère, a pris mon pucelage dans la cuisine. »
Mon Dieu, vers quelle pente vertigineuse, je me suis laissée entrainer en acceptant de rendre service à Gladys alors que j’avais déjà transgressé les lois en acceptant de baiser avec le frère de maman.
Maman a passé un coup de téléphone pour me demander de mes nouvelles.
Là encore j’ai omis de lui parler de ma soirée ou avec Blanche, la noire, je me suis donnée à plusieurs hommes, acceptant même la sodomie.
Il est vrai que maman est très bavarde et qu’elle a monopolisé la parole, me parlant de sa superette, dont elle craint d’être obligé de la fermer, un supermarché commençant à s’installer à la sortie de notre gros bourg.
Je sors de mes pensées lorsque Charles me commande.

• Viens sur le lit BB.
• Pourquoi le lit, on dirait que ce lit est une obsession pour toi !
Certes, je t’ai fait attendre avant que tu me baises, mais regarde, je vais me mettre à quatre pattes et tu me prendras dans cette position.
• BB en levrette, en chemin pour venir te rencontrer, j’avais espéré que nous ferions ça dans cette position.
Là encore ce sera une première et ça fait partie de mes fantasmes.

Je suis débutante dans le milieu du sexe, mais je sais qu’un fantasme ça se vit sans parler.
Alors, je me place à quatre pattes sur la moquette assez épaisse pour que je sois aussi bien que sur son lit.
Enfin, il entre en moi, deux aller et retour et je sens qu’il se vide dans sa capote.
Je le sens qui sort de moi, il s’assied le long du lit et j’entends des sanglots sortir du fonds de son corps.
Je m’assieds à mon tour à ses côtés et comme une mère le ferait avec un de ses enfants ayant du chagrin, je le prends dans mes bras.
C’est le monde à l’envers, c’est moi qui console cet homme dans la force de l’âge, alors que c’est l’inverse qui devrait se produire.

• Arrête de pleurer, on a toute la nuit devant nous, dans l’eau, tu m’as fait jouir, je te promets qu’avant que je te quitte, tu auras pris un réel plaisir avec une fille comme moi.
• Je suis bon à rien, ça fait deux fois que ça m’arrive la première avec Huguette et maintenant avec toi.
• Oui, mais après tu lui as fait un fils et elle a dû jouir !
• Tu es jeune, mais tu apprendras que bon nombre de femmes mariées simulent au lit avec leur mari.
Elles s’en épanchent près de leurs amies, mais se gardent bien de nous le faire savoir.
Nous nous croyons être leur héros alors que souvent c’est l’amant qu’elles se sentent obligées de prendre qui leur donne du plaisir.

Je sens que Charles me donne un signe de ce qu’a été sa vie avec Huguette avant sa mort, tuée par l’inconscience d’un jeune homme se croyant plus fort que ce moment fatal pour son fils et elle.
Je lui caresse la bite, sa capote étant presque sortie de sa verge devenue flaque.
Je lui retire au moment où elle s’enlève, du sperme gicle sur mes doigts.
Son fils était inconscient lorsqu’il a doublé dans un virage, je le suis lorsque je me lèche les doigts, bien que j’ignore si les maladies transmissibles le son simplement en avalant du sperme.
Dommage que Blanche est loin de moi, elle doit savoir si le sperme est transmissible, il est trop tard, je verrais ça avec Gladys, elle est en avance sur moi et doit savoir ce genre de chose.
Je masturbe Charles, le regardant naturellement avec des yeux enamourés, les pleurs de ce grand garçon m’ont ému.
Je me penche même pour le prendre dans ma bouche, comme l’on dit, petit à petit, l’oiseau fait son nid, car sa tige se redresse.

• Embrasse-moi, fait le vide en toi, tu vois, tu bandes déjà, tu vas pouvoir recommencer à me pénétrer en prenant tous ton temps.
Attends, je vais te faire une chose qui va te plaire !

Lors de la soirée ou pour la première fois, j’ai remplacé Gladys, j’ai vu Blanche prendre la verge d’un des clients et la mettre entre ses seins.
Je me place et j’en fais autant à Charles, il semble apprécier, mes seins devant lui tenir chaud.

Je suis dans la voiture de Charles, son chauffeur me ramenant chez moi.
Je l’ai laissé après qu’il est joui en même temps que moi, j’ai réellement joui sur la bite de ce garçon.
Nous étions allongés, ce coup-ci sur le lit, il est venu se blottir dans mes bras.

• Gladys, tu es incroyable, grâce à ta patience, j’ai joui bien après que je t’ai fait jouir par deux fois, tu as réussi ce que tu m’avais promis avant la fin de la nuit.
Je serais plus jeune, je t’inviterais au restaurant comme nous l’avons fait ce soir et je mettrais un genou au sol pour te demander en mariage.
• Arrête de dire des bêtises, moi l’âge, je m’en fiche, mais c’est toi qui te lasseras d’une femme ayant normalement un appétit qui te mettra sur les rotules.

Je sais la supercherie que j’ai acceptée lorsque Gladys m’a demandé de lui rendre service.
Charles me pose une question à laquelle j’ai une fraction de seconde du mal à répondre.

• BB, j’ai une question qui m’interroge dans ma tête depuis que je t’ai vu nue.
• Tu as vu ma tache de naissance sur ma fesse gauche !
Maman a la même elle sur la droite et ma grand-mère en avait une aussi.
Il se dit que les femmes qui ont ce genre de tache de naissance, descendent des putains des rois et que c’est la fleur de lys, qui leur était marquée au fer rouge que nous reproduisons en leur souvenir.
• Ça, c’est une légende, mon fils en avait une aussi et à ce que je sache, les garçons étaient rarement les putains des rois.
Non, ce qui m’interpelle, c’est la couleur de ta chat... pardon, de ton vagin.
Pour te revoir, je me suis renseigné auprès de mes copains qui s’étaient occupés de m’inscrire à la soirée où nous nous sommes rencontrés.
J’ai pu avoir le numéro de téléphone de ton agence de mannequins qui fournissait les filles et je les ai appelés.
Au début, ils voulaient savoir comment j’avais eu leur numéro.
J’ai dû être persuasif, car ils m’ont donné ton mail et je t’ai envoyé un message où tu as accepté que je t’invite.
C’est là où ça m’interpelle, lorsque j’ai donné le nom de Gladys, mon interlocutrice m’a dit « Gladys, très bon choix, cette petite brune saura vous faire passer une agréable soirée !
• Eh ! lorsque tu m’as vu nue, j’étais blonde naturelle.
Je pourrais te mentir et te faire croire que je me suis teinte, ce mot que tu as eu du mal à dire, « ma chatte. »
Mais si tu sais tenir ta langue envers l’agence de mannequins que tu as jointe et qui font travailler les filles, je te dois la vérité.

J’ai tout déballé à Charles sur le service que j’ai accepté de rendre à Gladys.

• Même si c’est surprenant, si tu désires me le dire, peux-tu me donner ton propre nom, même si Gladys, c’est déjà un nom d’emprunt, je le pense.
• Corinne, maman m’a appelé Corinne et je te promets que c’est mon vrai nom.

Il était temps de laisser Charles, encore un mensonge d’effacer, je suis satisfaite après avoir dit la vérité.
Doucher, seule, j’ai voulu éviter les effusions envers ce garçon, grand par l’âge, mais presque un enfant par le cœur.
Il a appelé son chauffeur pendant que j’étais sous la douche et me voilà de retour au-dessus de Créteil Soleil.
Je suis devant notre porte à l’étage prête à entrer, lorsqu’une envie de croissant chaud et de café s’impose à moi.
Je reprends l’ascenseur et quand j’en sors au rez-de-chaussée, je vois le chauffeur noter quelque chose sur un carnet.
Il fait demi-tour, monte en voiture et s’éloigner en direction de Paris.
J’entre dans la galerie marchande, je m’installe devant ce copieux petit déjeuner, baiser en jouissant, sans compter l’argent que j’ai gagné, je dévore.
Lorsque je remonte, la porte de Gladys est fermée, je me couche après m’être mise nue délaissant mon tee-shirt que je portais lorsque je me suis fait dépuceler.
Pendant, combien de temps et qui est cet homme qui l’a fait jouir, je l’ignore, car repue de fatigue, je tombe comme une masse.

Quelle heure est-il lorsque je sens que l’on me caresse les seins, petit à petit j’émerge, je pense que c’est Charles, mais la mémoire me revient.
Je suis rentrée et je me suis couchée seule.

• Alors Corinne, t’es-tu bien éclatée ?...

















































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Histoire de Chris71

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