COLLECTION SALOPE. La cabane de chantier (2/2)

Just, je m’appelle Just et je dirige un cabinet d’avocats dans notre ville où nous habitons, Véronique ma femme et Romain notre fils.
À ce jour, je pensais que j’avais épousé la femme sinon parfaite, mais pas loin.
La trentaine dans quelques jours et dix ans de mariage avec à la clef un magnifique petit garçon de cinq ans dont, je viens de dire qu’il avait Romain comme patronyme.
Il y a un mois, Véronique m’a fait savoir que Josyane une copine d’enfance était de retour d’Afrique et qu’elle souhaitait une fois par mois réunir quelques copines et sortir entre filles.
Qui parmi vous, qui êtes sûr de la fidélité de votre femme lui refuserait ce plaisir, moi j’ai accepté trouvant ça tout à fait normal.
Première sortie et dès cette fois, je me pose des questions, sur des bas et une petite culotte déchirée se retrouvant le lendemain dans la poubelle.
Je fais cette découverte alors que je suis seul, les jeudis soir elle passe chez sa mère avec Romain qui est là, avec elle, à leur retour.
Combien de temps, après sommes-nous seuls, je l’ignore, mais ce qui est sûr mon travail me prenant tout mon temps et mon esprit, j’oublie de lui demander le pourquoi du comment ?
Un soir, je rentre à pied du cabinet lorsqu’au loin je vois Véronique avec Josyane qui longe la palissade isolant la maison en rénovation non loin de chez nous.
Véronique m’a parlé avoir récupéré la vente elle l’a visitée avec son patron de l’agence immobilière dont elle est une employée privilégiée.
Nous sommes partie prenantes dans cette agence, nous en possédons des parts.
Un camion me les cache un instant et lorsqu’il est passé, je les vois regarder et s’engouffrer dans le trou entre deux de ces palissades.
Au début, je pense que l’une d’elles avait un besoin de se soulager, mais arrivé à mon tour dans la brèche, elles brillent par leur absence.
J’entends de la musique venant de l’Algeco et m’approchant par une fenêtre entrouverte la vision que j’ai de ma femme et de son amie, manque de me faire hurler de douleur, de chagrin et autres sensations que je peux ressentir.
Six mecs, noirs, maghrébins et même le jeune garçon blond que j’avais vu en train de pousser une brouette s’occupent de ces deux salopes.
Comment parler autrement de deux femmes bien sous tous rapports à genoux trois mecs autour d’elles en train de leur sucer la bite ?
Deux solutions s’ouvrent à moi, entrer faire un scandale, ou cette bizarre solution que j’adopte, filmer d’une main et moi aussi sortir mon sexe en me débraguettant et masturber ma tige remplissant déjà mon pantalon.
Je comprends très vite à quoi servent les matelas au sol, ça va facilité le travail des hommes à baiser ma femme et sa copine.
C’est Josyane la première qui s’allonge, chose extraordinaire, je découvre que Véronique aime sucer les chattes des femmes, ma femme est lesbienne alors qu’à aucun moment de notre vie, ce fait ne me soit remonté depuis notre mariage.
On peut penser que comme de nombreux couples le dialogue a été inexistant et un jour ils découvrent des travers qu’ils ignoraient.
Mais là depuis dix ans, nous avons de franches explications sans que cette déviance de ses rapports sexuels ne soit remontée jusqu’à moi.
Une fois pourtant, elle a entrouvert la porte de la sexualité masculine.
Nous venions, j’allais dire, de baiser, non de faire l’amour et comme il faisait très chaud, nous étions nus sur notre lit, ma queue encore frémissante de mon éjaculation.

• Dis-moi Just, toi qui es un homme, que ferais-tu, quelle serait ta réaction, si nous apprenions que Romain est homo ?

Il faut avouer que cette question alors que notre fils venait de fêter ses trois ans à de quoi surprendre.
Bien sûr, je lui ai répondu que contrairement à ces pères qui les fiches dehors, je l’aimerais tout autant.
Mais j’étais crevé, j’avais plaidé pendant quatre heures en vain ma cliente avait pris perpette, mais il faut dire que la charge était lourde contre elle.
Elle avait été prise en faute après avoir trucidé trois maris pour leur piquer leur fric.
Le jury que nous composé parmi ceux proposés comportant cinq hommes mariés, ont-ils eu peur d’être sa prochaine victime si nous la libérons et ils ont été intransigeants.
Je me suis endormi, alors que si j’avais poussé plus loin m’aura-t-elle fait des confidences sur ses rapports avec ses congénères.
Comme avocat sans sortir du secret professionnel, combien de fois j’ai eu de la part de mes clientes les aveux de leur bi-sexualité.
C’est le cas de Véronique, car alors qu’elle a sa langue caressant le clito de son amie, le chef de chantier, vient derrière elle et l’éperonne à deux mètres de moi.
Une nouvelle fois, je me pose la question de regarder tout en bandant ma femme se faire prendre par un autre que moi, surtout une énorme bite noire.

• Salope, une nouvelle fois, tu m’arroses la bite avec ton jus, nous allons être obligés de faire sécher les matelas.

Comment en si peu de temps puis-je découvrir tant de choses nouvellement pour moi des capacités de ma femme ?
Je vois très nettement la bite aller et venir dans la chatte familiale et en même temps des jets de liquide sortir par petits jets de la chatte de celle qui vient la traiter de salope.
Josyane aussi prend son pied, surtout qu’elle attire Hugo le jeune novice en travaux sur les chantiers et sexuellement avec les femmes.
Ce baissant, il retrouve la bouche accueillante de Josyane qui le masturbe tout en le pompant.
Véronique me suce elle aussi, au début elle était réticente.
Nous avons même été à deux doigts du divorce, cette pratique c’étant de plus en plus souvent instaurer au moment de sa grossesse et mon incapacité de mettre mon sexe dans sa chatte.
Elle avait peur pour notre fils, dont à ce moment j’ignorais que c’était un garçon.
Toute la journée j’avais défendu un homme sérial niqueur attaqué par une bande de femelles Me Too qui avait défilé nous expliquant comment elles avaient été séduites par ce beau gosse.
Je me masturbais dans la bouche de ma femme, tout en lui caressant le clito.
Je voyais devant moi le mouvement Me Too se faire baiser et j’ai lâché la purée au lieu de le faire sur ses seins comme je le faisais les autres fois.
Comme je viens de le dire, elle m’a joué la scène du cul tourné pendant trois jours avant d’accepter mes excuses aux restaurants où je l’emmène de temps en temps.

• Va, viens, elle t’attend cette pute, elle t’attend Hugo.

À ce moment, je vois très nettement la bite de celui dont j’ignorerais le nom jusqu’à la fin de ma vie, décharger dans la chatte de Véronique.
Noir sur noire, lorsqu’il est venu satisfaire ma salope de femme, il avait heureusement enfilé une capote et lorsqu’il sort l’ayant fait jouir.
Sa semence de même couleur que la mienne que je répandais sur les seins de ma femme me fait apparaitre qu’ils baisent avec protection.
Ma femme est une gouine, ma femme expulse des litres de liquide avec sa chatte.
Ma femme aime se faire prendre en levrette par ce sexe sur pied qui vient de la baiser.
Je découvre aussi qu’elle sait avec sa bouche mettre une capote sans les mains sur la queue frémissante d’envie de Hugo le jeune puceau.

• Viens que je te la mette dans la chatte de ma copine, profite de ce moment, comme je me souviens de la première verge que je me suis fait mettre.
Tu te souviens Josyane, tu avais peur de tomber enceinte et c’est moi qui me suis fait dépuceler par Charles le copain de celui que je devais épouser.

La salope, quelle belle salope, je le dis et je le répète, lors de notre nuit de noces, elle m’avait dit être vierge, mais comme je m’étonnais de la facilité lorsque je suis entré en elle, elle m’a servi une salade telle que ce qu’elle avait fait avant était passée comme une lettre à la poste.
Il faut dire que j’étais très très très amoureux.
Merde, elle baisait avec Charles qui était le témoin de notre amour le jour de mon mariage.
Dans la cabane de chantier, les choses vont bon train, je pense que ces salopes, « salope », je me rends compte que ce mot sera le mot principal de mon aventure.

• Quel est le con qui a laissé cette fenêtre ouverte.

Je suis à deux doigts de me laisser prendre, le grand noir ayant quitté mon champ de vision.
Hélas, je range ma queue et mon portable, la pièce où elle se trouve est bien insonorisée.
Fenêtres closes et comme du papier opaque est posé dessus, échappant à ma vision je ressors du chantier et je rentre chez nous.
Elle arrive presque deux heures plus tard, j’ai regardé la vidéo jusqu’à ce que j’entende la porte du palier s’ouvrir.

• Oh, mon chéri, tu bandes, je suis crevée après cette soirée entre filles, mais ta verge me fait envie.

Prononçant ces mots, elle se dénude, c’est facile, avant que j’aie le temps de lui demander pourquoi sa chatte était dénudée, elle s’empale sur moi.
C’est l’une des rares fois ou elle le fait, elle préfère que ce soit moi qui la couvre alors que sur la vidéo, du moins dans la partie où j’ai filmé la levrette avait sa préférence.

• Ma chérie, la semaine prochaine, comme nous l’avons prévu, nous fêtons nos dix ans de mariage.
Depuis son retour, je sens que tu es proche d’elle, invite là à diner avec nous.

Véronique veut-elle éviter les questions plus indiscrètes pendant notre petit déjeuner, sa réponse est tout aussi surprenante ce que je les ai vu faire sur ce chantier de rénovation.
Trois jours après qu’elle ait accepté de la contacter, je passe devant le chantier, les palissades et la cabane de chantier ont été enlevées et deux de ces hommes qui ont baisé ma femme chargent les dernières saletés dans un camion avant de monter et de disparaitre.

• Les filles, j’ai une surprise à vous faire, à toutes les deux !
• Je me demandais où tu nous emmenais Just, ça fait presque une heure que nous sommes sorties du restaurant !
• Ici à gauche, nous sommes arrivés.
• Un club privé qu’est-ce que cela veut dire ?

Je gare notre voiture, et je sors de la poche de ma veste mon portable.

• Mes belles salopes, regardez cette petite vidéo que par chance, j’ai filmée à vitre insu.
• Just, vas-tu divorcer ayant découvert nos tromperies ?
• Loin de moi, cette idée depuis que je vous ai filmé au début de ces soirées soi-disant entre fille, j’ai pensé à divorcer.
Mais j’ai choisi une autre sorte de ce que je pourrais considérer une vengeance.
Nous sommes devant un club échangiste, nous allons y rentrer et je veux vous voir toutes les deux vous faire défoncer comme vous saviez si bien le faire, hélas, la fin de vos débauches m’ayant été cachée.
Je veux vous voir vous faire défoncer même l’anus, car je pense qu’avec vos six gars vous avez fait la tranche de jambon et si non, je veux vous voir vous faire enculer.

Voilà ce sera la première de nos soirées libertines, j’ai choisi cette solution.
Ça fait six mois que nous venons nous éclater entre amis dans ce club qui est maintenant le nôtre.
Je vous quitte, Josyane vient de me sucer et elle attend le cul en l’air que je l’encule.
La nuit va être longue, surtout pour Véronique, depuis notre première entrée dans notre club elle est la reine des salopes de ce lieu.

À oui, j’oubliais, nous avons déménagé dans cette maison plus grande que ka notre ou six ouvriers dont un ancien jeune puceau les ayant baisé dans un algeco.
Hugo, vit avec Josyane et est dès notre chaque mois.
Il travaillait sur le chantier pour se faire du fric et vient de prêter serment comme avocat, je l’ai embauché dans mon cabinet.
Et Romain dans tout ça ?
Il est encore trop jeune pour que je connaisse sa sexualité profonde, j’ai encore un peu de temps à savoir s’il est homo.
La seule chose que je peux dire, c’est que rentrant un jour la maison, je l’ai vu marcher avec les talons hauts de Véronique et une de ses tenues affriolantes que je lui achète pour aller au club, qui vivra verra.