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COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (3/7)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/07/2024

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Quelle heure est-il lorsque je déambule dans les coursives du bateau sur lequel je suis montée avec Julien mon mari, mais qui ayant dès le début le pied autre que celui d’un marin se retrouve sous perfusion à l’infirmerie.

Je viens de me réveiller dans la cabine de Vladimir le commandant de bord de notre navire de croisière après qu’il m’ait baisé comme une reine, moi la femme fidèle à mon mari.
Lorsque j’ai accepté d’ouvrir le bal avec lui au grand dam de Violette persuadé que ce serait elle qui aurait cet honneur venant depuis cinq ans faire cette croisière avec Louis son mari.

Il a dû penser que j’allais dormir jusqu’au matin et nous faire servir un petit déjeuner avant de m’en remettre un petit coup, car malgré mon mari hospitalisé il a été facile de me faire écarter les jambes et de me baiser.
Je pense à cette thèse lorsque sur le fauteuil devant son bureau, je vois sa tenue d’apparat avec des multitudes de galons sur ses épaulettes.
En attendant ce moment, il a dû retourner vers sa passerelle diriger ce gros navire.

Je sors, je crois qu’il m’a fait venir par la droite, je m’engage sans rencontrer personne pour me guider.
Une porte « Infirmerie », je suis de plus en plus mal à l’aise savoir que Justin est là derrière certainement endormi et la sensation de plénitude que je ressentais dans mes premiers émois amoureux, me rappelle que je viens de le tromper.
Alors je continue mon chemin, je reviendrais demain la nuit portant conseil.
Une porte, j’arrive à l’ouvrir, elle donne sur une coursive extérieure et la nuit presque noire, grâce à la lune qui brille autant ici qu’à Paris.
Je m’approche du parapet, j’ignore comment l’on dit en terme marin.
Je vois la mer défiler le long du bateau, je me penche pour voir vers l’arrière à combien de mètre suis-je au-dessus des eaux de la Méditerranée, je suis incapable de le dire, mais c’est très haut.
Une main m’agrippe !

• Wendy, tu vas tomber par-dessus le bastingage.

Voilà si lors de ce voyage, pour la première fois j’ai trompé Justin, je serais plus intelligente d’un mot « bastingage » au lieu de « parapet ».

• Je t’ai vu partir avec le commandant, je pense qu’il t’a emmené dans sa cabine et vue l’heure il est sûr que vous avez enfilé d’autres choses que des perles.

Je reprends pied entièrement sur le pont et la clarté me fait voir que c’est Vénus qui est à mon côté.

• Que fais-tu là, je t’ai vu danser avec le gros Louis, je pensais que sa femme suivrait l’officier qui l’a invité et que toi tu finirais ta nuit avec ce vieux beau ?
• Quelle horreur, dès qu’il m’a pris dans ses bras, ou j’étais venue par politesse, il s’est collé à moi, me faisant sentir son odeur d’eau de toilette de basse qualité, j’ai failli gerber.
• C’était son âge, tu es jeune, il est vieux, je te comprends.
• Tu te trompes, c’était car il est un homme et que moi les hommes, si tu veux comprendre, je les vomis.
• As-tu eu une expérience malheureuse ?
• Surement pas, mes pères ont fait leur coming-out lorsque j’avais quatorze ans, j’en ai fait de même en ce qui était des filles.
Je suis lesbienne et lorsque tu m’as regardé dans la salle du restaurant, lorsque tu es arrivé dans cette magnifique robe blanche, j’ai compris que tu l’avais compris.
• C’est exact, mais quand je t’ai vu dans les bras de Louis, j’ai eu un moment de doute, surtout que rapidement Vladimir m’a conduit et tu as raison dans sa cabine.
• Et tu veux te suicider car tu as compris que tu avais trahi ton serment de mariage !
• Certes, je suis un peu confuse, mais sois rassurée, j’aime trop ma vie et mes deux enfants pour attenter à ma vie, je regardais l’eau passant le long du bateau.

C’est à ce moment que je prends conscience que Vénus s’est rapprochée de moi et que nous nous sommes pris dans nos bras, c’est à l’oreille que je lui parle.

• Certes, j’ai couché avec le commandant, mais je dois te dire qu’avant de connaitre Justin, j’ai eu de nombreux hommes et aussi une expérience avec une jeune femme de mes amis.
• Tu viens dans ma cabine où nous allons dans la tienne ?
• Laquelle est la plus rapprochée, je me suis perdue et je me suis retrouvée sur le pont à regarder la mer.
Regarde, tu as vu des poissons qui volaient ?
• Oui et regarde, nous longeons une île à ce que je sais du parcours que nous allons faire, ses lumières sont celles de la Sicile, avec à cette pointe tout au fond Syracuse pays où les hommes sont tous d’affreux macho, mes pères m’y ont emmené l’an dernier.
• Tes pères, ça j’avais compris, ils sont ensemble contrairement à Violette qui attendait tes mères, sais-tu lequel t’a conçu ?
• Non, ils ont la quarantaine et sont ensemble depuis leurs vingt ans, ma mère est une mère porteuse vivant aux États-Unis.
Lorsqu’ils m’ont fait leur confidence, ils m’ont avoué qu’ils avaient mélangé leur sperme qui a permis de féconder une américaine qui m’a porté neuf mois dans son ventre avant qu’il réussisse à me ramener en France.
Viens, j’ai un peu froid, passons par là nos cabines sont proches.

C’est ainsi que main dans la main, nos corps ayant eu du mal à se séparer qu’une nouvelle fois dans cette étrange nuit, je me retrouve à ouvrir la porte de ma cabine.

• Wendy, prenons un bain aussi bien toi que moi nous sentons l’homme surtout toi qui as dû se trotter au tient plus longtemps que le mien, je l’ai jeté dès le slow terminé.

Vénus est jeune, mais elle sait trouver une technique pour que l’une comme l’autre nous nous retrouvions nues.
Elle semble facile dans cette pratique, moi je suis un peu gauche, mon expérience avec Amila étant restée très superficielle dans les amours entre femmes, mais assez longtemps pour dire que nous nous sommes gouinés.

• Tu gardes toujours cette petite touffe noire, sur ton corps longiligne l’effet est très beau.
• C’était aussi le plaisir de Silvana, c’est elle qui m’a rasé la première, elle aimait jouer avec moi, mais hélas, elle a trouvé une autre fille et nous nous sommes quittées.
• Tu dis ça comme avec un ton de regret, c’était ton premier amour et maintenant que tu sembles penser que c’est fini, es-tu triste ?
• Non, ce sont ses jeux et pourquoi elle a suivi cette fille, elle aimait les jeux poussés sexuellement et Fortuna lui a appris à devenir ce que l’on appelle une maîtresse.
• Elle est comme moi, elle travaille dans l’enseignement, je suis professeur des écoles, je m’occupe d’une classe de CP dans le 16ème arrondissement de Paris.
• Tu fais fausse route, maîtresse dans le milieu où elle évolue c’est contraindre hommes ou femmes à des séances sadomasochistes en dirigeant les jeux de ceux qui aiment se faire dominer.
• Oui, je vois et toi tu as refusé de tomber dans ce travers.
• Lavons-nous et après je vais te montrer ce que je suis capable d’accepter dans ce genre de pratique.

Je suis un peu intrigué, quesque une jeune fille de vingt ans peut-elle m’apprendre sur le sadomasochisme, je sais que ça existe.
Mais de là à apprendre comment une jeune fille est capable de supporter la douleur, j’en rends des ronds de chapeau, je crois que c’est comme ça que l’on dit.
Avec Amira, nous avons joué dans l’eau d’une baignoire, je savonne Vénus qui en fait de même pour moi.
Nous nous rinçons mutuellement nos mains s’égarant principalement sur nos seins avec Amira, nous nous caressions le clito.
Je sens qu’avec Vénus son simple clito serait très peu actif dans les jeux qu’elle semble vouloir me montrer.

• Wendy, les affaires de ton mari sont bien là dans cette cabine et pour tenir son pantalon a-t-il une ceinture ?
• Oui, deux, une noire pour ses costumes et une blanche pour son smoking ?
• Peux-tu les sortir ?

Je vais dans l’armoire ou j’ai placé les vêtements et accessoires de Justin.
J’en sors les ceintures que je confie à Vénus.

• Attache-moi les mains devant moi, oui comme ça, fais deux tours, tu vas retrouver les trous.

Je m’exécute, que va-t-elle me faire faire, j’ai trop peur d’avoir compris.
Si elle me demande ce que je pense, serai-je capable de lui faire ce qu’elle va me demander ?
Elle s’allonge sur le lit, c’est sur et j’ai confirmation lorsqu’elle me tend la ceinture noire quels plis en deux formant une boucle.

• Voilà, frappes mes fesses, commence doucement et continue en montant en puissance.

À quoi je m’abaisse, je devrais dire « non » mais dès que cette sorte de cravache se retrouve dans mes mains, je suis une autre femme.
Loin d’être une dominatrice, surtout que les premières fois où je tape, une mouche serait posée sur les fesses de la jolie coquine, je suis sûr qu’elle serait épargnée.

• Arrête de me caresser, plus fort...








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Histoire de Chris71

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