ACCUEIL > Hétéro > Récit : COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (5/7)

COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (5/7)

+4

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/07/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :



Je dirais bien à Violette que je vais la rejoindre, mais avant je veux prendre un bain froid pour calmer mon cul qui me chauffe.
C’est ce que je manque de dire à Violette, mais Bastien le responsable de nos cabines vient de lui apporter de quoi déjeuner.
J’ignorais qu’il était possible d’en avoir un à cette heure avancée, mais la froideur d’un bon bain prime sur ma faim.
Je fais couler l’eau froide, sans la moindre parcelle de chaude et je m’apprête à entrer dans l’eau lorsque l’on frappe à ma porte.
J’enfile mon peignoir sur ma peau nue pendu près de la baignoire où je l’avais accroché avant de partir pour cette nuit mémorable.

• Bastien, j’ai parlé à Violette du balcon et elle m’a dit que vous lui apportiez son petit déjeuner.
J’ai hésité à vous déranger, mais ce plateau semble bien appétissant.
• Justement madame Violette m’a dit que vous étiez réveillée et comme j’arrête de servir les petits déjeuners dans cinq minutes, j’ai pris l’initiative de vous apporter votre café et vos viennoiseries.
Si vous préférez du thé, je retourne à l’office et je fais chauffer de l’eau vous l’aurez dans cinq minutes.
• Non, ça ira très bien, si j’avais passé commande, j’aurais choisi les mêmes choses, bien que les viennoiseries, ce soit très peu indiqué pour ma ligne.
• Vous êtes en croisière même si la santé de votre mari peut vous inquiéter.

Cette nuit, dans les bras de Vladimir puis sous les coups de ceinture portée par Vénus et qui me chauffe l’arrière-train, je dois reconnaître que la santé de Justin m’a peu importé.

• Posé le plateau sur cette table, je vous remercie encore de votre mansuétude.

Le beau gosse, s’exécute, j’ai la malencontreuse idée de regarder son joli petit cul, sans avoir les fesses qui coulent, Justin les a commençants à être flasque.
Il quitte notre cabine, je manque d’éclater de rire, le « notre cabine » étant incongru pour le temps que Justin y a passé.
Je récupère le plateau, j’enlève ma robe avec soulagement, je rentre dans l’eau, c’est divin.
Il y a un tabouret près de la baignoire, il fait une parfaite table pour que je pose mon plateau.
Croissant, hélas, pour ma ligne, mais l’eau froide et ce bon café rapidement font de moi une autre femme.
Tous plaisirs ont une fin, je l’ai expérimenté au matin avec Vénus avec ses coups de ceinture.
C’est avec un brin de regret que je me prépare à quitter ma cabine, tient le mot « notre, » a disparu.
Une culotte, aussitôt mise, aussitôt enlever, le froid m’a fait du bien mais elle ravive le feu qui brûle en moi.
Je commence à me repérer, j’arrive à l’infirmerie, je frappe.

• Madame Wendy, j’étais sûr que c’était vous, les nuits sont chaudes sur ce bateau et les gens qui viennent me voir le fond souvent en fin de matinée, le sommeil du matin est réparateur, de toute façon votre mari dort encore.

Un instant j’ai l’impression qu’il sait ce que j’ai fait au moins avec Vladimir, avec Vénus ce serait du pur hasard, notre rencontre sur la coursive s’étant fait fortuitement.

• Je viens de lui renouveler sa perfusion, j’ai diminué la dose de somnifère afin que je voie s’il est apte à poursuivre le voyage sur ses deux jambes, en attendant, entrez.

Un bureau, une chambre, Justin est là un masque sur la bouche et une perfusion dans le bras.

• Voulez-vous vous asseoir et rester près de lui ?

Mon cul, la chaleur est revenue, même dans cette pièce pourtant climatisée.

• Inutile, il dort, que ferais-je de plus !

Je me trouve ridicule de ma réponse, mais cette pièce me fait penser à celle de l’hôpital où j’allais lorsque plusieurs personnes s’en sont allées dans ma famille créant un climat qui me met mal à l’aise.
Je vais pour quitter la pièce, le docteur sans le faire exprès, c’est moi qui fais une mauvaise manœuvre se frotte à mes fesses.

• Qu’avez-vous, madame Wendy, sans le vouloir, je vous ai à peine touché ?

C’est dur, même très dur d’avouer, même à un médecin, que je me suis fait flageller avec la ceinture de celui qui gît près de moi.

• Venez, je vais vous examiner dans la pièce voisine, nous avons une deuxième chambre et un deuxième lit !
• Inutile docteur, j’ai perdu l’équilibre dans une coursive et je me suis tapée la fesse sur un coin métallique.
• Les coins métalliques sont nombreux sur un navire surtout de ce tonnage.
Vous vous êtes peut-être fait un hématome et il faut le traiter dès son début, car quelques fois, avec du retard ça peut s’aggraver.

Un toubib vous demande de vous allonger sur un lit, insister pour repartir peu lui paraitre suspect.
J’entre dans la pièce voisine identique à la pièce où Justin essaye de se remettre en forme, ayant passé le moment délicat où sa déshydratation aurait pu lui être fatal.

• Madame Wendy, c’est Vénus qui vous a fait cela, elle est sado et vous vous êtes laissé faire ?

J’ai enlevé ma robe, je me suis allongée sur le ventre, je rappelle que pour éviter la douleur, je suis sans petite culotte.
Comment le médecin peut-il me parler de Vénus ?

• Au mouvement que votre corps vient de faire, sans que je l’aie touché, vous vous demandez comment je peux vous parler de Vénus, la jeune femme qui est avec les deux messieurs ses pères ?
Je vous ai parlé des nuits chaudes, je venais de venir voir votre mari comme je le fais chaque nuit quand j’ai des patients dans ces chambres.
J’étais sur un transat sur le pont au-dessus de vous sans que vous puissiez me voir à prendre l’air frais de la nuit.
Comme elle, j’ai failli me lever lorsque je vous ai vue vous pencher sur le bastingage, mais la jeune fille est arrivée ayant eu la même peur que moi et vous avez parlé.
Je dois vous avouer piteusement que j’ai en grande partie entendu votre conversation sans pouvoir m’échapper, sans me montrer et vous déranger.
Vous êtes parties vers les cabines, à part elle qui aurait pu vous flageller, je le vois aux zébrures sur vos jolies fesses !
Il faut soigner cela, certaines traces ont lacéré la peau et ça peut s’infecter.
Attendez-moi, je vais chercher un tube de pommade, d’ici deux jours tout aura disparu.
Il va de soi que pour avoir un bon résultat, il faudra limiter quelque temps les situations sados.

J’ai envie de hurler de dépits, surtout mes fesses pointées vers le ciel.
Le toubib revient rapidement, il a mis des gants de chirurgien, il se rassoit, ouvre le tube qu’il a ramené et en pause une noisette sur ma fesse droite.
À ce moment c’est froid, mais rapidement sa main gauche qui étale la pommade commence à me chauffer.
Vais-je encore céder aux sollicitations de cet homme comme je l’ai fait avec Vladimir puis après Vénus.
Certes, les deux fois j’y ai trouvé mon plaisir, mais je suis mariée et mon mari git dans la pièce voisine.
Supposons que je décide d’allumer ce toubib en ondulant du cul pendant qu’il me masse les fesses.
L’une de ses mains, il se sert de la deuxième, risquera de s’insinuer entre mes deux mappemondes et venir caresser ma chatte.
À y penser, je mouille, je la sens couler de mon sexe et certainement venir imbiber les draps sur lesquels je repose.
Une claque sur mon postérieur ponctue la séance de massage sans que ça ou ses mains aient plongé au milieu du haut de mes jambes.

• Aie !
• Oh ! pardon, j’oubliais que vous êtes une adepte de situations masochistes.

J’entends qu’Aurélien a un sourire ironique, hélas, non c’est bien, il a terminé et en restera là.
Mes pensées sont contradictoires comme bien des choses que j’ai faites dans ma vie.
Certainement l’idéologie des médecins voyants des salopes toute leur sainte journée finiraient sur les rotules s’il sexait tout ce qui bouge.

• Reposez-vous Wendy, je vous tiens au courant si votre mari se réveille et qu’il supporte la mer, sinon, il lui faudra dormir jusqu’à notre retour.
Dans certains cas, le fait que des gens malades du mal de mer, s’ils perdent de vue la ligne d’horizon sont guéris à vie de ce phénomène, j’espère que ce sera son cas et le vôtre par ricochet.
Je garde le tube entamé et presque terminé, je dois aller à la réserve au fond de la cale et je vous en ferais livré un par Bastien votre steward.

Je quitte l’infirmerie, non, sans repasser par la chambre de Justin.
Sa barbe pousse, lui qui est toujours regardant de ce côté.
Il lui arrive de se raser deux à trois fois avec son coupe-choux, j’ai toujours peur qu’il se tranche la gorge.
Je l’embrasse sur son front, sa bouche étant obstruée par le masque lui apportant de l’air.
Je retourne vers ma cabine, je croise Louis qui va vers le casino.

• Wendy, je vais jouer quelques billets, viens-tu avec moi, tu me porteras un peu chance, c’est la galère depuis notre départ.
Violette doit être sage, sinon j’aurais une veine de cocu.

Alors là, rien de moins sûr, surtout après ce qu’elle m’a dit en fin de matinée alors que je me remettais de mon aventure avec Vladimir et après Vénus.

• Je vais chercher ma carte bancaire et je reviens !
• Inutile, la mienne suffira pour deux...





































4 vote(s)


Histoire de Chris71

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (5/7)


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :