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COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (7/7)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/07/2024

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COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (7/7)


Ne jamais dire, « jamais plus jamais » lorsque l’on est une femme trop faible pour résister à plus fort que soi.
Je vous avais laissé, Bastien le steward affecté à notre groupe de cabines de première classe se plaçant une capote sur sa queue que je venais de sucer la faisant entrer au fond de ma gorge.
Après m’avoir fait une nouvelle fois jouir, je peux même dire de façon orgasmique, en ce moment c’est Alain qui me bourre comme la belle salope que je suis.
Se faire prendre par deux jeunes hommes après dix ans de mariage et deux enfants pendant que Justin mon homme gît au fond d’un lit à l’infirmerie du bord que puis-je dire sinon que je suis une salope.
C’est celle que j’ai rencontrée et voisine de cabines, Violette qui une nouvelle fois me fait trahir mon serment d’arrêter de baiser chaque fois que je suis en situation de le faire.
Violette et Louis son mari, candaulisme à ce qu’elle en a dit, sans que je sache ce que ce mot veut dire.

• Wendy, t’es-tu déjà fait baiser en double péné, nous avons deux taureaux à notre disposition, Louis adore que je me fasse défoncer par deux bites surtout lorsqu’il me regarde.

Candaulisme, ce mot doit avoir un rapport avec la passivité qu’il me montre en restant placidement dans son fauteuil sans pour autant détourner le regard lorsque nos amants nous prenaient comme des bêtes.
Sans avoir été dans la même situation avec Justin, je suis persuadée que s’il avait été dans sa situation, il serait rapidement venu participer à nos ébats.

• Messieurs, voulez-vous me prendre tous les deux ou mon amie souhaite-t-elle le faire, je pense pour la première fois.

De quoi parle-t-elle ?
Je découvre les amours de groupe, j’en oublie même mes fesses qui se sont adoucies, après la pommade.
Qui ne dit mot consent, c’est ce que doivent se dire les deux garçons lorsque Bastien m’aide à m’empaler sur sa verge, très rapidement suivie par Alain qui m’écarte les fesses.
Les coups de ceinture se réveillent un instant, mais un instant seulement lorsque je sens un gland sur ma petite rondelle.
Et que dire des instants suivant quand un fer rouge me déchire l’anus.
Je jouis, oui, j’ai l’outrecuidance de jouir sous les coups de boutoir de ces deux verges en même temps en moi.
En arrivant pour se joindre à nos jeux libertins, Alain, qui m’encule, a parlé d’Annabel se trouvant à l’office à l’autre bout du couloir où se trouvent nos cabines.
Elle doit m’entendre hurler à la lune que je vois suivant les mouvements du bateau.
Que dire de plus, simplement que Violette m’amène sa chatte ouverte par ses deux mains et me fait sucer son clito qui atténue mes cris à l’orgasme suivant ?
Deux bites, une chatte, dommage que Louis malgré son embonpoint reste place, il aurait pu profiter de moi.
Et dire que je voulais redevenir la petite femme aimante de Justin !
Je dois le reconnaitre que Violette sait me faire découvrir des phases cachées de ma personnalité.
Je les aurais toujours ignorés si cette belle salope, m’avait laissé attendre le retour de mon mari sans m’inciter à franchir le pas de ces luxures.
Dès le premier soir, nous aurions été au restaurant et c’est lui qui m’aurait fait danser.
C’est lui qui m’aurait fait l’amour après notre retour dans notre cabine au lieu de Vladimir.
Tient, soyons folles, même si je le suis déjà, après le dîner et les pas de danse, en chemin vers notre cabine, nous nous serions perdus et retrouvés vers la piscine dans le noir à cette heure tardive.
Nous aurions fait comme nous l’avions fait pendant nos vacances à Royan où il y avait une piscine et où nous avons avec délice dans cette nuit de canicule pris un bain de minuit.
Il m’avait pris dans ses bras, nous nous étions embrassés, mes seins était libre de toute entrave sous ma jupe et j’avais senti ma petite culotte me quitter avant que sa verge vienne me clouer le long de la piscine.
Grâce à l’eau qui m’aidait à avoir une certaine légèreté, une fois empalée, j’avais noué mes jambes à ses fesses et j’avais atteint l’orgasme, l’un des plus dévastateurs qu’il m’ait apportés depuis la première fois où nous avions fait l’amour.
J’allais dire « où nous avions baisé » !
Non, ces jours-là, nous faisions l’amour alors qu’avec Vladimir, Bastien et Alain, nous venons de baiser simplement pour notre plaisir, mais, hélas, pour la douleur que je ressens au matin quand je me réveille dans ma cabine, seule dans mon lit.
Qui m’a ramené, qui m’a remis de la pommade, je vois le tube près de moi le bouchon ayant été enlevé et lorsque je passe ma main sur mes fesses, je sens que même ma rosette en est imprégnée.
J’ai mal et à l’anus et à mes rondeurs bien que plus diffus que lors de mon dernier réveille après la nuit à m’être fait flageller par Vénus.
Je sonne Bastien, j’ai mal à la tête.
Un vague souvenir me remonte à l’esprit, après m’être fait baiser en double pénétration Louis m’a offert un verre de whisky.
Réfléchissons, oui, une verge, celle de Bastien ou celle d’Alain, pourquoi pas celle de Louis devenu actif alors qu’il avait été passif depuis le début de l’orgie sexuelle auquel je me suis livrée sous la coupe de Violette, non en reste dans ces ébats que j’avais dit vouloir arrêter.
Un autre whisky, à oui, j’étais sortie de la cabine pour chercher une autre bouteille, ces poivrots ayant tout sifflé.

• Wendy, tu m’as fait appeler, te souviens-tu que je t’ai aidé à retrouver ta cabine ?

De quoi me parle cette jeune femme, en tenue comme Bastien et Alain, serait-ce possible vu le tutoiement que ce soit elle qui ait débouché le tube de calmant pour m’en badigeonner les fesses.

• Je t’ai apporté deux cachets de Doliprane, nous en avons toujours à l’office, surtout pour des passagères comme toi dans l’état où je t’ai trouvé à plus de deux heures du matin.

Allo, qui es-tu ?
Allo, tu me tutoies, avons-nous gardé les cochons ensemble ?
Raconte-moi ce que j’ai fait alors que je devais déjà être saoul comme une barrique et que je devais être nue dans la coursive, puis qu’au premier regard ma robe brille par son absence ?

• Je vois que tu t’interroges, j’ai connu des passagères qui en tenaient des bonnes, mais toi tu tenais le pompon.
J’ai entendu du bruit venant du couloir, alors que je remplaçais Bastien, nous avons des rotations à cause de la législation sur les temps de repos.
Je suis sortie, tu tambourinais sur la porte de la cabine à côté de celle où je me trouvais, tu voulais une bouteille de whisky.
• Étais-je nue ?
• Comme si tu venais de naître, je t’ai raccompagné jusqu’à ta cabine, je savais qui tu étais, tu es une vedette auprès de l’équipage, un mari malade du mal de mer comme le tient, ça fait parler.
Tu avais en main un tube de pommade dans la main, tu voulais que je t’en mette, car tu avais du mal à viser ton trou des fesses.
Je dois t’avouer quelque chose, tu m’as demandé de regarder s’il s’était refermé après que Alain t’ait enculé.
• On s’est arrêté là, je vais t’avouer que j’ai perdu toute notion de ces moments-là, c’est la façon dont tu me tutoies qui me fait penser qu’il y a eu plus que de la pommade sur mon anus ?
• Oui, tu voulais me bouffer la chatte comme tu le faisais, avec celle que tu appelais Amila.
• Et on l’a fait !
• C’était impossible de te résister et je dois dire que nous nous sommes donné beaucoup de plaisir.

Je me suis gouiné avec cette belle rouquine sans le moindre du monde m’en souvenir.
Je suis à deux doigts de lui demander si elle a quelques minutes à me consacrer pour recommencer, malgré mon mal de crâne.
C’est à ce moment, que l’on frappe à la porte de ma cabine.
Je me lève, nue comme un ver et j’ouvre en cachant ma nudité derrière le chambranle de la porte.

• Coucou, c’est nous, à, tu es là, Annabel, nous sommes passés par l’office pour te dire que je ramenais le mari de madame, comme je l’espérais, la perte de la ligne d’horizon semble l’avoir guéri de son mal de mer chronique.
Assayez-vous dans ce fauteuil, vous devez être fatigué du chemin fait depuis l’infirmerie jusqu’ici après ces longues nuits de sommeil.

Voilà, j’ai récupéré ma moitié alors que la sono directe passerelle nous signale que nous longeons la crête.
Dans les heures qui ont suivi, nous passons la plupart de notre temps près de la piscine, le toubib veut que Justin prenne le maximum de soleil avant notre retour.
Il est vrai qu’il a tendance à un peu flotter dans son maillot, lui qui depuis quelques mois me disait vouloir perdre son début de centre inhérent à un homme de son âge.
Pour ma part, j’ai remis mon une pièce, car il cache mieux mes légères traces de flagellations subies avec Vénus.
Alain nous sert à boire chaque fois que nous le demandons.
Il sait tenir sa langue comme Violette et Louis pendant les deux derniers jours avant notre retour à terre et les retrouvailles dans quelques heures avec mes enfants.
La passerelle est remise et nous quittons le bord.
Vladimir est là, me faisant un baisemain.
Hier c’était le dernier repas avant le retour à Marseille.
Comme le premier soir, il est passé de table en table, j’avais peur qu’il ne me demande d’ouvrir le bal surtout que j’avais sur moi mon autre robe longue rouge bien sûr porté sans petite culotte.
C’est sur la passerelle que Justin me fait la promesse suivante.

• Chérie, j’ai été en dessous de tout avec ce mal de mer, l’an prochain, je te promets une croisière dans les eaux des Caraïbes avec départ de Miami.
J’espère que tu me pardonneras de t’avoir laissé voyager seule.

Je m’interroge, ai-je vraiment été seule pendant cette croisière dans les îles de la Méditerranée.


































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Histoire de Chris71

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