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copine coquine 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/07/2024

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Les pizzas étaient chaudes, mais on les a réchauffées au four, Susan n’a pas de lustre, la lumière est plus que faible et le temps dehors n’était pas très clair non plus, le copain voyeur toujours à ma gauche, le jeune à ma droite.

Celui à gauche me mate et me parle souvent, après un petit apéro, le jeune me touche la cuisse, je sursaute légèrement, puis laissant faire plutôt que de bouger pour attirer l’attention de celui en face et celui à ma gauche, discutant avec le copain en face, le jeune m’attrape fermement la cuisse, je ne peux pas le repousser, sa main force le short pour monter au maximum.

Quand celui en face discute avec l’un à l’autre bout de table, avec le jeune, on discute en sous-entendu, des yeux, je lui indique de me lâcher, il chuchote, « si ma condition demandée », celui en face fini de parler, il regarde vers moi, le jeune me tripote la cuisse, celui à gauche me parle, je me tourne vers lui pour répondre.

Je parle à tous les copains et quand c’est possible, je fais signe des yeux au jeune, j’ai envie de dire qu’on verra, mais je n’ai pas envie qu’il retire sa main, un suintement m’arrive, j’ai peur que cela se voit sur mon visage, parler aux autres est un échappatoire.

En moi-même, j’espère que le jeune va continuer, entre ce que je demande et ce que j’ai envie, il y a un monde, mon short est court, mais pas encore assez pour mieux sentir sa main, si j’avais été en robe ou jupe, j’aurais écartées mes cuisses, mais en short, ça n’est pas utile.

Après avoir passé la moitié du frugal repas avec sa main sur ma cuisse, Susan ne reste pas, il a un service à rendre à une copine, des tringles à rideaux et autre petit boulot de ce genre.

Nous remontons au-dessus de la grange, le copain voyeur faisait celui qui regardait le fouillis qu’il y aura à virer en bas, il profite que j’ai grimpé 5 marches pour monter derrière moi, arrivé là-haut, il constate le boulot fait, le jeune attaque directe et jette dans la benne, j’en fais de même.

En bas, on entend le compresseur qui est mit en marche, un coup de sifflet retenti, le copain descend et la bétonnière reprend du service, on reprend notre tache et balance dans la benne, lorsqu’on se croise, ses mains me touchent, il arrive parfois qu’on tombe sur un vieil objet, je le tourne dans tous les sens pour voir s’il aurait un intérêt de déco, comme un joug de bœuf qu’on avait trouvé et qu’on va vernir.

À chaque fois que je regarde un objet, il vient derrière moi m’embrasser dans le cou, il passe sa main sur mes fesses, il me caresse les jambes, cela se fait comme si c’était la normalité, je le laisse faire, en société, mis à part à table, il est distant pour justement ne pas attirer l’attention, on arrive au bout de notre débarras.

On sait tous les 2 que nous n’aurons plus d’occasion, j’aimais bien travailler avec vous dit-il, moi aussi dis-je, qu’est ce que je n’avais pas dit là, venez, là montez dit-il en me donnant l’arrache-clou pour justifier ma présence sur l’escabeau.

À l’intérieur de la maison, il y a 2 copains avec chacun une projeteuse pneumatique, 2 autres copains avec une règle pour dresser le mur enduit et dehors, l’un prépare l’enduit sable/chaux, l’autre emmène la préparation avec la brouette, c’est l’usine, le travail à la chaîne, ce qui fait que personne ne peut monter sans être vu, la cadence serait cassée.

Une fois sur l’escabeau, il me caresse les jambes et cuisses, il me dit « ça vous plaît, mais si ça vous plaît, sinon vous ne vous laisseriez pas faire », au début, je disais non, mais maintenant, il m’a trop tripoté pour que je dise le contraire.

Descendez 2 marches dit-il, pourquoi dis-je en les descendant, là restez comme ça, il soulève mon teeshirt, je fais, hé arrête, juste le dos qu’il dit en le remontant et l’enroulant, il me dit qu’il est beau mon dos, avec humour, je lui dis qu’il est beau aussi le lavabo, ne m’écoutant pas, il m’embrasse le dos, du short à la nuque, je laisse faire, on entend le compresseur ou le bruit change, on va lancer un restant de vieux sac de jute pourrie qu’on gardait pour la fin.

Mais le compresseur reprend son bruit normal, les copains ont changé un échafaudage de place d’où la différence du bruit, je retourne à l’escabeau, car après, on doit passer le balai, ça demandera moins de 10 mn, je me positionne, il se met derrière, arrête dis-je, mais il n’est pas dupe, il dit que c’est ce que je veux, je monte l’escabeau pour qu’il me caresse les cuisses, j’en ai super envie.

Là, il n’est plus celui qui profite, mais celui qui fait ce que je lui demande, il me caresse une cuisse jusqu'à pousser ses doigts dans le short, je surveille les têtes des copains, j’ai un gémissement, il continue avec ses doigts, proches du sexe, en plus de petits gémissements, mon fessier a des soubresauts, je sens que de chaque côté, il tire mon short vers le bas, je défais le bouton au niveau de la ceinture puis les 3 autres.

Voyant que j’ai retiré les boutons, il retire sur le short et le descend jusqu’aux genoux, il veut m’embrasser les fesses, l’idée me fait mouiller, mais je renonce, la poussière et la sueur de la journée me gène, je lui dis que ce n’est pas le bon moment, que c’est trop risqué, bien sûr, il est déçu, je lui dis qu’on trouvera un moment le week-end prochain.

Je remets mon short et il me prend le tee-shirt qu’il relève en disant montre moi tes seins alors, je le laisse faire, je n’ai plus rien à lui refuser, c’est mon mari qui va être content quand ce soir, je lui dirais cela, après avoir vu mes seins dans le soutif, on vire le peu de ferraille et plastic à terre et on balaye.

Lorsqu’on finit, la bétonnière est arrêtée, 10 mn après, c’est le compresseur, pendant qu’on va voir ce qui a été fait, ils nettoient et enchaînent le matériel, mon mari et un copain sont tout plein d’enduit partout, il se frotte pour faire tomber le maximum et avec le jeune, on va chercher des bières.

On discute et le jeune entend son téléphone, il revient en disant que Susan mange chez la copine et dormira là-bas, les copains rentrent chez eux et le jeune dit à mon mari, vous ne voulez pas rester dîner, pizza ou pâtes, je fais un signe à mon mari pour qu’il accepte, et le jeune rajoute, vous pouvez même rester dormir puisqu’il ne rentre pas.

On a accepté trop vite, le jeune appelle Susan pour le prévenir, il dit ok et qu’il va passer pour prendre des affaires, de l’entendre, je dis, « mais on n’a pas pris d’affaire à mettre », mon mari dit, attend, on va prendre ce qu’il faut pour manger, et tu manges avec nous et tu dormira la bas, si tu es seul, le jeune rappelle pour dire qu’on mange à la dépendance et le copain lui dit d’apporter ses affaires à lui pendant qu’il y est.

Le jeune bloque le matériel avec sa voiture et on l’emmène à notre maison provisoire, on passe porter ses affaires à Susan et on arrive chez nous, mon mari se lave en premier, tellement il a du sable partout, pendant ce temps, le jeune en à profité pour me tripoter les seins, il a été à la douche ensuite ou j’ai informé mon mari de la situation avec le jeune, je prépare le repas et vais à la douche, je ressors en peignoir.

Après mangé, on s’installe sur le canapé, je suis au milieu, mon mari fait celui qui dort, je le réveille, il se rendort et à la 3 ème fois, il dit, « suis HS, je vais me coucher », le jeune dit qu’il va y aller aussi, mais je lui dis, tu n’as pas ta voiture, tu dors ici, demain, on t’emmène au boulot, mon mari lui dit de ne pas discuter.

En fait, si le but était de me laisser avec le jeune, mon mari était vraiment fatigué et il s’est vraiment endormi, j’ai été voir pour rassurer le jeune où je lui aurais dit qu’il dort, mais là, il dort vraiment, je lui dis qu’on est tranquille 2 ou 3 heures, car même le canon ne le réveillerait pas.

Je me suis assise sur le canapé, le jeune m’a tripoté les seins timidement au début, car craignant l’arrivée de mon mari, il est encore intimidé, mais je lui dis, « je suis toute à toi maintenant, ça fait 2 semaines que j’espère ce moment-là », pour quoi ne pas l’avoir dit alors dit-il, je lui réponds que c’est la différence d’âge, mais tant pis pour lui, qu’il m’a trop excité.

Le canapé, c’est mieux que rien, mais au lit, c’est plus pratique, sachant qu’il va avoir peur, je l’emmène dans la chambre et je prends des chaussures, lui disant qu’au pire, si mon mari se réveille, il me cherchera, il toquera à ta porte, pendant ce temps, je passerais par la fenêtre et je rentrerais par la porte extérieure ensuite, je trouverais bien une excuse.

Une fois nus tous les 2 dans le lit et dans le noir, qu’un semblant de lune éclaire, il a 3 ou 4 poils qui se battent, je n’ai même pas le temps de le toucher qu’il est déjà en train de m’embrasser partout, je profite de la jeunesse fougueuse, je suis étonnée, il se débrouille bien pour son âge.

Il m’apprendra par la suite, que très jeune, il a été initié par une quadra et qu’ensuite, il n’a eu que 2 copines, qui à ses dires, n’étaient pas top et avec des petits seins alors qu’il préfère les gros, monsieur préfère aussi les femmes mures, car elles sont plus vicieuses dit-il.

Moi qui pensais me taper un jeune, qui aurait zappé la case préliminaire, je suis surprise que ce ne soit pas le cas, après s’être rassasié de mes seins, il m’embrasse le ventre, passe sur les hanches et descend ses lèvres sur les jambes, il remonte par l’intérieur des cuisses qu’il m’écarte, je gémis en donnant du bassin.

Je l’encourage avec des « humm oui encore, continu, ou comme ça », je suis rassurée d’être passé à la douche depuis peu, il me fait marronner, les jeunes, en règle générale, ça ne sucent pas, je m’attends à ce qu’il revienne à mon niveau, mais contre toute attente, il me happe la chatte et l’aspire, je crie un « haaaa oui, haaaa encore ».

J’appuie sa tête sur mon sexe et j’ondule mon bassin pour me frotter sur sa bouche, je suis très excitée et je sens que l’orgasme est proche, comme je sais que mon mari ne viendra pas, soit il dort, soit il tend l’oreille, je ne me retiens pas de crier en jouissant, une fois de le pic passé, il se met à ma hauteur en disant, si j’avais su, j’aurais pris des protections.

Dans la poche de mon peignoir dis-je, il fouille, et se la met, il me lime ensuite en missionnaire jusqu'à un deuxième orgasme, je suis lapidée, lui, il n’a rien eu et quand je veux le purger, il me demande une cravate de notaire lumière allumée, chose que je lui accorde, je vois enfin son sexe, il n’est pas une bête de foire, mais la taille est raisonnable.

La vue de mes seins accentue son excitation et il éjacule abondamment jusqu’à mes lèvres, après un petit repos d’1/4 d’heure où on parle de test VIH, je rejoins mon mari qui dort toujours.

Le lendemain matin, on se lève en retard, tout le monde étaient fatigués, au boulot, on se regarde différemment, mais on ne peut pas se voir, dans la semaine, les portes et fenêtres arrivent, notre maison avance, Susan nous donne l’idée d’aménager les 2 pièces possibles entre chez lui et la grange, d’en faire un T2.

L’idée nous plaît, car ça paiera une partie du crédit et on remboursera plus vite, mais comme Annie finance, on n'ose pas demander plus, Susan s’en charge, la chose est entendue, le jeune est ravi, le samedi, les copains avaient vidés le bordel dans la grange, les fournisseurs avaient livrés tous les matériaux, nous pensions travailler seuls tous les 2 dans ces 2 pièces, mais des copains piquetaient les murs.

Il n’y a rien eu d’autres que des caresses des cuisses à table, le soir, mon mari demande au jeune s’il ne veut pas venir à la maison et dormir là-bas, faux cul, il dit qu’il ne veut pas déranger, j’insiste, il accepte, mon mari ne peut pas redire qu’il est encore fatigué, ce qui fait qu’il va se coucher après le premier film, nous laissant seuls.

Depuis la semaine d’avant, mon mari avait eu une idée, il a monté une serrure ou coté salle, c’est une clef, mais dans la chambre, c’est un bouton, on attend ¼ d’heure, et je fais celle qui va écouter s’il dort, c’est bon dis-je, il dort, (mais cette fois-ci, il ne dort pas), je dis au jeune qu’on reste sur le canapé, va fermer la porte de notre chambre à clef lui dis-je.

Pendant ce temps, je vais dans la salle de bain, je reviens en nuisette sexy, nuisette qu’Annie m’avait fait acheter, disant qu’un homme, on se doit de lui donner envie, en revenant, je lui demande s’il a bien fermé à clef, oui dit-il, en demandant comment faire s’il sort sans pouvoir ouvrir, je lui dis que je trouverais une excuse.

Mon mari étant candauliste, il adore me voir en allumer d’autres, il l’était déjà avant, mais depuis qu’on est ici, il y est devenu encore plus, j’ai la chance d’avoir un mari qui est l’inverse d’un jaloux, le jaloux va frapper celui qui baise sa femme, mon mari va frapper celui qui ne voudra pas me baiser, la nuisette fait son effet, le jeune est gonflé à bloc, il me viole presque.

Me poussant et m’allongeant sur le canapé, il met une main entre mes cuisses et l’autre s’occupe de mes seins, lorsque je suis bien humide, il enfile une capote pendant que je retire mon string, il s’assoit sur le canapé et me fait asseoir sur lui en m’empalant.

La course des va-et-vient est limitée, il se retire et me fait mettre à genoux en travers du canapé pour me prendre en levrette, pendant que je gémis de plaisir, un reflet sur la télé m’indique que mon mari n’est pas dans la chambre, mais dans la cuisine, de là, il a une vue complète, mieux que la serrure de porte.

Tantôt, il me bourre en s’agrippant aux hanches, tantôt en s’agrippant aux seins, si le spectacle excite mon mari, savoir qu’il me regarde m’excite aussi, l’orgasme approche, le jeune me connaît maintenant, il connaît le signe avant-coureur, il accélère en me disant de laisser venir, il m’agrippe les hanches et accélère, il se permet une claque sur ma fesse, je lui fais savoir que cela n’est pas pour me déplaire en faisant, « hooo oui encore ».

Il me claque encore 2 fois avant que je ne jouisse, je jouis et il me bourre pendant tout l’orgasme, quand soudain, il s’arrête et sort son sexe, je sais pourquoi je me dégage et le fais asseoir puis le fini avec une fellation, qu’il refuse, mais comme j’insiste, lâche tout lui dis-je, le caoutchouc n’a pas bon goût, mais de sentir mon jeune qui va jouir à son tour m’excite.

Je le sens se contracter, il m’attrape les cheveux et donne la cadence pour être vidé complètement, une fois soulagé, il me fait asseoir entre ses jambes et malaxe mes seins, c’est à moi tout ça dit-il, je réponds oui, après avoir repris notre respiration, je lui dis d’aller se coucher et que je le rejoindrais dans une demi-heure.

Il va dans la salle de bain s’essuyer le sexe et jeter la capote dans la poubelle, mon mari profite pour regagner le lit, je le rejoins, lui aussi me saute dessus, c’est un vrai plaisir d’avoir son mari qui nous baise comme une bête, un petit coup devant, un petit coup derrière, une levrette et je m’envole en silence, le paradoxe, c’est que je jouis bruyamment avec l’amant et en silence avec le mari pour ne pas que l’amant entende, je le fini comme le jeune, avec une pipe.

Après cela, mon mari s’endort comme un bébé, je passe à la salle de bain, me rincer au gant de toilette et me laver les dents, puis je rejoins mon jeune, quel bol j’ai me dis-je, un jeune amant à la maison, je passe d’un lit à l’autre, de 2 ou 3 baises la semaine, je triple la mise.

Nous sommes nus tous les 2, je caresse et embrasse ce corps jouvenceau, je me dis qu’on aura les résultats dans la semaine et le week-end prochain, je pourrai profiter de sa semence, après m’être régalé de lui, c’est à son tour, lorsqu’il m’a demandé si j’avais des tabous, j’avais répondu oui, uro, scato, nécro, zoo, sado-maso en disant que les claques sur les fesses comme il m’avait fait, j’aime.

Il me demande si quand on se saura clean, s’il pourra me faire tout ce qu’il a envie, je lui réponds que je lui appartiens complètement, il m’embrasse les seins comme s’il ne les avait jamais tripoté, il me doigte jusqu’au bord de l’orgasme, je suis moi-même étonnée de cette rapidité pour atteindre l’orgasme, cela tient du tout nouveau, tout beau.

Le changement de pâturage, réjouit les veaux, il renfile une capote, c’est beau d’être jeune, ça repart de nouveau, même s’il n’y a pas la même dureté que sur le canapé, il me prend avec mes jambes sur ses épaules et me lime comme un forcené, j’étais déjà bien avancé, je jouis avant lui, mon orgasme l’excite, il continue de me limer en me disant que je suis bonne.

Il varie la vitesse des va-et-vient en parlant, « ho putain qu’est ce que t’es bonne, haa vivement que je te remplisse », oui va y jouis, j’adore te sentir dis-je, et la juste avant, il laisse tomber mes jambes et m’embrasse sur la bouche, on mélange nos langues, son orgasme est étouffé, il reste en moi et ne se retire que quand il devient mou, nous ne parlons pas du baiser, j’en avais envie autant que lui.

Le lendemain, les copains piquetaient les murs extérieurs, Susan et le jeune attaquaient le futur T2, nous étions plus distants, on ne voulait pas prendre de risque, contrairement au copain voyeur qui lui ne se gênait pas, mon mari voulait que je le laisse mater ce qu’il peut, mais je lui avais dit que je me contentais du jeune et ne voulais pas un autre en plus.

Au boulot, je suis une femme tronc, derrière comme un comptoir, on ne me voit que la poitrine, mon mari veut toujours que j’aie des décolletés échancrés, de façon à ce que quand je me tourne un peu, ça dégage un peu plus la vue, le jeune me le fait savoir, je ne dis jamais que c’est mon mari qui me le demande, je dis au jeune, « t’es pas jaloux quand même ».

Je voulais nettoyer à mesure le futur appart du jeune, mais les 2 m’ont dit de laisser, que ce n’était pas un travail de femme, je suis retourné dans la cuisine du locataire, comme il m’a dit de faire comme chez moi, j’ai fait de la pâtisserie.

Le midi, on mange à l’intérieur encore, et mon mari fait du barboc, à table, comme à chaque fois, le voyeur à ma gauche, le jeune à droite, je ne peux pas en vouloir au voyeur, quelque part, il me fait un compliment, de plus, c’est lui qui a travaillé sur l’appart au locataire, et maintenant, il bosse pour nous pour un prix dérisoire.

Ce copain voyeur est sympa en plus, le jeune a été plus rapide que lui, mieux placé aussi à travailler avec moi, ce qui fait que je ne le rembarre pas, mais je ne coure pas 2 lièvres à la fois, comme je ne fais plus rien de sale, je suis en robe avec décolleté en V, robe donnée par la copine infirmière (punition ou récompense), qui fait une taille de moins.

Ce qui fait que le V est bien ouvert, ce qui ne dérange pas ceux en face ni le voyeur, le jeune me caresse les cuisses dès qu’il peut, d’entendre les copains parler de l’avancé des travaux, ça rassure, il est vrai que quand il y a du monde, ça avance vite, l’après-midi, mon mari me demande si j’ai remarqué le voyeur.

Bien évidement que je l’ai remarqué, ça aurait été difficile de ne pas s’en apercevoir, et comme je m’y attendais, il me dit, « il faut remercier le personnel, alors laisse faire », je ne comprends pas bien et il me dit, il va aller au sable, va avec lui, le sable est chez Annie, eux ils prennent par 30 tonnes, et on le ramène dans une remorque de 3 M3, ce que je savais pas, c’est que c’était en tracteur qu’il y va.

Je ne savais pas que 3 m3 ça pesait 5 tonnes, alors forcément, ça ne pouvait pas être en voiture, dans la cabine du tracteur, il y a un petit siège pour un passager occasionnel, après avoir donné une excuse bidon pour m’emmener, je monte et on roule, il est plus à parler, à la plaisanterie, à rire, mais tellement peut discret à mater mes cuisses, je suis obligée de lui dire de regarder la route.

Je ne sais pas si j’ai dit cela sur un ton, dont je ne me suis pas rendu compte, mais je l’ai apparemment vexé, ça m’ennuie, ce n’était pas le but, et il ne mérite pas ça, on traverse la nationale et je lui dis, arrête toi à droite là, je descends et lui aussi, je remonte et il monte les marches, je m’assois à sa place et lui dit, on échange de place.

Aller dit moi ce que je dois faire, il hésite et je lui dis, je conduis et tu m’apprends, je regarde la route et tu regardes mes cuisses, ça te va, je lui apprend que je ne suis pas un lapin de 3 semaines et que je me suis aperçue de ces regards, il dit qu’il ne peut pas, je relève ma robe à mi cuisses, aller apprends moi, et il m’a dit quoi faire, le reste du chemin, il ne s’est pas gêné, je lui ai rendu le volant 500 m avant d’arriver.

Au retour, comme cela m’avait amusé, je lui redemande le volant dès qu’on s’est éloigné, disant qu’on a 5 tonnes au cul, il ne préfère pas, j’insiste plusieurs fois et à la fin, je relève ma robe encore plus haute, il regarde et je la rabaisse, il dit que ce n’est pas qu’il ne veut pas, mais…, je suis vexée, je renchéris, quitte à perdre plus, aller dit oui, tu as vu que j’ai bien conduit, tient, si je suis au volant, je te laisse poser la main sur ma cuisse, il fait, « merde, la vache, waouh, bon prend le volant, mais fait gaffe ».

Ouf, je me sens mieux, mon orgueil féminin à failli en prendre un coup, j’ai conduit le tracteur comme une grande, j’aurais pu me tromper de route, il ne s’en serait pas aperçu, il me disait, « ha, tu sais ce que tu veux toi, qu’est-ce que c’est doux la peau d’une femme, tu le dis à personne que je t’ai laissé conduire ».

Je lui dis aussi qu’il n’a pas intérêt a répété comment j’ai obtenu l’autorisation de conduire, en même temps je lui dis qu’en venant, mon intention n’était pas de rouspéter, mais qu’il regarde la route, il me dit que je suis péte sec et qu’il croyait que je l’engueulais, je lui dis que ce n’est pas le cas, qu’au contraire je le remercie pour le temps qu’il donne à travailler, il est payé en semaine, mais le WE c’est pour rendre service.

Il m’a caressé la cuisse tout le long de la route, même la nationale, il m’a laissé la traverser en regardant et me guidant, je soupçonne qu’il m’a fait rouler moins vite pour faire durer le temps, avant d’arriver, il a repris le volant en me caressant l’autre cuisse sur les 500 m restant.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : copine coquine 2

Le 15/07/2024 - 22:26 par criloulou
Je me doutais Annie que tu reviendrais, que tu aurais trouvé pour publier la suite. Heureusement, tu ne pouvais pas nous laisser sur notre faim, toujours un réel plaisir de te lire. Bravo, très bien écrit et raconté, quel chanceux ce petit jeune...

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