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copine coquine 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/09/2024

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Le soir, hélas, on ne peut pas dire au jeune de venir, Susan n’est pas retenue ailleurs, la semaine passe et le samedi, on retourne à notre future résidence, les enduits extérieurs coté pluie sont finis, les plafonds sont retirés, les poutres sont dégagée, 2 copains se préparent à les sabler pour retirer la vieille peinture.

Susan et le jeune finissent le peu de piquetage des murs intérieurs, puis ils vont aider à filtrer le sable noir pour s’en resservir à sabler les poutres, le voyeur emmène un tuyau d’air à l’appart du jeune pour enduire ensuite, il est trop tôt pour préparer le repas, alors je vais voir, et le voyeur est là, il me dit en regardant à la fenêtre, « ils sont en face, remontre moi tes cuisses pour me donner du peps ».

Ça ne va pas, on est plus dans le tracteur-là, dis-je, s’il te plaît demande t’il avec un air de chien battu, sa tête d’idiot m’amuse et je lui montre une cuisse en mettant le pied sur la brouette, je reste 5 secondes ainsi et je lui dis en souriant, « au boulot maintenant ».

Le midi à table, quand tous sont occupés à parler entre eux, il me dit, « on est comme dans le tracteur », je ne relève pas, et en mangeant, je comprends, il me caresse la cuisse, on me pose une question à l’autre bout de table, je réponds et je sens également la main du jeune sur ma cuisse, je les écarte au maximum (mes cuisses), pour ne pas que leur mains se touchent, le voyeur prend ça pour un encouragement, surtout que ça me donne un frisson, la chair de poule.

Me voilà dans une situation embarrassante, heureusement rien n’est arrivé, l’après-midi, j’ai dit au jeune de ne plus prendre de risque, puisque maintenant, on a mieux, au voyeur, j’ai dit qu’il avait eu du rab pour du peps, mais pas plus.

J’ai appris longtemps après que le jeune eût dit à Susan, de nous dire qu’il dormait ailleurs, comme ça, le jeune mangeait avec nous et restait à regarder un film, ce qui fait que le soir, on lui dit de venir à la maison, nous prenons une douche et pendant le repas, mon mari fait celui qui dort à table, disant que le filtrage du sable ça fatigue et que le jeune, n’a pas son âge.

Après manger, mon mari va se coucher, car fatigué, une excuse pour laisser le champ libre, je débarrasse et nettoie, puis je vais voir dans la chambre, comme le jeune me regarde, je tourne la clef de la porte, je reviens en disant que ça y est, il dort, je passe dans la salle de bain mettre une tenue sexy, pour le jeune et aussi pour mon mari, qui je suis sur mate déjà, le jeune me demande où on va, je lui dis sur le canapé.

Le jeune retire son pyjama, je l’embrasse sur tout le corps puis quand il veut s’occuper de moi, espiègle, je lui dis non en me levant, comme il me court après, je m’arrange pour qu’il me rattrape derrière le canapé, mon mari ne nous voit pas lorsque nous sommes allongés sur le canapé, il m’a demandé de me déplacer derrière.

Le jeune tombe les bretelles de mon déshabillé, dégageant bien mes seins, il me les embrasse et les tète, il me pousse contre le derrière du canapé où je me tiens en mettant mes bras en arrière, avec la porte fermant à clef, il est plus rassuré que la semaine d’avant, embrassant mes seins sur le côté, il me doigte le clito, a défaut de bien me voir, car il est du côté de mon mari, il m’entendra gémir.

Je suis comblée, le jeune me donne du plaisir et mon mari nous mate, je ne sais pas, si je n’ai pas plus de plaisir, d’être maté par mon mari que par un autre, le jeune est assez entreprenant, j’adore ça, après m’avoir bien fait mouiller, il enfile une capote et me dit de faire demi-tour.

Il baisse mon string et me pénètre d’un coup sec, terme au figuré, car je suis tellement trempée, que ça rentre comme dans du beurre suivant son expression, la position offre à mon mari une vue imprenable, le jeune me lime, s’arrêtant par moment pour faire retomber la mayonnaise et repartant sur les chapeaux de roues.

Le jeune a une préférence pour la levrette en s’agrippant aux seins, objet de ses fantasmes, la situation m’excite et fatalement, j’explose, je crie tellement fort qu’il met sa main sur ma bouche, pendant qu’il continue à me bourrer, ensuite, debout et s’agrippant à mes hanches, il me lime à petite vitesse, me claquant plusieurs fois les fesses.

Il accélère, d’une main, il m’agrippe la chevelure, me relevant la tête en arrière, l’autre main me claque, il me sent reparti à jouir, et quand le deuxième orgasme m’arrive, il jouit à son tour, lâchant mes cheveux et agrippant mes seins en disant, la semaine prochaine, je mets tout dans ta chatte, t’aimera, je fais hummmm.

La baise, c’est 15 à 20 minutes, je lui avais dit que mon mari dort de ½ h et se réveille pour soit baiser, soit se rendormir, il va dans la salle de bain pendant que mon mari rentre dans la chambre et referme à clef de l’intérieur, quand le jeune revient, je fais celle qui veut rentrer et oublie que c’est fermé.

La chatte encore toute mouillée, mon mari me prend comme ça sur le côté, il me baise et ressort pour me sodomiser, une fois empalée se met sur le dos et moi sur lui, connaissant la musique, j’attrape le gode sous le traversin et je me masturbe le clito, mon mari ne bouge pas, c’est la vibration qui fait le travail, il sait quand je suis prête et il explose en même temps que moi, donnant juste quelques saccades pour bien se vider.

Une fois mon mari reposé, moi également, je passe à la salle de bain et je vais pour un deuxième service, il me dit, heureusement que tu y as été, il s'est réveillé, tu as entendu dis-je, il me dit oui, je soupçonne qu’il a écouté à la porte, le mur séparant les chambres est en pierre de 30 cm d’épaisseur, mais cela ne nous dérange pas.

Le deuxième service est avec préliminaires, caresses de nos corps, comme il sait que j’ai joui avec mon mari, je lui dis être comblé et que je lui fais tout ce qu’il voudrait, il me redemande une cravate de notaire, je me mets sur le dos et il me baise l’entre seins, dans le noir, je ne vois rien, mais j’entends sa respiration qui m’indique à quel stade il en est.

Il aime parler de ce qu’il me fera, « le week-end prochain, je te remplis, fini la capote, je te baiserais la bouche aussi », je réponds ce qui l’excite, « oui, je t’appartiendrais complètement quand on sera seuls, tu me feras tout ce que tu as envie, je recevrais ta semence comme tu auras envie, je serais ton jouet sexuel », à ces mots, il gicle sur mes seins et mon menton.

Ensuite, on se met sur le côté, face à face, je m’essuie le menton et les seins et on s’endort dans les bras l’un de l’autre, vers 3 heures, je me réveille et je rejoins mon mari qui dort.

Dans la semaine, on a nos tests, son seul mot échangé, « j’ai reçu une bonne nouvelle », moi, je lui dis pareil le lendemain, le samedi, l’enduit ou le jeune habitera est fini, le copain voyeur démonte le plancher au-dessus, le jeune sort ce qui tombe, les tommettes sont récupérées, le bois aussi et le torchis dans la remorque, vers 11 h, mon mari emmène le jeune à la décharge pour décharger ce torchis et d’autres gravats.

Je balaie mieux les pièces pour moins salir le sable de sablage des poutres, et en levant la tête, je vois des clous sur une poutre, je prends l’arrache-clou et je monte, j’arrache et j’en vois encore 2 plus loin, je déplace l’escabeau et je monte, le copain voyeur arrive, « je te tiens l’escabeau, t’as des belles jambes, elles sont douces » dit-il en passant sa main sous ma robe.

C’était super la semaine dernière et aussi à table, t’as aimé, j’ai vu ça, tu frissonnais, t’avais comme la chair de poule comme là, merde de merde me dis-je, l’histoire se répète, en effet, je frissonne, ma main tente de repousser la sienne dessous ma robe, je lui fais les gros yeux et il me dit, t’inquiète pas, je surveille que personne ne sorte d’en face.

Arrête, dis-je gentiment, mais le frisson l’encourage, il me dit, « t’es comme Marie et Annie, t’en as une belle paire », coup de chance, un autre copain arrive, descend, je vais arracher le clou me dit-il, il prend ma place et quand le copain arrive, mon voyeur est en train de déclouer, il lui dit, ha, tu es là, et c’est moi qui réponds que je n’arrivais pas à les défaire.

Celui arrivé dit au voyeur, tu y vas maintenant, ça sera ça de moins à se taper, le voyeur doit aller chercher un porte-chars pour apporter un chariot élévateur, avec ça, ils prennent la palette de plaque de plancher et la montent directement à la hauteur de pose, au lieu de les monter une à une à la main.

Le copain repart, le voyeur me dit, tu viens avec moi, j’aurais besoin qu’on me guide pour atteler, je dis non, et il me dit qu’il va attendre le jeune, donc perdre du temps, je dis, « je te vois venir, ok, je viens », il sort le tracteur et 500m plus loin, il me le laisse conduire, la remorque est à plus de 3 km d’ici je conduis et directement, il met sa main sur ma cuisse.

Je laisse faire, maintenant, c’est comme un du, sur place personne, mais le paysan est au courant, le copain prend le volant et recule, je dois juste tenir à hauteur l’anneau pour le mettre dans le crochet, je dis que je conduis, le copain dit non, car là, il y a de la longueur est ce la vraie raison ou une manière d’obtenir plus.

Il ne dit rien et 500 m plus loin, il dit, « vas-y », je prends le volant et en effet, il y a de la longueur, il me dit de ne surtout pas s’engager quelque part pour reculer ensuite, on aurait dû repasser devant la maison mais on a continué par une autre route de campagne, main sur ma cuisse, sur cette route, moi qui n’ai conduit que des petites voitures, la j’ai 15 tonnes dans les mains, on passe la nationale, comme c’est bien dégagé, il me laisse faire, me donnant juste le moment.

Une fois reparti, il a pris confiance, il est moins stressé, plus à ma cuisse qu’à la route, quand on croise une voiture, je mets les roues à droite dans l’herbe et pas trop près du fossé, lui, il aurait roulé à 30 km/h, moi, je reste à 25 km/h.

J’ai le malheur de dire, « t’en as pas marre de mes cuisses », me disant que j’ai raison, il se met plus proche de moi et me touche le sein, je fais hé, faisant une très légère embardée, il dit, « la route, uniquement la route, ne pas se laisser distraire par un événement extérieur », il recommence, je me débats un peu sans donner de coup de volant.

On croise un cycliste, je vais dans l’herbe en ralentissant, il regarde dans le rétro voir que le cycliste a dépassé l’arrière, et il me retouche le sein, tu vas en prendre une, dis-je en gesticulant mon bras gauche, ça vaut le coup dit-il, aller, je suis sûr que tu en as envie, je n’ai pas le temps de répondre, il me touche le sein.

Je gesticule encore et on arrive en vue de la maison ou est le chariot, il reprend le volant, arriver devant la grange, il n’y a personne, les chiens nous connaissent, il démarre le chariot élévateur et le monte sur le porte char, je le guide, il le cale, le sangle et on repart, 500 mètres plus loin, il s’arrête et me dit de reprendre le volant, je lui dis que ça va, j’en ai fait pas mal déjà, il me dit si, essaie, tu verras la différence avec le poids en plus.

Je reconduis, il pose sa main sur ma cuisse, je le regarde l’air de dire qu’il exagère, il répond, « hé, c’est le minimum », je dois pousser plus le moteur avant de changer de vitesse, on prend la même route que la dernière fois, on fait moins de 2 km et il me touche le bout d’un sein, direct, il durcit et il s’écrit, regarde, tu bandes.

Je le pousse encore, ce salopard m’a mis dans tous mes états, sa main sur ma cuisse n’arrange rien, dans le rétro, je vois que la sangle vibre avec le vent, je lui demande si c’est normal, il me dit d’arrêter et qu’il va la tendre.

Je profite qu’il soit parti pour remonter mon short plus haut, comme sa main est à ras du tissu, je la sentirais mieux, je pense à mon jeune qui me baisera ce soir, sans capote, cela m’émoustille, le voyeur remonte et nous repartons, il met sa main sur ma cuisse comme si cela était la norme, comme si j’allais rouspéter s’il ne le faisait pas.

Je traverse la nationale, après avoir attendu une accalmie, car j’ai de la longueur et j’ai du poids, je suis contente de ma conduite, même si cela n’a rien de difficile, sur les petites routes, se déporter bien à gauche dans les virages à droite et bien à droite dans les virages à gauche, car la remorque, elle suit, mais elle coupe aussi.

Comme je ne le repousse plus depuis la semaine dernière lorsqu’il est sur ma cuisse, pour lui, c’est un acquit, il me la caresse et me dit, t’aimes bien, je dis « non », menteuse dit-il, non-dis moi franchement sinon, et hop, il me pince un téton, je lui redis que je n’aime pas et il me pince le téton, je fais, oui, oui, j’aime.

Sa main si proche de l’endroit hypersensible, j’ai l’impression que cela se lit sur mon visage, l’endroit où je rends le volant arrive, il reprend la conduite et bloque la circulation pour descendre l’engin, mon mari est revenu, mais ils sont occupés, l’autre copain de ce matin prend le chariot élévateur et va monter les planches pendant qu’on repart, car une voiture attendait derrière.

On emmerde encore le type lorsqu’on change de place, mais ça ne dure pas, il me tripote la cuisse et on arrive à l’ endroit où on ramène le porte-chars, comme il n’y avait personne, je suis rentré dans la cour directement sous ses indications, on décroche et je repars au volant, le tracteur se sent tout léger, roule doucement, me demande-t-il, je me règle à 15 km/h avec l’accélérateur à main et dis « comme ça ».

Oui fait-il, et il se met à genou près de moi pour caresser mes 2 cuisses, il met sa main sur le dossier du siège et m’embrasse la cuisse, mais t’es malade, arrête, je lui demandais d’arrêter tout en souhaitant qu’il continu, comme il ne faisait rien de plus, j’ai roulé ainsi avec ses baisers sur les cuisses, le virage avant d’arriver il se remet droit et me dit, va y rentre, personne ne dira rien, mais tu ne dis pas que tu as conduit avec le porte-chars.

Lorsqu’on arrive, une palette de planche est déjà vidée, c’est vrai que le matériel, ça simplifie les taches, mon mari et le jeune me voit arriver en conduisant, l’un est au barboc et le jeune aide aux planches, je vais voir le travail fait et ensuite nous passons à table, mon mari a été chercher des sardines avec le jeune.

À table, je suis gâtée, jambes écartées, et 2 mains sur mes cuisses lorsque c’est possible, l’après-midi, le jeune et le voyeur posent les ½ chevrons sur les poutres de son futur appart, l’après-midi passe sans rien de spécial, Susan est invité et on dit au jeune de venir à la maison.

Le soir, tous les 3, nous mangeons des restes du barboc, sauf des sardines, mais avant de manger, mon mari passe à la douche et quand il sort, il me dit devant le jeune, « va t’habiller un peu, au lieu d’être encore en short, montre moi que j’ai une belle femme », il insiste et après la douche et un léger maquillage des yeux, je vais m’habiller.

Mon mari m’avait déjà demandé de m’habiller mieux, mais je n’étais pas prête, je me trouvais quelconque, j’avais peur d’être moquée, mais le jeune ainsi que le voyeur récemment, m’ont redonné confiance en moi, alors je me lance.

Je m’habille dans la chambre, pendant que le jeune prend sa douche, mon mari me rejoint dans la chambre et me dit d’attendre qu’il soit revenu pour venir, je me mets en jupe avec décolleté droit, bas couleur chair, string, je mets aussi des chaussures à talon.

Je suis prête et au moment de les rejoindre, je défais mon string, j’arrive dans la salle avec une démarche un peu sexy, mon mari fait wouaaaah, le jeune n’ose rien dire, mais son regard en dit long, d’un signe, mon mari me dit de défiler plusieurs fois, sans l’avoir prévu, mon mari va dans la cuisine, je le suis jusqu’à l’encadrement de porte et je relève ma jupe derrière me montrant les fesses à l’air.

J’ai mangé ainsi en ayant fait des allers retours à la cuisine sous leur regard, habillée pareil pour regarder le film ou mon mari va se coucher au deuxième, la PUB finit, je dis au jeune d’aller fermer la porte de chambre, je veux aller me changer, mais il me dit de rester comme je suis, il se met sur le canapé, je le mets nu et le suce, mon mari profite pour sortir et il va dans la chambre du jeune, là ou il voit ce qui se passe sur ce canapé.

Après l’avoir sucé, il m’allonge, relève ma jupe et me fait un cunni qui m’approche de l’orgasme, mais sans me le donner, il me fait mettre à genoux sur le canapé et m’enfile, il défait la jupe et chemisier, puis mon soutif, s’agrippant à mes seins pour me limer à toute vitesse, me faisant jouir.

Annie est comme moi, quand l’un la baise, elle imagine que c’est un autre, pendant que le jeune me baise en m’agrippant les seins, je m’imagine que c’est mon voyeur de ce matin en tracteur, d’ailleurs s’il avait beaucoup plus insisté, j’aurais succombé.

Après que j’aie joui sans retenue, il continue à me limer un peu puis se retire, son sexe tout trempé frotte mon anus et il dit, « pas de tabou hein », je ne réponds pas, mais il voit que je ne me défile pas, il pousse un peu et me fourre, j’écarte bien mes fesses pour détendre les chairs, il me claque fortement la fesse, je fais houuu, de douleur, mais c’est tellement bon de l’autre, je dis « oui encore ».

Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai confiance en ce jeune, au départ, je pensais que ça se serait arrêté à ses mains sur mes hanches et voilà que là, il me sodomise, dans sa tête, il doit se dire, quelle salope celle-là, cette idée m’excite, une autre idée me vient, mon mari adore me remplir, là où un autre s’est vidé, je lui demande de tout me mettre, de se vider complètement.

Disant qu’après, j’irai faire mon devoir conjugal puis on aurait plus de temps ensuite, t’as raison dit-il, après j’ai un cadeau pour toi, je demande quoi et il répond surprise, t’es mon objet sexuel, je réponds oui, je t’appartiens, sa surprise ça se trouve, c’est mon voyeur, ils ont goupillés leur coup ensemble, l’idée m’effraie autant qu’elle m’excite, lui appartenir, je suis d’accord, mais qu’à lui.

4 grosses claques plus tard, il accélère la cadence en se cramponnant à mes seins et jouit en me lâchant tout, j’adore cette tiédeur qui m’envahit, il continue quelques secondes puis ralenti fortement pour bien se vider, on s’assoit sur le canapé ensuite pour reprendre notre souffle.

Une fois remis de nos émotions, on ne traîne pas, il va se rincer le sexe, pendant ce temps mon mari retourne dans notre chambre, quand le jeune revient, je prends sa place pour lui faire croire que je me rince aussi, lorsque je rejoins mon mari, le jeune est couché.

Je n’ai pas besoin de lui raconter, il a tout vu et est super excité, je lui parle d’une éventuelle surprise que le jeune compte faire, je lui parle aussi du copain voyeur, cela l’excite aussi et après m’avoir longuement limé la chatte, je jouis à nouveau, il continue de me limer et quand il est près de l’orgasme, il se retire et me sodomise, il s’active encore et se vide.

Mon mari aime parfois zapper les préliminaires, ça lui permet de baiser plus longtemps, car il n’a pas l’excitation de les avoir faits, ainsi, il est plus endurant, quant à moi, le jeune s’en occupe, je vais prendre ma douche en profondeur et lorsque je rentre dans la chambre du jeune, mon cœur s’accélère, quelle est donc cette surprise.

Le chevet est allumé avec un torchon dessus pour atténuer fortement la lumière, personne d’autre dans la pièce, peut-être, attend-il dehors, me dis-je, lorsque je rentre, il se lève et retire ma robe de chambre, m’entraînant sur le lit ou il se jette sur moi, il m’embrasse partout, il me fait l’amour avec la fougue de sa jeunesse, un vrai crevard, j’ai l’impression qu’il est en manque sexuel depuis des mois.

Mes seins sont pelotés, malaxés, embrassés, les tétons sont pincés, sucés, tout mon corps est embrassé, après 5 bonnes minutes, il se met à côté de moi, je suis sur le dos et il sort de sous le traversin, un gode, je peux tout faire me dit-il, il le met en marche et me le glisse sur le clito.

Je ne tarde pas à me trémousser et gémir, se goder, c’est excitant, se faire goder est très excitant, il me regarde le visage, me demande si j’aime, je ne réponds que par signe de la tête, après m’avoir bien vibré le clito, il me pénètre avec et commence des va-et-vient qui deviennent de plus en plus rapide.

Je crie de plaisir, il me dit chut mais je lui dis qu’il dort comme une bûche, je pense plutôt qu’il m’écoute prendre du plaisir, mais non, il dormait vraiment, je finis par jouir en criant, il me refait chut, je suis lessivé, il me dit de me mettre sur le ventre, il prend le gode et me sodomise avec, se couchant sur moi, il me baise.

Il se met sur le côté en m’entraînant, s’agrippant à mes seins, bouge pas dit-il, ho putain c’est bon, le gode lui faisait de l’effet et il allait jouir ainsi, quelques secondes avant d’éjaculer, il a donné plusieurs coups de bite, laissant partir un râle en jouissant, je commençais à reprendre le chemin du plaisir, mais j’étais déjà bien comblée.

Comme à chaque fois, après avoir retiré le gode, on s’endort dans les bras de l’autre et quand je me réveille, je rejoins mon mari qui ne se réveille qu’au matin, le week-end, on se réveille entre 6 et 7 heures et on discute de la journée de la veille, là en l’occurrence, c’est de ce qui est sexuel, je lui raconte le pelotage du voyeur et la pratique du jeune.

Le midi à table, caresse des cuisses en stéréo, l’après-midi, j’aide suivant ce que je peux faire, là, je collais des bandes à la jointure des plaques de doublage, ce n’est pas lourd, c’est un autre qui fera la finition, monté sur l’escabeau, car je partais du haut, le voyeur arrive et me met directe sa main en haut de mes cuisses qu’il caresse.

En ayant un œil sur le futur appart du jeune ou presque tous sont, et aussi sur les 2 copains qui collaient les petits bouts de doublages avec les découpes entre les poutres, j’articule en silence, ma bouche bouge, mais sans le son, je fais savoir que 2 copains sont dans la pièce à côté, on les entend parler, il me fait signe qu’il gère.

Il ne perdait pas une occasion de venir me voir aux moments où il me savait seule, le midi, j’avais le jeune et lui qui me touchaient les cuisses, ce week-end et le suivant, le jeune venait dans notre maison provisoire ou chaque soir, c’était le même rituel, puis le samedi suivant, nous avons emménagé, nos meubles étaient stockés dans une grange chez Annie.

Le jeune a emménagé la semaine suivante, il n’avait rien, tout le monde lui a donné ce qu’il ne se servait plus et il a acheté d’occasion tout le reste, par la suite, le jeune passait par la fenêtre derrière, côté champs, faisait le tour derrière la grange, et allait à l’autre bout de la maison où il passait par la fenêtre aussi.

Susan, le jeune et nous, nous rembourserons l’argent emprunté pour les travaux, et nous ne voulions pas prendre de loyer, ce qui fait que Susan payait l’électricité, le jeune payait l’eau et nous, c’était la taxe foncière, tous les 4, nous étions comme une famille, je ramenais nos repas du soir, parfois, on mangeait tous les 4 en semaine et souvent le week-end.

Susan et le jeune m'aidaient beaucoup, mettre et débarrasser la table, éplucher lorsqu’il le fallait, mon mari le barboc, chacun s’arrangeait pour ne pas être pique-assiette, j’avais 3 hommes aux petits soins pour moi dont 2 dans le lit, je m’arrangeais toujours pour être attirante, pour mon mari et aussi pour le jeune et Susan qui en profitait.

J’avais au début, caché à Annie, que je me tapais le jeune, je ne lui avais parlé que des attouchements dans le grenier, peu après être installé, 2 couples de copains arrivent et la maison, Annie demande à Susan et à nous, si nous pouvons héberger chez nous Susan pour qu’il laissa son appart à l’un des couples, car l’autre, on le prend à la dépendance.

Bien évidemment, on ne peut pas refuser, et jamais on aurait refusé ce service, on ne pouvait pas dire que la chambre du fond est occupée par le jeune en douce, ce qui fait que c’est moi qui allais me faire reluire chez lui.
Le soir à la télé Susan la regardait avec nous, parfois mon mari allait se coucher au bout d’1/4 d’heure du film, je me retrouvais seule avec Susan qui comme tout le monde me matait, je reconnais qu’avec la complicité de mon mari, je l’allumais volontairement aussi.

Quand mon mari allait se coucher, il voulait y aller aussi par correction, mais je l’obligeais à rester, j’ai souvent eu des coups d’œil, mais jamais il n’a tenté quoi que ce soit malgré mon peignoir qui s’ouvrait.

Puis peut être 3 mois après en décembre, les copains d’Annie trouvent et achètent à leur tour, une ferme avec 2 autres maisons de l’autre côté du village, avec autant de travaux que nous, tous les copains et nous-même sommes sollicités, le cercle de copains d’Annie, c’est l’entraide, nous avons bénéficiés de ce concept, alors pas question de ne pas rendre à notre tour.

Cette fois, ce sont les 2 copines et le jeune qui ont débarrassé les fouillis des greniers, comme nous étions les plus prés, je ne m’occupais que des repas et des boissons, mon mari me disait de rester en jupe, les remorques pour emmener brûler ou en décharge se faisaient le lundi, jour où on travaillait.

Le samedi, je soupçonne le copain voyeur de s’arranger pour avoir besoin de sable, j’ai conduit le tracteur pour en apporter stocké chez Annie, le voyeur m’a tripoté les cuisses ainsi que des petits attouchements aux seins.
Le midi, on revenait chez nous manger, ce n’était pas loin, je préparais le repas pour tous, il y avait 2 km à faire, je gare le tracteur et remorque dans le chemin à côté et pendant que je prépare le repas, mon peloteur reste avec moi, il en profite pour me tripoter.

Il se met à genoux et me tripote les cuisses, je le laisse faire en faisant celle qui ne veut pas, je le laisse faire aussi parce que le jeune n’est pas là, ce copain n’est jamais venu m’ennuyer, à chaque fois que mon mari a eu besoin, il était là.

À genoux derrière moi, il remonte ma jupe, faisant le couturier, je m’habille au-dessus des genoux, mais pas plus, contrairement à Annie qui est à 15 cm au-dessus des genoux, pourquoi tu ne mets pas plus court, tient comme là par exemple.

Comme Annie en somme dis-je, il répond, non Annie elle, c’est jusqu'à là, disant cela, il me remonte la jupe jusqu’aux fesses, je lui dis, si elle avait sa jupe aussi courte, ils craqueraient tous leur boxer, déjà à 15 cm au-dessus des genoux, ils attrapent tous un torticolis, toi le premier, alors à ras des fesses qu’est ce que ça va être.

Je tortille du cul pour qu’il lâche ma jupe, il attrape une cuisse, héé fais-je, il me dit, toi aussi, t’aimes qu’on te mate, tu es chez toi et tu mets des chaussures à talons au lieu de mettre des chaussons, tu avais mis des mocassins pour conduire, mais tu as raison, j’aime, c’est beaucoup plus sexy comme ça et savoir que c’est pour moi que tu fais ça.

Ne t’emballe pas, dis-je, arrête de délirer, il corrige en disant, enfin, c’est un peu pour nous et beaucoup pour moi, et peut être un peu pour les autres, mais il n’y a que moi là maintenant, il me cite les copains qui me matent, mais je lui réponds qu’il n’y a pas que moi qu’il mate et que lui aussi mate marie et Annie.

Toujours en train de me caresser les cuisses, j’aimerais qu’il aille plus haut, mais je ne voudrais pas qu’il le fasse, chaque seconde, j’espère qu’il va me toucher la chatte tout en ayant peur qu’il le fasse, l’éternelle guerre entre l’envie et la raison, on entend une voiture sur la route de campagne, il se redresse derrière moi, et m’attrapant les seins à pleines mains, il me fait sentir son sexe bien dur sur mes fesses en me le disant.

Je me tortille en essayant de me dégager sans crier ni faire de grands gestes, mon mari sort de la voiture pendant qu’une autre arrive, il est en chaussette, il attrape ses chaussures et court dans une chambre pour passer par la fenêtre, côté chemin ou il y a le tracteur, non-visible de la cours où se trouve tout le monde.

Mon mari me demande, t’es toute seule, je dis oui, il dit où est le copain, je le vois derrière les autres et dis, ben là, il raconte avoir tendu des bras du tracteur, nous nous asseyons à la table, mais déçu, car je suis chez moi et je me suis mise là où je suis plus près des fourneaux.

Je vois mon jeune et ce copain à l’autre bout de table, puis je me dis dommage, j’aimais sentir leurs mains sur mes cuisses, je repense à son sexe qu’il me faisait sentir, je me console en me disant que le soir, je me tape le jeune.
C’est peu pratique, je dois passer par la fenêtre, avoir préparé des bottillons pour sortir, à la fenêtre de ma chambre, dehors, il y a un 3 marches (escabeau), exprès pour entrer et sortir.

Il m’attend, sexe en l’air, allongé sur le dos, je me déchausse après avoir retiré mon manteau ou je suis nue dessous ou avec un déshabillé, pour ne pas attirer l’attention, il a mis une serviette sur le chevet, ça éclaire le minimum, je me rue sur ce sexe dressé, le prenant à plein bouche.

Ce soir-là, j’étais super excitée, le copain voyeur m’avait chauffé à blanc, le jeune était toujours aussi excité, mon petit-fils à 5 ans de moins que lui, ça fait drôle, mais je m’en fous, je profite et lui, il ne se plaint pas, je suis son objet sexuel, je ne lui refuse rien, de la culotte vibrante en passant par plug et gode, je lui appartiens.

Le soupçonnant de regarder des pornos les soirs ou je ne viens pas, avec ses pieds, comme dans malicia, il m’a retiré mon string à table ou il y avait aussi Susan, je ne craignais pas mon mari, lui il savait tout et me demandait de me mettre totalement à sa merci, à tous ces caprices, quand le temps est doux, je ne referme pas la fenêtre, ni complètement le rideau, mon mari vient me voir entre les pattes du jeune et m’entendre gémir.

J’ai reconduit plusieurs fois le tracteur, ramener du sable et aussi en juin, avec un broyeur derrière, et c’est là qu’après, au fil des occasions, de plus en plus entreprenant, qu’en me tripotant le sein, et pinçant le téton, celui-ci durci aussitôt et bien sur il en profite, t’es chiant dis-je, tu n’es vraiment pas gentleman, pas du tout répond t’il en me tripotant le sein et la cuisse, ou sa main passe sur l’intérieur, je frémis et il me dit, « çà te plait ».

Il a raison, je ne suis pas en bois, j’écarte un peu la jambe, il a compris que je n’étais pas insensible, je me débats légèrement, tournant le torse pour qu’il lâche mon sein, tortillant mes fesses quand il veut les toucher et resserrant aussitôt les jambes quand sa main remonte de trop.

Ha ha la coquine, dit il en reprenant mon sein et pinçant le téton, se rendant bien compte que celui-ci durcit lorsqu’il me fait ces touchers, je rouspète que légèrement et ne l’engueule pas avec une envie de gifler, je garde le sourire, on appelle cela un non qui veut dire oui.

Si on dit non, en rouspétant en grosse colère, à la limite de la gifle, c’est un vrai non, mais si on dit non sans être en colère et gardant un vrai sourire, ça signifie continu comme ça, mais pas plus, même si j’en ai envie, car si une femme dit oui, ça signifie qu’il faut chercher un endroit pour baiser.

Annie disait, que plusieurs fois à des feux d’artifices au 14 juillet et au 15 août, suivant la configuration de l’endroit, elle a eu des types qui sont venus se frotter légèrement au départ et qui voyant sa passivité, ont été de plus en plus entreprenant en passant de frottage à tripotage.

D’ailleurs, elle leur tire son chapeau, sachant que celui à côté était son mari ou copain, leur corpulence refroidit les plus courageux, ils ne peuvent savoir que son mari est consentant, les 2 premiers feux d’artifices, elle avait un string, mais avec les touchers eu, elle y allait nue sous sa robe mi-cuisses.

Ce n’était pas toujours possible, mais bien souvent, quand les types commençaient à là frôler, avant que les lumières ne s’éteignent, elle se retournait et lui faisait un sourire, une manière de dire, allez y, je suis ok, elle gagnait du temps, car le contact, ensuite, était plus franc, bien appuyé, ça indiquait que son sourire était un consentement, et une fois dans le noir, sa main relevais sa robe et passant sa main dessous, l’absence de tissus lui ôtait tout doute.

Si certains ont juste caressés ses fesses, et même ses seins, d’autres l’on doigtés, d’autre lui ont baisé la main, c'est-à-dire qu’ils mettaient leur sexe dans sa main, elle serrait leur sexe et eux donnaient les coups de reins au ralenti pour garder une certaine discrétion.

La plupart étaient petits avec plus de 50 ans, une fois elle en a eu un de la 20 aine, il touchait à travers le tissu, elle a dû relever elle-même sa robe pour qu’il ose plus, il la doigté, mais il n’a pas eu de plaisir, après le feu, elle lui a demandé de la suivre, et dans un champ qui servait de parking pour les voitures, elle l’a masturbé en lui prenant sa tête dans ses seins qu’il a tripoté.

Moi-même ça m’est arrivé, mais que 2 fois en 10 ans, Marie et Annie, c’est 2 fois, tous les 3 feux, mon mari dit que ses collègues de boulot disent, « le matin, tu les vois arriver, tu bandes, et quand elles te serrent la main, tu taches ton boxer ».

Revenons à mon examinateur de permis tracteur, celui-ci me touche seins, fesses, cuisses, je le repousse sans grande conviction, il en profite, il sait l’effet que ça me fait et il comprend que je ne peux pas non plus faire plus, nous sommes copains et non des inconnus, ce qu’il me fait, ça reste entre nous comme à chaque fois.

Je l’ai déjà dit, mais ce copain est un de ceux qui plusieurs fois, se sont tapé 2 km à travers bois et prairie pour aller mater Annie dans sa salle de bain, cela a duré tant que la nuit tombait bien et que des travaux étaient en cours.

Reparlons du copain, en traversant la nationale, il me dit attention, là va y, tu as le temps de passer, oui voilà accélère, en même temps, il a mis sa main sur mon épaule droite et l’autre à attrapé mon sein, une fois la nationale passé, sa main est toujours sur mon sein et je me tortille pour lui faire comprendre qu’il n’y a plus de danger, qu’il peut me lâcher.

Il me lâche mais en me pinçant le tétons, il se remet sur le médiocre siège passager et m’attrape la cuisse, voilà, ça tu peux, hop hop hop au dessus du genou, pas dessous la ceinture, attend dit-il en me remontant complètement la robe, je regarde, voir je peux, je ne touche pas, je dis voilà, c’est ça, touche, mais qu’avec les yeux, quelle menteuse je fais, je préfère qu’il me touche, mais bon, je sais qu’il va le faire.

Comme je m’y attendais, 1 km plus loin, il me retouche la cuisse, l’intérieur de la cuisse, je fais, « ha la la » en espérant qu’il ne retire pas sa main, quel exercice compliqué, faire celle qui dit non en espérant ne pas être entendu, ça te plait hein dit-il, je lui dis, tais toi ou je rabaisse ma robe, ok, ok répond t’il en me tripotant l’intérieur de la cuisse, il me caresse en mettant sa main devant la bouche pour me montrer qu’il obéit.

S’il savait que je peine plus que lui, de ne pas succomber, que lui de se retenir, arrivé chez moi, il me laisse faire les manœuvres, je dois broyer les 2 terrains en friche autour, les 2 propriétaires n’ont plus l’âge pour faire cela et les paysans autour ont plein de boulot, il me fait mettre la vitesse adéquate, me montre la prise de force et le levier de relevage.

Pendant qu’il m’explique tout ça, il me tripote, me montrant le levier de la main droite et m’attrapant un sein de l’autre, les 2 parcelles ne sont pas grande, je passe plus de temps à faire des demi-tours, arrêter la prise de force, relever le broyeur, faire demi-tour, descendre le broyeur, remettre la prise de force puis avancer, tout en lui disant après chaque manœuvre, de me lâcher les seins et tétons.

Manipuler un tracteur n’est pas sorcier, j’arrive à maîtriser, si bien que la 2ème parcelle, je la fais avec constamment ses compliments et ses mains sur mes seins, quand il me dit, en me roulant entre ses doigts les tétons qui pointent, j’adore sentir l’effet que je te fais, il est évident que j’adore aussi, mais je lui dis en me détachant, sois tu parles et tu ne touches rien, soit tu touche et tu te tais.

Il n’a plus rien dit, sauf lorsque j’ai fait une bêtise, relever le broyeur avant d’arrêter la prise de force, avant de repartir, je lui ai offert à boire, il a bu sa bière d’une main et m’a tripoté de l’autre.
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Histoire de annizette

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