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De passion en trahison

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/06/2024

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Je m'appelle Laura et je souhaite partager avec vous une histoire qui m'a marqué.
Mon mari Samy, est un homme charmant. Le genre de personne que tout le monde décrit comme digne de confiance. J'ai trouvé en lui un partenaire de vie qui prenait soin de moi, me soutenait et m'offrait un foyer paisible.
Cependant, il travaillait de longues heures, et son ambition de faire carrière, l'éloignait de la maison. Lorsque nous nous sommes mariés, il m'a présenté à ses amis, un groupe de professionnels, et de collègues avec lesquels il entretenait des liens étroits. Ils m'ont accueilli comme l'une des leurs, et m'ont souvent fait participer à des événements sociaux, des dîners et des sorties en week-end.
Parmi le groupe, l'un d'entre eux se distingué particulièrement par sa gentillesse.
Carlos. C'était le meilleur ami de Samy, un garçon charismatique dont le sourire vous séduisait dès le premier instant.
Je me souviens très bien de la première fois où j'ai ri avec lui, de ce genre de rire qu'on ne peut contenir. C'était lors d'un dîner chez un autre ami, où tout le monde racontait
des histoires et des anecdotes. Carlos a raconté une blague avec une telle grâce, que je n'ai pas pu m'arrêter de rire.
A partir de ce moment, quelque chose s'est éveillé en moi. Dans mon esprit, je me sentais particulièrement attirée par lui. Il n'était qu'un ami et j'étais la femme de Samy, un mari travailleur qui m'aimait. Mais parfois, pendant les longues nuits où Samy était au bureau, je pensais au rire partagé avec Carlos, à l'étincelle que je ressentais quand je le voyais, à sa capacité à me faire du bien. Il m’arrivait de me caresser en pensant à lui.
Nous avons commencé à nous voir plus souvent, parfois même sans Samy. Ses amis se réunissaient, et Samy ne pouvait pas toujours être là. Au fur et à mesure que le temps passait et que Samy passait de plus en plus de temps au bureau, j'ai trouvé un réconfort inattendu dans les amis communs que je m'étais fait grâce à lui.
Ils m'ont accueilli à bras ouverts dès le premier instant et je me suis immédiatement senti intégrée au groupe. Ils organisaient des réunions et m'invitaient sans hésiter même si Samy ne pouvait pas y assister. Carlos en particulier était toujours présent à ses réunions.
Parfois il organisait lui-même les réunions dans son appartement et parfois il m'appelait directement pour un plan de dernière minute. Je ne voyais rien de mal à cela, Samy m'a toujours encouragé à avoir des relations sociales en son absence, afin que je ne me sente pas seule. La confiance entre nous s'est accrue avec le temps, notamment parce que j'ai toujours su que Carlos respectait profondément Samy. Il semblait avoir un code non écrit de loyauté entre amis et je le respectais.
Carlos me demandait souvent comment Samy allait, me donnait des conseils sur la manière de gérer le stress au travail, et partageait des anecdotes de leur jeunesse passée ensemble, qui me faisait rire. Nous parlions de nos difficultés au travail, de nos inquiétudes pour l'avenir, et même de nos rêves. J'ai découvert que derrière sa façade charmeuse, Carlos avait une personnalité réfléchie et sincère, qui me touchait. Il était facile de s'ouvrir à lui, comme s'il savait exactement ce que j'avais besoin d'entendre.
Un après-midi, après une réunion particulièrement agréable avec le groupe, Carlos m'a raccompagné chez moi avec sa voiture. Samy était en conférence et personne ne m'attendait. Lorsque nous sommes arrivés, il m'a demandé si j'allais bien.
J'ai répondu par un oui automatique, mais en le regardant, j'ai réalisé qu'il voulait vraiment savoir si j'allais bien, il voulait me l’entendre dire. A ce moment-là j'ai, compris que notre amitié était plus qu'une relation occasionnelle. Je ne sais pas exactement quand l'étincelle s'est transformé en quelque chose de plus. Je suppose que les nuits solitaires, l'épuisement émotionnel ont contribué à l'alchimie qui commençait à s’épanouir entre lui et moi.
Je ne voulais pas tromper Samy, mais le temps passais avec Carlos était comme une échappatoire à la solitude que je ressentais chaque fois que Samy était absent.
Cette nuit là, j’eus la surprise de voir Samy rentrer plus tôt de sa conférence. Je me levais, m’enroulais autour de lui, le couvrant de baisers passionnés. Au lit, je me surpassais, m’offrant avec une fougue, qui surprit agréablement mon mari. Je me réveillais le lendemain, blottie dans ses bras. Soudain, mes pensées allaient vers Carlos.
Chaque fois que Samy était absent, nôtre relation prenait une autre tournure, lorsque Carlos a commencé à proposer des réunions en tête à tête. Il dissimulait cela sous des excuses innocente, comme m'aider sur un dossier, ou m'inviter à déjeuner pour discuter d'un projet. Samy s'en inquiétait rarement, il faisait une confiance totale à Carlos, à ma fidélité, et à notre amitié. Je me suis convaincu qu'il n'y avait rien de mal à cela mais, l'étincelle latente s'est développée.
Je me souviens qu'un après-midi d'été, lors d'une promenade dans un parc voisin, nos mains se sont accidentellement touchées. C'était comme une étincelle électrique qui nous a fait nous arrêter une seconde. Nous nous sommes regardés et avons souri, comme si nous partagions un secret que nous étions les seuls à connaître.
Nous n'avons rien dit, mais à partir de ce moment-là, tout a changé, l'attirance entre nous était indéniable. Nous avons commencé à chercher des excuses, pour nous voir seul, inventant n'importe quel prétexte pour nous rencontrer dans des endroits plus privés, toujours sous le couvert de l'amitié. Mais lorsque nous étions seuls, nos yeux se cherchaient intensément, et nos gestes devenaient plus intimes.
Un regard trop proche, un toucher sur le bras, un sourire qui laissait présager beaucoup plus, je savais que je jouais avec le feu. Je savais que je mettais en péril, non
seulement mon mariage, mais aussi l'amitié entre Samy et Carlos. Pourtant je ne
pouvais pas m'en empêcher, quelque chose en moi aspirait à ces moments furtif avec Carlos, ces moments qui me faisaient me sentir vivante.
Un soir tout a changé, Samy travaillait tard sur un projet important, et Carlos m'a invité à prendre un verre dans une petite et accueillante taverne situé dans l’arrière pays.
En entrant, je repéré un panneau sur le bar « Chambre à louer». A son sourire, je compris que Carlos l’avait vu aussi. Je me projetais dans cette chambre, offerte aux désirs de Carlos pour qu’il fasse de moi la femme qu’il voulait je sois pour lui.
Nous nous sommes assis à une table isolée dans un coin sombre, où nous pouvions parler tranquillement. L'atmosphère était chargée de tension, comme si nous savions tous les deux que nous étions sur le point de vivre quelque chose qui pourrait tout changer. La conversation a commencé de manière décontractée. Comme d'habitude, nous parlons du travail, des dernières actualités, d'anecdotes amusantes dont nous nous souvenons. Au fur et à mesure que le temps passait, les verres s'accumulaient, et la musique devenait plus enveloppante, et devenions plus intime. Carlos prit la liberté de me demander si j’étais satisfaite au lit. Je ne répondis pas à la question.
La chaleur du lieu, l'alcool, la proximité physique, tout cela contribuait à poser de telle questions, créer un espace dans lequel la réalité semblait s'évanouir. C'est alors que Carlos fit un commentaire qui allait changer le cours de nos vies
- Tu sais, dit-il avec ce sourire qui m'a toujours charmé, si tu n'étais pas mariée à Samy, je t'emmènerais dans mon lit, tout de suite.
Il a dit cela sur le ton de la plaisanterie, mais il y avait un sous-entendu dans ses yeux. Je suis resté sans voix pendant un instant. Mais au lieu d'être offensé, j'ai ris nerveusement. Mon cœur battait fort. L'idée me traversait l'esprit comme un éclair, mélange de peur et d'excitation. Je ne fus pas surprise de ma réponse.
- Qui a dit que tu ne pourrais pas le faire.
Nous nous sommes regardés en silence pendant quelques secondes, qui m'ont semblé interminables. Carlos s'est approché, m’a murmuré
- Tu es sûre, a-t-il demandé, c’est ce que tu veux ?.
J'ai acquiescé. A ce moment-là, nous avons franchi une ligne infranchissable. Nous avons quitté la taverne et nous nous sommes dirigés vers son appartement. la tension était palpable, mais nous n'avons pas parlé en chemin. La ville brillait de lumière vive autour de nous, tandis que les rues devenaient un labyrinthe nous menant vers quelque chose d'interdit.
Une fois arrivé, nous sommes entrés chez lui. Dès que la porte s'est refermée, nous avons découvert nos corps pour la première fois, et je dois avouer ne pas être déçu. Nous nous sommes couvert de baisers passionnés, nous nous sommes retrouver dans une étreinte désespérée, comme si nous essayions de rattraper des semaines d'amour interdit, que nous ne nous étions jamais permis de ressentir. J’ai compris ce que signifiait être baiser par un homme qui vous faisait sentir désiré, un homme qui non seulement vous voyait femme, mais vous comprenait vraiment. Samy n'avait jamais été comme ça, son affection était plus distante, plus réservée.
Cette nuit-là, entre les draps en sueur, je suis tombée amoureuse de Carlos.
Le lendemain matin, je me suis réveillée avec un sentiment de culpabilité, de trahison. En voyant Carlos à côté de moi endormi, avec une expression sereine, j'ai ressenti un mélange de satisfaction et de peur. J'avais trahi Samy, je ne savais pas comment gérer la situation, comment la lui cacher, mais une chose était claire, je ne pouvais plus nier mes sentiments pour Carlos.
J'ai décidé de rentrer chez moi avant que Samy ne rentre du travail. j'ai laissé un mot à Carlos, lui disant que nous devions parler, que je ne savais pourquoi j’avais ça.
J'ai passé le reste de la journée à réfléchir à ce que je devais faire.
Samy est rentré plus tard dans la soirée, épuisé par sa journée. Il m'a embrassé et m'a raconté sa journée, comme d'habitude. J'ai essayé de cacher ma confusion, mais c'était difficile. Les jours suivants, Carlos et moi avons évité de parler de ce qui s'était passé cette nuit-là. Nous nous voyons toujours en groupe, les moments seuls étaient exclus. Cependant, chaque fois que nos regards se croisaient, je ressentais une connexion, une attirance qui ne pouvait être ignorée.
Je me suis rendue compte que j'étais confronté à un dilemme insoluble. J'aimais Samy,
mais mes sentiments pour Carlos étaient devenus trop forts pour être ignoré. Un jour Carlos m'a appelé pour me demander si nous pouvions nous rencontrer pour discuter. Nous nous sommes retrouvés dans un café loin de nos amis communs.
Il m'a dit qu'il comprenait la complexité de la situation, et qu'il ne voulait pas me brusquer, mais qu'il avait besoin de savoir ce que je ressentait. Nous avons parlé longtemps, essayant de trouver une solution qui n'existait pas vraiment.
Finalement, nous avons décidé que la meilleure chose à faire était de prendre du recul. Carlos a accepté une offre d'emploi dans une autre ville, et nous nous sommes promis
de ne plus nous revoir, de tout oublié pour le bien de Samy.
La séparation a été douloureuse mais je savais que c'était la meilleure décision. Depuis ce jour, j'essaie de me concentrer sur mon mariage, de retrouver cette proximité avec Samy, mais chaque fois que je pense à Carlos, une partie de moi regrette ce que nous avons perdu. Je ne sais pas si j'ai fait le bon choix, mais j'espère qu'avec le temps la
douleur s'estompera, et que je pourrais trouver la paix dans mon cœur .
Un après-midi ou j’étais seule, je reçu un message vocal de Carlos. Un extrait d’un tube connu des années soixante dix. « Faisons l’amour avant de nous dire adieux ».
Je mis très peu de temps à réfléchir. Une heure plus tard, je sonnais à son appartement. A peine a-t-il ouvert, que j’étais dans se bras. Pour cette dernière nuit, je me suis offerte comme jamais je ne m’étais offerte, ni à Samy, ni à Carlos. C’est moi qui menait les ébats, bravant tout les interdit, imposant par ou, et comment je voulais être prise. Carlos ne s’en plaignait pas, n’en finissait pas de me faire jouir, les orgasmes défilaient à une cadence infernale. Carlos était un amant exceptionnel.
Je profitais de son sommeil, pour prendre une douche, et quitter l’appartement sans un adieux. Parce que c’était bien ça, un adieux.
Quelques semaines plus tard, je me reposais sur mon transat, repassant tous les moments torride passé avec Carlos. Avant de partir, il avait laissé une trace indélébile de son passage. Je ressentais son œuvre grossir dans mon ventre, ce que Samy cherchait à faire depuis un an.
Quelques jours plus tard, Samy me confirma le départ de Carlos. Il me dit qu’il avait enfin décidé de renouer avec sa femme. Ce fut le coup de massue.
Et moi qui avais hésité entre Samy et lui, ce goujat qui avait abusé de moi. En fait, il cherchait une femme pour passer du bon temps, s’amuser pendant son séjour dans la région. Il n’a pas vu le mal qu’il pouvait causer à Samy, son meilleur pote.
Quant à moi, je devais prendre une décision de toute urgence. Mon corps me disait de poursuivre cette grossesse. Mon cœur me disais de l’interrompre. Par amour pour mon mari, j’optais pour la seconde solution. Samy n’a jamais su ce qu’il s’était passé.



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Histoire de Aurore34

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