Dilemme pour une belle-mère 4

Marion se rend compte qu'elle vient de faire une grave erreur, toute la journée, elle est stressée, elle va mal. Ses gestes sont maladroits. Elle attend avec inquiétude l'arrivée de son mari. Enfin, en fin d'après-midi, il fait son apparition. Toujours très amoureux de sa femme, il lui sourit et l'embrasse, il est fier d'avoir une épouse comme elle, si prévenante et amante. Mais avec ce qu'elle va lui avouer, il va vite déchanter.

Marion décide de lui parler que lorsqu'ils seront dans leur chambre, pour l'instant le courage lui manque. Pendant le repas, elle reste muette, quelques fois, elle lance un regard vers son amant, en se pinçant les lèvres. Enfin le diner et terminé, après une douche le couple monte se coucher. Marion retire ses vêtements et enfile sur son corps nu une nuisette transparente. Pour l'instant, elle ne pense pas à aguicher son mari, elle a autre chose en tête. Une fois que Marcel et dans le lit, elle se faufile contre lui et en béguant lui dit :

-Mon chéri, j'ai une chose affreuse à t'avouer, c'est difficile, mais il faut que je libère mon esprit de ce fardeau !

Marcel la regarde et dit en fronçant les sourcils :

-Je t'écoute ma chérie, qu'as-tu de si grave à me dire !

Ce sont les yeux pleins de larmes que Marion commence à s'exprimer :

-Eh bien voilà, aujourd'hui, je t'ai trompé, j'ai fait l'amour avec une autre personne !

Marcel sursaute et réplique :


Tu me fais une blague là, et par curiosité qui est ce chanceux élu ?

En se raclant fortement la gorge, Marion répond :

-Hum, c'est Justin !

Marcel bondit :

-Quoi mon fils, tu as couché avec mon fils, mais tu es folle, tu pourrais être sa mère, mais qu'est-ce qui t'a pris !

C'est en sanglotant que Marion raconte ce qui s'est passé depuis le début, sans omettre un détail. Marcel reste sans voix un moment et avec des trémolos dans la voix, réplique :

-Donc Justin t'aime, c'est d'ailleurs pour cela qu'il te menait une vie d'enfer, car tu étais à moi !

En reniflant, Marion répond :

-Oui, c'est ça, mais les choses ont évoluées contre mon gré, il me pressait tellement, que petit à petit, je suis tombée amoureuse de lui, et ce matin, je lui ai cédé, voila, tu sais tout, j'ai honte à mourir, j'accepte toutes décisions que tu prendras !

Marcel se pince les lèvres, il semble très éprouvé par cet aveu, il dit en ravalant sa salive :

-Je veux te faire aucun mal, si vous vous aimez, je m'effacerai, bien que cela me coute beaucoup, si tu veux divorcer, je ne mettrai aucun obstacles, je ne veux que ton bonheur !

Marion se jette dans les bras de son mari en pleurant à chaudes larmes, elle dit entre deux souffles :

-Mais mon chéri, je ne veux pas divorcer, je deviens folle, je vous veux tous les deux, je vous aime tous les deux, oh comme c'est terrible une chose pareille, je ne sais que faire, aide-moi mon chéri !


Marcel, relève le menton de sa femme avec deux doigts, et dépose un petit baiser sur ses lèvres humides, il dit :

-Si tu nous aimes tous les deux alors, je ne vois que le partage !

Marion reste sans voix en écarquillant les yeux, en entendant les paroles de son mari. Elle met un certain temps à réagir :

-Je, je, pourrai vous aimer tous les deux, c'est ce que tu proposes mon chéri !

Marcel la regarde droit dans les yeux et lui dit :

-Oui tous les deux, et même ensemble si cela te chante, je ferai tout pour que tu sois heureuse, même en me cocufiant avec mon fils !

Marcel l'embrasse fougueusement, les langues se nouent pour un long baiser. Les deux font l'amour comme des bêtes une grosse partie de la nuit. Justin lui a entendu les gémissements des deux amants, cela l'a rendu nerveux et jaloux. C'est lorsqu'il n'a plus entendu de gémissements, qu'il sait endormit, non sans s'être fait un ultime plaisir digital.

Le lendemain matin, la porte de Justin s'ouvre, son papa accompagné de sa femme entre dans la pièce. Justin s'attend au pire, comme Marion lui a dit qu'elle raconterait tout à son mari, il craint le pire. Marion est souriante, elle fait tomber sa nuisette, et repousse les draps. Elle regarde le corps nu de son jeune amant et dit en voyant, les poils recouverts de sperme séché :


-Oh mon chéri, tu t'es bien branlé cette nuit, tu en portes encore les traces, maintenant, c'est moi qui vais m'occuper de toi. Ton papa donne son aval, nous nous aimerons tous les trois. Oh comme je vous aime mes chéris !

Justin regarde Marion nue, il tourne la tête vers son papa, qui hausse légèrement les épaules, en relevant les sourcils pour acquiescer. Marcel ôte son pantalon de pyjama, lui aussi est maintenant nu. Il s'assoit sur le bord du lit, et observe à femme et son fils qui s'enlacent pour enfin s'embrasser comme des malades.

Justin bascule sur sa belle-mère, lui donne des baisers sur le corps en s'approchant de la vulve odorante qui a subi des outrages toute la nuit. Il relève la tête et dit :

-Oh Marion, comme tu sens bon l'amour, il plaque sa bouche sur le fruit qui immédiatement rejette son jus. Il le fouille de sa langue, pendant que son papa s'approche des lobes mammaires de sa femme. Il gobe à tour de rôle les mamelons en la faisant gémir.


Marion est aux anges, jamais, elle n'a vécu une aventure à trois, dès aujourd'hui, elle en est la principale actrice. La langue agile de son beau-fils la fait gémir, ainsi que la bouche vorace de son mari. Marion se cabre et jouit fortement. Rapidement, Justin l'embroche et la déboite comme un sauvage sous les yeux ébahis de son papa. Qui offre sa queue tendue aux lèvres pulpeuses de sa femme. Marion est une suceuse avérée, sa bouche, fait merveille sur ma bite de son mari qui couine comme un animal. Il ne tarde pas à lui remplir la gorge avec son sperme épais.

La bite increvable de Justin voyage dans les entrailles en feu de la soumise. Marion s'accroche à son jeune amant comme un rapace sur sa proie, elle agite sa croupe comme une forcenée. Marcel dit d'une voix forte :

Vas-y fiston, elle va jouir, vas-y bourre-la fortement, elle adore ça !

Justin accélère, Marion se cabre et comme l'avait prédit Marcel, elle jouit en hurlant don plaisir. Justin jouit au même moment. Le papa ajoute :

-Donne-moi la place, je vais te montrer ce qu'elle aime, par-dessus tout, aller chérie, prends la pose !

Marion se met à quatre pattes et cambre fortement les reins. Elle offre à la verge de son mari, son petit œillet Friand de bite. Marcel l'enduit de salive, et le badigeonne en faisant pénétrer dans la gaine le plus de salive possible. Justin reste médusé en voyant sa belle-mère, offrir si volontiers sa croupe pour se faire sodomiser.

Marcel pousse, Marion grimace, bien qu'habituée de sodomie, la pénétration est toujours un peu douloureuse. Lentement, la bite large et épaisse de son papa s'enfonce dans la gaine étroite de Marion en la dilatant. Le ramonage est brutal, Marion gémit de plaisir sous les coups répétés de boutoir. La vitesse augmente, les râles de Marion aussi. Elle se cabre, une jouissance phénoménale du cul la fait hurler. Son mari la défonce comme jamais, elle ne l'a été, une seconde jouissance anale la fait grincer des dents.


Marcel lui remplit le cul de sa semence gluante, en grognant. Justin n'en croit pas ses yeux, sa belle-maman adore être enculée, cela lui donne une idée, il dit :

-Papa et si nous la prenons en double, pour la faire jouir encore plus fort, tu en penses quoi !

Marcel n'a pas le temps de répondre que c'est Marion qui le fait en haletant fortement :

-Oh oui, oui, une bonne double, j'en rêve depuis des années !

Marcel répond en souriant :

-Pour aujourd'hui ma chérie, tu as eu ton compte, demain, il fera encore jour, j'irai même acheter des jouets pour que tu sois encore plus éclatée ma chérie !

Marion se lève difficilement et répond :

-Oui mon chéri, trouve de bons jouets, j'ai hâte de voir ça !