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Elisabeth

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/07/2024

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En passant devant je me demande bien ce que je fais là, en fait je le sais bien cette pulsion qui me tient régulièrement , qui me retourne le ventre , qui me fait devenir une autre , cette pulsion sur laquelle j’ai fini par mettre un nom « L’Envie d’Hommes »

Et pourtant mon cheminement ne devais pas m’amener là mais les hasards de la vie crée un chemin qui nous mène sur notre destin.

Je m appelle Elisabeth j’ai 40 ans maintenant , je suis fille d’agriculteur, je ne suis pas vraiment canon très grande , 1M75, très maigre 60 kg, pas de bassin, pas de fesses, de tout petits seins qui me dispensent de soutien gorge tellement ils sont petits, mais malgré tout avec de très beaux tétons. Je m’habille pareil depuis des décennies , jean , ceinture cuir, tee shirt ou chemise suivant l’occasion. Pour ce qui est de la lingerie , passer votre chemin, j ai une collection de slip en coton, tout ce qu’il y as de plus traditionnel, monochrome. Mais c’est moi je m’aime bien comme cela.

Mais comment j’en suis arrivé là et pourtant j’aurai du être comme tout le monde, j aimais bien le travail de la ferme, mais mes deux frères m’ont vite fait comprendre que la terre c’était pour eux et que je devais tracer mon chemin ailleurs. l’été je travaillais beaucoup à la ferme , un jour de fin de moisson, je me suis fais dépuceler dans la grange par un jeune du village , j’avais 17 ans, je ne me rappelle que d’une chose , l’angoisse pendant un mois d’être enceinte , et puis non mes règles sont revenues.et les parents qui me disait fais de études, fais des études, c’est comme cela que j’ai finie avec un BTS informatique , et que je me suis retrouvée à travailler dans une entreprise d’informatique à réparer des ordinateurs.

-Bonjour Monsieur, que vous arrive t’il?
-Mon ordinateur ne démarre plus
-Je vais regarder et vous faire un devis .
-Vous avez fait une sauvegarde de vos données sur un disque externe?
-Ben non
-Je ne peut pas dans ce cas garantir la récupération des données
-Ah bon
-Et oui

C’était barbant à souhait mais cela me faisait un petit salaire , et j’ai un train de vie modeste.

Et puis il y avait Pierre qui me tournait autour , il était sympathique , on est sorti ensemble , on s’est marié pour la plus grande joie de mes frères , mes parents , qui se disaient , ouffff elle est casée.

On s’est mis donc en ménage dans un 45 mètres carré , c’était bien la vie ronronnait, Pierre me sautait tous les soirs, parfois le matin, c est vrai qu’il y mettait du coeur, je me voyais déjà enceinte, bébé, famille , bref sur les rails. Coté sexe je me rappelle avoir pousser quelques petits soupirs , rien d’extravagant , en fait il me sautait pour lui , une fois qu’il avait joui , hop dodo.

Et puis cela m’est tombé dessus , aussi vite que le foudre , Pierre a voulu me parler, bref , il m as expliqué en long et en large que finalement il n‘était pas vraiment amoureux, qu’il avait rencontré une autre fille et que bla bla bla . bref on as divorcé. En fait cela ne m’as fait ni chaud ni froid , c’étais comme cela, à part une belle réflexion de ma mère.
-T’as même pas su garder ton mari….
Et je me suis retrouvée dans un petit studio, au travail j entendais parler des développeurs et de leur aura mythique, des langages, du C, du C+, du language objet . Je me suis acheter des livres , un ordinateur perso, et j ai travaillé, travaillé, comme une folle, toutes les nuits, les week end .

Et c’est comme cela que j ai postuler un poste dans une grande SSII, j ai été prise après test, et là je me suis éclatée professionnellement , je lis j’écris et comprends le C ou plus comme vous lisez le français . Ce que d’autre faisait en 100 lignes je le faisais en 10 , bref je suis devenu un maitre développeur, avec un très bon salaire qui vas tout les mois rejoindre l écureuil , parce que j ai toujours d’aussi petits besoins.

Le directeur m’appelle, Elisabeth , on est dans la mouise, on doit mettre en service un gros logiciel pour le gouvernement sénégalais, c’est un gros contrat, mais l’équipe qui as fait le truc, c ‘est bancale , on est pas prêt y as plein de bugs , on as besoin de votre aide.
-Je suis d’accord faites moi voir le projet.
Et bien le problème c’est que le projet il est déjà las bas , vous aller devoir vous y rendre et débogguer en live je sais que vous êtes capable, vous l’avez déjà fait.
-Heu oui mais je n’ai pas de passeport, je ne suis jamais sortie de France , vous savez nous les dévelloppeurs on vit dans une bulle .
-Je sais je sais, pour le passeport , les vaccins etc on s’occupe de tout, et en riant il me dit Ah pour le jean je n’ai rien contre vous le savez mais là bas ce sera peut être un peu chaud.

Et me voilà à DAKAR, la zone , rien ne fonctionne les écrans se coupe en deux, ne s’allume pas , des bugs de tous les cotés, je veux décompiler pour relire ce qu’ils ont fait , il ne veulent pas , fais de patchs qu’il me disent , je connais un patch corrige un bug à un endroit mais risque d’en créer un autre ailleurs trop peu pour moi. Mais le week end arrive l administration sera fermée, donc j avance l’argument que je peut travailler le weekend et donc décompiler l application OK.

J ai travaillé 40 heures sur 48 , dormi dans le bureau , pendant qu’il était tous à la plage , j’ai fait un long fax à la direction présentant la situation, j ai recompiler lundi à 6 heures du matin j ai lancer l’application à 7 heures, cela semblait fonctionner . l équipe est arrivé , je leur ai dit je vais me coucher , rappeler moi si vous avez un souci. Je me suis réveillé à 16 heures , en me disant ils ne sont pas venus , c’est bon signe. A la réception de l’hotel un bouquet de fleurs pour moi avec un petit mot de l équipe ‘Tu as fait un travail génial te fais pas de souci on gère , viens demain matin seulement. » et je suis retombé dans le sommeil.

Mardi matin tous le monde à le sourire , surtout nos clients sénégalais. on me présente, et puis m’explique . Notre contrat prévoie un transfert de technologie , donc il me revient de prendre en charge ce transfert , ce n’est qu’une quinzaine de jours tranquille , et on me présente le chef de projet sénégalais, et oui sénégalais, je suis grande mais je dois lever la tête pour le regarder , il dois faire pas loin des deux mètres. je dis ok .

Abdou , il arrive d’une Université Américaine , je lui demande s’il connait le C , oui bien sur me dit il . On se met devant un écran j écris une routine , et lui demande de suivre , il vas vite il connait et enchaine sur une boucle . Je met le paquet je déclare une dizaine de variable , et je met 4 boucles l’une dans l autre , Il solde mes variables en un temps record et trouve une sortie peu académique mais efficace de mes boucles.
-C est bon lui dis je on peut travailler ensemble.


Le lendemain j’ai décompiler une copie de l’application et on as travaillé ensemble une semaine dessus , à la fin de semaine il m’as signé un accord de transfert de technologie valide, que j ai de suite faxé à ma société. Et pour finir il m’invite au restaurant le soir.

C’est un beau restaurant face à l océan , pour rire il me dit vous êtes toujours en jean, et oui je ne sais pas mettre autre chose. On boit l apéro , des fruits de mer, c’est excellent, et il prend les choses en main , aller je vous fais visiter Dakar la nuit. Du bruit de la musique partout, de la vie je suis un peu étourdie.
-Aller me dit il mon cousin tiens un petit bar en dehors de la ville près de la mer et nous voilà cher le cousin, c’est une paillote , bord de mer, de la musique, des gens dansent, on bois quelques bières, il m’invite à danser, je suis gênée je n’ai jamais danser , je suis gauche mais il me tiens fermement, et finalement j’ai l ‘impression de danser . je suis maintenant bien étourdie , il s’en aperçoit et propose de me ramener à l’hotel. Sa main prend la mienne , je me retourne , ses lèvres sont sur les miennes , il m ‘embrasse, sa langue cherche la mienne je lui réponds .
-Allons à l’hotel me dit il
-Tout en conduisant il me chante des chansons sénégalaises dont je comprends rien , mais très mélodieuses, il me tient la main je suis bien.
On as finis sur le lit , il m’embrasse, je n ai pas fait l amour depuis des années , je me laisse faire . Il galère pour m’enlever mon jean , je dois me relever et l’enlever et me retourne tout bête avec cette culotte en coton .
-Enléve me dit ‘il.
Il est partout, c’est un magicien sa bouche est partout , ses mains sont dans tout les sens . Il se lève fouille dans ses poches , je devine un préservatif , il est là je suis sur le dos , je lui dit -Doucement s’il te plait.
Il rigole
-Tu vas voir toi la maitresse développeuse, je vais te mettre en boucle , tu ne vas pas en sortir.
Déjà je le sens , il est là à mon entrée, il m’ouvre. Je pense à mon mari il aurait déjà été au fond et aurai finis. Mais là c’est gros , cela me tire .
-Doucement s’il te plait
-Oui me susurre t’il doucement cela vas te plaire toute la nuit.
Mon corps est pris d’un minuscule tremblement qui vas en s’accentuant, je me demande ce qui m’arrive.
-Tu jouis me dit il , tu jouis déjà .
-J entends quelqu’un crier , je m’aperçois que c’est moi , mon corps convulse, c’est bon.
Je lui dis
-Oui c’est ça je jouis c’est bon.
Il m’as prise toute la nuit j’ai jouis des dizaines et des dizaine de fois, j en redemandais, je me suis aperçue que j étais une machine à jouir intarissable . Je me suis découverte une autre.

Et le lendemain j ai pris l’avion de retour , courbaturée , heureuse,


Et puis il y eu la révolution internet d’autres langages XML, SQL etc, je les ai tous digéré , les language de programmation c’est comme les langues , plus tu en apprend plus c est facile. On as travaillé pour des sites de rencontres , c’état marrant et bien payé , j étais inscrite pour faire les tests, j y suis resté , j ai rencontré des hommes , c’était souvent mauvais, parfois bien , jamais extraordinaire, j ai pris la pilule cela m’as fais grossir un peu les seins , mais bon ils restent anecdotiques, et les hanches , mes jeans me serrent mais je n’ai pas voulu changer de taille. Bref je suis et je reste un quasi sac d’os ambulant. Souvent la nuit , je me réveille sur le dos , je mets les pieds bien à plat les jambes repliée , alors mon bassin se lève et se tend vers un mâle virtuel qui n’existe pas, mais dont j ai tellement envie.

Plusieurs fois en rentrant chez-moi j ai vu cet attroupement d’hommes sur le trottoir, souvent en djellaba colorées , entrain de discuter entre eux, un d’un certains âge me disaient toujours Bonjour de manière polie , alors que j hésitais un jour il m’ as entrepris me demandant si je ne les gênais pas avec le bruit . c est alors qu’il m’as confié qu’il était le gérant mandaté d’un grand appartement pour recevoir des immigrés dans l attente d’un hypothétique permis de séjour.

Et je suis là à passer sur le trottoir en plein été, j ai chaud, et ces maudites abeilles qui vibrent dans mon ventre. Il me héle, j’hésite et puis m’arrête.
-Moi c est Ismael viens, viens ma petite dame, me dit il viens je te fais visiter , on vas faire le thé.
-Je rentre , un grand salon, plusieurs hommes jeunes sont là tous de couleur , il me présente , mais j oublie vite les noms, il y a un togolais, un béninois, un du tchad, deux ivoiriens , un camerounais.
Tous se lève respectueusement me disent bonjour , me tendent la main.
-Viens me dit il je te fais la visite .
-Les chambres contiennent 3 à 4 lits serrés , elles sont entretenues propres
Je fais attention à ce qu’il fasse le ménage tous les jours me dit il cela doit être impeccable , nous avons beaucoup de visite de contrôles de plusieurs départements de l état, y compris police , donc pas de drogue, pas d’alcool.
Il finis par ouvrir une porte
-Ca c’est ma chambre je suis le seul à avoir une chambre à moi , avec un grand lit, normal moi ici je travaille c’est mon job de gérer tout cela , l’appartement et les hommes c’est facile, mais les papiers c’est compliqué. Si tu voulais m’aider de temps en temps ce serait gentil.
Se faisant , il pris mon tee shirt et le releva , d’abord choquée , je me suis laissé faire , j ai même levé les bras pour qu’il me l enlève complètement.
Tranquille il déboucle ma ceinture de cuir , me regarde et me dit avec sa grosse voix
-Nous les africains on sent les choses, on est encore un peu animal , je sais ce que tu veux , je le vois sur toi , tu n’as pas à dire ce que tu veux je comprends que cela puissent être gênant pour une femme de dire son envie d’homme. Sans détail il fait glisser mon jean, ma culotte à mes pieds et délicatement me débarrasse de tout cela. d’un geste ample il fais voler sa djellaba , il est nu , son sexe imposant m’impressionne.
-Aller viens dis t’il.
Je m allonge sur le lit , j’écarte les jambes , je m’avoue à moi même ce que je veux, je ne veux pas de drague, pas de préliminaires, pas de bla bla , pas de cours, je veux un mâle , un mâle puissant qui me domine , dans moi .
Il se présente, je sens mes lèvres intimes s’ouvrir de plus en plus , me tirer, il me force , mon bassin commence à trembler je me dis , je lui dis.
-Oui Oui c'est ça que je veux, et je m’abandonne en jouissant, il m’investit complètement , me ramone , je jouis et crie plusieurs fois.
Il se dégage , Je le coince avec mes jambes pour qu’il revienne.
-Non dit il beaucoup de nos amis dans le salon n ‘ont pas eu de femmes depuis parfois plusieurs années, je veux qu’il profite de toi aussi , et je sais que tu ne vas pas dire non.
Il héla dans une langue étrangère.
Avec le camerounais j ai explosé en hurlant , il m’as rempli, le premier ivoirien je lui ai déchiré le dos au sang avec mes ongles tellement il m’as planté, son collègue je l ai eu , je l ai enserré entre mes cuisses, je suis aller chercher son sexe avec mon bassin frénétique, j ai joui en force alors qu’il me remplissait, Le tchadien un grand maigre comme moi, il parlait en me prenant dans sa langue, je me suis à parler aussi en français , on se parlait tous les deux dans nos langues et on se comprenait , il m’as donné trois ou quatre orgasmes, je l ai vu arrivé , je me suis ouverte au maximum pour qu’il vienne bien se vider en moi. Je me sentais heureuse , pleine de vie , forte. Le togolais fut lent et doux, je tremblai comme une feuille au fur et à mesure qu’il me faisait monter, il m’as aussi rempli. J’étais folle je les voulais tous en moi . et le béninois est arrivé , je comprends pourquoi il est venu en dernier , un sexe énorme, mais j’étais prête à tout , Il m’as investi d’un coup, facile tellement j ‘étais ouverte, je ne me rappelle plus bien , il m’as sorti de moi même je n ‘étais plus là juste l impression d’un océan de bonheur d’orgasme du corps entier.

Ismael est prêt de moi avec une tasse de thé, je bois , je rigole.
-Tous les hommes te remercie du fond de leur coeur , tu leur as donné du bonheur et crois moi dans leur vie c’est assez rare.
-Moi aussi ils m’ont donné du bonheur.

-Je vais te raccompagner cher toi tu dois être fatiguée. il fait nuit , c est mieux pour toi.

Arrivé devant cher moi , on se salue, mais il me sourit et me dis
-Je suis le seul à ne pas avoir joui, te restes t’il quelques force?

Oui bien sur et je l’emmène cher moi.

On s’est pris une douche j avais des flots de sperme qui s’échappaient de ma chatte.
-Il m’ont pas raté tes copains
-Et moi je vais pas te rater maintenant.

Et on se retrouve sur le lit l’un contre l’autre, c est plus doux, des caresses, on s’embrasse , sa main me caresse les fesses, je sens un doigts venir me titiller l anus.
-Et là tu vas ou là?
-C est la porte du plaisir ultime , tu ne l’as jamais fait?
-Si , mais je garde pas un souvenir extraordinaire, et puis et puis tu as vu ton manche de pioche??
-T inquiète je vais aller doucement , tu vas aimer.
Il s’est lever est aller prendre une pommade dans sa djellaba ce fut d’abord une sensation de froid , puis un doigts , il chantait une mélopée lancinante dans sa langue natale . ce n était pas désagréable , défoncée comme je l’avais été au foyer par tous ces hommes je me suis laissé faire. Une douleur je pense qu’il m’as mis deux doigts , je luis dis.
-Doucement, doucement
-T’inquiéte je vais bien te préparer tu vas prendre ton pied.
Ses doigts vont de plus en plus profond, il ressort me remet de la crème, revient , cela devient agréable , instinctivement j’ouvre les fesses, je gémis doucement, je cherche sa queue avec ma main , je la trouve , putaing elle est raide comme une trique grosse , elle tient juste dans ma main.
-C’est pas possible Ismael tu ne peut pas me mettre tout cela , tu as vu comme tu es gros.
-Si si cela vas passer je te le dis , tu vas avoir un peu mal et beaucoup de bien .
-Aller on y vas , viens sur le canapé
et c ‘est comme cela que je me suis retrouvée sur le canapé face à lui les jambes en l air bien écartées et que j ai vu arriver son engin.
-Regarde , regarde bien dit il
Je voyais son engin approcher de mon intimité , puis j ai senti son gland sur mon petit cul et il as commencé a pousser.
Le début fut agréable , mais très vite une impression de déchirure , il poussait j’avais mal je lui disait il arrêtait.
-Voilà me dit il quand tu as mal tu le dis j arrête quand la douleur s’en vas tu le dis je continue .
-Ce fut long parfois la douleur mettait longtemps à partir, il ressortait remettait un peu de créme et revenait un peu plus loin.
-Et puis un moment j ai craquée , j en avais marre d’attendre je me suis mis à respirer comme une folle et je lui ai dit
-Putaing , vas y Ismael , vas y met la moi.
J ai vu sa colonne de chair qui disparaissait en moi , j ai hurlé de douleur , mais j ai tenu bon, finalement je ne voyais plus que ses poils pubien sur les miens , c est alors que j ai réalisé qu’il m avait tout mis .
-Ismael, Ismael , tu m’as tout mis , tu m’as péter mon petit cul , tu me fais mal ,
Il ne bougeait plus fiché en moi au plus profond et puis et puis ce petit tremblement de mon bassin as commencé et alors j ai su que j étais prise , que j’allais jouir malgré la douleur. et je lui ai dit
-Ismael, regarde, regarde moi dans les yeux je vais jouir, salaud tu vas me faire jouir du cul.
ET je me suis libérée j’ai jouis comme une folle , de la douleur et du plaisir intense, et il as commencer à me limer , de plus en plus fort, et c’était bien , très bon plus que bon un autre monde.
il me disais des mots doux
-Elisabeth je te l’avais dit que tu allais aimer, regarde comme tu jouis bien , tu es bonne , très bonne veux tu que je te remplisse?
-Oui je veux , vas y prend ton pied en moi
Je l’ai senti il m’as tout envoyer au fond de mon cul , c’était chaud, bon, j’ai joui en ronronnant comme une chatte c’était sans fin , il gémissait à chaque giclée.

Et c est comme cela que je me suis retrouvée tous les mercredi soir pendant 3 heures et les samedi après midi à donner des cours de Français, Mathématiques, géographie ,informatique ,etc, de très bon élèves le togolais , un camerounais, ivoirien ont réussi le Bac en candidat libre .
Le béninois a rencontrer une française Sylvie , ils se sont mariées et j ai été leur témoin de mariage , il as trouvé un emploi, je reste la confidente de sylvie , elle m’as avoué être très heureuse, qu’il était gentil attentionné et puis elle m’avoué en rougissant
-C est un amant extraordinaire mais …
-Mais quoi lui dis je ??
-Il veut mon petit cul et il est tellement gros , tu le sais vous avez couché ensemble, je ne veux pas.
-T inquiète lui répondis je , Ismael me le fait assez souvent , c’est dur au début , mais c est tellement bon.
Quelques temps plus tard elle se penche à mon oreille.
-Ca y est
-ça y est quoi ?
-On as essayé plusieurs fois c était dur , mais il y est arrivé , il m’as cassé le cul défoncé , putaing ce que j ai eu mal mais j ai pris ensuite un pied extraordinaire et lui aussi, maintenant c est moi qui en redemande et puis et puis je crois que je suis enceinte , il est fou de joie et moi aussi, Putaing qu’est ce qu’il me met tous les jours dans un sens ou dans l autre , je n aurai jamais cru vivre cela de ma vie .
Je l ai complimenté j étais tellement heureuse pour eux, mais en mon for intérieur connaissant le gabarit du Monsieur, je me suis dit , « Putaing je ne sais si j aurai pu l’encaisser elle est costaud la Sylvie »

Et parfois surtout le samedi quand je finis le cours vers 22 heures que je les sens contractés, tendus, que mon corps me fais signe, c est plus fort que moi , je dégrafe mon ceinturon en cuir devant eux, c’est le signal il se lèvent avec le sourire, m’emmène dans la chambre du fond et me défoncent pendant plusieurs heures , j aime cela je n’ai pas peur de le dire. et eux aussi.Ismael me ramène toujours à la maison , à force il m’as bien élargi mon petit trou il n y as que lui qui passe par là c’est un truc à nous , ce n’est presque plus douloureux, je prends un pied pas possible à lui donner et lui à me le prendre.
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Histoire de micchel1954

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