Femme à décoincer

Victor, en a marre du métro, boulot, dodo. Il vient d'acheter petite fermette dans un village ou les maisons poussent comme des champignons, au milieu de vieilles demeures. Il décide de vivre des produits de sa ferme, mais ce n'est pas très rentable, il vivote, mais cette vie lui plait.

Rapidement il est connu dans le village. Très serviable, il est apprécié de tous. Il met au service des gens son savoir faire, autodidacte, il touche à tout. Un évier à déboucher, une pelouse à tondre, une intervention sur un circuit électrique défectueux, le rend fou de joie. Un jour le maire du village à recours à ses services, car son terrain à besoin d'une bonne tonte. Victor a eu des échos que la femme du maire est délaissée sexuellement par son mari, trop occupé avec ses administrés.

Victor se présente, une femme aux hanches larges aux fesses bombées, avec une poitrine généreuse vient lui ouvrir. Il reste un moment sans voix avant de répondre à son salut.

Elle excuse l'absence de son mari qui a dût se rendre à la mairie. Elle lui offre un verre puis le précède pour lui montrer ou se trouve le matériel. A chacun de ses pas, elle balance naturellement son fessier comme une danseuse orientale. Victor regarde avec envie la croupe au large sillon qui sépare les deux lobes charnus, il s'imagine un anus boursouflé, qui s'ouvre et qui se referme à chaque pas que la femme fait.



Il se dit que la femme est surement nue sous sa blouse, car il ne voit pas la forme de la culotte. Une fois devant la cabane à outils, elle ouvre la porte, pour que Victor sorte la tondeuse. Maladroitement, elle fait tomber la clé sur le sol. En se penchant pour la ramasser, sa blouse mal boutonnée, dévoile une partie de sa poitrine. Victor salive abondamment effectivement, la femme est nue sous sa blouse, elle ne porte pas de soutien-gorge.


La femme va prendre place sur la terrasse, dans une fauteuil en osier genre Emmanuelle, et prend une revue. Victor retire son t-shirt et commence à tondre, les minutes passent il est en sueur. De temps en temps la femme regarde par dessus sa revue. Elle reste un moment figée en regardant les perles ruisseler sur le torse musclé de Victor. Elle se redresse et l'invite à venir se désaltérer. Il arrête l'engin et rejoint la femme sur la terrasse.


Il s'assoit en face d'elle, elle lui sert un rafraichissement et rejoint son fauteuil. les deux parlent, et sympathisent rapidement. La femme se prénomme Laura, et son mari Edmond, elle avoue, qu'elle les deux frisent la soixantaine. Victor flatte la femme, il lui dit qu'elle ne fait pas son âge, et qu'elle ne doit pas laisser indiffèrent, quelques hommes ou femmes du village. Laura sursaute et répond :

- Vous dites que je peux intéresser des femmes, quelle drôle d'idée que vous avez Victor !

Victor, en souriant enfonce le clou :

-Oh non je le pense sérieusement, et vous cela ne vous tente pas une femme !

Laura fronce les sourcils et réplique :

-Mais je suis mariée, et fidèle. Loin de moi de penser d'avoir une aventure avec un homme et encore moins avec une femme, mon Dieu qu'elle horreur !

Victor, la regarde droit dans les yeux et lui dit :

-C'est à tenter, vous ne croyez pas. D'après ce que je sais, que vous êtes coincée du cul, et pourquoi qu'une femme si belle et si sensuelle que vous, ne profiterait pas des plaisirs du sexe !

Laura, en rougissant dit :

-Alors, comme cela on dit que je refuse le sexe, que je suis une mal baissée quoi, et vous, vous en pensez quoi !

Victor répond :

-Pour être honnête, je le crois volontiers, mais j'ajoute qu'être coincée du cul, n'est pas une tare, mais il faut franchir le pas, pour ne pas le rester !

Laura se pince les lèvres et dit :

-Et si je vous proposer, de me décoincer, que répondriez-vous à ça !

Victor écarquille les yeux, il ne s'attendait pas à une telle demande, il réplique.

-On ne peut rien refuser à une femme comme vous, vous avez tout, la ou il faut, je vous déglinguerai, comme une bête, vous ferais jouir jusqu'à plus soif, voilà ma réponse !

Laura en rougissant répond :

-Me déglinguer comme une bête, me faire jouir, ouah quel programme, mais comme j'ai horreur sexe, donc le débat est clos !

Il s'approche d'elle, lui pose sa main sur la cuisse de la femme, et en souriant lui dit :

-Je suis certain que vous ne portez pas de culotte, je me trompe !

Laura ne répond pas, Victor devient plus audacieux, sa main glisse sous la blouse, longe la cuisse et bute sur l'haine. Une érection naissante, déforme le pantalon de Victor.
Au contacte des doigts sur le haut de sa toison, Laura se cabre. Les doigts s'approchent dangereusement de sa vulve. Par instinct de défense, Laura serre les cuisses et dit :

-Non, non, pas ça !

Victor doucement retire sa main. Il regarde Laura, et lentement, descend son pantalon et son slip, il extirpe de son pantalon sa verge qui se détend comme un ressort. Laura sursaute, elle ne quitte pas la verge, qui oscille sur le bas-ventre velu de l'intrépide Victor.

Elle rougit fortement, mais ne quitte pas la verge des yeux. Victor saisit son engin et avec quelques coups de poignet bien dosés, le fait dresser au maximum. Laura bafouille :

-Mais, mais, que faites vous Victor vous devenez fou !

Il la regarde et lui dit :

-Je suis sur que ta chatte dégouline, fais comme moi, branle-toi, fais-toi plaisir !

Par l'émotion, Laura a les yeux qui s'emplissent de larmes. Victor insiste :

-Aller, branle-toi, lâche-toi, c'est si bon de se caresser, je suis certain que coincée comme tu l'es, tu dois souvent penser à une bonne queue, avoue !

Laura mouille de plus en plus, sa chatte est un ruisseau. Victor décalotte son gland à fond, et l'exhibe sous le nez de Laura, qui serre les dents. et les poings. D'un geste brusque, Victor lui ouvre le bas de la blouse, et découvre la chatte baveuse. Il répète :

-Branle-toi, mais branle-toi bon dieu, ne sois pas têtue !

Laura en tremblant, comme un automate, pose sa main sur sa vulve trempée, et écarte doucement les cuisses. Ses gestes sont maladroits, mais rapidement elle ajuste ses caresses. Elle souffle comme un dragon, ne quitte pas du regard la bite fortement veinée de Victor, qui la secoue comme un forcené. Elle accroche son clito avec deux doigts et commence un branlage dont elle a le secret.

Elle geint doucement en serrant les dents, puis au fil des minutes, accélère le branlage. Son clito est devenu énorme. Laura grogne comme une bête malade, soudain elle se cabre et explose. Sa jouissance est terrible mais très bruyante, Victor la félicite :

-C'est bien ma chérie, je vois que tu sais te branler, branle-toi encore la chérie, et lors de ta jouissance, tu encrasseras ton clito !

-Elle le regarde et dit :

-Je te hais, oh toi, toi !

Laura reprend sa masturbation, mais avec plus de violence, elle s'acharne sur son clito, le maltraite. Elle se cambre fortement et explose, elle écrase son clito comme lui a demandé Victor, c'est une jouissance monstrueuse qui lui traverse les entrailles. Elle retombe lourdement sur son fauteuil en haletant. Ses cuisses sont trempées de cyprine. Elle regarde Victor et lui dit en grimaçant :

-Mais je deviens folle, tu me fais faire des choses immorales espèce de salaud !

Victor en souriant, s'avance vers elle, et lui arrache la blouse, les boutons explosent, il ouvre largement les deux pans. Puis, lui presse fortement les seins, et les malaxe en profondeur de longues minutes. Laura geint en grimaçant. Il lui écrase les mamelons, les étire si fort que Laura en a les armes aux yeux. Jamais elle n'a subit autant de violence, mais cela ne semble pas lui déplaire.

Victor aspire à tour de rôle les mâts épais, et les suce voracement, il les mordille un peu avant de planter ses dents dedans. laura se cabre en poussant un gémissement de bête blessée. Ses bouts sont devenus monstrueux et très sensibles. Victor les délaisse enfin, il saisit les jambes de Laura et les pose sur ses épaules. Il frotte sa bite sur la fente qui ne cesse de rejeter son jus, et pousse. La position pour laura est inconfortable. Mais lorsque la bite puissante s'enfonce de toute sa langueur dans son ventre, Laura pousse un long râle rauque. Elle n'ose avouer que ce qu'elle ressent, est merveilleux, elle marmonne :

-Oh toi, toi Victor, tu es un monstre, arrête, arrête, oh mon Dieu non, non retire-toi, tu n'as pas le droit, je suis mariée oh mon Dieu !

Il la regarde et réplique :

-Tu en meurt d'envie, salope dis-le, n'es pas honte, d'avouer que tu l'as veux dans ton ventre, et que je te fasse jouir avec ma bonne queue !

Laura engeignant :

-Oh mon Dieu tu es un salaud, retire-toi !

Le bougre ne l'écoute même pas, il prend un malin plaisir à lui défoncer la chatte. laura grogne comme un animal sur sa proie. Les coups de reins de Victor sont puissants et violents. A chaque coup de pilon Laura et soulevée de son siège. La bite entre et ressort de la gaine brûlante en faisant couiner Laura comme une bête blessée. Victor augmente le rythme, laura est au bord du coma. Elle se tend comme un arc qui va décocher sa flèche, elle pousse un hurlement et jouit fabuleusement.

Elle halète terriblement, Victor continue de lui travailler la chatte, il dit en la toisant :

-Jouis encore salope, jouis !

laura en gémissant s'accroche a la taille de son amant et en grognant marmonne :

-Oui, oui, défonce-moi bien mon salaud, oh mon Dieu je vais re-jouir !

Une deuxième jouissance la fait cabrer. Victor se raidit, et envoie dans le ventre de son amante un flot de sperme brûlant. laura le repousse brutalement et en rageant :

-Mais qu'est-ce que nous avant fait, oh comme j'ai honte !

Victor la prendre dans ses bras et l'embrasse fougueusement, et lui dit :

-Je viendrai finir demain ce que j'ai commencer !

Il remet son t-shirt et disparait. Laura avant de se laver et se changer, reste un long moment dans le fauteuil les yeux dans le vide. Ses soupirs sont bruyants. Une fois qu'elle a repris ses esprits, elle fonce dans la salle de bain pour une douche purificatrice. Elle prépare le diner lorsque son mari revient de la mairie. Il constate que la pelouse n'est pas terminée. Sa femme lui dit, que l'homme doit revenir demain pour terminer.


Pendant le repas Laura est hors sol, elle est rêveuse. Prétextant de la fatigue elle monte se coucher. Sa nuit fut agitée, elle se remémore la scène torride qu'elle a eu avec Victor, sa chatte est en feu. Prise de remords elle a mal dormit. A son réveil, elle trouve un mot de son mari qui lui écrit qu'il ne rentrerai pas pour déjeuner.


Laura s'affaire dans la cuisine lorsque la sonnette de la porte d'entrée retenti. Elle va ouvrir, c'est Victor. Il demande la clé pour sortir la tondeuse et va terminer, ce que le maire lui, avait demandé. Au travers ses carreaux, Laura regarde le tore luisant de sueur de son amant d'hier. Pendant un long moment Victor tond.



Enfin il range la machine et prend son t-shirt en main, il entre dans la maison, demande une serviette pour essuyer son torse trempé. En s'essuyant devant la femme, il gonfle ses muscles, bombe le torse en regardant laura, qui ravale sa salive devant tant de muscles. Sans aucune honte, il retire son pantalon, et son slip. Il essuie son bas-ventre qui est couvert lui aussi de transpiration. Il s'attarde sur ses attributs de mâle en regardant Laura. Il s'amuse à décalotter plusieurs fois gland.


laura reste muette, ses yeux ne quittent pas la verge, qui l'a fait jouir si fort la veille. Victor jette la serviette sur une chaise, et, sans aucune gêne, enlace la femme et l'embrasse. Laura n'a pas la force de le repousser elle répond à son baiser. Elle porte sur elle une nouvelle blouse puisque l'autre le coquin l'a explosé. Il décolle ses lèvres et dit :

-Je vais te décoincer totalement ma salope, que ton mari me sera reconnaissant. Tu vas jouir tellement que tu vas en redemander !

Laura ne répond pas, Victor un à un fait sauter les boutons de la blouse, et l'ouvre, comme hier elle ne porte pas de sous vêtements, cela satisfait Victor, qui regarde longuement le corps qu'il a sut faire vibrer.
Il passe ses mains sous le tissu et dégage les épaules. la blousse tombe mollement sur le sol, en dévoilant le corps sublime de la femme tremblante.

Laura est fébrile, ses mains tremblent. Il la saisit à bras le corps et va la déposer sur le canapé. Laura ne dit toujours pas un mot, il la regarde, et lui ouvre doucement les jambes. Le corps de laura se couvre de frissons, on les voit onduler sur le corps devenu fébrile. Il tend la main vers le puits d'amour, caresse du bout des doigts les grandes lèvres charnues qui pendent légèrement, puis les enfonce dans la toison soyeuse.

Laura soupire profondément, rapidement sa vulve se met à s'humidifier. Les doigts noueux s'insèrent entre les grandes lèvres et longent le sillon jusqu'à la boule magique. laura se cabre lorsque les intrus s'agrippent à son clitoris. Victor donne quelques petites pressions sur la protubérance de chair, pour la stimuler. Laura serre les dents, Victor commence un doux branlage.

Bien décidé de décoincer sa belle, Victor accélère la masturbation du clitoris. laura geint inconsciemment, elle agite son bassin. laura se cabre une puissante jouissance la fait gémir. Victor lui écrase le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance fait cabrer laura. Victor fier de lui l'encourage :

-C'est bien la chérie, laisse-toi aller, surtout, ne te retiens pas crie si le besoin s'en fait ressentir, tu vas connaitre des moments exceptionnels de jouissances, je te le promets !

Victor avance sa tête entre les cuisses ouvertes, et hume fortement les effluves odorantes que rejette la vulve en ébullition, quelques coups de langue sur les grandes lèvres, font geindre Laura. Mais dès que la bouche affamée gobe son clito, un orgasme incontrôlable se produit. Laura croit mourir de plaisir. Elle se cambre comme un viaduc en geignant comme une bête blessée. Elle répète sans cesse :

-Oh Victor, Victor, oui, oui encore, encore mon chéri !

Bien que cela soit inconsciemment, Victor est heureux qu'elle l'appelle mon chéri. Pour elle ce n'est que le commencement.