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Femme demandeuse 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/07/2024

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Aurélie, femme mûre qui frise la soixantaine, a les sens en ébullitions. Délaissée par son mari Marc qui ne pense qu'à son boulot, par la force des choses, elle est devenue experte en masturbation. Elle se branle plusieurs fois par jour sans compter les nuits. Même certains légumes font l'affaire pour assouvir ses pulsions sexuelles qui deviennent de plus en plus fréquentes.

Après, le déjeuner, elle s'enfonce dans un profond fauteuil, culotte sur le sol, jupe retroussée, et jambes largement écartées, elle se manipule le clito devant son mari qui reste muet.

Sa boule des plaisirs devient rapidement monstrueuse, la coquine sait la triturer efficacement. Marc voit le jus couler de la chatte en effervescence de sa femme, qui devient de plus en plus agressive sur son bouton d'amour. Elle le presse si fort qu'elle en grimace, elle le soumet à un branlage féroce, qui dure de nombreuses minutes, avant de s'enfoncer profondément un concombre dans le vagin pour enfin jouir terriblement.

Marc semble blasé, pas porté sur la chose, son manque de libido fait que sa femme ne l'attire plus depuis quelques années. Il regarde sa femme geindre dans le fauteuil. Il agite sa tête négativement de droite à gauche, et dit avec des trémolos dans la voix de :

-L'à Aurélie, tu deviens une vraie salope insatiable, avec tes masturbations incessantes, tu m'exaspères. Si le sexe te manque tellement, moi à ta place, j'irais donner mon cul au premier venu !

Aurélie le regarde, elle fronce les sourcils et avec une pointe d'ironie dit :

-Oh, mais si monsieur le prend comme ça, je vais mettre à exécution son idée, que je trouve excellente. J'amènerai mes amants ici, pour qu'ils me donnent devant toi, ce que tu n'es plus capable de m'offrir, merci je m'encourager mon CHÉRI !

Marc hausse les épaules, Justine reprend un petit branlage d'entretien, avant de sucer ses doigts un à un en regardant son mari qui serre les poings. Elle ramasse sa culotte, et se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche réparatrice. Elle en sort enroulée dans une serviette de bain nouée au-dessus des seins.
Elle passe devant Marc en le toisant. Il la regarde se déhancher comme un félin, et finit par dire :

-Tu as quand même un sacré cul Aurélie !

Elle éclate de rire, fait tomber la serviette, se penche pour que Marc en prenne plein les yeux, et répond :

-Peut-être, mais tu ne t'en sers même pas !

Elle monte dans sa chambre en riant. Elle en redescend vêtue d'une jupe assez courte, et d'un corsage qui met sa poitrine en valeur. Marc la regarde et dit :

-Oh la vache, tu es fagotée comme une pute !

En souriant, elle réplique :

-La pute part en chasse chercher des clients, c'est ce que tu m'as conseillé, je crois !

Marc reste sans voix, malgré sa soixantaine, Aurélie est une belle femme qui attire les regards. Elle sort en balançant son bassin comme un félin. Elle se promène dans la rue piétonnière, fait du lèche-vitrine avant de prendre place à ta terrasse s'un café. A une table voisine, un jeune couple discute en buvant tranquillement leur verre. Les regards se croisent, la jeune femme ne cesse de regarder Aurélie. Elles échangent des sourires et des œillades intenses.

Aurélie qui n'a jamais dragué, tente un peu maladroitement de séduire le couple, en tentant d'attirer son attention. Mais c'est la femme qui est plus attentive, elle épie du coin de l'œil Aurélie. Qui ne cesse de croiser et décroiser les jambes en découvrant largement ses magnifiques cuisses. le couple peut apercevoir, que la coquine porte un string très étroit, qui s'insère dans la fente.

La jeune femme regarde son mari, ravale sa salive, puis change de position pour mieux voir le spectacle que donne Aurélie. Volontairement, Aurélie renverse son verre, elle retrousse sa jupe et sort son mouchoir pour s'essuyer. Ses cuisses sont totalement visibles ainsi que son string. Elle frotte son bas-ventre en vociférant, elle joue bien son rôle la coquine.

Le couple voit le string mouillé, qui dessine parfaitement les grandes lèvres, qui sont emprisonnées par le fin tissu. Aurélie maintenant ralentit de frotter, mais ne cesse pas d'agiter son poignet. C'est comme si elle se branlait, elle semble prendre du plaisir, en activant sa main sur son entrejambe. Elle regarde le couple, qui voyeur involontaire, reste scotché sur son bas-ventre. Elle dit fortement :

-Oh ce que je suis maladroite !

L'homme se lève et s'approche d'Aurélie, il lui dit en souriant :

-On peut vous offrir un autre verre, cela nous ferait plaisir à ma femme et à moi que vous vous joignez à nous !

L'homme profite grandement du spectacle, il ne quitte pas des yeux la vulve mal cachée par l'étroit tissu. Aurélie en souriant dit avant de rabattre sa jupe :

-C'est avec plaisir que j'accepte votre invitation !

Elle change de table, l'homme commande une tournée. Les trois se présentent. Elle ce prénomme Cloé, lui Joël, ils ont à peu près vingt-cinq ans. La conversation s'engage, les trois papotent comme de vieux amis, quelques fois des éclats de rire résonnent. L'homme paraît un joyeux drille, Cloé est belle à croquer. Les deux femmes ne cessent de se regarder en souriant. Mais Cloé a un besoin de se rendre à la toilette. Comme à chaque fois les femmes vont en chœur au lieu d'aisance.

Pendant que Cloé se remaquille, Aurélie la dévore des yeux, elle est juste derrière elle devant le miroir, elle est si proche que Cloé sent sur sa nuque et sur son cou son souffle chaud. Aurélie ne peut s'empêcher de lui dire :

-Tu es très belle Cloé, comme j'envie ton mari !

Cloé se retourne doucement pour lui faire face, et en souriant lui demande :

- Merci, tu es gentille, mais tu aimes les femmes, tu es lesbienne ?

Aurélie, sans s'offusquer, répond :

-Non pas du tout, mais je te trouve très attirante et toi tu l'es lesbienne !

Cloé en riant répond :

-Des souvenirs d'internat inoubliables !

Aurélie l'enlace et lui donne un doux baiser à la commissure de ses lèvres et la serre très fort contre elle. Enfin les deux rejoignent Joël qui commençait à se morfondre. Les trois commencent à déraper un peu, tout en buvant, ils abordent le sexe. Cloé revient sur son internat en évoquant ses amours entre filles. Joël connait son histoire, cela le fait sourire. Les deux sont adeptes d'échanges. Mais lorsque Aurélie raconte pour quelle raison elle se trouve là. Les yeux s'écarquillent, curieuse Cloé demande :

-Il ne te baise plus ton bonhomme alors !

Aurélie en poussant un gros soupir répond :

-Ben non, je suis vraiment demandeuse, je dois me masturber pour assouvir mon manque de queue !

Joël a les yeux qui brillent, elle salive abondamment. Cloé plaque brusquement sa main sur le sexe de son mari et dit :

-Mon chéri, est un bon bourrin, je suis disposée à te le prêter à une condition que je participe, cela te tente ? je suis certaine qui tu sois être une sacrée cochonne !

Aurélie n'en espérait pas mieux, ses yeux s'illuminent, elle répond :


-Oh oui, allons vite chez moi, que je vous présente mon mari Marc, je suis déjà toute excitée !

Une fois ses nouveaux amis présentés, à son mari. Marc est surprit par la jeunesse des deux personnes que sa femme à racolée.
Pendant qu'ils prennent quelques verres, et que les langues se dénouent, Marc apprend pas mal de choses, et demande à sa femme :

-Mais d'un coup tu es devenue lesbienne ?

Aurélie en riant répond :

-Non, mais il faut un début à tout mon chéri, n'est-ce pas Cloé !

Cloé en souriant réplique, sans quitter des yeux Marc :

-En amour rien n'est interdit, il faut tout s'autoriser, pour obtenir des jouissances fabuleuses !

Marc sursaute en écarquillant les yeux, il est surprit pas la réponde de la jeune Cloé. Les paroles deviennent très osées, les allusions sur les perversités du sexe, font frémir la petite assemblée. Les esprits s'échauffent, la tension monte. Aurélie se lève et entame une danse en s'effeuillant lentement. Cloé et Joël ne quittent pas des yeux le corps bien proportionné qui ondule avec souplesse. Mais dès qu'elle dégrafe son soutien-gorge Les seins jaillissent du carcan qui les emprisonne, et retombent légèrement sur le torse. Les bouts larges et épais, laissent place à quelques commentaires.

Mais dès que la culotte se retrouve au sol, plus personnes ne parlent. Les yeux se braquent sur le triangle bien entretenue, les lèvres vaginales biens développées, font soupirer les voyeurs. Aurélie prend plaisir à exhiber son corps de femme mûre en se trémoussant. Vicieusement elle tourne le dos, écarte les jambes, se penche et offres aux yeux ébahis son œillet brun fortement ridé. Elle se redresse lentement et fait face à ses invités, elle écarte le plus possible les jambes et expose sa chatte en écartant les grandes lèvres avec ses doigts.

Marc un peu gêné, se rend compte que sa femme est devenue une salope, et qu'elle est prête à tout pour jouir. Joël bande comme un poney, il regarde la femme bien en chair avec des yeux de vorace. Cloé imite Aurélie, son corps svelte se tortille, elle jette ses vêtements sur le sol un à un. Sa chatte épilée, aux fines lèvres, fait déglutir Aurélie. Ses petits seins biens fermes ressemblent a des œufs au plat, garnis de mamelons très épais. Dans le feu de l'action, les deux femmes s'enlacent et se frottent l'une contre l'autre. les bassins ondulent comme des danseuses orientales.

Elles se caressent mutuellement les fesses. les doigts glissent dans les larges sillons. Cloé taquine avec deux doigts l'anus boursoufflé d'Aurélie. Puis sans la quitter des yeux appuie, Aurélie se cabre, les premières phalanges disparaissent comme aspirés par le muscle rectal. Un seconde poussée fait entrée la totalité des doigts dans la gaine étroite. Aurélie se cabre encore plus et dit :

-Oh putain, toi ma salope, tu sais parler aux femmes !

Cloé souriante répond :

-Mais tu verras lorsque mon étalon te l'à mettra dans le cul, l'à ma cochonne, tu prendras un pied fabuleux, avoue que tu es une grosse salope et que tu veux qu'on te défonce comme une chienne !

Aurélie dévoile sa vraie nature :

-Ne parle pas tant, fouille-moi bien, va plus loin, oh putain que c'est bon !

Les doigts de Cloé tournent et voyagent dans l'antre de l'enfer, le petit traitement de mise en bouche que lui fait subir Cloé la fait geindre comme un animal en rut. En retirant ses doigts, Cloé lui demande :

-Allonge-toi, je vais te bouffer la chatte et l'oignon pour que mon mari puisse te défoncer, j'adore bouffer les chattes, hum ma grosse salope nous allons nous régaler !

Joël retire ses vêtements, le bougre est bien monté, sa bite frottement veinée semble redoutable, elle est secouée de soubresauts continus. Aurélie regarde le pieu, puis s'allonge sur la table du salon en ouvrant les cuisses.
















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