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Flammes de Combat, Flammes de Plaisir

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/08/2024

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Les cris, douleurs, excitations, rage, tristesse, mélangés autour de moi. Un vacarme assourdissant. La fumée qui s'élève autour de moi m'empêche de voir bien loin.
Mes yeux captent à peine les corps rugissants qui se lancent sur moi.
Mes bras bougent comme possédés par un démon, tranchant les ennemis un à un. Mon épée s'abat sur leurs nuques et s'enfonce dans leurs estomacs.
Le sang gicle jusqu'à mon visage. Un goût de fer, de sang et de poussière se mélange dans ma bouche. Mon bras continue de trancher les ombres qui me sautent dessus.
Je tranche, je tranche, je tranche.
Mon esprit n'a plus qu'une seule idée en tête, trancher la tête de l'ennemi avant que ce ne soit la mienne qui roule au sol. Ma lame fend l'air et les corps pendant encore de bonne heure.
Avant que la tombée de la nuit rendre l'obscurité seule maîtresse du champ de bataille. Ses démons remplacent les Hommes possédés qui parcouraient le champ diurne. Corbeaux et autres charognards déchirent ce qu'il reste des corps sans vie des guerriers dans ce champ nocturne.


Mes yeux se perdent dans les flammes ardentes qui dansent devant moi.
Une voix me tire de ma rêverie.
-Tout va bien capitaine ?
Je lève les yeux. Un homme s'assoit à mes côtés. Grand, brun et musclé, trois mots qui décrivent Alexandre, mon aide de camps.
-Oui merci, mon esprit s'était perdu dans l'ardeur des flammes.
-Je comprends, la bataille de tout à l'heure était rude.
-Oui. Tant des nôtres sont tombés. Combien de temps allons-nous courir dans ces champs mortels ?
-Je ne sais pas. On ne pensait pas avoir autant de résistance. Dites moi capitaine, vous pensez faire quoi quand la guerre sera finie ?
-Je rentrerai dans mon village rejoindre mes moutons.
-Vous êtes bergère ?
-Oui, en quoi cela t'étonne ?
-Ah ah, vu la force que vous déployez sur le champ de bataille, les loups ont intérêt à bien se tenir !
-Je n'ai pas d'épée dans les pâturages.
-Je me doute bien. Votre mari est aussi berger ?
-Il l'était. Mais il est mort il y a déjà deux ans.
-Je suis désolé.
Un léger silence s'installe quelque instant.
Les flammes continuent de danser au rythme de leurs propres crépitements.
-Et toi ? Que feras-tu ?
-Je rentrerai dans mon village. Mon père est paysan. Je reprendrai sans doute les champs à sa mort.
-Je me disais bien que tes mains avaient l'air de savoir travailler.
-Que veux-tu dire ?
-Elles ont l'air rugueuses.
-Tu veux le vérifier ?
Il me tend sa main, j'approche la mienne doucement. Je passe mes doigts sur sa paume. Elle est rugueuse, sans doute encore plus depuis qu'il porte l'épée.
-Alors ?
-J'ai vu juste. Elles sont rugueuses. Mais plus grandes que ce que je pensais.
-Je peux toucher les tiennes ?
-Euh oui si tu veux.
Je tends ma main vers lui. Il pose la sienne dessus.
Je n'ose le regarder. Je sens la chaleur de sa main se propager tout le long de mon corps jusqu'à mon visage.
-Vos mains sont douces.
Son compliment me fait encore plus rougir.
-C'est qu'elles n'ont pas encore l'habitude de manier l'épée. J'ai plus l'habitude de porter des paniers de fleurs qu'une lame de fer.
-C'est bien normal. En fait capitaine, vous n'avez pas été blessée tout à l'heure ?
-À peine, une des lames barbares m'a un peu tailladée le bras.
-Vous êtes passée voir le médecin j'espère ?
-Non, tant des nôtres en ont plus besoin que moi que j'ai juste mis un bandage.
-Vous plaisantez ? Il faut faire mieux que ça. Ça peut s'avérer dangereux !
-Mais non, ça devrait aller.
-Il vaut mieux ne pas prendre de risques. Montrez-moi la blessure.
-Ici ?
-Non, suivez-moi à ma tente. En plus j'ai le nécessaire.
À ces mots, il se lève et me tend sa main.
-C'est que…
-Allez, suivez-moi !
Je quitte la chaleur du feu pour prendre celle de sa main.


La tente est éclairée par une lanterne posée sur une table en bois. À côté, de la paille est disposée au sol, histoire de rendre le sol un minimum agréable pour la nuit.
Il tire la chaise de sous la table et me fait signe de m'asseoir, je m'exécute, puis il se place derrière moi et me dit :
-Allez, montrez-moi votre blessure.
Je remonte ma manche, laissant ma peau blanche exposée à son regard.
-Ce bandage est mis de façon horrible, capitaine !
-C'est que…
-Pas de “c'est que” qui tienne ! Je vais vous refaire ça !
Son ton autoritaire met fin à toutes mes protestations.
Ses mains effleurent mon torse, attrapant le bandage si peu serré que je m'étais fait.
Elles qui me paraissaient si rugueuses tout à l'heure me semblent si douces tant il essaie de me gêner le moins possible.
Enfin, il dit :
-Je suis désolé, capitaine, mais pour vous soigner j'aurais besoin que vous enleviez votre haut.
-Euh oui, bien sûr.

Je m'exécute en silence.
Ma chemise tombe dans un léger froissement, dévoilant à ses yeux le reste de ma peau.
Ma poitrine simplement cachée par un soutien-gorge blanc.
Je rougis
Il y a bien longtemps qu'aucun homme ne m'avait vue si dévêtue.
Je sens ses mains qui défont le bandage qui recouvre ma blessure. Il tente de me toucher le moins possible, mais je sens quand même le bout de ses doigts qui passent délicatement sur ma peau.
Le crépitement des flammes dans la lanterne et nos souffles sont les seuls à perturber le silence de la tente.
Enfin, le bandage est enlevé.

Il regarde la plaie. Puis il me dit :
-Bon, la blessure n'a pas l'air trop grave ni infectée. Mais je vais quand même vous refaire un bandage digne de ce nom.
Il prend un nouveau bandage et l'applique autour de ma blessure. Je sens son souffle chaud dans mon cou.
Les flammes semblent réchauffer l'atmosphère.
-Vous savez, capitaine, vous devez faire attention à vous sur le champ de bataille.
-Ce n'est pas le plus important. Il vaut mieux avancer le plus possible. Les blessures, ça se soigne.
-Peut-être, mais faites quand même attention. Vous comptez beaucoup pour nous. Si vous tombiez au combat, nous serions dévastés.
-Vous vous en remettrez. Un autre capitaine me remplacera vite.
-Non, pas pour moi en tout cas.
Ces paroles me font encore plus rougir. Entendre que je compte pour lui me réchauffe le cœur.

Il a fini de mettre le bandage, mais il reste derrière moi et continue de parler.
-Vous savez, je tiens vraiment à vous.
-Vous comptez tous aussi pour moi.
-Non, vous n'avez pas bien compris. Vous êtes plus qu'une capitaine pour moi. Vous êtes chère à mes yeux en tant que femme.
-C'est que…
Je ne savais pas quoi dire. J'apprécie vraiment Alexandre. Je me sens même attirée physiquement par lui. Mais nous ne nous connaissons pas assez pour envisager une relation. Alors je lui dis du ton le plus doux que je puisse :
-Nous ne nous connaissons pas assez. Même si nos corps sont attirés, nos esprits sont inconnus.
-Alors je vous attire ?
-Oui. Mais mentalement je ne sais pas.
-Je m'en contenterai bien amplement.

Sa main se pose délicatement sur mon épaule. Puis elle glisse le long de mon corps.
Ses caresses délicates font monter en moi un désir de plus en plus fort. Puis sa main passe dans mon dos et détache le tissu blanc, seul rempart à ses yeux de ma pudeur.
Alors ses caresses montent de mes hanches à mes seins. Il passe ses mains le long de mon corps.
Ses doigts s'arrêtent sur mes tétons. Il les malaxe doucement.
La chaleur monte dans mon corps. Puis il dit
-Je peux aller plus loin Leïla ?
Entendre mon prénom me surpris. Mais je voulais qu'il continue. J'en voulais plus.
Alors, n'osant pas le marquer de ma parole, j'hoche la tête en signe d'approbation.

Il tire la chaise en arrière et passe devant moi.
Il se baisse, défait mes lacets, puis enlève délicatement mes bottes.
Ses doigts remontent le long de mes jambes jusqu'à ma ceinture qu'il fait voler d'un geste adroit.
Puis vient le tour de mon bouton et le zip de la braguette vient perturbé le silence de la nuit.
En quelque mouvement précis mon pantalon se retrouve au sol suivi de ma culotte.

Il s'arrête un instant. Contemple mon entre-jambe. Puis calmement il en approche sa tête.
Je sens tout d'un coup sa langue qui se pose sur ma vulve. Puis elle commence à bouger. Lentement d'abord.
Me laissant la sentir sur toute les parties de ma peau entre mes lèvres.
Elle se glisse le long de mon clitoris.
Puis descend le long de mes paroies pour s'enfoncer dans mon vagin.
Les sensations que sa langue me procure font monter l'excitation dans mon corps. Ma main droite se pose sur ses cheveux, le caressant légèrement.
Puis sa langue s'emballe.
Le rythme s'accélère.
Elle se concentre autour de mon bourgeon.
Le plaisir ressenti augmente de plus en plus.
Puis il change de technique et sa langue glisse de mon clitoris à l'entrée de mon vagin.
Le plaisir devient si intense qu'il m'arrache un gémissement incontrôlé.
Sa langue continue de me stimuler.
De plus en plus de gémissement trouble le crépitement ardent de la lanterne.
Plus je gémis fort, plus sa langue va vite.
Mon excitation est à son comble.
Je me penche à son oreille et lui chuchote.
-Tu veux aller plus loin ?

Alors il relève sa tête, laissant apparaître ses yeux ocre qui luisaient d'envie.
Il se redresse.
Son haut tombe sur le sol.
Sa peau légèrement dorée par le soleil et sa musculature provoquée par le port de l'épée sont un plaisir pour mes yeux.
Ma main se pose sur ses abdos saillant tandis que son bas glisse dans un léger frottement jusqu'au sol. Derrière son caleçon une bosse apparaît. Puis, le dernier morceau de tissu enlever, son sexe se présente, dresser d'excitation.
Je me lève de la chaise et colle mon corps au sien.
Mes cuisses sur les sienne.
Ses mains sur les miennes.
Nos sexe l'un contre l'autre.
Nos bouches se dévorant.
Nos yeux fermés, laissant tout le plaisir au toucher.
Je me couche sur son lit de campagne. Le sol est inconfortable mais la paille et la terre dure ne sont qu'un détail dans nos esprits.
La vision retrouvée j'observe le corps d'Alexandre.
De légère cicatrice parcourt son corps. Preuve de sa bravoure sur le champ de bataille.

Soudain je sens sa verge qui s'enfonce en moi.
Un pic de plaisir parcourt mon corps.
Il commence tendrement ses va-et-vient.
Son membre stimule toutes les parties de mon intérieur.
Ses coups de rein me rendent de plus en plus mouillé.
Il accélère de plus en plus.
Le plaisir s'amplifie.
Je gémis de bonheur.
Il s'arrête un instant.
Se retire, et s'allonge sur le dos.

Alors je passe par-dessus.
Prends son pénis lubrifié entre mes mains et baisse mon bassin pour le faire entrer à l'intérieur de moi.
La pénétration me fait ressentir tant de délices que je marque un temps d'arrêt.
Puis je bouge les jambes.
J'accélère et le plaisir en est décuplé.
Son sexe dans le mien. Touchant les paroies sensibles.
Mon clitoris frottant contre son corps.
Ses mains parcourant ma peau nacrée, de mes seins à mes fesses.
Puis je baisse la tête pour l'embrasser.
Nos langues se touchent. Nos lèvres se caressent.
Je m'écarte pour pousser un gémissement de satisfaction.

Ses hanches se sont activées.
Le rythme est bien plus rapide, le plaisir augmente au fil de ses coups de rein.
Alors je colle mon corps au sien, incapable de me tenir droite tant le plaisir est violent.
Il enroule ses bras autour de moi.
Je sens son souffle chaud sur mon oreille.
Subitement il accélère encore plus.
Je jouis en poussant des gémissements de bonheur toujours plus forts.
Ses à-coups augmentent en intensité.
Chacun d'eux continuant ma jouissance.
Soudain un léger gémissement se fait entendre de sa part accompagné d'un liquide chaud qui s'écoule à l'intérieur de moi.
Alors ses hanches cessent tout mouvement.
On reste collé corps contre corps quelque temps.
Enfin je me lève et m'allonge à ses côtés.
Fatigué de la soirée torride, mais heureuse, comblée par le bonheur qu'il m'a procuré. Couché, la tête sur son torse je lui dis, presque en chuchotant
-Je peux passer la nuit ici ?
-Bien sur, et demain il faudra refaire ton bandage. Je pense que je te l'ai un peu malmené.
-Oui c'est sûr.

Alors au sons des flammes qui crépite je ferme les yeux et m'endors. Sa main continue de me caresser jusqu'à ce que son corps cède face à Morphé. Emportant nos esprits dans un royaume de songes.

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Histoire de Infinity

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