L'amour interdit 1

Julia, 21 ans, vit dans une famille très stricte. Tous ses faits et gestes sont pratiquement surveillés. Son frère Loïc, de 19 ans, semble plus privilégié, à lui tout lui est permis.
À la fac, elle a des amies très libres, souvent, ils lui racontent leurs aventures amoureuses, les narrations très détaillées font soupirer Julia. Il lui arrive fréquemment de mouiller sa culotte. Quelques fois les récits sont si hardes, qu'elle disparait à la toilette pour se masturber.


C'est vendredi, le week-end ne s'annonce pas très folichon comme chaque week-end d'ailleurs. Le diner est pris, la petite famille s'installe dans le salon devant la télévision. Le film est ennuyeux. Loïc est assis à côté sa maman Maurane comme à chaque fois, il se blottit contre elle en ronronnant de bonheur. Julia est dans un profond fauteuil, non loin de son papa Roger, ses yeux ne quittent pas le petit écran, mais de temps en temps, il jette un œil vers sa femme.

Julia décide de monter se coucher, elle embrasse tout ce petit monde, et disparait dans ma salle de bain. Elle prend une douche, en savonnant doucement chaque parcelle se sont corps avec du gel douche. Ses mains qui s'attardent sur ses parties intimes, provoquent sur son corps des frissons.

Elle soupire profondément et machinalement, saisit doucement son clito encore endormi, et le triture pour le faire enfler. Progressivement la tension monte en elle, le plaisir digital, c'est le seul qu'elle connaisse. Son clito est gonflé au maximum, elle le branle avec intensité. Elle grimace, l'eau qui ruisselle sur son corps forme de petites perles de rosées. Une buée se forme sur les parois de la douche, on distingue maintenant qu'une forme s'agitait sous l'eau.


Julia, souffle comme un dragon. De sa main libre, elle se fouille le plus profondément le vagin, ses gémissements sont bruyants. La jouissance approche, elle serre les dents en malmenant son clito de plus en plus férocement. Une forte jouissance, la fait cabrer. Elle reste un moment sans faire de mouvements, en ayant toujours ses doigts plantés dans la chatte. Enfin, elle reprend ses esprits et termine sa toilette.

Elle s'enroule dans une serviette de bain et sort de la douche, elle passe devant le salon dans la porte est ouverte. Ce qu'elle voit, la stupéfie. Sa maman, jupe retroussée, culotte sur le sol, se fait brouter la chatte par Loïc, son propre fils. Sur son fauteuil, son papa à la bite hors du pantalon et se masturbe en ne quittant pas des yeux le couple.

Julia est toute retournée, elle entre dans la pièce. Regarde intensément sa maman, qui repousse brusquement son fils et rabat sa jupe, son papa peine à ranger sa queue dans son pantalon. La maman surprise, en rougissant, dit :

-Oh mon Dieu, tu n'es pas couchée Julia ?


Julia, sans répondre, fait demi-tour et monte, quatre à quatre, les marches qui conduisent à l'étage. Elle claque la porte de sa chambre, et se jette sur son lit. Elle s'enfuit la tête dans l'oreiller en sanglotant.


Soudain la porte de sa chambre s'ouvre, son papa et sa maman suivit de son frère entre. Le papa et la maman s'assoient de chaque côté du lit, Quant à Loïc, il se laisse tomber sur une chaise. Les justificatifs, suivis de remords, pleuvent. Julia en reniflant fortement se met sur le dos et dit en marmonnant :

-Depuis combien de temps, que vous vous éclatez en famille, hein sales cochons incestueux. Le pire, c'est que vous me faites la morale lorsque je veux sortir avec un petit copain, donc dans cette maison, il y a deux poids et deux mesures, tout pour Loïc et rien pour moi !

La maman tente vainement de justifier leur comportement. Julia regarde sa maman, ses yeux lancent des éclairs, elle dit :

-Papa ne te suffit plus, il t'en faut deux dans ton lit vieille salope, mon frère te baise bien au moins, tu prends ton pied avec lui !

Tout en lui caressant la cuisse que la serviette ne peut cacher, la maman honteuse tente de son sortir, elle répond pour noyer le poisson :

-Donc si je comprends bien, tu nous reproches de ne pas te faire participer à nos ébats !

Julia toise sa maman et répond :

-C'est un peu ça oui, pourquoi m'avoir mise de côté hein, je ne fais pas l'affaire !

C'est en béguant que la maman réplique :

-Ton papa avait trop honte, il ne voulait pas rougir en te faisant l'amour !

Loïc intervient :

-Oh moi sœurette, je t'aurais bien baisé, tu es bien gaulée ma salope !

Julia, regarde son père qui, tout penaud, ne dit pas un mot. Elle arrache sa serviette et dit en exposant son corps nu :

-C'est ça qui te fait rougir, prends-le, je te le donne. Je veux rattraper le temps perdu, comme je ne peux pas avoir de copain, c'est à vous de me satisfaire !

Comme poussée par une pulsion, elle dit :

-Loïc, continue ce que tu faisais à maman dans le salon !

La maman sursaute et dit avec des trémolos dans la voix :

-Tu veux vraiment qu'il me bouffe la chatte ?

Julia en haussant les épaules réplique :

-Ben oui, il faut terminer ce que l'on a commencé, vous m'avez éduqué dans ce sens, je me trompe !

La maman regarde son fils qui souriant s'approche, il aide sa maman à retirer le reste de vêtements qui lui reste sur le corps, la culotte est restée au salon. Elle s'allonge sur le bord du lit en ayant les pieds posés sur le plancher. Loïc, retire son pantalon, et son slip, et dit en souriant :

-Eh bien sœurette, tu vas voir ce que nous faisons régulièrement. Papa, prépare-toi, il faut que toi aussi, tu montres à ta fille dont ce que tu es capable !

Le papa en se pinçant les lèvres retire ses vêtements. Julia regarde la verge sans vie pendre lamentablement sur le bas-ventre de son papa. Loïc s'agenouille face à sa maman qui écarte les jambes. Il plaque sa bouche sur la chatte qui est encore humide, il aspire, suce, tète les grandes lèvres en faisant gémir sa maman. Julia change de position pour ne rien manquer. La bouche vorace de son frère dévore la chatte dégoulinante de la maman gémissante.

Loïc connait les points sensibles de sa maman, il lui gobe le clito et le suce férocement. Maurane défaille, elle se cabre fortement et en poussant un gémissement plus fort que les autres jouit.