L'amour interdit 4

Le quatuor, toujours en tenue d'Eve, avale un petit encas pour recharger les batteries. Julia est rayonnante, elle regarde souvent sa maman en lui souriant. La maman répond, avec complicité, aux sourires charmeurs de sa fille. Mais dès qu'elle a repris des forces, Julia entraine sa maman vers le lit et lui dit, en la basculant dessus :

-Aime-moi encore maman, fais-moi encore jouir !

La maman, très émue par les propos incestueux de sa fille, dit en arborant un grand sourire :

-Ma chérie, tu mérites mieux que ma bouche et mes doigts, profite des queues vigoureuses, qui sont à ta disposition !

Mais Julia insiste :

-Maman, maman, viens, je t'en prie, fais-moi encore gémir !

Maurane cède à sa fille, elle s'allonge sur elle et frotte sa chatte contre celle de sa fille. Rapidement les vulves se mettent à bouillir, de petits gémissements accompagnent les ondulations des deux corps en ébullitions.

La petite toison soyeuse de Julia, est agressée agréablement pas celle de sa maman, plus fournie. Les chattes trempées humidifient abondamment les poils pubiens. Maurane, tel un reptile, glisse sur le corps fébrile de sa fille. Pendant la descente, sa bouche embrasse chaque parcelle de peau, lèche le nombril. Pour enfin arriver sur la vulve trempée. Les coups de langue, bien ajustés, font couiner la jeunette fraichement dépucelée. Le clito double de volume, Maurane sait comment le faire vibrer, elle le gobe en faisant une grosse aspiration.

Julia pousse un gémissement terrible, en se cabrant. Sa maman lui dévore le clito à l'en faire perdre la tête. Elle gémit comme une bête malade, en appuyant sur la tête de sa maman.
Une violente jouissance la fait hurler. Maurane, elle aussi, veut sa part de plaisir. Elle se place tête bêche sur sa fille et plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante. Julia, elle aussi, se met à brouter sa maman. Les deux femmes se dévorent le fruit juteux comme des affamées.

Les jouissances, terribles, sont interminables. Maurane se redresse et dit :

-Ma chérie, je te conseille une bonne sodomie, il faut que ton corps accepte toutes sortes de pénétrations, il faut que tu sois digne de ta maman ma chérie, sois aussi salope qu'elle !

Maurane plaque sa bouche sur l'œillet ridé, et le taquine, jusqu'à ce que sa langue le pénètre. C'est la seconde fois que Julia se fait agresser agréablement l'anus. Elle gémit, se tortille comme un ver au bout de l'hameçon. Son anus ne cesse de se contracter, la maman juge que c'est le bon moment pour que sa fille, se fasse éclater le cul.


Elle se lève et place sous les reins de la future victime, un épais coussin. Elle lui demande de replier les jambes sur son ventre, car il faut qu'elle regarde son amant l'enculer. Julia se pince les lèvres, c'est le papa qui a le privilège de lui déflorer le cul comme il l'a fait avec sa chatte. Il s'avance, sa queue est raide comme un morceau de bois, il provoque sa fille en l'agitant devant ses yeux. Il décalotte plusieurs fois le gland en souriant. Julia regarde avec angoisse le cèpe joufflu qui la menace.

Le papa s'agenouille entre ses cuisses, c'est la maman qui guide le pal de chair qui palpite dans sa main. L'engin, gorgé de sang, s'approche de l'anus et appuie contre. Julia pousse un gros soupir, elle prend une grande aspiration et retient son souffle.

Roger s'accroche aux hanches de sa princesse et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage de Julia, qui serre les dents fortement. L'anneau cède et laisse entrer la bête féroce dans l'antre étroit. La douleur est vive, Julia se mord ma main pour ne pas hurler. Inexorablement, la verge paternelle, progresse dans ses entrailles.

Une dernière poussée est utile pour que le manche vivant s'enfonce entièrement dans le rectum de Julia, qui croit mourir. Sa maman ne reste pas inactive, elle s'accroche au clito et comme pour le dépucelage de la chatte, le branle comme pour détourner l'attention.

Julia s'accroche à son papa, qui commence à faire un très, très long va-et-vient. Julia croit que la bite épaisse lui arrache le rectum, tellement c'est douloureux. Les gémissements qu'elle pousse sont ceux d'un animal agonisant. Mais au fur et à mesure du ramonage et du branlage efficace du clito, la douleur s'estampe doucement.


Au fil des minutes, le pilonnage devient plus intense. Les gémissements de Julia changent de ton. Le plaisir prend le dessus. La maman, ravit que sa fille commence à prendre son pied, accélère le branlage. Le clito est devenu méconnaissable, la maman, très consciencieuse, le presse de temps en temps.


L'effet est magique, Julia se tend comme un arc qui va décocher sa flèche. Elle grogne de plus en plus fort, elle agite sa croupe. Roger ne retient plus les chevaux, il la défonce comme un forcené. Les coups de reins puissants font gémir de plaisir Julia. Elle souffle comme un taureau, puis se cambre fortement et en hurlant jouit du cul. Elle répète sans cesse :

-Mon Dieu, comme c'est bon, maman, je vais mourir de plaisir, maman, maman, regarde comme il me prend papa, c'est fantastique, oh, je vais re-jouir, oui, oui !

Elle se cambre le plus qu'elle peut et explose. Roger lui travaille le cul encore un bon moment avant de cracher son venin épais. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer. Le trou est béant, il laisse échapper un petit filet de sperme. La maman est comblée de bonheur, elle dit en caressant toujours le clito :

-Je suis fière de toi ma chérie, tu encaisses comme une grande, tu jouis plus fort du cul que moi, c'est magnifique de te voir jouir, tu es vraiment digne de ta maman salope !

Roger en souriant dit :

-Ma princesse, pour compléter ton éducation sexuelle, je te propose une bonne double pénétration !

Il s'allonge sur le lit, il invite sa fille de vernir le chevaucher. C'est en se frottant les fesses qu'elle l'enjambe. La maman, toujours présente, dirige la bite de son mari vers la chatte débordante de Julia. Elle descend doucement et s'empale jusqu'aux couilles. Loïc qui attendait avec impatience son tour, présente à l'orifice fraichement visité, sa queue tendue, et aisément, l'enfonce dans le trou béant. Les deux hommes font geindre la jeunette, comme une bête. Les assauts répétés et violents, la font jouir plusieurs fois.


Les deux hommes s'activent férocement sur le pauvre corps jouissant de Julia. Ils déversent, à tour de rôle, leur sperme abondant dans le corps insatiable de Julia. Pour la récompenser, elle a droit à une double vaginale et anale. Les jouissances innombrables de Julia, sont inouïes. Tour se passe sous le regarde émerveiller de sa maman qui n'a pas eu autant de chance que sa fille, mais ce n'est que partie remise.

Vu sa capacité à subir des pénétrations multiples et violentes. La petite famille, perverse, promet à Julia de faire d'elle une bonne pute. Elle la félicite aussi pour sa performance.