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La secte 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/08/2024

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Ce récit est coécrit avec mon amie Linsee.


Justine vit depuis sa plus tendre enfance dans un gros bourg, qui n'est qu'une secte. la discipline y était dure. L'école obligatoire a déjà formé de jeunes diplômés. Il y a du travail pour tous. Il y a des commerces dans le village, il peut être autonome.

Le sexe, par contre, n'est permis que si les femmes sont mariées, gare aux écarts. Dès qu'elles sont en âge de devenir femmes, les filles sont dépucelées sur un autel en public par le gourou. L'homme bedonnant défonce brutalement la jeunette, jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sa semence. Pour la jeune victime et sa famille, c'est jour de fête.



Le gourou avait instauré une loi inhumaine. Les parents bien endoctrinés par lui, chaque matin, devaient sentir la chatte, l'écarter, et vérifier si leur fille ne s'était pas masturbée. Les culottes étaient passées en revue minutieusement, car les jouissances sont interdites hors mariage, et sont sévèrement punies. Cette vérification se faisait jusqu'au mariage. Les filles s'abstenaient de se tripoter, les jouissances digitales, interdites, que le gourou nommait de satanique, digne de perverses, leur faisaient peurs, donc tabous.



Certain mariage sont arrangés, de jeunes filles encore dans la puberté, sont unies à de vieux hommes autoritaires, voir généralement impuissants.


L'adultère est puni par l'humiliation de la femme infidèle, en général consentant, elle se fait prendre sur l'autel, par le gourou, son amant, son mari cocu, et de ses témoins de mariage. La femme se fait éclater la chatte et le cul en continu. Elle gémit, jouit affreusement. Mais au fur et à mesure, ses gémissements deviennent plus de plus faibles, jusqu'à s'éteindre. C'est inconsciente et remplit de sperme, qu'ils la laissent gisante sur le marbre.

La femme, lorsqu'elle reprend connaissance, doit rejoindre par ses propres moyens son domicile, c'est en titubant et sous les huées ou des acclamations que l'infidèle disparait. Quelques femmes, en soupirants fortement, aimeraient avoir le même châtiment que l'infidèle.

Justine a subi le dépucelage très jeune, comme les autres filles de la secte. Elle était très amie avec Léonie, elles ont le même âge. Les deux jeunettes encore pubères, jouent par instinct aux jeux de l'amour, elles se cachent pour caresser, s'embrasser sans y mettre la langue, elles font du touche pipi sans aller jusqu'à la jouissance. Elles ignorent tout de l'orgasme. Elles comparent leurs formes naissantes en riant. Un jour, surprises par un promeneur, elles sont punies sévèrement et séparées.


Les années passent, Léonie doit se marier, avec un homme que sa famille lui impose. Elle doit se plier au rite que le gourou a instauré. Le bougre doit honorer, en public, La jeune mariée avant le mari. La condition c'est que la mariée donne son accord, en général, elle accepte si elle veut connaitre les plaisirs du sexe.

c'est ni plus ni moins une partouse. Mais cela doit suivre un rite bien déterminé. Léonie entièrement nue est emmenée sur l'autel. Le gourou a vieilli, mais il a entre les jambes de quoi honorer les plus gourmandes. Une jeunette doit lui sucer la bite pour le mettre en condition.

La jeune fille à qui on a enseigné les finesses des attouchements sexuels est considérée comme déesse de l'amour. Souvent le clan du gourou, profite de son savoir-faire. Ils s'autorisent ce qu'ils refusent aux autres.

La bouche de la jeune fille s'active sur la bite épaisse du vieillard. Elle décalotte l'engin, lui dévore le gland, branle la hampe avec rage. Une fois bien opérationnelle, la fille doit, comme le protocole le prévoit, préparer la jeune mariée. Comme on le lui a enseigné, la jeune fille commence par lui caresser la vulve, elle passe ses doigts entre les fines lèvres, les fait voyager de bas en haut pour enfin caresser le clito. Léonie pour la première fois ressent du plaisir, elle geint. Maintenant, elle va recevoir enfin le plaisir qu'on interdisait aux femmes non mariées.

Elle ouvre largement les cuisses, et offre en se cambrant fortement sa vulve, qui commence à suinter. La jeune sait comment faire doubler de volume au clitoris, elle donne des coups de langue sur la petite boule de chair, la suçote. Mais lorsqu'elle enfonce sa langue profondément dans le vagin, Léonie pousse un long gémissement qui fait frémir les nombreux voyeurs. la langue agile fouille, l'antre humide. Ressort taquiner le bouton de l'amour, un nouveau gémissement se fait entendre lorsque la jeune fille lui gobe le clito.


Justine est aux premières loges, inconsciemment sa chatte comme celle de beaucoup de femmes se met à rejeter son jus. Elle serre les cuisses. Elle sursaute lorsque son amie se cabre en jouissant. La jeune femme et vite repoussée. Le gourou bedonnant, enfonce brutalement sa bite épaisse dans le ventre de Léonie qui se cabre en s'accrochant à lui. Le bougre est encore vigoureux, il défonce la jeune mariée en grognant comme un animal. La bite large et noueuse voyage dans la gaine qu'elle étire, en faisant geindre la soumise.

La tension monte, le vieil homme donne des coups de reins comme pour traverser le corps de Léonie. A chaque enfoncement, elle pousse un grognement en s'agrippant encore plus fort à son amant. Soudain les coups deviennent dévastateurs, le pilonnage est redoutable, Léonie défaille. Elle plante ses ongles dans le dos du gourou, une violente brûlure lui traverse le ventre, elle se cabre en jouissant fortement. Le gourou au même moment lui remplit le ventre de son sperme très épais.


Pour Léonie, c'est merveilleux, c'est la première fois qu'elle jouit, et qu'elle sent couler dans son corps un doux liquide tiède. Elle en veut à ses parents autant qu'au gourou qui lui ont interdit tout attouchement sexuel. Elle se demande pour quelle raison que les femmes sont privées de ce bonheur intense, jusqu'à leur mariage.

Le vieux, donne encore quelques coups de reins et cède la place au mari qui bande comme un cerf. La verge s'enfonce dans la chatte remplit de jus visqueux, la bite glisse aisément dans la gaine lubrifiée par la semence en plus de l'abondante cyprine qu'elle sécrète. Les jouissances de Léonie se suivent, elles sont toutes fabuleuses. Son mari décharge sa semence, puis se retire. La jeune fille replie les jambes de Léonie sur son ventre. La position fait que son anus et mit en évidence. la femme plaque sa bouche sur l'œillet et lui travaille si fort que Léonie hurle :

-Mon Dieu, mon Dieu, c'est terrible ce que l'on me fait, on veut me faire mourir !

Elle cherche du regard son amie Justine qui reste bouche bée devant le spectacle. L'anus bien préparé, est livré au gourou. Il pose contre l'anus son braquemart, et pousse. Léonie pousse un hurlement terrible, elle s'accroche à son amant, elle grimace. La bite s'enfonce lentement dans son fondement, pour le remplir totalement. Sans se soucier des cris de la soumise, le vieux l'encule comme un sauvage. Sa bite, fortement veinée, fait des allers et retours rapides. Elle racle les parois garnies de muqueuses sensibles.

Léonie, geint comme une bête malade, le vieillard déverse sa semence dans le rectum de Léonie, qui continue de geindre en grimaçant. Le gourou se retire, sa bite laisse échapper des gouttes de sperme sur le sol. L'anus est vite réinvesti, par la verge du mari. Il défonce sa femme comme un soudard, Léonie réussit à jouir du cul, elle trouve cela formidable, elle dit :

-Encore, encore bourre-moi bien le cul, vas-y, vas-y, ne fais pas semblant !

Le mari se sent pousser des ailes, il travaille le cul de sa femme jusqu'à ce qu'elle jouisse une seconde fois du cul. Pour terminer le spectacle, la mariée doit sucer les deux bites qui l'on fait jouir Une fois fait, Léonie peut rentrer chez elle continuer avec son mari, l'étreinte qui lui a fait défaut par le passé. Justine à la culotte trempée, elle voudrait bien se masturber, mais ses parents la surveillent de près.



Un jour, elle décide de fuir la communauté. Elle prend son courage à deux mains et court jusqu'à la gare. Elle traverse le pays, et trouve les jours suivant un logement et emploi. Elle travaille dans une banque, ses diplômes le permettent.
Elle a aujourd'hui trente-cinq ans, et ne connait pas l'acte sexuel. Il lui arrive de se caresser, mais son éducation resurgit, elle n'atteint pas la jouissance tellement elle est coincée.

Elle fait la connaissance de Marcel, un employé avec lequel elle travaille. La réputation de Marcel n'est plus à faire, c'est un chaud lapin. Ils sympathisent, dinent souvent ensemble au restaurant. Un lien se crée entre eux. Un soir, devant son immeuble, ils échangent un premier baiser. C'est la première fois qu'une langue se noue à la sienne, elle trouve cela agréable, mais étrange lorsque le coquin lui remplit la bouche de salive. Elle n'a pas d'autre choix que d'avaler.









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