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La secte 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/08/2024

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Le baiser salé, dure de longues minutes. Sur le point de se séparer Marcel dit :

-Tu m'invites à boire un dernier verre ma chérie ?

C'est la première fois qu'on n'appelle Justine ma chérie, cela la trouble tellement qu'elle en attrape des frissons. Elle répond en lui faisant un sourire timide :

-Oui bien sûr viens prendre un verre !

Une fois dans l'appartement, elle fait asseoir Marcel sur le canapé et prépare deux verres. Elle lui en tend un et prend place à côte de lui. Les deux trinquent, Marcel n'a qu'un but c'est de sauter Justine, cela fait plus de quinze jours qu'il ne c'est pas purgé le poireau, cela commence à urger.

Les deux discutent de tout est de rien. Jusqu'au moment ou Justine lui parle de la secte ou elle a été élevée. Marcel reste bouche bée en entendant le récit de Justine, lorsqu'elle entre dans les détails, il ravale sa salive. C'est comme cela qu'il apprend son dépucelage, et comment le gourou a défoncé son amie Léonie le jour de son mariage, et la punition des femmes adultères.

Marcel secoue négativement la tête, il prend la main de Justine et en la regardant dit :

-Même les masturbations étaient interdites, mais c'est monstrueux ça, tu ne t'es jamais branlée ma chérie c'est vrai ça !

Justine un peu honteuse répond :

-J'ai déjà essayée depuis que je me suis enfuit, mais je ne vais jamais jusqu'à la jouissance, il y a quelque chose qui m'en empêche !

Marcel vide son verre, il prend le verre de Justine, le pose sur la table et la bascule doucement sur le canapé. Il lui dégrafe le corsage et ouvre les pans. Justine rougit, elle ne sait que faire. D'un geste habile Marcel, fait sauter l'agrafe du soutien-gorge. Les seins jaillissent en s'étalant sur le torse. Marcel regarde longuement les seins, puis avec douceur les caresse. Il malaxe les lobes, les pétrit, en enfonçant ses doigts dans les chairs souple.

Justine geint, elle serre les poings aussi fort que ses dents. Marcel a l'art de raffermir les deux masses de chairs. Il sait aussi faire grossir les mamelons. Justine tente d'étouffer ses gémissements en se pinçant les lèvres. Justine croit qu'elle urine elle serre les cuisses fortement. Le muscle vaginal se détend et laisse échapper non de l'urine mais de la cyprine. Rapidement sa culotte s'humidifie.


Marcel roule entre ses doigts les mamelons, les étire, les presse de temps en temps pour les stimuler. Justine ce demande ce qui lui arrive, elle ne peut contrôler sa chatte qui rejette de plus en plus de liquide. Marcel pose sa bouche sur un mamelon et le tète, pour Justine c'est une nouveauté, plus Marcel s'acharne sur le mamelon, plus Justine gémit. L'autre, ne tarde pas à subir le même traitement.


Justine défaille, elle souffle comme un dragon. Ses mamelons en doublés de volume, et sont durs comme du bois. Marcel à atteint son but, il à fait durcir les seins et épaissir les mamelons. Il s'agenouille face à Justine, passe sa main sous sa jupe et s'agrippe sa culotte. Avec des gestes bien contrôlés, il la fait descendre lentement sur les hanches et les longues jambes de Justine. Qui se demande si il faut fuir ou accepter, la décision est vite prise, il faut qu'elle apprenne à jouir. Elle se tortille doucement, pour que Marcel est plus de facilité pour retirer la culotte.


Une fois sur le sol, Marcel ramasse la culotte il constate qu'elle est trempée, il la porte à son nez et la hume fortement. Il dit en souriant :

-Tu sens l'amour ma chérie, sens cette bonne odeur !

Il la passe sous le nez de Justine qui se pince le lèvres. Il jette la culotte, lui retrousse la jupe jusqu'à la taille en lui découvrant les cuisses. Justine a un geste de défense, elle serre fortement les cuisses. Marcel l'encourage, avec tendresse il lui dit :

Détends-toi ma chérie, laisse-moi t'emmener à la jouissance, rattrape le temps perdu, devient pleinement une femme !

Sans brusquerie, il lui ouvre les cuisses, elle soupire bruyamment mais, ne résiste pas. Marcel regarde, la toison luisante de cyprine en souriant, il dit :

-Tu mouilles bien ma chérie, c'est très bon pour la suite !

Du bout des doigts il effleure les grandes lèvres, Justine se crispe légèrement. Deux doigts s'engagent entre les grandes lèvres et voyagent dans le sillon.
L'effet est radicale, Justine frémit. Les visiteurs se posent sur son clito qui n'a pas encore atteint, son volume maximum. Marcel le caresse doucement, cet attouchement fait geindre doucement Justine, mais dès que les doigts le saisissent, la boule de chair. Justine se cabre, Marcel la presse puis commence à la branler doucement.

Justine geint, Marcel augmente la vitesse du branlage, Justine geint plus fort. La tension monte dans son corps. Marcel connait bien son affaire. Il écrase le clito fortement avant de reprendre le branlage. Justine se cabre en grognant comme un fauve sur sa proie.

La jouissance approche à grands pas, Justine délire :


-Non, non, il ne faut pas c'est interdit, Marcel, Marcel non, non !


Mais le bougre ne l'écoute pas, au contraire, il accélère. Justine ne peut retenir sa jouissance, elle se cambre fortement et en poussant un hurlement terrible, explose.
Pour une première jouissance, on peut dire qu'elle est exceptionnelle. Elle se laisse retomber lourdement sur le canapé, ses yeux sont pleins de larmes. Elle bègue :

-Mon Dieu, mon Dieu je suis damnée, oh comme j'ai honte !

Marcel lui relève le menton avec deux doigts et lui dit :

-Non, tu es une femme normale, il faut que tu jouisses encore prouve-moi que tu peux le faire ma chérie, branle-toi, vas-y branle-toi !

En ravalant sa salive, Justine approche sa main de sa chatte dégoulinante. Elle tremble, saisit son clito et commence à se masturber. Ses doigts agitent la boule de chair avec une tel intensité, qu'elle grimace. Marcel l'encourage :

-Oui, vas-y ma chérie, branle, branle, plus fort ton clito !


Justine accélère, elle veut jouir encore. Un grognement plus fort que les autre, la fait cabrer, une seconde jouissance aussi intense que la première, la fait délirer :

-Marcel, Marcel j'y suis arrivée, tu as vue comme j'ai joui !

Marcel la félicite :

-C'est merveilleux ma chérie, maintenant, il ne faut plus te retenir, lâche-toi totalement !

Marcel plaque sa bouche sur la chatte juteuse et aspire tout le jus
qu'il peut avant d'enfoncer sa langue dans le puits d'amour. Justine surprise par cette agression agréable, se cambre d'avantage en geignant. Sa chatte reçoit pour la première fois une langue, mais dès que Marcel lui aspire le clito, elle ne peut retenir un nouvelle jouissance. C'est si bon que Justine croit mourir.

Marcel retire son pantalon et son slip, sa bite tendue oscille sur son bas-ventre. Justine se remémore son dépucelage brutal, elle craint le pire. Devant-elle, Marcel se masturbe lentement. Il s'approche, Justine frémit. Il lui dit :

-Branle-moi ma chérie, c'est naturel, vas-y, prends-la en main !

Timidement, elle saisit la verge, la presse comme pour en connaitre la texture. La douceur du membre ainsi que sa grosseur l'étonne. Sous les indications de Marcel, Justine décalotte le gland, elle écarquille les yeux en voyant le gland large et épais, s'étaler devant ses yeux, elle l'observe un long moment. Puis commence un doux branlage.

Toujours en suivant les conseils de marcel, elle accélère. la verge palpite dans sa main , elle sent le sang battre dans les grosses veines apparentes. Marcel la stoppe dans son action, il lui dit :

-Décalotte la à fond et suce-la ma chérie !

Justine presse la hampe et descend sa main, le gland apparait majestueux, le méat laisse échapper quelques perles de rosées. Marcel lui demande de les laper. la langue agile pour la première fois touche une bite bien vivante. Elle fait de nombreuses fois le tout du gland, agace le frein. Doucement la bouche timide gobe le gland. Justine suce et tète pour la première fois de sa vie un membre. Sa bouche s'active sur le gland en faisant geindre marcel.


Justine apprend rapidement, elle est très douée, sa bouche fait des merveilles sur la bite de Marcel qui ce cabre en gémissant :

-Oh je vais, jouir oui, oui !

Il se cabre et envoie dans la bouche de Justine une formidable giclée de sperme. Surprise, elle repousse brutalement Marcel en faisant une moue affreuse. Elle grimace en se pinçant les lèvres, elle regarde ahurie, Marcel qui la supplie :

Avale ma chérie, avale !

-Après un long moment d'hésitation, Justine déglutie, et finit par avaler la totalité de la décharge. C'est avec étonnement, mêlé à du bonheur, que pour la première fois, elle découvre la viscosité et le goût suave de la mixture crémeuse, qui se cachait dans les couilles de Marcel.

Marcel la bascule doucement sur le canapé. Justine en frémissant ouvre les cuisses. Marcel ce place entre ses cuisses et avance vers sa cible son engin gluant. Il le frotte doucement contre les grandes lèvres détrempées. Il pousse doucement, Justine s'accroche à lui en serrant les dents. La pénétration est moins pénible que prévue. Lentement la verge s'enfonce dans la gaine abondamment lubrifier par la cyprine.

Justine se détend, elle commence instinctivement à agiter doucement son bassin, la pénétration est si douce, qu'elle en oublie son déflorage douloureux. Marcel commence un lent va-et-vient. la verge racle les parois sensibles du vagin, en faisant couiner de bonheur Justine. La vitesse augmente, les gémissements de Justine également.

Le pilonnage devient violent, Justine s'accroche à son amant en geignant de plaisir, elle aussi se met à donner des coups de reins, la défonce est totale. la verge infatigable, voyage dans la gaine sollicitée férocement, en provoquant dans le corps de Justine des sensations, jusqu'ici inconnues d'elle. La pression monte de minutes en minutes, les gémissements et les râles rauques que pousse Justine sont très, très bruyants. Marcel ne la ménage pas, Justine se cabre en poussant un long gémissement, sa jouissance est formidable. En retombant sur le canapé, elle grogne :

-Encore, encore, oui bourre-moi bien, oh comme c'est merveilleux vas-y, vas-y, encore, encore. Marcel défonce-moi, fait moi encore jouir !

marcel vient de découvrir une facette de Justine, a voir comme cela, elle parait une sainte nitouche, mais il en est autre. Dans sa tête germe une idée diabolique, il dit en continuant de la démonter :

-Oh toi ma belle tu es tellement vorace, que je vais en faire profiter mes amis, tu veux bien !

Soumise à une excitation extrême Justine, en grognant sous les coups de boutoir féroces de son amant couine :

-Oui, oui, tout ce que tu veux, mais bon Dieu, défonce-moi plus fort, je veux encore jouir. C'est prise d'une rage incontrôlable, qu'elle donne de violents coups de reins. Sa jouissance et phénoménale. Mais la coquine sevrée depuis de nombreuses années réclame encore de la jouissance. les deux amants se retrouve au petit matin dans le lit, blottit l'un contre l'autre en ronronnant.

Dès le réveil, Justine à droit à sa dose de sperme. Marcel fait murir ses projets, il est persuadé que Justine peut recevoir des flots de sperme dans la bouche et le corps, il sourit intérieurement. Il la prend sauvagement, la fait jouir comme une bête avant d'aller prendre sa douche. Justine reste un moment encore au lit en rêvassant, avec de prendre sa douche elle aussi.

En l'embrassant Marcel lui promet de beaux jours avenir!















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Histoire de valeriane

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