La serveuse Lucie comme cadeau.

Depuis 6 ans que nous sommes en couple, tu essaies toujours de me faire plaisir pour mon anniversaire, tu veux de me surprendre à chaque fois.

On aime le sexe tous les deux mais contrairement à toi, je ne suis pas bi. Disons que je n’ai pas encore passé le cap.

Par contre, je ne t’ai jamais empêché de te taper un autre mec mais je préfèrerai être présent pour mater, même si je participe que de loin.

Notre relation actuelle, avec Murielle et Célia me convient parfaitement. Tu me laisses les baiser même si tu n’es pas là, je suis vraiment privilégié.

Vendredi 18h30, le jour de me 48 ans.

« Va prendre une douche chéri, j’ai invité du monde ce soir ! Fais-toi un shampoing, je viens te brosser les cheveux après ! ».

Tu as pris l’habitude de me peigner pour faire mon catogan quand je sors de la douche.
C’est même souvent toi qui me fait le shampoing, mais ce soir, tu es occupée en cuisine.

Je me doutais bien qu’il allait se passé quelque chose ce soir alors je m’exécute.

Le soleil se couche. De ce côté de la maison, on n’a pas la vue mer mais ce soir, les couleurs du ciel sont magnifiques.
Il y a quelques nuages qui changent de couleurs passant du bleu à l’orange violet.
J’aime prendre ma douche dehors dans ces moments-là.

Je prends mon temps, et en savonnant ma bite, je la regarde et je me mets à lui parler.
Je pense que tous les mecs font ça, ou ont au moins fait ça une fois dans leur vie …

Je ne sais pas qui va venir ce soir mais je parierai plus sur Murielle et Célia pour une partie de jambes en l’air que sur d’autres amis pour une soirée tarot.
Quoi que j’avais bien aimé notre soirée poker, mais c’était avec nos copines justement.

Je regarde ma queue et lui dit : « T’as intérêt d’assurer ce soir ! ». Et je me marre tout seul.

Je commence par le shampoing et je me lave le corps.
Je nettoie correctement mon prépuce en me branlant un peu et tu arrives à ce moment-là.

« Tu veux que je t’aide ? ». Tu attrapes ma bite pour me masturber.
Je pensais que tu allais me sucer mais avant même d’avoir une érection, tu lâches le matos et tu retournes dans la cuisine.

Je termine ma douche.
« C’est bon chérie ! Tu peux venir ! ».

Tu me rejoins, tu m’essuies avec la serviette et tu me demandes de m’assoir sur une chaise pour la séance de coiffure. Tu décides de me faire une tresse ce soir. J’aime bien …

« Mets juste ton pantalon en lin sans caleçon ce soir. Et si t’as trop chaud, reste torse-nu.

Je passe dans le dressing pour suivre tes conseils, et comme il fait chaud, je ne mets pas de tee-shirt.

« Je peux t’aider chérie !
- Non, j’ai bientôt fini ! Va prendre un verre dans le salon et roule-toi une clope !
- Je te sers un verre ?
- Oui, comme toi ! ».

Je constate que tu as déjà recouvert le canapé d’un drap de bain. En général, tu fais ça pour recevoir nos copines. J’ai hâte.

Je nous sers un ti-punch et je mets un fond musical, du reggae …

Je retourne dans la cuisine pour chercher des glaçons et je te vois danser devant les fourneaux.
Tu es belle. Et tu me fais une petite danse sexy.

Tu me raccompagnes dans le salon pour trinquer et tu vas prendre une douche à ton tour.
« Tu veux que je vienne t’aider ?
- Non ! On n’a pas le temps chéri ! ».

J’ai à peine le temps de me poser et de me rouler une clope que tu te pointes nue avec un bandeau en soie dans les mains. Tu baisses mon pantalon, tu attrapes ma bite, tu fais un nœud autour avec le ruban et tu retournes dans le dressing.
« Attend, je reviens ! ».
Je regarde mon sexe enrobé de ce morceau de soie noir. C’est la ceinture de ta nuisette. Je resserre le nœud et en tirant de chaque côté, je monte et je descends. La sensation de cette branlette improvisée n’est pas si mal.
Tu reviens en petite tenue. J’adore. Tu portes ton petit ensemble en dentelle violet avec des bas noirs, des Dim--up.
Tu te rapproches de moi. « Qu’est-ce que tu fais chéri ? La soirée n’a pas encore commencé ! ».
Tu retires le bandeau et tu me bandes les yeux. Tu me mets une petite claque sur la bite.
« T’es puni ! Remet ton pantalon ! ».
Tu es dans la domination ce soir. Je reste soumis. On alterne régulièrement et je pense que ça fait partie des choses qui maintiennent notre couple.
Tu retournes dans le dressing pendant que je repère le cendrier et mon verre. Je ne triche pas, je garde les yeux bandés.

On frappe à la porte mais personne ne s’annonce.
J’entends le son de tes talons sur le carrelage dans le couloir. Tu fermes la porte du salon en passant devant et tu vas ouvrir la porte d’entrée pour accueillir tes invités.

Il se passe au moins 3 minutes, je n’entends toujours rien. Plus de son, plus d’image. J’écrase ma cigarette.

Puis, j’entends encore le son de talons qui claquent sur le carrelage. Clac, clac, clac, … Et la porte s’ouvre.
Vous êtes nombreuses. J’imagine Murielle et Célia, forcément. Toutes en talons.

Tu pousses la table basse et tu te mets sur le côté.
« Chéri ! Installe-toi correctement ! Tu vas avoir droit à un défilé et tu dois reconnaître qui est devant toi. Tu as le droit de toucher un peu, mais pas trop. ».

Une personne se présente devant moi et elle pose ses mains sur mes cuisses. Je pose mes mains sur les siennes pour avoir un aperçu.
Elle plaque ses jambes contre les miennes alors je me penche en avant pour la caresser, en commençant par les chevilles.
Je sens du nylon et des escarpins à talons hauts et fins.
Je remonte doucement. Les mollets, puis l’arrière de ses cuisses, jusqu’à ses fesses. Elle porte des Dim-up et un string.

Je connais ce petit cul, mais je veux avoir confirmation.

Mes mains se posent alors sur ses seins et elle ne porte pas de sous-tif.
Vu la taille, ça ne peut être que Célia mais je laisse durer le suspense. Je lui pince les tétons et comme elle adore ça, elle se met à gémir doucement. Je reconnais le son de sa voix.
« Bonsoir Célia ! ».
« Bravo chéri ! Mais c’était facile ! ».

Célia me roule une pelle et attrape mon pantalon pour me l’enlever.
« T’as gagné alors t’as droit à un cadeau. ». Et elle se met à me sucer.
Rapidement, elle arrive à me faire durcir la bite et elle s’écarte en disant : « Suivant ! ».

Le son des talons avancent vers moi et pareil, je sens une jambe de chaque côté de mes cuisses. Je touche de suite ses jambes et y’a encore du nylon. Normal, c’est mon anniversaire et j’adore ça …

Je sais que ce n’est pas toi donc, j’imagine que c’est Mumu.

Je sens aussi un string et un joli sous-tif en dentelles. Du moins, au toucher … Et ses fesses confirme mon choix.
« Murielle !
- C’est bien Doudou ! ».

C’est bien elle et elle me branle avant de se retirer.

Toutes les filles piétinent devant moi et une autre présence féminine se représente. Je sais au premier touché que ce n’est pas toi. Elle est un peu plus costaud et ses seins sont plus gros.
« Je ne connais pas !
- Si tu connais ! Touche sa chatte ! ».
Mes mains redescendent en passant par son porte-jarretelles et une main vient se plaquer sur son entre-jambes.
J écarte le bout de tissu et je rentre un doigt dans sa chatte.

J’avoue que je ne reconnais pas au toucher mais à part la serveuse du restau de l’autre jour, je ne vois pas qui ça peut être.
Ca fait plus d’un mois, j’avais caressé une serveuse qui m’avait donné sa carte de visite, mais je ne me souviens plus de son prénom.

Elle plie un peu les jambes et écarte son string sur le côté.
Je rentre alors 2 doigts et je la masturbe.
Je fais durer le plaisir. Elle mouille …

Murielle s’impatiente : « Alors Doudou ? ».

Au moment où j’allais dire qu’elle était serveuse, pour gagner du temps, son prénom me revient. « Lucie ! ».

Tu t’approches de moi et tu m’enlèves le bandeau. « C’est bien chéri ! ».

Je suis face à cette fille qui est plutôt pas mal, très bien foutue même.

Comme vous toutes, vous êtes un peu maquillées comme des putes pour l’occasion.

Tu t’assoies à côté de moi et Lucie nous fait une danse sexy.
Elle enlève son sous-tif et je ne suis pas déçu. Elle a vraiment une belle paire de seins.

Tu me masturbes pendant qu’elle enlève son string en me souhaitant un joyeux anniversaire.
Elle a un joli petit ticket de métro.
Je suis le plus heureux des hommes.

Les 3 filles dansent devant nous et comme tu as déjà fait, tu jettes un coussin par terre, devant moi pour que les filles s’agenouillent.
Tu retires ta main pour laisser place à Lucie qui passe la première.
Elle commence par lécher mon dard plusieurs fois avant de le mettre en bouche.

Les autres se mettent sur le côté pour embrasser mon torse. J’ai des traces de rouge à lèvres un peu partout.

Mes mains caressent toutes ces cuisses autour de moi, toutes ces fesses, tous ces seins, c’est vraiment génial.

Ma bite passe d’une bouche à l’autre, et tout le monde se frotte. Tout le monde caresse un partenaire.

Murielle connait la maison et elle ouvre le tiroir de la commode pour sortir les objets du désir et bien sur, le tube de gel.
Elle presse le tube, fait couler une grosse noisette et se frotte les mains. Ses mains se promènent un peu partout pour bien étaler. Sur ma bite, sur vos chattes, et même dans le petit cul de Célia. Tout le monde est bien huilé …

Elle se repenche sur la commode et sort tous les joujoux sexuels qu’elle pose en vrac sur le canapé.

Lucie se saisie de mon objet. La branlette masculine en silicone. « Ah c’est marrant ça ! Je n’ai jamais utilisé. Je peux ? ». Dit-elle en te regardant.
« Oui vas-y, faites-vous plaisir ! Rajoute un peu de gel dedans ! ».

Je lui montre le trou que je préfère. La chatte. « Vas-y, mets du gel autour ! ».

Une fois l’objet bien huilé, elle le présente sur mon gland.
Je bande à mort et j’attends un trou à pénétrer. N’importe quel trou …
Elle descend doucement le fourreau, délicatement, et commence à faire des va-et vient.
Tout le monde observe …

Ma main se pose sur un gode, le plus petit. « C’est pour qui ça ? ».

Tu le prends de suite et tu te frayes un chemin pour poser une jambe sur moi en écartant les jambes.
Dans le même temps, Lucie enlève la branlette et dit : « C’est pour qui ça ? ».

Mumu se jette sur mon sexe pour me sucer pendant que tu te godes.
Lucie balance la branlette et caresse Célia.
Tout le monde fait l’amour avec tout le monde. Parfois seuls, avec ou sans objet. Et je finis par éjaculer sur ton ventre.
Les filles lèchent le sperme et me nettoie la bite avec leur langue.
« Merci les filles ! Apéro pour tout le monde ! ».