Le défi

Pour ceux qui ne nous connaissent pas encore, Lucrèce (moi) et Libertin (mon mari) sont des pseudos.

Ce récit est le défi que Libertin m'avait posé il y a seulement 2 mois. Je l'ai relevé même si je pensais que sa réussite serait peut-être difficile.

Nos voisins, un couple de 67 et 65 ans ont acheté un appartement en Espagne, plus exactement à Malaga, où ils ont décidé de finir leurs vieux jours.

Fin mars, madame y est partie afin de meubler l'appart et, en attendant, loge chez des connaissances à eux à seulement quelques minutes de là.

Son mari, Louis, est resté ici car il cherche à louer leur appartement ici à Liège. Ils ne veulent pas le vendre, au cas où ils reviendraient en Belgique.

Nous avons toujours entretenu de bons rapports avec eux, d'ailleurs nous avons partagés quelques repas ensemble. Elle très douce, lui un peu bourru mais sympa.
Jamais il n'y a eu de sous-entendus, toujours des rapports cordiaux.

Alors que madame était déjà partie, Louis tournait en rond chez lui attendant les visites les mardi, jeudi et samedi soirs de 18 à 20h. Seul, il s'ennuyait et dés qu'il nous entendait sur le palier il venait à sa porte pour discuter un peu.
Un jour, Libertin m'a dit qu'il voulait me mettre au défi de draguer Louis.
J'ai hésité, Louis ne m'avait jamais fait d'avances et je n'avais jamais remarqué que je puisse l'attiré.
Libertin: - C'est justement pour ça que je te mets au défi, autrement ce serait trop facile.
Ce n'est pas le premier défi que me lance mon homme et, si ce n'est 2 fois, je les ai toujours réussis.

Une fin d'après-midi, alors que je revenais de chez ma soeur, j'ai croisé Louis dans l'entrée de l'immeuble. Nous avons papoté un peu et, prétextant que j'étais chez moi le lendemain toute l'après-midi, l'ai invité à venir me tenir compagnie.
Moi: - Ainsi toi et moi serons moins seuls.
Il a accepté, ravi de briser sa solitude.
J'ai averti Libertin que ce serait pour le lendemain et n'ai pas voulu lui dire comment je comptais m'y prendre.

Le jour du défi
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Sachant que Louis venait pour 13h, à 12h15 j'ai pris ma douche et suis restée seulement vêtue d'un petit string et de bas autoportant sous mon peignoir.
Quand il a sonné j'ai entrouvert la porte faisant mine d'être gênée.
Moi: - Oups, je n'avais pas remarqué qu'il est déjà 13h et voilà que je sors de ma douche, je ne suis pas encore habillée.
Louis: - Désolé, je reviendrai dans 1/4 d'heure.
Moi:- Non, ce n'est pas grave, entre.
Je l'ai invité à s'asseoir sur le canapé et lui ai proposé à boire, il a accepté un jus de fruits.
Ayant pris soin de ne pas serrer la ceinture, ma poitrine lui fut presque offerte lorsque j'ai déposé son verre sur la table de salon.
Je me suis dirigée vers le fauteuil lui faisant face et, discrètement, ai fini de délacer la ceinture de mon peignoir.
Lorsque je me suis assise il s'est ouvert, dévoilant ma poitrine aguicheuse.
Moi: - Holà, décidément mon peignoir ne veut pas tenir fermé, mais tant pis, je le laisse ainsi. De toute manière on se connait et tu m'as déjà vue dans des tenues sexy quand vous veniez manger toi et ta femme.
Louis: - Oui, mais jamais comme ça. Il ne faudrait pas que Libertin revienne maintenant car il s'imaginerait des choses.
Moi: - Il ne rentrera pas avant 18h, il est à Bruxelles. Tu voudrais qu'il s'imagine quoi ? Tu ne m'as jamais regardée de façon coquine.
Louis: - Donc tu ne l'as jamais vu ?
Moi: - Pourquoi ? Tu me zieutes parfois ?
Louis: - A chaque fois que je le peux, mais il faut que je fasse attention quand ma femme est là, ma femme ou ton mari.
Moi: - Oui, je comprends, mais là nous sommes seuls.
Louis: - Oui.
Moi: - Et tu préfères quoi chez moi ?
Louis: - Maintenant que je vois entièrement tes seins je les trouve dingues ! Mais c'est tes jambes qui m'ont toujours attiré.
Moi: - Et si j'enlevais mon peignoir, ça te plairait ? Tu pourrais mieux juger. De plus tu vas bientôt partir en Espagne, comme ça tu auras un beau souvenir de moi.
Avant même qu'il réponde je me suis levée, ai retiré mon peignoir et ai tourné sur moi-même.
Moi: - Tu aimes ?
Lui: - J'adore, merci pour ce cadeau souvenir.
Je me suis approchée, me suis assise sur ses genoux et lui ai dit: - Pourquoi ne prendrais-tu pas le cadeau en entier, nous te l'offrons.
Il m'a regardée interrogativement, j'ai compris.
Moi: - Oui, nous, car Libertin tenait à ce que je m'offre à toi.
Louis: - Il t'offre à moi ?
Moi: - Plutôt il m'offre de me donner à toi.
Louis: - Ben ça je ne l'aurais jamais cru, bien que je me sois déjà un peu douté que tu le trompais vu que des hommes viennent parfois, mais comme Libertin est souvent présent je me suis dit que non.
Moi: - Libertin me laisse vivre ma vie sexuelle en toute liberté et souvent il est là à regarder ou participer.
Moi: - Mais bon, on ne va pas parler de Libertin, embrasse-moi.
Directement il m'a embrassée, sa main gauche est allée derrière ma nuque et la droite sur ma cuisse. Très vite elle est remontée et a écarté mon string pour aller caresser mon minou.
Louis, cessant de m'embrasser: - Tu es rasée, c'est doux.
Moi: - Pas rasée, épilée, et de partout.

C'est alors que ce fut burlesque !!
Il avait 2 doigts en moi quand il me dit:
Louis: - Il ne faut pas que ma femme apprenne ce qu'on fait, elle est fort coincée. Avec ma première femme on pratiquait le BDSM, mais ... (sa femme actuelle) n'a jamais voulu que des relations sexuelles classiques.

Imaginez-vous, Louis en train de me masturber et qui me parle de sa femme ! Le côté positif est qu'il venait de m'apprendre qu'il n'avait pas toujours été l'homme sage que Libertin et moi pensions.

Moi: - Tu voudrais revivre ces jeux que tu pratiquais avant ?
Louis: - Tu accepterais d'être attachée et punie ?
Moi: - Je pratique parfois avec des amants, mais ici je n'ai pas grand-chose qui convienne pour m'attacher.
Louis: - Si tu as de la ficelle il suffirait que tu ne forces pas, et ma ceinture conviendrait parfaitement pour faire rougir ton joli cul.

Je l'ai embrassé puis ai été chercher la bobine de ficelle dans la cuisine, ensuite nous sommes allés dans la chambre où j'ai attendu qu'il se déshabille.

Louis: - Je vais t'attacher les mains, mais pas dans ton dos car je veux que tu puisses me caresser la queue (il devenait cru). Ensuite tu te mettras à genoux le haut du corps sur le lit. Je peux t'insulter pendant ?
Moi: - Tu peux me dire et me faire ce que tu veux, mais ne crie pas car je ne veux pas que les gens du dessous entendent. Si tu es clean pas besoin de mettre de préservatif, autrement il y en a dans le tiroir de la table de chevet.

Alors il a commencé, petites fessées de plus en plus fortes entrecoupées de douces caresses, il savait y faire. Puis vint le tour de la ceinture, là je ressentais vraiment la douleur, mais il me manquait quelque-chose.
Moi: - Dans le tiroir il y a du lubrifiant et des plugs et des godes, j'aimerais que tu en prenne un et me le mette.
Il a fouillé et pris un gode et un plug qu'ils a bien lubrifié avant de me les introduire tous les 2 et recommencer à me punir.
Après une belle séance et une douleur qui devenait limite il m'a dit de me relever.

Louis: - Tu es une bonne soumise, maintenant je vais m'occuper de tes nichons ma salope.
J'étais debout et lui assis sur le lit, il me tripota les seins puis s'attaqua rapidement à mes tétons qu'il tritura et pinça en les étirant un maximum. Ce fut également ses dents qui s'activèrent sur mes bouts, il les mordilla puis mordit. Un peu trop fort même, l'un de mes tétons saigna un peu.
Il s'allongea et me demanda, alors que j'avais toujours les mains attachées, de le branler.
Quel beau sexe il a ! Malgré son âge il est toujours énorme et raide comme un bois !
Je l'ai branlé, mais n'ai pu m'empêcher de remplacer mes mains par ma bouche tellement c'était tentant.
Louis: - Hè petite pute, tu veux manger le bâton de ton maitre ? Vas-y doucement car je veux te baiser et t'enculer.

A suivre si vous le voulez,

Lucrèce