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LE DONJON

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/07/2024

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-Retirez votre jupe et votre culotte Mlle Amandine !! » dit-il d’une voix sèche et cinglante …
-Oui Mr dis-je la voix pleine de sanglots et je m’exécutais, faisant glisser doucement ma jupe et ma culotte blanche qu’il avait demandé que je porte pour notre petit scénario érotique…
-plus vite ! cria-t-il !!
J’étais à demie-nue, exposée au regard de mon compagnon, dans cette grande pièce froide et lugubre ou était disposé pèle mêle : un bureau d’écolier, un tableau noir, un pilori, un palan au bout d’une chaîne fixé à une poutre, un matelas à même le sol et une énorme croix en X avec des attaches à chaque extrémité…ainsi que des cordes, fouets, cravaches et menottes sur un présentoir, rangés comme dans un atelier de mécanique. Nous étions dans un « donjon » prêté pour l’occasion.
Comment en étais je arrivée là avec Antoine ? Nous étions amants et vivions pratiquement ensemble depuis quelques mois…son corps musclé et son sexe de bonne taille (voir histoire précédente) ainsi que son imagination débridée pour des jeux érotiques nous avaient emmené vers la réalisation de nos fantasmes les plus enfouis, enfin surtout les miens, les siens étant enfouis depuis plus longtemps….et nous voulions passer à l’étape supérieure en dehors de mon appartement qui manquait cruellement d’accessoires …
-Votre comportement et vos notes que m’ont rapportés vos professeurs, justifient votre présence dans mon bureau !! Continua-t-il !
Nous jouions au pensionnat anglais ! Il faut dire que j’avais toute la panoplie : les couettes, le chemisier blanc, une mini-jupe écossaise plissée par-dessus une large culotte blanche en coton, de grandes chaussettes blanches et des Claudine aux pieds, la parfaite petite écolière « old school »… à croquer !!
Au début, j’étais installée sur le bureau, lui tournant autour de moi l’air sévère avec sa blouse grise, puis il m’avait ordonné de me mettre debout les mains dans le dos face à lui afin d’écouter les griefs dont-il me gratifiait dans le scenario tout droit sorti de son esprit coquin !
-« Mathématiques = 3/20…Français = 5/20...Anglais = 6/20, il n’y a qu’en éducation sexuelle ou vous avez largement la moyenne avec 18/20 et je ne vous parle pas des appréciations laissées par vos professeurs… :
- Elève dissipée – rebelle – se maquille en classe, alors que c’est strictement interdit par le règlement Mlle je vous rappelle – perturbe le cours par ses tenues fantaisistes et aguicheuses, vos jupes sont trop courtes Mlle… et la pire de toutes, tente de soudoyer un professeur en lui proposant je cite : «une petite gâterie dans les toilettes» afin qu’il revienne sur sa note délivrée lors d’un contrôle de Mathématiques ou vous n’aviez obtenu que 2/20…Ceci est intolérable dans notre établissement Mlle Amandine et mérite un châtiment exemplaire !
-Tournez-vous, les mains à plat sur le bureau Mlle !
lui tendant ainsi ma croupe, les pointes de mes seins frottant le coton de mon chemisier…
J’étais réellement dans le bureau du proviseur, mon cerveau en détaillait tous les meubles et objets, j’étais fébrile, mes tétons durcissaient, quelques petites gouttes de sueur apparaissaient sur ma peau malgré la fraicheur de la pièce…le fantasme commun fonctionnait à merveille, lui dans son rôle de proviseur d’un pensionnat de jeunes filles, strict et adepte des châtiments corporelles, moi dans celui de l’élève de terminale, aguicheuse, coquine en tenue ultra courte mais soumise à l’autorité….Nous l’avions commencé dans ma chambre, gentiment un jour ou il m’avait soumis ce petit fantasme lors de nos préliminaires et dont jusque-là, je méconnaissais totalement le pouvoir érotique de cette « punition » sur moi…non pas les claques sur les fesses lors d’ébats amoureux, non une véritable fessée déculottée sur les genoux, avec ma petite culotte baissée jusqu’aux chevilles, celle qui laisse les fesses rouges et douloureuses, et qui m’avait plongé dans un état second, presque sous hypnose. Douleurs, sensualité, humiliation de la position, érotisme de la tenue vestimentaire, domination, j’en avais ressenti un orgasme jusque dans le ventre et la tête sans aucune pénétration, simplement l’imaginaire de la dictée de son récit en même temps que je recevais la punition sur mon petit cul rebondi… Mais notre imagination ne pouvait plus remplacer à ce point un lieu prédisposé à ce genre de châtiment…le « donjon » s’imposa de lui-même !
- vous compterez les claques reçues, et direz « merci Mr » à chacune d’elle, Mlle Amandine avez-vous bien compris ?
-Oui, Mr dis-je, d’une voix fébrile et chevrotante, jouant mon rôle à fond !
La première claque cingla sur ma chair :
-1, merci Mr !
- 2, merci Mr !
Les premières étaient juste pour me mettre en condition, fortes mais pas trop, à partir de la dixième cela changea, mes fesses déjà un peu rougies, réagirent plus fortement à la douleur, me faisant pousser un petit cri à chaque coup reçu, cela me piquait comme des centaines de petites aiguilles, même entre deux claques, me faisant me tortiller sur place…
Mais attention, nous étions dans un jeu érotique, nous avions convenu que passé un certain seuil de douleur, il me suffisait de dire « STOP » pour que tout s’arrête !
Antoine continuait, me traitant de : « petite trainée qui faisait honte à l’établissement dont-il avait la charge, se substituant à l’autorité parentale pour m’infliger cette correction réparatrice et dont le souvenir cuisant suffirait à me faire rentrer dans le rang ! »
Dans ma tête il se passait des choses bizarres, un rêve érotique s’installa, je me voyais adolescente les fesses nues et la culotte aux chevilles sur les genoux d’un homme, recevant une fessée méritée ou non, pleurant à chaudes larmes de par mes fesses meurtries et cet homme sans pitié continuait encore et encore malgré mes cris et supplications, ceux-ci se transformant en hurlements tant la douleur devenait insupportable, malgré cela mon corps ressentait des pulsions érotiques, jusqu’à me faire sentir une érection contre mon ventre de la part de mon bourreau et des chatouillements curieux dans ma vulve encore neuve !
J’étais si bien dans ce rêve que je ressentais à peine la fessée que m’assenait Antoine, pourtant celui-ci avait redoublé d’ardeur, comme je ne disais rien il avait augmenté crescendo la violence des coups, moi continuant à énumérer ceux-ci dans un état second, nous en étions à 30…la douleur me rattrapa, mais aussi ses doigts, qu’il plongea d’un coup dans mon sexe trempé…
-Alors Mlle Amandine ! On veut faire une gâterie à son professeur de mathématiques afin de faire changer sa note ? Répondez-moi effrontée !!
-Non Mr ! C’est une lamentable erreur, je ne suis pas une fille comme ça !
Ses doigts allaient et venaient entre mes cuisses, pénétrant ma vulve jusqu’à la paume de la main, j’en ressentais les vibrations, adoucissant ainsi les picotements douloureux de mes fesses martyrisées, j’avais vraiment mal ce coup-ci !
-Je n’en crois rien, vous êtes une petite dévergondée aguicheuse qui fait sa mijaurée devant l’évidence !
Il retira ses doigts et continua de m’infliger la correction que je méritais d’après lui, mes fesses me faisaient souffrir, je n’avais jamais eu aussi mal, était-ce le donjon qui l’influençait ? J’étais à la limite de dire « STOP » mais curieusement la montée érotique était à son paroxysme, les mains appuyées contre le bureau je tendais ma croupe au maximum, dansant sur la pointe des pieds à chaque claque reçue en poussant de petits cris mais au bord des larmes que je retenais par fierté en comptant à voix haute…
J’avais le sexe en feu…
-Savez-vous au moins ce qu’est une gâterie Mlle ?
-Non Mr ! Dis-je en reniflant »
-Et bien je vais vous apprendre Mlle Amandine, ainsi vous ne pourrez pas dire que votre proviseur ne vous a rien appris
-Je, je, je ne sais pas si c’est bien raisonnable Mr dis-je avec effroi en bredouillant
Il me donna une dernière claque si forte que mon cri de douleur résonna dans la pièce !
-Que connaissez-vous du bien et du mal ?
Il me retourna d’un coup, me demanda de me mettre à genoux, déboutonna son pantalon… j’étais en rut, le derrière me brulant atrocement, la tête pleine d’idées perverses et lubriques, soumise à souhait moi qui suis pourtant une fille de caractère, j’aurais tout accepté à cet instant, même les derniers outrages…
-Alors que pensez-vous de ceci Mlle ? Me brandissant son (gros) sexe sous le nez, juste devant mes lèvres !
- Restons en la Mr, je suis une fille honnête ! Bafouillais-je
-Une fille honnête ne propose pas de gâterie à son professeur Mlle ! Ouvrez la bouche …
- Je vous en supplie Mr, non !
-Ouvrez la bouche, je vous l’ordonne Mlle ! cria-t-il !!!
J’ouvris la bouche en pleurnichant, suppliant encore Mr le proviseur…il plongea dedans, je senti son sexe s’insinuer entre mes lèvres, forcer ma bouche, glisser sur ma langue, sa main plaquée sur ma gorge, m’appuyant sur les deux joues il m’obligeait à l’engloutir, moi sanglotant la bouche pleine de son vit puissant !
Il allait et venait lentement dans ma bouche, s’enfonçait le plus loin possible puis se retirait, le gland aux bords de mes lèvres et recommençait avec lenteur et application. J’aimais cette sensation, les fesses endolories, ce petit jeu de soumission, son sexe épais que je suçais avec passion, dominée mais consentante par jeu amoureux, m’abandonnant à son plaisir et ses envies que je partageais pour mon plus grand bien.
-Alors on aime la gâterie Mlle Amandine ? dit-il moqueur !
-Oui Mr ! fis-je dans un borborygme !
-Alors continuez Mlle ! Et jusqu’au bout, pas de dérobade dans mon établissement !
J’aurais pourtant aimé qu’il me prenne, la sur le matelas posé par terre, sur la croix, pieds et mains attachés, dans l’état ou j’étais le pilori aurait même été une véritable délivrance, de mon sexe coulait de la cyprine, j’avais le ventre en feu, des fourmis dans mon berlingot rose, je me serais envoyé un régiment entier de hussards en rut…Il pilonnait ma bouche tranquillement, m’enfonçant son sexe au plus loin en me pinçant le nez, moi gémissant dans mon rôle de lycéenne soumise…
Je sentie que nous étions en osmose lorsqu’au bout de quelques instants il m’entraina vers la croix, m’attacha à celle-ci le ventre contre les planches, et s’enfonça en moi d’une seule poussée comme un satyre en manque ! Je dépendais de lui, je ne fus pas déçue.
Ses assauts furent longs et violents, son sexe me labourant encore et encore. Je me défonçais aux orgasmes, il me pilonnait, ralentissait le rythme et me repilonnait encore et encore...Je sentais chaque centimètre de son sexe s’enfoncer en moi, il se retirait lentement puis me il clouait à la croix de sa queue puissante, me labourant comme une poupée à sa merci, que j’étais vraiment, ne pouvant bouger. Je n’avais plus de voix tant je criais, nos corps dégoulinaient de sueur malgré la fraicheur de la pièce, ses reins m’assenaient coups de boutoirs sur coups de boutoirs…
Il profita de moi et de mon corps attaché, frottant son sexe contre mes fesses et entre celles-ci, me donnant des petites claques à chaque poussées…il écartela ma petite rondelle de son sexe puissant, malgré le gel dont-il c’était enduit, je poussais un petit cri, puis un plus fort lorsqu’il me fessa sèchement en même temps qu’il me pénétrait à fond d’un seul coup…dilatée au plus haut point, enfoncé en moi jusqu’à la garde , il me mordait la nuque tout en me pilonnant, je crois avoir hurlé mon plaisir en tendant ma croupe vers ce pieux qui me défonçait l’anus en rythme…Jusqu’à ce qu’il jouisse par saccades chaudes et épaisses au plus profond de mon corps en criant mon prénom…
Nous restions ainsi longtemps, reprenant nos souffles, je sentis son sperme me couler entre les cuisses lorsqu’il se retira de moi. Il m’embrassa dans le cou, plongea sa bouche dans la mienne, joua avec ma langue, puis me fixa du regard. A cet instant je vis autant d’amour que de désir dans ses yeux, nous étions faits l’un pour l’autre, du moins sexuellement !! J’aimais sa façon de me faire l’amour…Nous ne jouions pas au « proviseur » à chaque fois, mais ses étreintes étaient fougueuses, ses besoins nombreux, et lorsqu’il me prenait dans ses bras je me sentais à la fois soumise et protégée, attendant qu’il me prenne et me cloue sur place avec son dard, dépendante de son sexe. Il m’arrivait même d’y penser lorsqu’il n’était pas à mes côtés, et cette pensée suffisait à me faire mouiller ma culotte et me donner des bouffées de chaleur.
Quand Je vis son sourire carnassier, cette petite lueur taquine dans ses yeux il fut trop tard :
- Salut ! me dit-il j’ai un rencard, il faut que je file !
Me laissant sur la croix, seule, attachée et nue dans le froid, alors que n’importe qui connaissant l’existence de ce lieu partagé par de nombreux adeptes, pouvait rentrer à tout moments…Il ne revint qu’au bout de 30 minutes, m’étant résolue à mon sort en ayant épuisée tous les noms d’oiseaux que je pouvais lui donner…Hilare et content de lui, moi le traitant de sale « con » mais sans oublier l’extase dans laquelle il m’avait plongé, me précipitant en ronronnant comme une chatte dans ses bras vigoureux une fois libérée, le regardant l’air coquine et mutine :
-J’ai été très vilaine tu sais durant ton absence, j’ai dit plein de gros mots sur toi, je crois que je mérite une fessée !!!!!!
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