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Le premier homme de ma vie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 22/08/2024

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Le premier homme de ma vie s’appelle Michel, et il a 18 ans de plus que moi. Je l’ai rencontré à l’âge de 18 ans, lorsque j’étais à l’école d’art dramatique. Un jour, alors que je m’apprêtais à entrer sur scène pour un concours, il m’a pris par le bras et m’a dit « merde » (dire « bonne chance » porte malheur). Je n’ai pas eu le temps de le remercier qu’il m’a rapprochée de lui et m’a embrassée tendrement sur les lèvres. J’ai eu beaucoup de mal à tenir mon rôle ce jour-là, tellement cela m’avait ébranlée.
Dès ma sortie de scène, je me suis jetée dans ses bras et lui ai rendu son baiser avec autant de tendresse que possible. Nous nous sommes retrouvés tous les deux à la fin de la représentation pour aller boire quelques verres, sans doute trop, parler beaucoup et nous regarder les yeux dans les yeux.
Il m’a proposé de finir la soirée chez lui. Après un très court moment d’hésitation, j’ai accepté. À peine arrivés chez lui, il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée longuement sur les lèvres, dans le cou, tout en me caressant. Puis il a commencé à me déshabiller. Je tremblais comme une feuille, mais j’étais follement excitée. Une fois nue, il m’a portée dans sa chambre et m’a allongée sur son lit. Je n’osais pas bouger.
Il a continué à me caresser sur tout le corps, en insistant progressivement sur mon entrejambe. Il m’a dit de me laisser faire, puis il a descendu sa bouche jusqu’à mon sexe et a commencé à me sucer, lentement d’abord, puis plus intensément. Mon plaisir montait, je prenais sa tête dans mes mains et la maintenais sur mon clitoris. Je tendais mon bassin pour mieux ressentir les mouvements de sa langue sur mon sexe. C’est ainsi que j’ai joui pour la première fois de ma vie. Il s’est allongé à mes côtés et m’a dit qu’il m’aimait. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin, je n’avais qu’une seule envie : lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné la veille. Michel dormait encore. J’ai posé ma tête sur son ventre et ai commencé à caresser son sexe aussi légèrement que possible. Je n’avais jamais tenu le sexe d’un homme dans mes mains et je ne voulais pas lui faire mal. Ce sexe, endormi lui aussi, réagissait à mes attouchements, devenant imposant et tendu. Michel, maintenant réveillé, a placé sa main sur ma tête et l’a légèrement poussée. Je comprenais ce qu’il attendait de moi. Il voulait dépuceler ma bouche, et j’allais faire ma première fellation.
J’ai entrouvert mes lèvres et posé son gland sur mes lèvres. La sensation était douce et chaude. Rapidement, j’ai glissé un petit coup de langue entre mes lèvres et goûté sa verge. J’appréciais cette sensation, je pouvais presque la sentir palpiter sous ma langue. Michel maintenait fermement ma tête, mais n’appuyait pas. Il me laissait apprivoiser cette queue. J’ai fermé les yeux et ouvert un peu plus la bouche, suffisamment pour que son gland glisse entre mes lèvres. Ma langue reprenait son exploration de manière plus appuyée. Je faisais glisser ma bouche sur tous les recoins et les renflements de cet organe si sensible.

Je sentais son gland réagir sous la pointe de ma langue, et le plaisir que je lui procurais augmentait. J’avais l'initiative et cela m’excitait énormément. Je jouais depuis plusieurs minutes avec ma langue quand j’ai senti la pression sur ma nuque augmenter. Mes lèvres étaient étirées autour de ce sexe épais. Ma langue continuait son exploration, mais plus difficilement tellement ma bouche était remplie. Michel a repris sa poussée, ne me laissant pas d’autres choix que d’enfoncer plusieurs autres centimètres dans ma bouche. J’étais vraiment au maximum de ce que je pouvais enfoncer dans ma bouche. Je sentais sa main agripper mes cheveux à ma nuque et il commençait doucement à imprimer un mouvement de va-et-vient. Il me guidait, m’apprenant à sucer.
En bonne élève, je me laissais faire, suivant le rythme imposé par son bassin. J’essayais de bouger ma langue au maximum. Pendant quelques minutes, il se contentait de me donner le rythme, accélérant progressivement. Puis il a cessé, me laissant faire par moi-même. Il m’encourageait d’un « Continue, c’est parfait ! » et se délectait de la sensation de cette bouche vierge découvrant sa première queue. Il constatait que j’y prenais goût. Il était évident que j’aimais cela, ce qui compensait mon manque de technique et d'expérience. Je dégustais ce sexe, n'hésitant pas à le faire aller et venir dans ma bouche, à l'aspirer et à le caresser de ma langue. Les soupirs de plaisir que j’entendais m'encourageaient à continuer.
À un moment, j’ai senti un changement subtil dans sa queue sans comprendre pourquoi. À cet instant, il a attrapé ma tête à deux mains, la bloquant complètement, et mes mouvements ont été remplacés par ses mouvements de bassin. Je le laissais faire, il baisait littéralement ma bouche. Puis il a éjaculé au fond de ma bouche dans un grand râle de plaisir. Un flot de sperme a envahi ma cavité buccale. J’étais tellement surprise que j’ai failli m'étrangler et tout recracher. Mais il tenait suffisamment fort ma tête pour que je n’en perde pas une goutte. Il a continué avec quelques coups de reins désordonnés, puis il a relâché ma tête et m’a dit avant de sortir doucement de ma bouche :
« Avale en me regardant bien dans les yeux. »

J’ai levé mon visage vers lui, le regardant dans les yeux comme il le demandait, la bouche remplie de sa semence. J’ai pris quelques secondes et dégluti, faisant couler son sperme chaud dans ma gorge. La sensation était nouvelle pour moi. Le goût, sans être vraiment bon, n'était pas désagréable. Le sperme d'un homme venait de souiller ma bouche, et je le faisais couler au fond de moi. Son sourire et ce que je voyais dans son regard me laissaient penser que ma première fellation était plutôt réussie et que j'étais plutôt douée pour cet exercice. Quelques années plus tard, je pouvais prétendre être une experte en la matière, adaptant mes fellations à chaque sexe goûté pour le plus grand plaisir des nombreux hommes qui avaient pu bénéficier de mes gâteries.

Ce n’est que le lendemain qu’il m’a réellement dévirginisée, me faisant découvrir ce qu’est une femme fontaine. Une défloraison que je n’oublierai jamais, même si les occasions de prendre mon pied de toutes les manières et avec de multiples partenaires ont été plus que nombreuses. Quant à Michel, je savais déjà que je serais sa partenaire sexuelle consentante et dévouée pendant de longues années, et qu’il m’initierait à des plaisirs aussi variés qu’osés, que je n’imaginais même pas. Je ferais tout pour lui plaire, le rendre fier de moi et heureux que je sois à lui.

Je ne pensais pas que l’occasion arriverait si vite. Quelques semaines après, un soir, alors que je faisais semblant de dormir dans notre lit, j’ai entrouvert les yeux et j’ai vu Michel assis sur le bord du lit, me contemplant nue. Il savait qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de mon corps, en profiter sans restriction. Me voir dans cet état, à l’abandon, l’excitait terriblement. Il a approché son visage du mien et m’a embrassée sur les lèvres. Est-ce une façon de vérifier que je dormais ? Je ne réagissais pas.

Il a glissé ses mains sur mon corps, mes seins. Il les a massés longuement, puis les a malaxés avec ténacité. L’excitation de cette situation commençait à m’envahir sérieusement. Il a pincé mes tétons jusqu’à ce qu’il m’entende geindre dans mon soi-disant sommeil. Il profitait de la vue de mon corps nu et offert comme si c’était la première fois qu’il le voyait.

Il a attrapé une huile de massage dans le tiroir de sa table de nuit et en a versé une large dose sur mon ventre. Puis il a commencé à me masser, étalant le produit avec des cercles réguliers de plus en plus larges jusqu’à frôler mes seins et mon pubis. Il s’est ensuite concentré sur mes seins qu’il malaxait à nouveau avec délectation, remontant jusqu’à mon cou. Il est redescendu alors plus bas, repassant par mes seins que la stimulation avait rendus encore plus durs et l’huile encore plus magnifiques. Il a ajouté une dose généreuse d’huile et s’est attaqué à mes pieds qu’il massait avec la plus grande douceur avant de remonter progressivement.
Au fur et à mesure qu'il masse mon mollet, montant progressivement plus haut, il écarte mes jambes, savourant la vue de ma vulve exposée. Sans même y toucher, il peut voir qu'elle est gonflée de désir. Une fois mes cuisses massées et couvertes d'huile comme le reste de mon corps, il s'approche de plus en plus de l'entrée de mon vagin, effleurant mon clitoris engorgé de sang avant de glisser un doigt en moi. Mon corps frissonne sous cette attaque soudaine. Il ajoute alors un deuxième doigt, entamant des va-et-vient qui intensifient mon plaisir. Il présente son sexe à l'entrée de mon vagin et me pénètre. Puis, se retirant, il attrape une boîte de préservatifs et en enfile un sur son sexe toujours dur. Je ne comprends pas tout de suite pourquoi, car nous sommes en couple depuis longtemps et n'utilisons plus ce genre de protection. Il me retourne délicatement sur le ventre. Il reprend ses massages, mais ne s'attarde pas longtemps sur mon dos qu'il caresse distraitement, ses yeux rivés sur mes fesses musclées qui attirent autant son regard que ses mains. Dès qu'il commence à les palper, je sens son souffle s'accélérer et ses mains devenir plus fermes. En massant mes fesses et écartant mes jambes, je comprends rapidement. Il ne peut résister à la tentation, il veut me sodomiser !
Je ne l'ai jamais fait et j'ai un peu peur. Il me l'avait déjà demandé plusieurs fois, mais voyant mes réticences, il n'avait pas insisté. J'arrête de feindre de dormir, tourne mon visage vers lui et lui dis :
"Le moment est venu, je suis prête."
Pour me remercier, il me sourit. Il utilise de l'huile de massage pour masser délicatement mon anus pendant quelques secondes, facilitant ainsi l'entrée. Ensuite, il place son gland contre mon ouverture striée et pousse. Il doit s'y reprendre à plusieurs reprises pour que mon anus cède, mais son pénis, dur comme du bois, facilite l'opération. Il s'enfonce en moi avec un râle de plaisir. Pénétrer mes fesses pour la première fois, c'est comme goûter à un fruit défendu, ce qui fait monter son excitation à son paroxysme. Lorsqu'il effectue un premier va-et-vient, il doit s'arrêter pour ne pas jouir trop vite. Après une douleur initiale, la sensation devient agréable. Je sens son sexe bien prisonnier dans mon anus. Je le regarde contempler son va-et-vient entre mes fesses, ce qui me procure un plaisir intense.

Il me sodomise pendant un long moment, réussissant à se retenir en pensant que c'est peut-être la dernière fois qu'il en a l'occasion. Je grimace de plaisir, souhaitant que cela ne s'arrête jamais. Il s'écrase sur moi de tout son poids, me saisissant par la taille et continuant de me pénétrer vigoureusement. J'ai l'agréable impression de vivre l'instant au ralenti. Il y a longtemps que je ne lui ai pas donné autant de plaisir.

Cependant, il ne veut pas jouir ainsi, pas au fond d'un préservatif en me sodomisant. Il s'accorde un dernier aller-retour, aussi lent que possible. Il commence par reculer son bassin et sort lentement son pénis, ne laissant que le gland à l'intérieur. Il reste immobile un instant, contemplant les stries de mon anus retroussées, puis s'enfonce une dernière fois en tenant fermement ma taille entre ses mains. Quelle puissance dans le plaisir ! Quel incroyable délice ! Je le sens frémir alors qu'il entre en moi toujours plus profondément. Quand son sexe a totalement disparu, il sent qu'il doit se retirer de peur de ne plus pouvoir se retenir. D'un geste un peu brusque, il recule son bassin et retire son préservatif, se préparant à conclure comme il se doit. Il me contemple, son visage rayonnant, son corps rougi par l'effort et le plaisir. Il veut encore en profiter, prolonger cette expérience. Son sexe toujours dur, il soulève mes cuisses pour s'enfoncer à nouveau lentement entre mes fesses. Il entre en moi avec une facilité montrant à quel point je suis excitée. Il remue son sexe d'avant en arrière, et je gémis de plaisir. Il accélère les mouvements de bassin, et tout son pénis est enfoui en moi lorsqu'il jouit. Il pousse un cri impossible à réfréner, je sens les salves de sa semence se répandre abondamment dans mon anus. Son orgasme est d'une puissance inimaginable, et même après avoir fini d'éjaculer en moi, allongé sur mon dos, je sens son extase parcourir tout son corps.

Je suis excitée de le voir ainsi, peinant à se remettre de son plaisir. Michel ne m'a pas ménagée. Mon anus est extrêmement sensible. Mais je suis heureuse en pensant à ce que mon amant a pu vivre. Nous nous regardons dans les yeux, l'expérience est concluante. Il ne faudra pas longtemps pour que nous la renouvelions.
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Commentaires du récit : Le premier homme de ma vie

Le 27/08/2024 - 15:59 par Sexty53
Oui très belle histoire vivement la suite
Le 22/08/2024 - 16:08 par linsee
Très prometteuse cette histoire, vite une suite

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