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Les aventures de Laetitia, épouse soumise à son patron... Présentation

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/08/2024

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Je me présente, Etienne, le mari de Laetitia.

Je me décide à publier notre histoire peu banale, car après mures réflexions, je dois exprimer par écrit ce qui rythme notre vie depuis bientôt 8 ans.

Je ressens le besoin de me confier sur ce qui nous arrive.

En effet, mon épouse, avec notre accord mutuel, est aujourd’hui la soumise à son patron…

Je vais narrer l’ensemble de notre vie depuis l’origine jusqu’à ce jour en me reposant sur les SMS, MMS et autres appels téléphoniques qui illustrent notre situation.

J’espère qu’à la lecture de mon récit, vous me ferez grâce de vos remarques pour savoir si je dois continuer à vous raconter nos aventures, en espérant que votre jugement ne sera pas trop sévère.

PRELUDE.

Mon épouse Laetitia et moi, sommes heureux et mariés depuis 19 ans cette année.
Lorsque j’ai rencontré Laetitia au début de notre histoire amoureuse, elle avait 22 ans j’en avais 8 de plus qu’elle.

C’est une femme magnifique qui fait l’unanimité auprès des hommes. Je m’étonne d’ailleurs qu’elle ait jetée son dévolue sur ma personne plutôt qu’un de ces hommes bien plus élégant et beau gosse que moi.

Son corps est tout simplement parfait, des seins magnifiques qui remplissent un beau 90C, des fesses à damner tous les saints, des jambes fines musclées et interminables qui attirent indubitablement tous les regards masculins.

Ses soixante kilos et son visage d’ange en font tout simplement une femme irrésistible…

En 2016, au début de ce qui allait devenir aujourd’hui une aventure sexuelle incroyable et totalement inimaginable, nous vivions dans l’insouciance de ce qui pouvait nous arriver.

Notre couple était jusqu’alors tout ce qui était de plus traditionnel, marié, deux enfants.

Nous venions d’acheter une maison pour notre famille à proximité d’une grande ville dans laquelle exerçait mon épouse en tant que secrétaire dans une entreprise du bâtiment. Mon salaire d’ouvrier et celui de mon épouse couvrait le crédit de la maison et suffisait à subvenir convenablement aux charges familiales.

Au mois de janvier et suite à une liquidation judiciaire, l’entreprise dans laquelle Laetitia travaillait a été rachetée par une multinationale du BTP, avec maintient de poste et de salaire.

Tout se passait au mieux pour elle, malgré la peur que lui procurait son nouveau patron. Un homme autoritaire, résolument poussé à être celui à qui rien ne résiste et qui parvient toujours à ses fins.

Physiquement, il est aux antipodes des attentes d’une femme et Laetitia me répète régulièrement qu’il est repoussant. Son gros ventre, ses cheveux toujours gras, son embonpoint font de lui un homme peu élégant, voire même immonde. Laetitia m’a souvent répété que c’est normal qu’il soit célibataire pour ses 58 ans (à l’époque), aucune femme ne veut d’un tel homme, même sur une ile déserte…

Mon épouse me disait souvent qu’il faisait des allusions graveleuses et qu’il était sans gêne, toujours à faire des sous-entendus cochons sur les femmes.

Le travail de Laetitia au sein de la société consistait à consulter les appels d’offres sur les marchés immobiliers, en postulant aux constructions ou la réhabilitation d’habitations ou d’immeubles. Des projets souvent très onéreux qui rapportent beaucoup d’argent à la multinationale. Ses prospections étaient toujours rigoureuses et appréciées par le patron car elle apportait un soin particulier à son travail.

Au mois de septembre, il s’est produit cependant un évènement qui allait changer notre vie.

Laetitia, à un moment où dans sa vie elle avait un petit coup de mou, une baisse de capacité inhabituelle, a oublié d’envoyer à temps les documents pour postuler à un marché public.

Les conséquences ont été immédiates. Elle a été convoquée dans la semaine chez le patron qui l’a reçu avec le juriste de l’entreprise.

Tous les deux l’ont reçu dans le bureau du patron. Ils ont évoqué sa faute grave et lui ont laissé la parole pour justifier son erreur.

Après qu’elle ait exposé sa défense pour expliquer que cette faiblesse passagère a conduit à cette erreur, le juriste a sorti des documents et des archives.

Il a ainsi rappelé à Laetitia qu’elle avait fait l’objet de deux avertissements depuis son embauche, un pour un retard et l’autre pour une erreur similaire à ses débuts, mais qui n’avait pas eu de conséquence financière pour l’entreprise. Il a aussi interrogé son ancien patron qui justifie quelques similarités dans le passé, quelques retards répétés et des dossiers souvent incomplets.

Mon épouse a tenté de justifier ses absences par la dépose des enfants à la crèche, des retards de la SNCF avec des trains déprogrammés, des transports en commun retardés également, mais rien ne faisait, le patron et le juriste étaient unanimes, la faute est constituée !

Ils lui ont notifié son licenciement pour faute grave avec toute la procédure afférente. Comme le prévoit la Loi, ils lui ont fait lecture de ses droits de recours en invoquant : la faute grave pour l’ensemble des retards injustifiés et l’indiscipline du salarié dans son travail au sein de l’entreprise.

En rentrant chez nous, mon épouse a fondu en larmes… Elle était dévastée, elle reconnait son erreur et ses absences mais ne comprend pas pourquoi elle fait l’objet d’un tel traitement.

Nous avons téléphoné à un ami avocat qui nous a dit que dans cette situation, seul un recours auprès des Prud’hommes était envisageable mais que les motifs de son licenciement sont légitimes et que le patron est dans ses bons droits.

Autant dire que notre soirée était désastreuse et notre avenir semblait bien sombre. Nous avions besoin de nos deux salaires pour faire vivre notre famille et payer notre maison.

Durant quelques jours nous étions vraiment au fond du trou, nous recherchions désespérément une solution à notre problématique, en plus du sentiment du culpabilité que ressentait Laetitia.

Elle ne faisait que pleurer et de dire qu’elle est la cause de notre désarroi.

Cependant, quelques jours avant le délai légal de licenciement, le patron nous a reçu tous les deux dans son bureau un vendredi soir après que tous les employés de bureau soit partis.

La tension était à son comble car nous ne savions pas ce qui nous attendait. Il a pris la parole et nous a rappelé que les éléments à charge étaient suffisants pour procéder au licenciement, mais qu’il a réfléchi, et qu’il nous propose une alternative au renvoi.

Il a de suite bien établi les bases de sa proposition, tout ce qui se dit dans ce bureau reste confidentiel et qu’aucune preuve de la rencontre n’est consignée, c’est la raison pour laquelle le juriste n’est pas présent.

Il a regardé mon épouse et m’a dit que c’est bien dommage de perdre une telle collaboratrice et qu’il est possible de trouver un terrain d’entente.

Au-delà du fait qu’il encense la personnalité de ma femme, c’est de son corps et de son attirance envers elle qu’il parlait principalement.

En fin de discussion il nous a proposé deux alternatives :

Première solution, il procède à son licenciement comme c’est prévu initialement ;

Seconde solution, on accepte notre sort avec maintien dans son poste, et Laetitia devient sa secrétaire particulière, autrement dit : sa soumise…

Il nous a rappelé que cette offre est purement caduque si nous décidions de le poursuivre pour ce chantage, et qu’il nierait toute proposition avec un licenciement à la prime, faute de preuve.

Il nous a laissé jusqu’au lundi matin à 8h pour y réfléchir et convenir d’un commun accord de l’acceptation de sa proposition.

Ce week-end là, fut un vrai casse-tête ! Nous ne savions que faire, le dénoncer étant impossible au regard de la situation, notre sentiment était tantôt favorable à la soumission de Laetitia, tantôt défavorable avec un avenir plus qu’incertain…

Les mêmes sujets de discussions revenaient sans cesse, la maison, les enfants, notre argent, comment subvenir avec un seul salaire ?

Au final et avec très peu de sommeil au compteur, nous avons convenu mon épouse et moi d’accepter sa soumission avec cependant des conditions qu’il a fini par accepter en retour.

Le lundi matin nous sommes donc allés au rendez-vous et il nous a reçu chez lui. En effet, ses appartements sont contigus à son bureau, puisqu’il occupe un loft construit au-dessus de l’entreprise.

Après qu’il a entendu de nos bouches que nous étions favorables à la soumission de Laetitia, nous avons expliqué en retour nos conditions en rappelant certains faits importants concernant mon épouse.

Laetitia est depuis toujours très pudique. Elle est très réservée sexuellement en raison de son éducation religieuse stricte subie par sa mère.

En effet, tout plaisir sexuel à l’adolescence a été proscrite par sa mère, du coup elle s’est terrée dans un rejet total de plaisir sexuel, une sorte d’inhibition à tout plaisir.

J’ai rappelé que moi-même j’avais toutes les complications du monde à ce que ma femme se livre à moi, car vierge à notre rencontre. J’ai eu l’honneur de la déflorer mais avec énormément de patience et de difficulté. Les vieux démons de son enfance ont été longs à combattre pour obtenir les faveurs de ma femme.

J’ai aussi indiqué qu’aucun autre homme que moi n’a vu mon épouse nue, même lors des deux accouchements de nos enfants, c’est à chaque fois sa gynécologue accompagnée de personnel féminin, qui a procédé aux accouchements.

Honteusement, Laetitia a confirmé mes déclarations et sa pudeur en rajoutant qu’elle évite d’aller à la piscine pour ne pas se retrouver en maillot de bain et que si c’est nécessaire, ce n’est jamais autrement qu’en maillot une pièce…

Avant de clore notre entretien, il a donc été convenu d’un commun accord verbal, que durant le temps d’apprentissage, c’est-à-dire son temps d’éducation de soumise, il ne la toucherait pas, ni personne d’autre que moi.

Il a à son tour exposé ses directives en la matière :

• Chaque soir, c’est lui qui impose la tenue du lendemain,
• Interdiction de porter des pantalons,
• Uniquement jupes ou robes,
• Uniquement talons, escarpins, sandalettes,
• En hiver, jamais de collants, uniquement bas ou porte-jarretelles,
• Tous les matins, Laetitia doit se présenter à lui, lui montrer la tenue choisie et lui montrer ses dessous en soulevant sa jupe ou sa robe,
• En présence d’un tiers, elle doit l’appeler Monsieur, seule avec lui ou sur ordre, c’est Maître,
• Obligation de me raconter tous les soirs ce qui s’est passé,
• Le patron me fait également savoir ce qui s’est passé par l’apport de SMS ou MMS, car il prendra des photographies d’elle tous les jours,
• En cas de refus d’exécution d’un ordre, c’est des avertissements suivis de punitions,
• Discrétion absolue auprès des autres collègues.

Dans un premier temps voici les premières mesures prises pour son éducation.

Après avoir conclu les termes de cet accord, nous nous sommes séparés et j’ai quitté la réunion car je devais également aller à mon bureau.

Laetitia m’a prise dans ses bras et elle tremblait de tout son corps, elle était très inquiète. Je l’ai réconforté du mieux que j’ai pu malgré mon angoisse certaine.

Le patron lui a dit qu’aujourd’hui était encore une journée normale et que dès demain, elle devait venir en robe et en talons et qu’elle devait se montrer à lui comme il a été convenu.

Durant toute la journée elle ne pensait qu’à ça et redoutait déjà le lendemain…

A SUIVRE…
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Histoire de Epicure75

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Commentaires du récit : Les aventures de Laetitia, épouse soumise à son patron... Présentation

Le 10/08/2024 - 11:01 par 0_douceur
tres belle histoire bien écrite vivement la suite

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