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Lilas et sexe

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/09/2024

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LILAS ET SEXE
Françoise et moi, cela faisait vingt ans qu'on se connaissait quand on s'est enfin vraiment parlés, et qu'on est devenus amis.
Il y a de bonnes raisons à cela. J'habite dans le petit quartier rural de la ville de C..., en pleine nature, des habitants répartis dans des petits regroupements de maisons sur 25 kilomètres. Mais je travaille à 150 kilomètres de là.
Françoise, c'est ma voisine. Elle habite juste en face de chez moi, dans une belle maison, avec son mari. Je devrais plutôt dire 'elle habitait'. Il y avait eu un tournant, quand j'étais revenu en février, l'année précédente. Inquiet de ne pas voir la voiture de son mari, je lui avais demandé des nouvelles. Je le pensais mort. Ça n'était pas ça, mais alors pas ça du tout.
Je l'ai vue un matin devant chez elle, elle m'a dit bonjour. J'ai été vers elle, dans un mouvement que je ne m'expliquais pas, alors qu'on ne s'était jamais vraiment parlé. De la compassion, en grande partie, dans la mesure où j'imaginais le pire.
— Ecoutez, je ne veux pas vous déranger, mais...Enfin, je ne vois plus le véhicule de votre époux ces derniers temps...Je ne suis pas souvent là...J'ai pensé qu'il s'était produit quelque chose de tragique. Je vous présente toutes mes condoléances.
Et là il s'est passé quelque chose comme je ne l'avais jamais vécu. Elle a éclaté de rire, avant de se mettre à pleurer.
C'était la première fois depuis longtemps que je la voyais de près, et je me suis fait la réflexion qu'elle avait énormément de charme. Elle n'était pas très grande, elle était plutôt fine, mais elle avait de jolies formes, soulignées ce matin-là par un caleçon très moulant et un pull qui ne l'était pas moins. Elle avait des formes menues, mais bien existantes.
Assez curieusement, en la regardant, m'est revenu un souvenir qui remontait à des années, et qui était totalement sorti de ma mémoire. A l'époque, le hangar juste en face de chez moi, et que je voyais de ma fenêtre, n'était pas encore clos par une porte coulissante, et mes fenêtres donnaient dessus. Un soir, elle était rentrée, sans doute d'un dîner chez quelqu'un, en tailleur, elle était ravissante, en compagnie de son mari. J'avais été témoin d'une scène qui m'avait troublé, je m'étais branlé cent fois en y repensant. Elle s'était agenouillée devant son mari, qui ne s'attendait pas à ça, et elle avait sorti sa queue de son pantalon. Il y avait de l'avidité dans la manière dont elle avait léché sa queue avant de faire aller et venir sa bouche dessus. Sa jupe était remontée, et elle avait amené sa main entre ses cuisses pour se donner du plaisir à elle aussi. Je ne voyais rien, elle était de profil, mais j'imaginais sa main masturbant son sexe.
Son mari était comme prisonnier de la caresse buccale, debout, tendu. Je me suis dit qu'elle suçait bien. Et, pour ce que j'en voyais, ça semblait être effectivement le cas. Elle a lâché un moment sa queue, qui avait pris un tiers de volume supplémentaire, pour venir lui bouffer les couilles. J'ai pensé que j'aurais bien aimé qu'elle me fasse une fellation. Elle s'en sortait très bien. Sans doute mieux que les copines que j'avais pu avoir jusqu'à présent.
Elle avait fini en calant le gland de son mari dans sa bouche et en faisant aller et venir sa main le long de sa tige. Il avait joui dans sa bouche.
Curieux que j'aie oublié ce moment...Il me revenait parce que, en la regardant de près, je redécouvrais son corps de femme, et que, même à 48 ans, il pouvait inspirer du désir.
Quand elle est parvenue à reprendre le dessus, elle s'est lancée dans des explications qui m'ont présenté une réalité très différente de celle que j'avais pu imaginer.
Elle était rentrée un soir de son travail, elle travaillait pour un organisme qui s'occupait de maintien à domicile et elle avait surpris son mari dans une position sans équivoque. Allongé sur le lit conjugal, avec une superbe blonde empalée sur sa queue, qui lui avait jeté un regard de mépris infini. D'ailleurs son mari ne semblait même pas gêné qu'elle les trouve ainsi. Il lui avait jeté:
— Je te présente Diandra. C'est ma maîtresse. Je te quitte et je pars m'installer chez elle.
Ainsi avait été fait. Il avait déserté le domicile conjugal en emportant des affaires. Il y avait eu le divorce, et il lui avait laissé la maison, il lui avait laissé sa part, sans demander d'argent en retour. Il voulait juste partir.
Elle avait appris par la suite que, depuis des années, il l'avait trompée avec d'autres filles.
J'avais eu envie de lui dire que vu la fellation que j'avais surprise, si elle se donnait autant quand elle faisait l'amour, il avait eu tort d'aller voir ailleurs. Mais il était vrai que l'être humain n'était par essence jamais satisfait de ce qu'il avait et avait toujours envie de voir si l'herbe était plus verte ailleurs.
Ca avait été à partir de ce moment qu'on avait régulièrement discuté, elle et moi. Je la trouvais sur mon chemin. J'avais pensé qu'elle avait envie de parler. Elle se retrouvait seule et ce n'était pas évident.
Comme je repartais régulièrement travailler, elle m'avait proposé qu'on échange nos numéros, et qu'elle me prévienne s'il se passait quelque chose.
De temps en temps, elle m'envoyait un petit mot. Tout va bien ici. A bientôt. Ou Tempête hier soir, mais aucun dégât.
Jusqu'à ce mardi qui avait tout changé.
Le matin, elle m'avait envoyé une photo de mon lilas. En effet, nos propriétés se jouxtaient.
Ton lilas est resplendissant. Une photo qui te donnera envie de revenir plus vite.

Et effectivement, c'était une photo de mon lilas en fleurs.

Les autres photos sont arrivées sur le coup de midi. Je partais pour le self. J'ai senti le téléphone vibrer dans ma poche.
Assez ironiquement, je ne les ai regardées qu'après avoir mangé.
Elles venaient de Françoise.
Heureusement, j'étais seul dans une salle de repos.
J'en ai été...Epoustouflé.
Elle avait fait une série de photos qui n'auraient pas déparé un site X.
Qui toutes la mettaient en scène dans des postures...Plus qu'audacieuses et qui auraient troublé n'importe quel homme.
J'avais bien vu ces derniers temps qu'elle était jolie.
Nue, ou avec quelques accessoires, elle l'était indéniablement.
J'ai regardé les photos une après l'autre.
Je me les suis repassées des dizaines de fois dans les jours qui ont suivi. Au bout d'un moment, ce n'était d'ailleurs plus la peine. Elles étaient gravées en moi.
Sur la première, elle était allongée sur son lit, quasi nue, avec un soutien-gorge noir, pas de slip, et une superbe paire de cuissardes rouges. Allongée, mais sans regarder l'objectif, comme si elle était ailleurs.
Toutes les photos, à partir de la première, ont été l'occasion pour moi de constater à quel point elle était désirable.
Son pubis était découvert d'une belle toison brune, en harmonie avec sa chevelure, une toison soigneusement taillée.
J'aimais les filles qui avaient une chatte. Une vraie chatte. Je ne détestais rien de plus que les sexes glabres.
Sur la photo suivante, elle avait les jambes relevées et écartées. L'occasion de voir l'ouverture de son sexe, et ses lèvres qui sortaient d'elle.
Une photo de plus. Redressée, elle avait enlevé son soutien-gorge, révélant une poitrine bien ronde. Elle redressait un sein, et sa langue était sur le téton.
Une autre photo. Elle était sur le lit, jambes ouvertes, mais cette fois, elle avait ses deux index enfoncés dans sa chatte, et elle s'ouvrait sans doute autant qu'elle pouvait, laissant voir une muqueuse toute rose.
Difficile de rester indifférent face à à de tels clichés. Si elle souhaitait me mettre sens dessus dessous...Elle avait bien réussi.
Et ce n'était pas tout.
Il y avait aussi une photo où elle était à quatre pattes sur le lit, toujours avec les cuissardes. Totalement offerte, les fesses tendues vers l'objectif, ouvertes sur sa muqueuse anale, son sexe bien visible entre les cuisses, et dont l'état disait clairement que la situation l'excitait parce qu'il était ouvert, que ses lèvres étaient toutes gonflées. Son regard tourné vers l'objectif disait clairement 'Viens me baiser et mets-là où tu veux!'
Mais mon cliché préféré, et le plus osé sans doute, je ne l'aurais même pas imaginé, comme quoi on n'a jamais assez d'imagination. Allongée sur le lit, avec ramené une jambe sur elle-même et enfoncé partiellement le talon fin une dizaine de centimètres, dans son sexe.
Rien que cette photo-là suffisait à me mettre dans tous mes états.
Il y avait un message, accroché à la dernière photo.
Le meilleur de moi-même. Profites-en bien en attendant ton retour.
Ca n'a été que le soir que je lui ai envoyé un SMS.
Françoise, je crois que tu t'es trompé de destinataire.
La réponse, je l'ai eue quasi immédiatement.
Non pas du tout. J'ai envie que tu penses à moi loin de moi, que tu te branles en pensant à moi, et pas à une autre. Et quand tu reviendras chez toi, je me donnerai à toi.

Je n'étais pas tant surpris que ça. On se parlait de plus en plus, et je sentais bien que le courant passait entre nous. Et je sentais bien aussi, même si je ne me l'avouais pas vraiment, que j'avais envie d'elle. Est-ce qu'elle avait envie de moi? Si elle m'avait envoyé ces photos sans se tromper, il y avait bien un message derrière.
En tout cas, si j'avais pu avoir des doutes, tous les jours elle m'a ensuite envoyé une photo. Dans la même veine. Une photo ultra-sexy. Apparemment, elle adorait poser nue, ou vraiment en petite tenue avec bottes et cuissardes. Elle en avait une bonne collection. D'ailleurs c'était vrai que même habillée, elle en portait souvent.
Elle ne manquait pas d'imagination...
Et puis je suis enfin arrivé au bout de pas mal d'obligations.
Il était temps pour moi de rentrer pour quelques jours.
Je ne savais pas si j'avais envie de lui faire une surprise ou pas.
Finalement, je lui ai envoyé un SMS.
J'arrive sur le coup de 20 heures.
La réponse n'a pas tardé.
Je t'attends. Totalement offerte. Tu pourras me faire tout ce que tu veux.
Une offre comme celle-là...
Je suis arrivé un peu avant vingt heures. Je me suis garé, j'ai déchargé quelques affaires.
La queue tendue et le cœur battant, j'ai été sonner chez elle.
Oui, elle m'attendait, et elle s'était bien préparée pour cela. Elle était intégralement nue, sauf pour des bas stay-up et des escarpins d'une dizaine de centimètres qui la cambraient bien.
— Alors, elle t'ont plu mes photos ?
— Je ne m'attendais pas à ça.
— Tu as du te branler comme un forcené.
— Ca m'a donné terriblement envie de toi.
— Tu peux me faire tout ce que tu veux.
Je l'ai tirée à moi et collée contre moi. J'ai senti sa chaleur et ses formes, elle a senti mon érection. Nos langues se sont rejointes et caressées mutuellement, sans qu'on parvienne à s'arrêter, ou seulement au bout d'un moment.
Elle s'est détachée de moi. Je l'ai entraînée, je connaissais le schéma de sa maison, parce que j'y étais passé plusieurs fois ces derniers temps, vers le living. Je n'avais pourtant jamais imaginé qu'on y ferait l'amour un jour. Comme quoi...
Je me suis laissé glisser sur le canapé, elle m'y a suivi. Son corps était frémissant, et elle avait très envie. Moi aussi.
— Prends-moi dans ta bouche.
Elle m'a défait, avec des gestes délicats et sorti de mon pantalon. J'étais énorme. Ca faisait quasiment un mois que je fantasmais sur elle, sur les photos qu'elle m'envoyait.
— Oh qu'elle est belle ta queue, elle a soupiré.
Je me suis demandé ce qui la guidait. Est-ce qu'elle avait connu le plaisir du sexe avec son mari, et depuis elle était rongée par la frustration ou bien ça avait été très limité et elle était en manque depuis toujours? En tout cas, il y avait en elle une faim de sexe et de plaisir qui semblait inépuisable. Elle a commencé par balader sa langue sur ma queue, par laper mes liquides, par tourner sur mes couilles, avant de me prendre dans sa bouche, de bien resserrer ses lèvres autour comme si elle ne voulait plus briser le contact, me relâcher, mais garder ma queue, et elle a bougé sur moi. Un plaisir immense, si fort que j'ai du me contrôler pour ne pas jouir. J'ai tendu la main vers son sexe pour la caresser. Ma main a eu confirmation de ce que mon œil me disait, trouvant un sexe largement ouvert, ruisselant, lèvres et gland clitoridien durs parce que déjà gorgés de sang.
Elle a lâché ma queue, luisante de salive, roide comme elle l'était rarement, pour se positionner à quatre pattes devant moi, sur le divan, offerte. Elle m'avait fait plusieurs photos dans cette position, avec des accessoires différents, elle avait plusieurs paires de bottes et de cuissardes, des bas...
— Viens, dans ma chatte et dans mon anus. Regarde, il y a des préservatifs sur la table basse.
Elle avait envie. Moi aussi. Les photos tourneraient longtemps dans ma tête. Si je parvenais à en mettre certaines en pratique, ce serait encore mieux.
Je me suis gainé d'une capote pendant qu'elle se masturbait, d'envie, frottant son sexe qui a craché de petits jets de mouille.
Je suis enfin venu derrière elle. Elle a tendu la main pour la prendre et la guider dans son sexe. Ca s'est fait très facilement, et j'ai glissé dans la gaine chaude de son vagin. Etre dans le sexe d'une femme, c'était quelque chose d'irremplaçable. J'avais tellement rêvé du sien quand elle m'avait envoyé les clichés.
Mon gland est venu buter contre son utérus.
— Là, je crois que tu m'as bien remplie.
— Et je vais te caresser à l'intérieur, je lui ai répondu.
Je me suis à bouger en elle, allant et venant, frottant la chair délicate comme de la soie, baigné par ses jus intimes qui ruisselaient autour de moi. J'en avais rêvé. J'imaginais bien qu'elle aussi. Comme dans la vie de tous les jours, elle parlait beaucoup, se partageant entre commentaires, cris, gémissements.
— Viens entre mes fesses, elle a demandé.
J'ai failli lui dire que j'allais lui faire mal, et puis je me suis souvenu du nombre de photos qu'elle avait pu m'envoyer, où elle jouait avec des godes. Elle en avait d'ailleurs une collection impressionnante. Je lui en avais fait la remarque par SMS, elle m'avait répondu que son mari avait arrêté de la baiser depuis pas mal de temps pour aller avec ses 'catins' et qu'elle avait commencé à acheter des jouets pour se donner du plaisir. 'Je ne peux pas imaginer me passer de sexe, j'ai besoin d'avoir du plaisir, de penser à autre chose, me détendre, me sentir bien...' Et donc, elle avait, sur plusieurs clichés un gode enfoncé dans son rectum...
— Ca fait un mois que j'attends ça.
— Et moi donc...Je ne pensais pas que tu me désirais à ce point...
— Oui, tu n'avais pas l'air de l'avoir vraiment remarqué.
— Bon, tu m'as fait comprendre les choses avec tes photos...
— Tu les regardes quand tu es seul, et tu branles en pensant à moi?
— C'est bien ce que je fais...
J'ai appuyé mon gland contre sa muqueuse anale, et senti les plissements de son anus. Senti qu'elle s'ouvrait aussi. J'ai glissé en elle presque aussi facilement que j'étais rentré dans son vagin.
Pendant que j'allais et que je venais en elle, elle s'est occupée de son vagin, que j'avais délaissé. Sa main tournait sur ses lèvres et son gland clitoridien et elle dégoulinait de plus en plus, sa main éparpillant ses liquides intimes en éclaboussures. Elle m'a averti:
— Je vais jouir!
Pour un orgasme, c'en était un. Secouée par des spasmes, elle a libéré, en plusieurs éjaculations successives, des litres de liquide intime, en même temps qu'elle hurlait. Avec elle, on n'était pas déçu.
Moi je n'avais pas joui. Je me suis retiré d'elle. J'ai enlevé le préservatif souillé. Je voulais en prendre un autre, pour revenir dans sa chatte, mais elle a attrapé ma queue, et enfoncé sa langue dans mon méat, en frottant fébrilement. La jouissance est montée dans mon ventre, que je n'ai pas pu contrôler, et j'ai joui avec autant de force qu'elle, et en crachant moi aussi une quantité impressionnante de sperme, comme si je l'avais stocké pendant un mois pour le libérer maintenant, ce qui n'était bien sûr pas vrai biologiquement.
Il y a eu un moment de latence. Elle s'est tournée vers moi, m'a souri.
— J'ai encore envie. Toi aussi, regarde, tu as la queue toute dure.
Et c'était vrai que, même ayant joui, je n'avais pas débandé.
— J'ai un très grand lit, on pourrait aller dessus, si ça te dit. Profiter de la soirée, de la nuit. Et demain dimanche de la journée. Comme tu voudras.
— C'est un plan qui me convient parfaitement.
Elle m'a attrapé par la main et conduit à l'étage.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Lilas et sexe

Le 18/09/2024 - 06:44 par Sexty53
Une très belle voisine que tout le monde rêve d'avoir

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