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ma divine éducatrice (suite)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/06/2024

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LE LENDEMAIN
Le matin, maman prépare le petit déjeuner. Son accueil est plutôt glacial, tendu. Je suppose qu’elle ressent mal ce qu’elle s’est laissé faire la veille. Je m’assois à la table, comme je ne sais pas vraiment quoi dire et qu’elle est debout à côté de moi, je pose ma main et caresse l’arrière de sa cuisse doucement, sa réaction est brutale, je me prends une gifle très cinglante, la première de ma vie.

« « Tu n’es pas bien, merde alors, elles commencent mal mes vacances, alors qu’hier, c'était cool. » »

Je quitte la table et remonte dans ma chambre, prendre mon sac, mon fric, une petite veste et en redescendant.

« « Bon, ben je me barre j’en ai marre. » »

Je pars. Malgré ses essais de me retenir

« « Je ne voulais pas faire ça, mais bon, je suis ta mère tout de même. » »

« « Ah oui, pourquoi, hier soir, tu ne l’étais pas peut être. » »

Je prends la porte et je traîne dehors pendant trois bonnes journées, je vois bien qu’elle me cherche partout.
Dans la matinée du quatrième jour, je reviens.

« « Faut quand même que je me lave si je ne veux pas en plus d’être SDF, être le fils à crado. » »

Elle m’accueille en pleurs, elle m’embrasse. Moi, toujours dans mes envies qui ne me quittent pas et pendant que ses bras passés autour de mon cou, elle me tient, ma main va directement sur un de ses seins. Elle a un léger recul, un sursaut, mais elle me laisse continuer. Je prends son visage dans mes mains, pose mes lèvres sur les siennes et je lui roule un patin fougueux, comme si j’étais son amant.

« « L’autre soir, c’était très bon, j’espère que nos vacances vont continuer comme ça, sinon je me tire. » »

Elle a compris ce que je veux dire, je la caresse, puis je descends mes mains sous sa robe que je remonte, j’attrape l’élastique du slip le descend. Je la pousse et l’allonge le dos sur la table à manger, j’ôte son slip. Je descends mon short en même temps que mon slip. Elle me regarde dans les yeux, je prends ses cuisses dans mes bras en les écartant, et sans autre préliminaire, je pénètre dans ce sublime joyau bouillant, rien que le patin ardent a suffi pour me mettre dans un état d’érection très ferme, mais aussi à faire qu’elle mouille un peu. Quelques va-et-vient très rapides dans son sublime fourreau et elle dit.

« « Oohh oui salaud, humm, c’est bon, j’en ai trop besoin, tu profites de ce que ça me manque salaud Oohh oui continu oui oui plus fort. » »

Le tout accompagné de très gros soupirs et gémissements. J’accélère le va-et-vient, malheureusement je ne sais toujours pas me retenir, mon plaisir monte à grande vitesse.

« « Ne jouis pas en moi STP, retire-toi. » »

Pour moi, il n’en est pas du tout question. Il y a quatre jours, elle croise ses jambes dans mes reins pour que je ne me retire pas, là il faut que je le fasse ! Sûrement pas. Du coup je m’enfonce à fond dans son vagin en tirant très fort sur ses cuisses, je râle en lâchant mon sperme bien au fond de son fourreau.

« « Salaud, je t’ai dit de sortir. Ça ne te gêne pas de jouir dans ta mère » »

« « Sûrement pas je prends mon plaisir dedans et le prendrai dedans autant que j’en aurai envie, surtout que tu aimes que ton fils te fasse l’amour et qu’il jouisse dans ta chatte puisque tu m’as retenu l’autre jour. Tu adores qu’il te baise à entendre tes gémissements et ce « c’est trop bon » »

Le reste de la journée, je le passe à la caresser, la peloter. Puis le soir je m’installe dans son lit et je lui fais l’amour, je suce, mordille ses seins, je couvre l’intérieur de ses cuisses de baisers en remontant à sa sublime chatte de laquelle je n’arrive pas à me rassasier, je la lèche, j’aspire ses belles lèvres vaginales, son clitoris.

« « Petit salaud, je n’en peux plus, tu me rends folle, oohh oui je jouis comme une salope. » »

Puis je me glisse entre ses cuisses sur son corps en le léchant, déposant des bisous partout, sur son buisson, son ventre son nombril autour de ses seins, sur ses tétons. Je lui dépose un baiser très amoureux sur sa bouche.
En appui sur mes mains à la hauteur de ses épaules pour ne pas l’écraser, je cherche avec mon gland l’entrée de son vagin sans succès. Elle descend sa main et guide elle-même ma verge dans son divin bijou. Je m’encastre à fond d’un trait.

« « Oohh oui salaud que c’est bon, que tu me fais du bien. » »

« « Humm elle est sublime ta craquette Man chérie, tu es toute mouillée » »

Je la pistonne, je m’arrête à chaque fois que mon plaisir veut sortir, je reprends mes caresses et je lui dévore sa chatte jusqu’à ce que mon calme revienne un peu. Je réinvestis son divin fourreau sans la moindre retenue.

« « oui oui, c’est, trop bon va, plus fort oouiichhh » »

Elle tremble, elle se crispe, pousse sa minette en avant pour mieux me recevoir.

« « oohh oui oui, je t’aime mon chéri, oui joui dans maman, c’est trop bon, baiiise moi fort. » »

A part exprimer son plaisir qui consiste à me traiter de salaud, maintenant elle me demande de jouir en elle, le contraire de la demande du matin. Bien sûr, je le fais, tout au fond de son vagin.
Elle a des jouissances qui ne sont pas dues à la dimension de mon sexe qui est de taille moyenne, mais c’est plutôt le fait de braver l’interdit le défendu qui les accentues, ainsi que par ce qu’elle est en manque de sexe. Puis, elle participe plus activement, elle me provoque, avec des strip-teases, des exhibitions qui me montrent sa sublime craquette à la toison soyeuse.
Un jour, où je regarde la télé, elle s’agenouille devant moi, tire sur mon short et mon slip, me les enlève et me fait une fellation divine. Je sens sa langue qui caresse mon méat, alors que d’une main elle masturbe ma tige elle me tète le gland, c’est à crier de plaisir.

« « Oups je vais jouir attention ouii. » »

Elle glisse mon gland presque dans sa gorge au lieu de se retirer, j’explose littéralement dans sa bouche pendant qu’elle me tète et me malaxe les testicules avec sa main libre. Quand je finis de jouir, elle ouvre la bouche pour me faire voir le reste de mon sperme, puis elle avale.
Un matin, au réveil, je distingue une certaine crispation sur son visage, après deux ou trois semaines, je n’ai pas fait attention au temps qui passait bien trop vite. Période pendant laquelle je me suis vidé dans son vagin, dans toutes les positions y compris celles les plus propices à la fécondation. Par exemple en offrande, elle couchée sur le dos, les reins sur un oreiller, je lui relève les cuisses sur sa poitrine, je m’encastre dans ce sublime fourreau que j’adore, je pistonne son vagin jusqu’à gicler au plus proche de son utérus.
Apres cette crispation que j’ai remarquée sans qu’elle ne m’en parle, rien n’a changé dans nos relations, au contraire.

Un autre jour, comme d’habitude elle prépare le petit déj, j’arrive derrière elle et je la prends dans mes bras, je croise mes mains sur son ventre en lui faisant plein de bisous dans le cou. Elle pose ses mains sur les miennes et me dit.

« « Merci, mon chéri…. Tu sais quand je me lève le matin je me dégoûte, je me sens la pire des salopes! Puis dès que tu poses tes mains sur moi je crève d’envie que tu me fasses l’amour, avec toi je me sens redevenir une femme, pas une mère comme avec ton père, je suis de nouveau attirante. Puis tes bisous dans mon cou, des bisous d’hommes amoureux. Je ne sais pas où tu as appris à faire ça, mais je ne sais pas non plus quelle femme résisterait à cet élan d’amour permanent. » »

Une fois, je fais une proposition.

« « On va chercher du poisson, directement sur le port à l’entrée des bateaux ? » »

« « Elle répond oui, bonne idée ! » »

Alors on rentre de la plage, comme d’habitude, elle met son petit linge à tremper, puis elle prend une douche.

« «Faut être tôt là-bas si non toutes les godailles des marins seront déjà vendues.» »

Elle s’habille très vite, toujours le même type de robe vu la chaleur, moi je ramasse un sac le porte-monnaie les clés de la voiture et je la pousse littéralement dehors. On arrive au port, où je veux la faire venir au bord du quai de débarquement. Je sens qu’elle ne veut pas trop me suivre, elle me dit.

« «Je ne peux pas, je n’ai pas mis de culotte avec toi à me presser.» »

Cette révélation m’excite et du coup je lui prends la main et je la force à être au plus près du bord juste au-dessus d’un bateau en déchargement. Je vois bien, elle aussi d’ailleurs les marins qui s’affairent à accrocher les bacs au palan se rincer l’œil. Bien sûr, au retour, j’en profite pour glisser une main entre ses cuisses. Du coup popol se déploie terriblement dans mon short. Après cet événement, dès le matin je lui enlève son slip.

« «Tu n’as pas besoin de ça, tu sais bien que je vais te l’enlever, alors n’en mets plus.» »

Elle persiste deux ou trois fois et finit par ne plus en mettre. En la titillant un peu j’arrive à la prendre même dehors, le manque de slips facilite les choses, bien sûr je ne lui fais pas l’amour, mais des baises furtives. Elle a bien souvent le vagin plein de sperme pour rentrer à la maison, sperme qui lui coule dans les cuisses à cause du manque de slip.
Elle me fait des baisers hyper passionnés. Enfin, plus rien à voir avec celle qui disait ne pas être ma nana. Moi j’apprends à me retenir, à me contrôler un peu plus en variant les cadences du coïte.
Humm, la première fois où elle m’a chevauchée, moi, assis sur le bord du canapé elle me fait une super fellation, grimpe face à moi les genoux de chaque côté de mes cuisses elle prend mon phallus le place dans son abricot et s’empale dessus, elle l’engloutit totalement puis elle ondule des hanches.

« « oohh c’est trop bon » »

« « Oui, hein! Ça te décalotte fort, je sens que ça te fait du bien mon chéri il durcit encore, il touche sur mon col que c’est bon » »

« « Man chérie, je vais encore jouir trop vite et te remplir, j’ai trop envie de toi bordel. Putain que c’est bon, arch. » »
Et je crache mon foutre dans son vagin bien empalé en la tenant par les fesses, un délice. J’adore sa façon de faire dans cette position où c’est elle qui décide du rythme. Souvent, je l’empêche d’aller aux toilettes après nos accouplements, elle reste pleine de mes offrandes. Je ne veux pas qu’elle se débarrasse de mon sperme, un trouble plaisir cérébral, mais ça me maintient extrêmement excité.
Il est vrai aussi, que plus je lui fais l’amour, plus je la baise et plus je suis amoureux d’elle, dans mon esprit elle n’est plus ma mère. Elle ne l’est plus qu’épisodiquement à certains moments calmes.
On rentre de nos vacances, on passe chez sa mère, puis en Belgique, où elle prend un rendez-vous et se fournit en pilule contraceptive pas encore autorisée en France.
Elle m’explique que si elle n’a pas paniqué en recevant mes jouissances, c’est parce que très jeune il m’a été diagnostiqué une maladie (varicocèle) devant me rendre stérile. Elle est donc contrariée de se retrouver fécondé. Après ce constat, rien n’a changé dans nos relations. Puisqu’elle prend un plaisir cérébral à braver les interdits et à obéir à mes demandes perverses incessantes

Aujourd'hui à 75 berges, en analysant les choses, je m’aperçois qu’elle a joué à l’esclave sexuel pour mon plaisir et le sien aussi.
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Histoire de attila

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