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ma divine éducatrice

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 03/06/2024

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Mon éducation
D’abord, une présentation s’impose
Ma maman (Arlette), jolie femme aux cheveux mi-longs blonds vénitiens. Physiquement 1,57 m, petite, entre 50 et 52 kg, 80 B de tour de poitrine, la peau très blanche laiteuse, des seins fermes avec un aspect bleuté, de jolies auréoles d’un rose pâle, des tétons plus soutenus et toujours pointant, 65 centimètres de tour de taille et 85 de hanches. Des jambes musclées, des cuisses bien pleines et rondes. Ma jolie créature exposée au soleil ne fait que rougir…….. Moi, 1.70 m pour 68 kg, sportif (judo et karaté) un garçon très ordinaire à mon avis.

LE JOUR DU DÉPART
Maman est très dépressive, suite au désintéressement de son mari à son égard et sa solitude quasi permanente.
On est au début du mois de Juillet, très grosse vague de chaleur presque caniculaire. Au matin, je charge la « Floride ». Maman s’installe au volant en tenue très légère, robe bain de soleil, sans soutien-gorge. Bien sûr, cette tenue laisse ses cuisses très visibles et le tissu léger laisse deviner ses superbes tétons. Moi, juste un short de toile et un débardeur.

On part pour 8 heures de route. Tout le long de cette route les mouvements de ses jambes découvrent davantage ses cuisses, un spectacle extrêmement excitant pour moi. Une gêne s’installe dans mon short. Le voyage se passe sans problème, sauf au moment où je sors de la voiture pour le déjeuner le midi, où pour faire les pleins.

Enfin on arrive, je décharge les bagages, maman se repose un peu après ce trajet. Moi, je pars chercher de quoi faire à manger pour le soir. Je me rends chez le seul commerçant du patelin, une petite surface. J’opte pour du tout prêt. J’achète aussi pour faire plaisir à ma belle créature, un Crémant de Bourgogne. Un pétillant pour faire un apéro avec un sirop de violette, ça sert aussi de vin avec une pintade farcie précuite à réchauffer, cool.

Je rentre à la maison sans bruit si toute fois elle dort, je regarde dans le salon, elle est assise sur le bord du canapé, une main qui s’active entre ses cuisses, elle se fait un plaisir.

« « Je vois que tu as besoin de plaisirs, Mam. » »

Man, c’est comme ça que j’appelle maman. La panique, elle rabat sa robe très vite. Je retourne à mes œuvres, préparer le dîner, disposer les quelques amuse-bouche dans un plat, préparer son cocktail, moi une bière. Je lui apporte dans le salon, elle n’ose pas me regarder.

« « Ce n’est rien Man, c’est naturel, ça fait partie de la vie, je le fais souvent aussi. » »

« « Excuse-moi, je ne t’ai pas entendu rentrer, j’ai honte, mais ça a été plus fort que moi. » »

L’apéro pris, direction la salle à manger pour le souper, maman se grise un peu avec la boisson. Puis, retour au salon devant la télévision. Comme à son habitude maman câline, colle sa tête dans mon épaule mon bras autour de son cou. Mais après le déroulement de la soirée ce qui m’a excité de nouveau, ma main se pose sur son sein, pas sur son bras. Après ce que je viens de voir en rentrant et son état euphorique, pas de réaction. Alors je frôle cette jolie tétine qui m’excite tellement.

« « Ça aussi, ça fait du bien Man chérie. » »

Je fais glisser la bretelle pour avoir directement le sein, je roule ce petit bout de chair dans mes doigts

« « Oohh oui, c’est agréable, mais tu ne crois pas que tu abuses un peu, je suis ta mère pas ta nana. » »

« « Ben, je ne suis pas sûr qu’une maman qui se masturbe devant son fils peut dire qu’elle ne se considère pas comme sa nana. » » Pas de réponse.

Enhardi par ce silence, de l’autre main, je descends, l’autre bretelle. Le bustier de sa robe tombe sur ses cuisses, ses seins sont nus, totalement exhibés. Je dégage mon épaule pour libérer mes mouvements. Je gobe le téton qui est à ma portée, je le titille l’aspire, le suce tout en masturbant l’autre téton.

« « Humm oui, c’est bon, t’es un petit salaud, tu vas aller jusqu’où comme ça. » »

Je continue à sucer le téton, je lâche l’autre pour caresser l’intérieur d’une cuisse.

« « Ben voyons, mes seins ne te suffisent pas » »

Comme réponse je remonte ma main plus haut, entre ses cuisses, par des caresses. Elle ne les resserre pas sur ma main, mes doigts explorent cette toison soyeuse qui couvre son pubis. J’arrête de sucer sa tétine et je lui dis

« « Hum ma jolie Man n’a pas remis sa petite culotte après la douche. » »

Elle a les yeux fermés, je reprends son téton en bouche et le mordille.

« « Oh ouich oui, cochon, ça me fait du bien, continue. » »

Je pense qu’elle serait sûrement mieux sur son lit, alors je la porte dans sa chambre à l’étage et je m’offre le plaisir de la déshabiller, je fais tomber la robe et l’enlever puisque le slip n’est déjà plus là, elle est totalement nue. Une superbe toison rousse me saute aux yeux.

« « Oohh Man qu’est-ce que tu es jolie, une vraie déesse ! » »

Je la couche sur le lit, j’écarte ses superbes jambes blanches et je plaque ma bouche sur ce mille-feuille déjà sérieusement humide pour un cunnilingus, le nez dans ce sublime buisson roux. Ma langue recherche ce petit bouton qui se trouve à la commissure des petites lèvres, rose pâle. Je le tète, suce, lèche et fouette avec la pointe de ma langue, je le mordille très légèrement. Elle n’émet que des soupirs de plaisirs.

« « OOHH oui continue, c’est trop bon, c’est bon plus fort. » »
« « Je suis une salope de te laisser me faire ça. » »

Je suce ses petites lèvres, plonge ma langue dans son fourreau soyeux et plein de cyprine crémeuse qui m’enivre, un délice.

« « Salaud c’est trop bon continue encore, encore va plus loin dedans, j’adore » »

Je sens ses deux mains appuyer sur ma tête et son joyau venir plus en contact avec ma bouche. Il m’abreuve de cette cyprine crémeuse. Soudain, des vibrations animent ses superbes cuisses, je les ressens contre mes joues.

« « Salaud !!! salaud oohh oui, c’est Boon encore » »

Moi, je n’en peux plus, j’ai mal à force de bander, je remonte entre ses jambes en déposant des baisers sur son pubis, son ventre son nombril entre ses seins, une lèche sur chacun de ses tétons. En même temps je descends mon short et slip, je suis tendu à mort. Moi qui n’ai eu que des caresses de touches pipi avec mes relations féminines, cet état d’excitation m’est totalement inconnu. Mon gland arrive directement au contact de son bijou, sans même le guider, je pénètre son puits d’amour sans difficulté tellement elle est lubrifiée.

« « Salaud, tu me baises, oohh oui j’en ai trop envie, oui baise-moi fort. » »

Je suis incapable de me retenir plus longtemps, je sens son vagin m’aspirer, me malaxer il me suce littéralement, ses muscles vaginaux font un ravage sur mon membre, rien à voir avec mes masturbations manuelles.

« « Je vais jouir, c’est trop bon. » »

Alors que je viens de la prévenir, sûrement inconsciemment elle croise ses jambes dans mon dos, je ne peux donc pas me retirer, alors je lâche ma semence bien au fond de son bijou, contre son utérus avec un râle de plaisir. Mort de honte de ne pas avoir résisté plus que ça, je me sauve dans ma chambre.
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Histoire de attila

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