Mère et fils le délire

Karine divorcée d'un mari volage depuis plus de trois ans, vit avec son fils Gilles. Le jeune homme à la carrure d'athlète a maintenant dix-huit ans, il va à la fac. Les deux sont très fusionnels, Gilles est très prévenant avec sa maman, l'amour qu'ils se portent l'un pour l'autre est sans failles. Questions sexe, Karine n'a jamais voulu se remettre avec un homme, ses plaisirs sexuels se limitent à des attouchements digitaux.

Gilles vient de réussir son année, ils décident de fêter ça, il ouvre le champagne, ils prennent place sur le canapé et en buvant regardent la télé. Elle est en nuisette, lui en pyjama. Karine ronronne comme une chatte blottit contre son fils. Lui de temps en temps lui donne de petits baisers sur le cou et la joue en lui disant :

-Je t'aime maman !

Elle le regarde, ses yeux brillent d'émotion, et répond en lui donnant un gros baiser bruyant sur le front :

-Moi aussi mon chéri, je t'aime !

Gilles, heureux, l'embrasse juste à la commissure des lèvres, puis se blottit contre elle. Il lui prend la main, donne de nombreux baisers sur la main, puis sa langue passe entre les doigts. Karine en souriant, prend ça pour un jeu. Mais dès qu'il lui suce les doigts, elle se met à frémir. Elle ferme les yeux en rejetant sa tête en arrière. Ses soupirs sont bruyants.

Comme elle tient son verre à la main, elle renverse du champagne sur sa nuisette. Elle ouvre les yeux, regarde la tache humide et dit :

-Oh que je suis maladroite, ma nuisette est mouillée maintenant !

Elle pose son verre sur la petite table, en regardant la tache s'agrandir, elle s'étend au niveau du bas ventre. La nuisette mouillée, enveloppe parfaitement la vulve qui apparait. Gilles délaisse la main de sa maman, et regarde la tache, ses yeux pétillent, le fin tissu s'insère entre les grandes lèvres en séparant les deux lèvres.

Il lui prend une envie incontrôlable, il pose un doigt sur la bouche de sa maman, et lui caresse les délicatement les lèvres.

Karine, un peu grisée par le champagne, entrouvre la bouche, Gilles en profite pour y faire entrer la première phalange. Son doigt passe sur la langue avec lenteur, s'enduit de salive. Glisse sous la langue, agace le frein, avant de faire un petit va-et-vient. Karine, inconsciemment, saisit la main, et se met à sucer doucement l'intrus.

Une main de Gilles se pose sur la cuisse de sa maman et la caresse doucement, avant de glisser sous la nuisette. Lentement, elle avance vers l'aine. Passe sur le ventre et avance dangereusement vers le puits d'amour. Un doigt glisse doucement sur les grandes lèvres et appuie sur le tissu.
S'enfonce dans le sillon que forment les lèvres, entrainant la culotte, qui pénètre l'entrée du vagin. Karine frémit, mais soudainement réagit, elle se cabre, recrache, le doigt et repousse la main hors de la nuisette. Elle est rouge comme une pivoine, les regards se croisent. Elle serre fortement les cuisses et dit :

-Mais mon chéri, qu'est-ce qui nous prend !

Elle saisit son verre et l'avale d'un trait. Elle remarque qu'une bosse énorme déforme le pyjama de son fils, elle fait celle qui ne voit rien. Gilles est si excité, qui se caresse doucement la bosse au travers du pyjama, sans se soucier de la présence se sa maman.
Karine se Lève et dit :

-Je vais me coucher, bonne nuit mon chéri !

Très troublé, Gilles répond :

-Bonne nuit maman d'amour !

Sa maman se rend à la salle de bain. Pendant ce temps, Gilles extirpe de son pyjama sa bite tendue, et commence une masturbation d'enfer. Il serre les dents, ferme les yeux en maltraitant sa verge monstrueusement, il l'agite allègrement, en grognant comme un fauve.


Quelque temps après, sa maman sort de la salle de bain, passe devant le salon. Elle reste figée devant la verge qui parait énorme. Une giclée jaillit en faisant sursauter la maman voyeuse, le sperme gluant retombe sur le pyjama et les doigts de Gilles, qui continue de se branler. Karine s'éclipse pour ne pas se faire repérer. Elle monte dans sa chambre et se jette sur son lit, complétement bouleversée.

Ce qu'elle a vu, ne la laisse pas insensible, sa chatte suinte. Elle retrousse sa nuisette, et retire sa culotte. Le manque de sexe se fait ressentir, son clito est déjà gonflé, elle le saisit, et le triture à en s'en faire grimacer.
Elle se dit qu'elle est folle, car elle se masturbe en pensant à la verge qui semble redoutable de son fils. Elle grince les dents, branle fortement sa boule de chair, qui prend encore du volume.

Elle geint, comme une bête blessée. Soudain la porte de sa chambre s'ouvre doucement, elle a juste le temps de recouvrir son corps avec le drap. Gilles apparait, il a terminé la bouteille de champagne. Sans rien demander à sa maman, il retire son pyjama taché, sa verge est dressée. Il s'engouffre sous le drap. Karine le regarde, et lui dit :

-Ça ne va pas mon chéri !

Sans répondre, il se plaque contre elle, elle sent contre sa cuisse la verge tendue comme un arc. Elle frissonne, elle a toujours son clito prisonnier de ses doigts. Il s'accroche à elle d'une main et agite doucement son bassin. La maman inquiète lui demande :

-Mais qu'est-ce que tu fais mon chéri, soir raisonnable !

Karine sent la bite de Gilles glisser sur sa cuisse. Soudain, il se met sur le dos, et saisit la main de sa maman, puis la pose sur sa queue dressée comme un mat. Karine, sans savoir pourquoi, presse l'engin plusieurs fois. Puis se met à la masturber très lentement, son fils commence, se met à geindre, il ondule du bassin en offrant à la main.
Experte de sa maman sa bite dressée.


La maman accélère le rythme, Gilles ne peut plus se retenir, il envoie une formidable giclée de sperme qui s'accroche aux draps. Sa maman repousse les draps, ses doigts sont englués de semence. Elle regarde la verge et reprend la masturbation. À chaque descente de son poignet, elle décalotte entièrement le gland. Pendant qu'elle le branle, il avance sa main sur le ventre dénudé de sa maman, et lui attrape le clito. Il se met à le branler fortement, c'est si violent que sa maman lâche le membre. Elle se cambre, en gémissant, sa chatte est en feu, elle mouille énormément. Soudain, elle réalise, elle commence à trembler de tous ses membres. Repousse violemment son fils, se redresse rapidement, et se met à sangloter.

Gilles l'enlace, lui relève le menton avec deux doigts et lui donne pleins de baisers sur tout le visage. Il lape les perles salées qui coulent sur ses joues. Elle dit entre deux reniflements :

-Je suis un monstre, une maman indigne, oh comme j'ai honte !

Gilles la serre très fort et l'allonge sur le lit. Sa main est sous la nuisette, elle monte en glissant sur la peau, Karine se mord à main. La tension dans son corps est extrême, La main lui caresse le ventre un instant, et monte en entrainant la nuisette, elle s'empare d'un sein. La maman n'a pas la force de repousser l'agresseur, ses sens ont pris le dessus. Son corps devient hors contrôle, il est secoué par de nombreux frissons. Elle s'accroche au lit, la tension a encore monté d'un cran.

Les doigts agiles de son fils lui font dresser les mamelons si fort qu'ils en deviennent douloureux. Longuement, il pétrit les masses de chair. Les gémissements que pousse sa maman l'excite encore plus, il se colle à elle, et ondule du bassin en frottant sa verge contre sa cuisse. Karine défaille en sentant la verge coulisser sur sa jambe. Elle enlace son fils et le serre très fort. Les visages sont si près que les souffles se mêlent. Les lèvres se frôlent, sans réfléchir Karine lui écrase les lèvres. Les langues se nouent pour un long baiser.