Muriel (L'anniversaire de Nicolas)

Arrive la fameuse soirée anniversaire de Nicolas. Ce dernier a invité quelques copains et copines, dont Lucas, son meilleur pote. Muriel les accueille avec lui.

-Bonsoir madame, disent en cœur les convives.
-Bonsoir les enfants, répond-elle.

Muriel se sent rougir quand elle croise le regard ironique de Lucas. Elle préfère regagner sa cuisine. A peine arrivé, qu’elle sent des mains la prendre par la taille.

-Alors, toujours fâchée, demande Lucas.
-Laisses moi s’il te plait, on peut nous surprendre…puis restons en là tous les deux.

Lucas, surpris, n’insiste pas et rejoint les autres.
Au bout d’un quart d’heure, Muriel retourne au garage pour alimenter les tables en boissons fraiches. Muriel marque un temps d’arrêt en voyant une jeune fille, de type maghrébin, serrer Lucas d’un peu trop près. Serait-elle jalouse ?

-Madame, fait Lucas en levant son verre, vous trinquerez bien avec nous ?
-Allez man, c’est mon anniversaire, s’il te plait.
-D’accord, bon anniversaire mon chéri.

En voyant la tournure que prend la soirée, Muriel préfère se retirer. Elle ne supporte pas de voir le jeune homme danser avec cette fille.
Au fur et à mesure, elle débarrasse les verres et autres assiettes.
Puis Lucas laisse tomber sa cavalière, et s’approche de Muriel.

-Madame, m’accorderez vous cette danse.

Prise de court, et aidée par le regard de son fils, elle accepte.
Lucas se colle à elle. Elle sent sa bite contre son ventre, certainement émoustillée par la jeune fille. Il enfouit son visage au creux de son cou, lui mordille l’oreille, lui murmure des mots doux.

-Je ne te l’ai pas dit tout à l’heure, mais je te trouve ravissante. Je te baiserais bien.
-Oui, c’est ça, répond-elle à l’abri des oreilles indiscrètes. T’as ta copine pour ça.
-Arrêtes, dit Lucas, c’est toi que je veux. Ecoute, tu sais ce qu’on va faire.
-Non, mais tu vas me le dire, dit Muriel.
-Tu vas m’attendre à la cuisine, et quitter ta culotte. Je te rejoins dans cinq minutes.
-C’est hors de question, dit-elle en haussant le ton.
-Chut…réfléchis mon cœur, dans cinq minutes.

Sur ces mots, ils se séparent. Muriel réfléchit à la proposition de Lucas, d’autant que de voir ces jeunes s’échauffer en dansant, l’excite au plus haut point. C’est même elle, maintenant qui espère que Lucas vienne la rejoindre.
Elle pousse un soupir, quand la porte s’ouvre. C’est bien lui qui la ferme à clé..
Muriel est appuyée au plan de travail. Lucas se colle à elle, l’embrasse. Elle répond au baiser en passant ses bras autour de son cou. Les mains de Lucas descendent sur les cuisses, puis remontent la jupe jusqu’à la taille. Il en était sur, Muriel ne porte pas de culotte. Il la prend par les hanches, et l’assied sur le plan de travail.
Muriel se retrouve les jambes en l’air, écartées à quatre vingt dix degrés. Lucas s’accroupit, écarte la fente, lèche la chatte. Muriel à un léger sursaut, quand il aspire le clitoris de ses lèves.

-Salaud, gémit-elle, tu bouffes ma chatte…tu le savais que j’allais te céder…je veux ta queue maintenant…s’il te plait, baises moi.
-Déjà, parvient à répondre Lucas, tu as tant envie que ça.

Lucas se relève, baisse son pantalon. La queue, déjà en érection, pénètre la chatte humide de la jeune femme. Muriel se pend littéralement au cou du jeune homme. Le calibre de Lucas fait des va et vient incessant dans sa chatte en feu. Elle ne peut retenir des gémissements de plaisir, quand elle jouit. Puis c’est au tour de Lucas qui éjaculant dans le ventre de Muriel. Mais Muriel en veut encore.

-Tu es gourmande ce soir, descend et soulève une jambe, monte la sur le plan de travail. Je vais te prendre au petit trou.
-Prend celui que tu veux mon chéri, dit-elle, ils sont à toi tout les deux.

Muriel offre son intimité sans vergogne. La chatte rasée, et le petit trou, ne font qu’un. Il ne résiste pas à l’appel, et prend la jeune femme au petit.

-Oh putain…quelle est bonne ta queue…savoir si mon fils en a une aussi grosse !!
-Pourquoi, si c’était le cas, tu voudrais l’essayer.
-Hein, quoi, me faire niquer par mon fils, même dans mes rêves les plus érotiques, je n’y pense même pas.
-Oui, parce que si c’était le cas, on pourrait arranger ça.
-Tais toi, c’est toi que je veux…vas-y, donnes mon encore.

Lucas refuse, ne voulant pas prendre le risque de semer le doute chez les invités, suite à sa longue absence. Muriel fait alors une proposition au jeune garçon.

-Rejoins-moi au salon quand les invités seront partis.
-Hum, petite vicieuse. Tu veux quoi ? Que je m’amuse avec ta petite chatte.
-Ne me fais pas râler, répond-elle, tu le sais ce que je veux…que tu me niques.
-Ok, mais à une condition. Je veux que tu sois toute nue, couchée sur la table, jambes bien écartées. Avec juste une petite lumière.
-Quel vicieux tu es…si c’est ce que tu veux, d’accord, j’accepte. Embrasses moi.

Lucas regagne le garage, juste au moment ou Nicolas souffle les bougies, et que les copains offrent leurs cadeaux. C’est à ce moment qu’il s’aperçoit qu’il n’a rien offert à son meilleur pote. Comment rattraper le coup. Lui vient alors une idée.
Il prend Nicolas par l’épaule, et le mène à l’écart.

-Mon pote, c’est à moi maintenant de te faire un super cadeau. Voila, mais il faut que ça reste entre nous. Ok ? Je suis sur un super coup. J’ai levé une meuf pendant la soirée. Je lui ai demandé de me rejoindre au salon quand tout le monde sera parti. Bien sur, je lui est dit que la lumière serait éteinte, pour la rassurer. Si tu veux te faire sucer le zob, pendant que je la nique, tu peux. Après, on change nos place.
-Bien sur, jubile Nicolas, putain, c’est un cadeau génial…

Vers deux heures du matin, les deux potes poussent la porte du salon. Il est simplement éclairé par une petite lampe, qui dégage une faible lueur.
Lucas devine les courbes du corps de Muriel tout près d’eux. Guidé par son copain, Nicolas sort sa queue, et à tâtons, la dirige vers la bouche de Muriel. Celle-ci l’engloutit jusqu’aux couilles, et entame une fellation. Pendant ce temps, Lucas s’est a genouillé entre les cuisses, bouffe la chatte, suce le clito. Prise par le désir, Muriel ne s’aperçoit de rien, même quand Lucas la pénètre de son énorme queue.
Muriel atteint son premier orgasme, juste quand Nicolas crache dans sa bouche. C’est maintenant au tour de Nicolas, de glisser sa bite dans la chatte de Muriel. Sauf que lui va directement au petit trou. Muriel sent que quelque chose ne va pas, mais prise dans la tourmente du plaisir, elle ne sait quoi. Pourtant, ce sont bien deux queues qui la pénètrent, ou qu’elle suce.

Lucas s’absente un moment, laissant seul son copain continuer la partie. Il revient dix minutes plus tard, accompagné de Leila, une jeune maghrébine, celle qu’il a levée pendant la soirée. Malgré la faible lueur, elle parvient à distinguer le superbe corps de Muriel. Elle glisse une main entre les jambes largement écartées, caresse la chatte, joue avec le petit bouton entièrement décalotté. Muriel se tord comme un serpent sur la table du salon, exprime son plaisir dans de violents coups de reins. La jeune fille prend un réel plaisir à voir vibrer le corps de Muriel entre ses doigts. Cette dernière n’en fini pas de jouir. Les orgasmes défilent à une cadence infernale.
Les pipes aussi, une pour Lucas, une pour Nicolas. Muriel fait le plein de sperme. Vers quatre heures du matin, les deux potes se retirent, laissant Leila avec Muriel. Ils l’entendent hurler de plaisir quand Leila lui branle la chatte, ou lui doigte le clito.
Puis Lucas sonne la fin du jeu. Il quitte la villa accompagné de Leila.

Le lendemain, Muriel et Nicolas prennent le petit déjeuner sur la terrasse. Nicolas remarque les cernes sous les yeux de sa mère.

-Ca va man, tu as l’air fatiguée.
-Un peu mon fils…et toi, ton anniversaire s’est bien passé. T’as du t’amuser avec toutes ses filles. T’as du avoir plein de cadeaux aussi.
-Oh maman, si tu savais ce que Lucas m’a offert…un truc de fou…
-Vas-y, dis moi…tu as l’air encore tout excité.
-Ce vicieux, il avait branché une meuf…une vraie salope. Il lui a donné rendez-vous au salon, et m’a proposé d’aller avec lui. Oh putain qu’elle était bonne. On l’a prise par tous les trous, on s’est fat tailler des pipes…la totale. Ca m’étonne que tu ne l’es pas entendu hurler quand elle jouissait. Tu devais dormir man.

Muriel reste figée, se prend le visage entre ses mains.

« Oh mon dieu, ce n’est pas vrai. On ne m’a pas fait ça. Je ne me suis pas faite baiser et enculer par mon fils…je ne l’ai pas sucé, je n’ai pas avalé son sperme. Mais comment je ne me suis pas aperçu que pendant que je tailler une pipe à un, je me faisais baiser par un autre. Dites moi que je fais un cauchemar. »

Nicolas décèle des larmes sur les joues de sa mère.

-Ca ne va pas maman, que t’arrive-t-il. J’ai dis quelque chose de mal.
-Non mon chéri, ça va aller…un peu de fatigue. Je monte me coucher.