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Notre derniére partie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/08/2024

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Nous devions avoir la bonne quarantaine passée moi dans les 45 et Annie ma femme dans les 42 ans. Pour situer la situation parti d’un constat mutuel s’accordant sur une vie sexuelle pas trop réussie, plutôt que de se séparer , nous avions finis par s’accommoder de pratiquer des trios homme homme femme. Nous pratiquions cela depuis ma foi une bonne dizaine d’année , de manière assez régulière, voir aux environs d’une fois par mois. Nous avons rencontrés de nombreux amants , certains bons d’autre excellent, certains mauvais , certains sont devenus même des amis avec qui nous avions oublié le coté sexuel de la relation.

Pour ma part je m’y suis retrouvé après le choc énorme des premières fois , de voir ma femme se faire prendre par d’autres hommes et en jouir beaucoup plus fort qu’avec moi , dans un certain et même très grand plaisir de la voir se faire éclater par des mâles performants . Le plaisir de voir son visage dès que l autre commence à l’ouvrir avec son sexe, le plaisir la connaissant très bien de voir ses jambes se tendre , ses pieds monter au plafond, de voir ses muscles des épaules s’arrondir et de savoir qu’elle vas partir , qu’elle vas jouir, , d’entendre ses cris, ses pleurs, de voir ses tremblements. enfin le plaisir incroyable de pouvoir la pénétrer après un autre , de l’entendre me dire.

« Viens mon chéri, viens, viens bien profond »

De sentir son sexe élargi , assoupli par les autres, d’une douceur satinée. et j en ai eu des orgasmes foudroyants.

Et ces retours en voiture , dans le silence intime du partage d’une belle soirée, son corps repus , écartelé, alanguis sur le siège , sa main dans la mienne sur l’autoroute .

C est ainsi qu’un soir d’hiver dans les années 1990, nous avons pris la route pour la capitale régionale afin de retrouver pour une soirée un ami ivoirien. Ivoirien oui bien sur un black , ben oui dans ce genre d’histoire on fini toujours avec ses amis là, il n ont pas forcément selon les canons de la pornographie des monstres entre les jambes, mais ils ont surtout, ce coté sauvage, animal, cette disponibilité d’esprit, pour faire cela, pour chercher le plaisir de la femme avant le leur, ce coup de rein facile et répétitif , à la fois doux et violents, enfin bref ce sont de bons amants.

Nous nous sommes donc retrouvé au restaurant avec Jean que nous connaissons bien depuis des années, et oui nous sommes un peu des classiques, pas du genre à aller dans une chambre et hop à poil tout le monde se saute dessus. Non nous aimons bien discuté, partagé des moments de vie des uns et des autres, des années de pratique du triolisme , nous ont montré que la suite n’en ai que meilleure.

Il as réservé une table je remarque qu’il y as quatre assiettes, un ami doit passer me dit ‘il , je lui ai dit de venir manger avec nous si vous n’y voyez pas d’inconvénients.
Bien sur que non nous sommes des gens accueillants.

L’ami arrive ,Gilbert il est ma foi imposant au premier regard, Ivoirien de même pas très grand mais gros extrêmement gros , limite obèse. Il efface vite ce coté dirons nous pas très accueillant de son physique par une conversation intéressante , mêlée d’humour, c est un ancien athlète de haut niveau et ma foi une fois le sport abandonné, son corps s’est vengé de lui avoir asséné des régimes et entrainements terrible pendant des années et il as grossi outre mesure.

Le repas touche à sa fin et Jean de nous annoncer , Gilbert doit passer à l’appartement récupérer un truc qu’il as oublié il ne vas rester que quelques minutes.

En allant à la voiture ma femme me glisse

« Non pas le gros je ne veux pas »

J’emmène tout le monde dans la voiture et nous arrivons dans la banlieue vers ces barres d’immeubles qui furent le témoin des trentes glorieuses économique de la France mais qui hélas ne sont plus synonymes d’évènement aussi positifs.

L ascenseur est passablement défraichis mais fonctionne, et nous arrivons sur un palier , Jean ouvre la porte , m’invite à rentrer, le couloir n’est pas très large , je rentre dans le salon je pose ma veste, j entend un cri derrière moi je me retourne , Gilbert le gros coince ma femme le long du mur, elle me regarde affolée, je fais un pas pour m’interposer, Jean me retient par la manche

« Non André , reste regarde, il est exceptionnel, il vas la soumettre très vite, elle vas adorer »

Je suis dans l’expectative.

Elle me regarde d’un air désespérée, il l’as tiens le long du mur , presque sauvagement sa main descend entre ses jambes, lui remonte sans ménagement la jupe, s’enfile dans sa culotte, je sens je vois qu’il lui met la main au sexe, je vois au mouvement de son poignet , qu’il vas la doigter.

Son mouvement de poignet vers le haut pour affermir sa prise dans sa chatte , est fort, violent , ma femme fait

« Oooooooh »

Il la secoue deux ou trois fait elle gémit, je la vois ouvrir sa jambe pour faciliter le travail de la main de Gilbert , Elle recommence

« Oooooooh »

Son bassin tressaute , je sais qu’elle joui, du liquide coule en abondance entre ses jambes, le phénomène extrêmement rare cher elle de femme fontaine.

Jean me dit c’est incroyable avec toutes les femmes il y arrive.

Je vois qu’il la pogne encore cette fois ci elle ne défend plus , elle s’ouvre ,, très vite elle recommence à inonder le plancher, en gémissant.

Gilbert lui prend le visage et la regardant lui dit.

« Aller Annie t’en veux encore, dis le , embrasse moi »

Et je vois ma femme lui tendre ses lèvres il s’en empare, l embrasse très profondément et le pogne de toute ses forces , elle crie dans sa bouche , son bassin tressaute, . Il la laisse , elle glisse lentement le long du mur, il la rattrape, la soutiens.

il lui dit

« Vas dans la chambre , on arrive »

Je suis un peu choqué , quand même, Annie passe devant nous comme une automate, et se dirige vers la chambre, le temps pour nous de poser nos manteaux dans le salon, quand nous arrivons dans la chambre elle est nue , debout.

Nous les hommes on se déshabille Jean bande, sans qu’on lui dise rien Annie se met en position de levrette, et Jean s’accouple à elle, et commence la baiser d’abord doucement , puis de plus en plus violent, je la vois arriver , elle se tord puis explose en orgasme , un puis deux puis trois. et je l entend crier gémir.

Jean se dégage , Gilbert arrive son sexe est bien bandé il est un peu plus large , il lui demande se mettre en missionnaire sur le bord du lit , il s’enfonce en elle et se couche sur elle je ne la vois presque plus sous les replis de graisse, , mais il la baise et la baise très bien , elle joui presque sans discontinuer .

Elle l’encourage

« Oui ouiiiii vas y encore, elle me regarde

« Regarde chéri, regarde comme il me baise c est bon je t’aime , oooooooouiii encore »

Et elle s’empare de ma queue avec sa main libre , elle me branle une fois ou deux, et je décharge en l’air en criant.

Je me relève je vais à la douche me laver, jean est en train de faire du thé.

Nous laissons Annie et Gilbert dans la chambre, en sirotant notre thé nous avons le plaisir de les entendre tous les deux, les flops flaps, des chairs l’une sur l autre les halètements , cris, , c est aussi agréable dans le triolisme et plus pour ce cas d’être à coté et d’écouter seulement sans voir c’est une autre forme de plaisir plus raffiné.

Et puis j’entends Annie crier

« C est bon aller vas y , vas y »
les flap, flop se font plus fort plus rapproché

Jean me dit
« C est bon on est pas loin de la vérité »
Effectivement on entend un grognement, puis un autre suivi d’un cri déchirant d’Annie.

Puis des bruits d’essoufflement qui se calme.

Jean attends un moment puis lance

« Le thé est servi »

C est d’abord Annie qui sort de la chambre, du sperme coule entre ses cuisses, elle me regarde en riant .
« Regarde chéri il m’as tout mis , putaing la charge qu’il m’as mis , j ai pris un pied pas possible, c est ou la douche?? »
Gilbert apparait en sueur , il ouvre une porte c est là la douche
« Vas y j irai après »

Et on s’est retrouvé tous les quatre dans le salon à boire le thé. Annie entre Gilbert et Jean , moi en face.

Annie rieuse, portant le mug de thé chaud et le posant sur le sexe de jean ,
« Tiens cela vas le réveiller »

« Oh là la s’exclama Gilbert , mais on as affaire a une joueuse , on vas voir qui aura le dernier mot « 

Ce faisant il tira une jambe d’Annie sur sa cuisse, Jean en fis autant de son coté , elle se trouva ainsi assise entre les deux hommes les jambes écartée, chacun lui tenant une jambe sur les leurs. Jean me fit un signe de venir derrière le canapé , je compris de suite la manœuvre . je me mis derrière je lui pris les bras et et les lui tint en arrière sur les montant du canapé.

Gilbert déclara
« Bon maintenant on vas voir ce qu’on vas voir »

Il lui mis la main au sexe, frotta un peu et je vis très directement qu’il lui enfonçait deux doigts dans la chatte, appuyant la paume de la main sur son pubis.

Annie Gémit
« Non pas ça « 
C était trop tard , sa main s’agita énergiquement sur le pubis et dans sa chatte, elle gémit encore et se cabra, il insista , elle se cabra encore plus en s’offrant à la violence de la caresse. Ce ne fut pas long , il la secoua très fort retira sa main , elle convulsa et un long jet jailli de sa chatte , éclaboussant la table et les tasses de thé, il la reprit , elle hurla, encore une fois il la fit éjaculer, , puis sans remettre ses doigts à l intérieur , il frotta énergiquement sa chatte et elle redémarra.

Jean la lâcha, se présenta devant elle et la prit sans ménagement
Elle gémit
« O oui o oui « 
Très costaud il la pris dans ses bras la porta toujours fiché en elle, et la transporta dans la chambre, là il se mis à la baiser très fort,
« C est cela que tu veux Annie , c’est cela que tu veux, dis le »
Entre deux cris et rires Annie articulait avec peine.
« Oui c est cela que je veux , vous êtes mes hommes, aller y, aller y c est bon , c’est bon prenez moi, encore, encore »

Je ne savais pas qu’une femme pouvait autant encaisser et jouir, nous l avons tous pris et elle en redemandait.

A un moment elle était à genoux en levrette, jean derrière elle , elle m’as appelé, elle criait différemment , je suis venu prés d’elle , elle m’as pris la main me la serrant très fort , me regardant avec ses yeux exorbité , entre deux cris elle m’as dit

« Chéri, chéri je t’aime , il est dans mon petit cul, il me casse le cul le salaud, c est bon oui c est bon « 

C’est alors que j ai vu une ombre dans la porte de la chambre , une ombre géante , je ne savais d’ou il arrivait sans doute Gilbert était aller lui ouvrir la porte , un géant , plus de deux mètres , dans les 100 kg , j apprendrai plus tard que c’était un basketteur professionnel, il sourit , dis
« Bonsoir tous le monde , alors il y as une belle coquine ici »

Ce faisant il se déshabilla en un tour de main , ce que je vis alors me laissa stupéfait , au cours de des dix dernières années j avais eu l occasion de voir pas mal de sexe d’homme, mais alors là rien de comparable , tout en accord avec les dimensions du personnage, un monstre , un truc qui lui arrivait à quasiment le moitié de la cuisse , énorme , grosse longue , un désastre .

Gilbert nous présenta
« C est Koffi un ami togolais qui passait par là »

A ces mots jean qui sodomisait Annie hurla en se vidant dans l’anus de ma femme qui retomba sur le coté pantelante.

Koffi avança doucement vers le lit caressa la tête de ma femme gentiment , déjà je voyais son monstre se redresser, ma femme releva la tête étonnée, de voir un nouvel arrivant , je pensai qu’elle allait dire non cela suffit, au leu de cela je la vis tendre la main et attraper la queue de Koffi et dire

« Au point ou j en suis ….; »

Sa main ne faisait pas le tour de la queue de Koffi , elle se redressa , lécha le gland vraiment trop gros pour qu’elle puisse le mettre en bouche .

Koffi surement conscient de sa taille fut très doux au début , il la tira dans le coin du lit , c est là que je vis ma femme attraper ses chevilles avec ses mains et les tirer bien en arrière pour bien s’offrir.

Je ne pus m'empêcher de m’approcher pour voir , son gland énorme distendait les lèvres de sa chatte.
Elle gémissait
« Doucement, doucement vas y doucement »
et il fut très doux cette pénétration dura dura, je ne sais combien il allait et venait , millimètres par millimètres
Elle le guidait l’appelais, je fus sidéré du courage de ma femme.
je l’entendais dire entre deux gémissements
« Doucement, doucement vas y , recule , revient, encore un peu, ressort revient « 

Il lui avait déjà mis dix bon centimètres je voyais la peau des lèvres de sa chatte distendue autour du pieu.

Elle lui dit

« J ai eu deux enfants je sais ce que c’est , avec ce que les autres m’ont mis tu peux y aller maintenant »

Et il s’est enfoncé en elle jusqu’à la garde , elle se plia en avant pour regarder et me dit

« Cheri regarde , regarde il m’as tout mis , il m’as mis sa grosse queue « 

Ses yeux révulsés, il se mit à la limer d’abord doucement , elle m’avoua plus tard qu’elle n’était plus là , que c’était un orgasme permanent qu’elle a cru qu’elle allait mourir et qu’elle en était heureuse.

Le temps n’existe pas dans ces moments là , nous les autres hommes nous étions sidéré de la situation, béat, silencieux , voyeurs compatissants .

Koffi s’exclama

« J ai les couilles pleines je vais pas tenir , elle est trop bonne »
Sortant de son brouillard ma femme cria

« Oui je suis bonne, je suis très bonne , dites le « 
Alors les quatre hommes acquiescèrent et dire en chœur , oui Annie tu es bonne très bonne ,

Annie s’emballa elle leva son bassin encore plus pour s’offrir

« Vas y dit elle donne moi tout je veux tout je suis prête fais moi jouir, rempli moi »

UN grondement de lion , un rugissement se mêlant au cri de ma femme, je le vit parfaitement écarter les jambes , ses testicules remonter vers son bassin pour se libérer , il rugit une dizaine de fois , en s’arcboutant et répétant
« Elle est bonne , trop bonne »

Il se dégageait , sa queue pendait molle entre ses jambes, un flot de sperme coulait de la chatte béante de ma femme, elle rampa sur le milieu du lit , se recroquevilla en chien de fusil, son corps animé de soubresaut erratiques, je voulu la caresser, elle écarta de la main faisant signe qu’on ne la touche plus. On la recouvrit d’un drap d’une couverture et nous les hommes nous sommes retourné au salon boire un thé.


Après le thé Koffi dit c ‘était vraiment super merci beaucoup , avec ce que la nature m’as donné je ne peut avoir que des femmes qui ont eu des enfants , avec les autres c’est impossible, vous la remercierez de ma part , Gilbert en profita pour s’en aller aussi en remerciant pour cette excellente soirée.

Je suis retourné dans la chambre , ma femme dormait , je suis aller dans l autre chambre , dormir et Jean a dormi sur le canapé.

9 heures du matin j entend des gémissements, Jean est entrain de faire l’amour à ma femme en missionnaire, il pousse un gémissement se cabre je sais qu’il as finis qu’il vient de la remplir à son tour. Ma femme me dit
« Viens aussi mon chéri »
Elle écarte les jambes , et me dit vas y doucement je suis irritée.

Je me cale , je la pénètre le plus doucement possible, je suis au fond, elle me prend la tête me regarde dans les yeux, .
« Vas y chéri joui vide toi »
Mon corps obéi à ses ordres un orgasme foudroyant me saisi.

Encore un peu de repos , nous allons tous la douche , on déjeune, on reprend la route , ma femme dort dans la voiture.

Arrivé à la maison , ma femme me dit
« Faut pas m’en vouloir , faut me comprendre , jamais on ne fera mieux, c’était le top , alors j arrête , c’était ma dernière partie, , je reste sur ce souvenir »
j ai dit
« Je comprend chérie »
On s’est embrassé, tendrement et nous n avons plus jamais parlé de cela et il n’y eu aucune autre aventure .
et nous fêtons cette année nos 45 ans de vie commune.
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Histoire de micchel1954

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