Olga femme désirable, très jalousée 1

Olga est une femme blonde très élancée, au corps quasi parfait. Cette femme slave au regard bleu ravageur, attire les regards lorsque qu'elle fait son shopping. Très timide, elle se fait le plus discret possible. Très enviée par les hommes, voire détestée par la gent féminine du quartier, les ragots formulés à son sujet vont bon train, bien sûr ce n'est que pure jalousie.
Bien que cela fasse déjà plusieurs années qu'elle habite la petite ville, la plupart des mégères, la considèrent encore comme une étrangère. Les ricanements, les allusions sournoises lors de son passage la rendent malheureuse. Déprimée, elle en parle à la seule amie Justine qu'elle a dans le quartier. Celle-ci lui suggère d'aller au bal du quatorze juillet et de se défouler en rendant jaloux ses détracteurs.


Justine lui dit qu'elle l'accompagnera et que les deux vont se payer du bon temps, en ne se refusant aucune opportunités. Le jour en fin arrive, Olga stresse, elle est nerveuse, elle passe une grande partie de sa journée dans sa salle de bain, ou devant son miroir. Justine vient la chercher, les deux bras dessus bras dessous déambulent dans la rue qui les mêmes à la place ou est dressée la piste de danse. Elles trouvent une table libre au bord de piste. La piste est très éclairée, le contraire des tables qui le sont que par une faible clarté. Les deux décide de faire des folies, elles commandent du champagne. Déjà les langues des commères se délient, et crachent leurs venins. Justine, avec arrogance, se redresse, et en regardant autour d'elle, lève son verre et dit fortement :

-À la nôtre, ma chérie !


Et en reprenant une citation, elle ajoute :

-La bave du crapaud, n'atteint pas la blanche colombe !


Olga sourit en trinquant avec son amie. La musique bat son plein, Justine et Olga attendent le bon plaisir des hommes pour être invitées à danse, mais il y a de l'électricité dans l'air. Certains mâles passent devant eux en les regardant, mais n'osent les inviter, ils passent leur chemin en soupirant. Olga est très mal à l'aise, elle se dit qu'elle n'aurait pas dû écouter Justine. Elle avale son verre d'un trait, rapidement, Justine le remplit à nouveau, qu'elle avale aussi rapidement. Justine prend l'initiative, elle se lève, prend la main d'Olga et l'entraine sur la piste. Olga, très embarrassée, se laisse mener en regardant le sol. Justine l'enlace, la serre très fort dans ses bras en toisant les personnes qui ne les quittent pas des yeux.
Comme pour faire rager les envieux, elle plaque ses mains sur les fesses magnifiques de son amie, et sans aucune gêne, les caresse. Des murmures se font entendre, Justine, avec un large sourire, en épie la foule hostile. Avec un culot monstre, elle se met à palper les lobes charnus, en les pressant fortement.



Olga se contracte, elle murmure à l'oreille de son amie :


-Arrêtes-Justine, j'ai honte !



Justine en approchant ses lèvres de l'oreille d'Olga réplique :


-Oh non, ils sont verts de rage ses cons là, il faut jouir de ta vengeance, laisse-moi mener la danse ma chérie, ils vont baver maintenant !

Justine serre encore plus fort Olga et agite doucement son bassin contre le sien. Le doux frottement du bas ventre de son amie contre le sien, ne lui est pas désagréable. Olga se blottit le plus possible contre son amie en ronronnant, elle aussi ondule du bassin. Justine pose sa joue contre la sienne, et naturellement lui donne quelques petits baisers. Olga qui ne s'attendait pas à cela, frissonne, elle respire de plus en plus rapidement. Heureusement la danse cesse, les deux femmes en se tenant la main rejoignent leur table. Elle sont suivies des yeux par certains détracteurs qui restent bouches bées. Justine en rejoignant sa table force un peu la dose, elle se fait féline en ondulant du bassin comme un félin. Elle s'assoit juste à côté d'Olga. Elle dit en souriant :


-Je les sens bouillir, notre jeu les émoustille ma chérie, mais ce n'est que le début !



Elle prend les mains d'Olga dans les siennes et dit avec un peu de trémolos dans la voix :

- Je dois t'avouer que j'ai la culotte trempée, à force de me frotter contre toi !
Il faut que je trouve une lance pour éteindre le feu qui gronde en moi !


Olga ne peut retenir un éclat de rire et ajoute :

-Te connaissant, c'est une caserne de pompiers qu'il te faut :


Justine éclate de rire et trinque avec son amie. Enfin, deux hommes s'approchent d'eux, et les invitent. Les deux femmes acceptent et s'élancent sur la piste. Le slow est très langoureux, les corps se serrent, les bassins ondulent. La joue du danseur d'Olga et contre la sienne, elle sent le souffle chaud de l'homme, il lui murmure à l'oreille :

-Vous êtes si jolie, que je suis sûr qu'à l'instant même, je fais de jaloux !


Olga détache sa joue et regarde l'homme droit dans les yeux, elle lui dit :


-Et votre femme, qu'en dit-elle !


L'homme sourit et répond :

-Elle danse, regardez comment elle enlace avec son cavalier, elle va finir dans son lit comme à chaque fois !



Olga sursaute et réplique :

-Elle vous trompe ?



L'homme en prenant une grande aspiration répond :

-Oui, je suis le cocu de service, elle adore se donner devant moi comme une chienne, cela l'excite comme folle que j'assiste aux ébats !


Olga écarquille les yeux et demande :

-Est à vous, qu'est-ce que cela vous fait ?


Pour être franc :

Je bande comme un cheval en les voyant forniquer, quelques fois, je me mêle à eux alors là ma femme se fait défoncer comme une malade !


Olga très curieuse demande :

-Elle se fait prendre par deux hommes en même temps ?



L'homme en soupirant fortement répond :

-Oh oui, elle aime ça ma salope, comme elle dit plus en est mieux c'est !


La danse se termine, l'homme raccompagne Olga, elle l'invite à prendre un verre, et met au courant Justine, curieuse demande :

-Ah c'est qui votre femme !

L'homme montre du doigt sa femme qui s'accroche à son cavalier qui l'à ramène à sa table. Justine ajoute :
-Ouah, elle est bien votre femme, et avec une femme, elle a déjà baisé ?


L'homme sursaute et répond :

-Pas à ce que je sache, mais je lui poserai la question ?


L'homme boit son verre, puis rejoint sa femme qui ne quitte pas son cavalier. Olga regarde Justine et lui dit :

-Mais tu es vachement curieuse Justine, les femmes t'intéressent donc !


Justine éclate de rire et dit :

-Elle doit avoir de l'expérience cette salope, j'aimerais la voir en action avec deux mecs et aussi avec une femme !


Olga réplique :

-Mais tu deviens voyeuse ma parole !


Justine n'a pas le temps de répondre que l'homme revient accompagné de sa femme. C'est la femme qui prend la parole et dit en souriant :

-Non je n'ai jamais baisé avec une femme !


En relevant le menton d'Olga avec deux doigts, elle ajoute :

-Mais avec toi, je suis prête à franchir le pas !


Olga reste béate, elle devisage la femme qui est jolie en répond en béguant :

-Mais je ne suis pas lesbienne !



La femme en souriant réplique :

-Moi n'en plus, mais il faut un début à tout, vous ne croyez pas !


Justine regarde son amie et lui dit :

-Ouah, tu te fais draguer ma chérie, si tu tentes le coup, je viens avec vous !


La femme opine de la tête en souriant. Elle ecrit sur un papier son adresse et dit :

-Ne tardez pas trop, maintenant que vous m'avez mis l'idée en tête, je ne vais que penser à ça, venez samedi 15 heures, je vous attendrai !


Pendant toute la soirée, les deux femmes se font draguer, des verges tendues se frottent contre leurs bassins, des mains baladeuses parcourent leurs formes. La pression des prédateurs se fait= de plus en plus pressante. Olga est la cible privilégiée, sa beauté naturelle attire les hommes comme des mouches le sont par un pot de miel. Elle sent contre son bassin le membre dur de son cavalier, qui ne cesse d'onduler du bassin. Le bougre est excité comme une puce, soudain le coquin s'enhardit, il prend la main d'Olga et la plaque contre sa queue raide. Machinalement, Olga la presse plusieurs fois avant de repousser l'assaut de l'homme qui prouve sa virilité. Justine, elle, a disparu avec son cavalier. Elle revient bien plus tard souriante, les cheveux ébouriffés. Elle reprend sa place près d'Olga et lui dit :

-Oh putain, je viens de me faire déglinguer comme une bête, mon Dieu comme j'ai joui, oh putain, je remettrai bien ça



Comme la lumière est faible, elle retrousse sa jupe, elle n'a plus de culotte, elle la tient dans sa main, elle la passe plusieurs fois sur sa chatte dégoulinante de sperme et dit est. Elle dit :

-Regarde dans qu'elle etat, il a mis ma chatte le bourrin, heureusement que je prends la pilule, il n'avait pas de capote le mec !


Elle prend la main d'Olga et la pose sur sa chatte gluante en disant/

-Il m'a cassé la chatte le type tellement il m'a bourré, oh putain touche, touche comme il m'a élargi !


Timidement, Olga caresse la vulve maltraitée, ses doigts dans la pénombre
glissent sur les grandes lèvres. Puis sans réfléchir plus que cela, elle introduit deux doigts dans la grotte brulante, Justine se cabre et dit :

- Oh la vache que tes doigts sont agiles ma chérie !

Olga réalisé, et retire ses doigts de l'antre brulant et rabat la jupe de son amie. Il est temps de rentrer. Durant toute la semaine, Olga pense à la proposition de la femme, plus le samedi approche, plus elle est fébrile.