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Pas si bête que ça

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 08/09/2023

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Thomas est un homme de trente ans, mais comme on dit pas très futé, en plus il a beaucoup de mal à s'exprimer. Il vit avec sa maman d'une soixantaine d'années, qui est sans ressources. Au travail, il est le souffre-douleur, il est sujet aux brimades de toutes sortes, on lui donne les pires besognes. Mais un jour, il est licencié pour une faute qu'il n'a pas commise. Depuis, il cherche un emploi, mais cela s'avère très difficile, car son manque de diplôme le pénalise lourdement. Mais un jour, la chance lui sourit. Un ami lui dit se rentre au manoir, il parait que là-bas, il cherche une personne à tout faire. Thomas, très habile de ses mains, ne rechigne pas à l'ouvrage. Il prend rendez-vous.


Le jour retenu, il se presente au manoir avec la boule au ventre, il est reçu par une servante, qui le fait patienter au salon. La maitresse de maison, Hortense, est une personne d'un certain âge, qui arrive longtemps après. Elle toise Thomas de haut en faisant la moue, directement, elle le tutoie. Elle le questionne sur plein de sujet qui mettent Thomas dans l'embarras. À la fin de l'interrogatoire, elle dit en le fusillant du regard :


-Tu sembles un peu débile, mais je ne cherche pas un intello, je cherche un homme qui sait tout faire, et qui soit disponible à chaque instant !


Thomas, un peu vexé, range son frein, car, il a besoin de travailler, il repond en béguant un peu :

-Je sais me servir de mes mains, madame !



Hortense lui dit :

-Bon, tu vas faire un essai d'un mois après, j'aviserai !



Hortense le demande de signer un engagement, qui parait être bien rémunéré. Thomas la remercie et le lendemain à la première heure, il est sur place. C'est un major d'homme qui lui dit ce qu'il a, à faire. Dès le premier jour, Thomas montre qu'il est un bon ouvrier. Cela fait maintenant un mois qu'il est là, Hortense le convoque dans son bureau. Elle le complimente sur le travaille qu'il execute, et lui signe un contrat de longue durée. Mais avant de se quitter, la femme lui propose de boire un verre, les deux discutent longuement, Bien que Thomas s'exprime avec difficulté, il repond à toutes les questions. La femme regarde intensément cet homme bourru, qui semble être une force de la nature Soudain la maitresse de maison lui demande :

-Tu as une femme dans ta vie ?



Thomas secoue négativement la tête, curieuse, elle lui demande en devenant autoritaire :

-Donc, tu vas aux putes, pour te soulager, salaud, avoue, que tu te branles aussi !


Thomas affirme qu'il se branle, et que de temps en temps une femme divorcée, a recourt, mais très rarement à ses services !



Hortense réplique :

-Ah pourquoi très rarement, qu'elle couche avec toi cette femme, aller raconte !




Un peu gêné, Thomas répond :

-Elle dit que j'ai un trop gros membre, et que je lui fait mal !



Hortense sursaute et dit comme si c'était un ordre :


-Fais voir ta bite !


Thomas hésite :

-Mais madame, je, je !




Hortense hausse le ton :

-Fais voir que je te demande !



Thomas s'incline, il baisse son pantalon et son slip. Hortense semble hypnotisée, par ce qu'elle, voit, c'est en béguant qu'elle dit enfin :


-Mon Dieu, quel engin, retire ton pantalon et ton slip et marche un peu pour voir !


Thomas s'exécute, sa verge qui balance, frappe ses cuisses, à chacun de ses pas. Hortense n'en croit pas ses yeux, même à mi-cuisses, la bite est énorme. Elle se laisse tomber sur le bord du bureau en ne quittant pas des yeux le manche qui semble sans vie. Elle lui dit en ravalant sa salive :


-Branle-toi, branle-toi !

Thomas saisit sa bite et commence un branlage dans il à le secret. À chaque descente de son poignet, il decalotte le gland. Hortense reste sans voix, elle regarde le gland qui ressemble au chapeau d'un champignon. À chaque coup de poignet, la queue se dresse et devient de plus en plus dure. Hortense grimace, elle serre les cuisses, sa chatte suinte de plus en plus. Elle retrousse sa robe, ôte rapidement sa culotte et se branle, le clito qui semble monstrueux. Thomas regarde la femme et lui dit :


-Je vais décharger madame, ça vient !




Hortense cri :

-Oui, gicle, gicle, sur la chatte, approche, approche, ne te retiens pas !


Thomas s'avance et est à dix centimètres de la chatte d'Hortense qui œuvre largement les cuisses. Plusieurs jets atteignent sans difficultés la chatte poilue, d'autres moins importantes souillent le ventre de la demandeuse, qui l'étale sur sa peau. Elle dit en continuant de se branler :


-Pour un mec débile, pas fute, fute, putain, tu décharges vachement salaud !


Vexé par les paroles outrageantes de sa patronne, Thomas, lui ouvre largement les cuisses et place sa bite sur la chatte gluante de sperme et lui enfonce d'un coup jusqu'aux couilles dans le ventre. Hortense pousse un hurlement inhumain, elle s'accroche à Thomas qui lui saisit les hanches et, sans culpabiliser, la pilonne comme un soudard. Hortense croit mourir tellement le pieu lui distend la chatte. Thomas redouble ses coups de bélier, il regarde Hortense dans les yeux, retire sa bite et dit :


C'est de la part du débile pas futé vieille salope :


Il replonge sa bite le plus profondément possible en poussant un han de bucheron. Le bougre recommence plusieurs fois ce mouvement dévastateur. À chaque enfoncement de son glaive, Hortense pousse un grognement terrible. Le pilonnage dure longtemps, la douleur que ressent Hortense peu à peu s'estampe, et laisse place à des gémissements de plaisirs. Elle s'aggripe à lui comme un rapace sur sa proie en répétant sans cesse :


-Oh putain, oh putain comment que tu me défonces salaud, vas-y encore vas-y, je n'ai jamais été aussi malmenée !




Thomas lui dit en rageant :

-Alors le débile a une bonne bite hein salope dis-le !




Hortense semble être sur une autre planète en dit entre deux souffles

- Oh putain, je découvre un autre monde, oh bourre-moi bien, oui, oui !


Thomas s'acharne sur elle en lui donnant des coups de reins violents. Hortense au bord du coma se cabre et explose comme jamais, elle ne l'a fait. Sa jouissance est inouïe, c'est une première pour elle. Thomas cherche maintenant sa propre jouissance, il accélére et en poussant un long râle rauque lui remplit le ventre de sa semence abondante. Hortense e regarde en tremblant et dit :


-Oh putain Thomas, tu m'as tué, dorénavant, tu vas loger au manoir, pas loin de ma chambre, tu m'as fait trop de bien, ta bite est à moi désormais !


Thomas la regarde, maintenant, c'est lui qui la toise et qui lui donne des ordres :


Si tu veux encore ma bite, tu devras être à ma botte, vieille salope, et faire tout ce que je te demanderais de faire sans rechigner !


Hortense, encore sous le choc de la monstrueuse jouissance, répond :


-Oui, oui, Thomas, tout ce que tu voudras, je le ferai, ta bite est à moi, à moi !


Thomas répond en souriant :


-Bon, comme tu deviens raisonnable, tu vas acheter toi-même et pas un de tes sbires, un œuf vibrant avec télécommande, et quelques godes de toutes tailles, salope, tu vas devenir une machine à jouir, une fois que je t'aurai bien travaillé les trous, tu auras ma bite aussi longtemps que tu pourras la supporter !


Hortense semble être sous l'emprise de Thomas, elle repond en croisant ses doigts en les serrant très fort :


-Oui, je vais être ta machine à jouir, tu m'ouvriras bien avec ta grosse bite, dès cet après-midi, je vais acheter tout ce que tu demandes mon étalon. Thomas répond :


-Oh pas si vite avant, suce-moi la bite vieille grognasse !


Hortense attrape la bite gluante qui laisse échapper quelques gouttes de sperme, sur le sol. Elle la branle un moment puis la décalotte, sa langue s'active sur le cèpe, maintenant Thomas est convaincu que sa patronne fera tout ce qu'il desir. Hortense lape les perles de sperme qui s'échappe du gland, et les avale sans se poser de questions. Elle ouvre la bouche le plus qu'elle peut, c'est en se déboitant presque la mâchoire qu'elle gobe le membre vivant. Thomas geint de bonheur, il saisit Hortense par les cheveux et lui fait faire un mouvement de va-et-vient. Le bougre lui baise la bouche, il enfonce sa bite le plus qu'il prut pour faire une gorge profonde à sa soumise. Malgré des hauts le cœur, Hortense subit ce qu'une bite normale ne lui a jamais fait subir jusqu'à présent. Thomas se raidit et envoie plusieurs jets de sperme dans la bouche d'Hortense qui manque d'étouffer. Thomas retire son manche de ma bouche et dit :

-Avale, vieille couenne, avale !

La bouche d'Hortense déborde de sperme, malgré, qu'elle pince les lèvres, un filet s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle deglutie et avale la totalité de la décharge. Elle ouvre la bouche toute grande pour faire voir qu'elle a tout avalée, et dit en souriant :


-Mon maitre est-il satisfait de sa soumise ?


Thomas se redresse, fier comme un coq et dit pour l'instant, je suis très satisfait de toi sale pute, car tu vas devenir ma pute, mais avant, je vais te baiser encore une fois, après, tu iras faire tes courses vieille pouffiasse !


Hortense ne se sent plus, elle dit :


-Oui, oui, baise encore ta pute, oui, je veux être ta pute, vas-y prends-moi, prends-moi !


Thomas la bascule sur le bureau et réinvestit sa chatte. Hortense grimace, une moue affreuse déforme son visage, la grosse bite de son amant, lui dilate douloureusement la chatte. Il lui faut un temps d'adaptation avant de prendre du plaisir. Thomas, toujours à la hauteur, besogne le ventre d'Hortense avec fougue, la coquine ne cesse de dire :


-Oh, c'est merveilleux, ta bite me fait un tel effet que je ne peux plus m'en passer, oh la vache, tu vas m'ouvrir en deux, baisse-moi longtemps mon Thomas chéri, déglingues ta vieille pute qui n'a jamais connue un tel plaisir, le major d'homme est loin de te réaliser mon chéri oui, oui tape fort dans ma chatte !


Thomas vient d'apprendre que la vieille se faisait baiser par son major d'homme, eh bien maintenant, il seront deux à sauter la patronne. Le ramonage intense fait defaillir Hortense qui se cabre en jouissant comme une malade. Thomas donne encore quelques estocades avant de deverser sa semence dans le ventre gourmant qui ne cesse defremir. Enfin il libere Hortense etb lui dit :

-Je suis fier de toi, tu supportes bien ma bite, les penetrations profondes ne te font pas peurs tu la merites ma queue, continue comme ça à etre gourmande et obeissante, bon aller vas chercher se que je t'ai demandé !











































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Commentaires du récit : Pas si bête que ça

Le 11/11/2023 - 02:03 par Bigben0308
Magnifique
Le 09/09/2023 - 23:10 par OlgaT
Excellent!
Le 09/09/2023 - 17:45 par valeriane
J'attends la suite avec impatience

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