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Pas si coincée du cul, que cela.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

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Linda vient d'acheter une nouvelle jupe et un magnifique corsage, elle se trémousse devant son mari, en lui disant :

-Comment que tu me trouves ?

Karl, ne la complimente jamais, au contraire il fait tout pour la vexer, et la rabaisser, il la regarde d'un air hautain et répond :

-Tu te fringues comme tu baises, c'est à dire MAL, d'ailleurs tu comptes plaire à qui avec ces frusques, tu ressembles à une pute !

Linda vient de recevoir un coup de poignard, elle ravale sa salive et serre les dents pour ne pas pleurer, mais elle lui dit avec des trémolos dans la voix :

-jamais un mot gentil, ni un compliment. Tu dis que je baise mal, à qui la faute, mais c'est toi mon professeur, je n'ai connue que toi !

Vexer Karl réplique en grinçant des dents :

-C'est que tu es une mauvaise élève, tu es trop coincée du cul !

Linda répond avec un sourire n'arquois :

-Je crois qu'il est préférable à la coincée du cul, de changer de professeur !

Piqué au vif, Karl sursaute et dit :

-Qui voudrait d'une femme, nulle au pieu !

Linda le regarde en se pinçant les lèvres, et lui répond :

-Là Karl, tu vas trop loin, un jour tu vas avoir la monnaie de ta pièce !

En éclatant de rire il réplique, sûr de lui :

-Oh je crois que je pourrais l'attendre longtemps ce jour là, je crois même qu'il serait bénit des dieux !

Les yeux de Linda s'emplissent de larmes, elle lui dit en rageant un peu :

-Tu cherches à me provoquer, eh bien mon salaud, je relève le défit, et tant pis pour les conséquences !

Elle décide de mettre sa menace à exécution, pour rabaisser le caquet à son mari et l'humilier comme lui le fait avec elle. Elle invite à déjeuner un couple d'amis beaucoup plus âgé qu'elle, Lorraine et Charles. Elle malgré son âge a de beaux restes, un ventre plat, ses seins semblent encore ferme, lui aux tempes grisonnantes a un charme fou. Ils se connaissent depuis de nombreuses années, sont très intimes, ils se disent pratiquement tout.

Le diner bien arrosé, se passe très bien, Lorraine adore de temps en temps faire des excès. Pour se donner du courage, Linda aussi a fait un abus de boisson. Le repas se termine, ils passent au salon pour le digestif et le café. C'est le moment que choisit Linda un peu grisée, elle dit :

- Karl dit que je suis coincée du cul, donc j'ai décidée de lui prouver le contraire en baisant avec vous !

Le couple sursaute de surprise, Lorraine est la première à répondre :

-Tu veux vraiment que nous fassions l'amour avec toi, eh bien moi je suis pour, et toi Charles mon chéri !

C'est en déglutissant qu'il répond en regardant à tour de rôle ses amis :

-Comment refuser une telle invitation, bien sûr que j'accepte !

Lorraine très demandeuse, est très portée sur le sexe. Souvent, elle son raconte ses exploits sexuels, qui ne sont pas piqués de hannetons, car à chaque narration, Linda mouille comme une fontaine. Mais aujourd'hui, les deux vont faire profiter de leur savoir faire à Linda.

Lorraine dit en souriant :

-Nous allons bien te la dégraisser ta femme Karl, après, tu ne l'as reconnaitras plus !

Karl fait une moue dubitative, il n'est pas sur du résultat que lui promet Lorraine.

habilement elle s'effeuille, ondule du bassin en faisant tomber sur le sol ses vêtements un à un. Linda regarde le corps de son amie avec intérêt, ses petits seins ornés de gros mamelons l'impressionnent. Sa toison cerne de grosses lèvres, qui pendent surement à cause d'avoir été trop malmenées. Elle est surprise, par le clito volumineux de nature, qui surplombe la fente. Vicieusement, Lorraine tourne que elle même, et se penche, pour exhiber ce qui se cache au fond du large sillon culier, un anus très boursouflé, qui ne demande qu'à être défoncé.

Karl dit en faisant une moue :

-Oh putain, il a dû en connaitre des bites, ton trou du cul Lorraine !


En souriant elle répond avec une pointe d'humour :

-Oh il n'a pas à ce plaindre, il a à chaque fois sa dose le cochon il adore avaler les bites !

Charles ôtes aussi ses frusques, sa verge au repos lui arrive presque à mi-cuisses. Linda ravale sa salive en contemplant l'objet qui balance à chacun des pas de son ami. Lorraine voit l'inquiétude de Linda, en riant elle la rassure :

-N'ai crainte ma chérie, avec lui ce n'est que du bonheur, il sais se servir de son truc mon Charles !

Lorraine trouve que Linda met beaucoup de temps pour se dévêtir, elle vient l'aider. Elle fait glisser le zip de la jupe, et la fait descendre jusque sur ses chevilles. D'un geste souple, Linda donne un coup de pied dans le vêtement pour libérer ses chevilles. lentement, Lorraine déboutonne le chemisier. Et en le dégageant des épaules, le fait tomber au sol. Puis d'un geste habile, dégrafe le soutien-gorge. Les seins généreux jaillissent comme deux ogives, et tombent lourdement sur le torse.

Lorraine ne peut s'empêcher de la palper, les soupeser et les pétrir un moment. Avant de s'accrocher à la culotte. Lentement elle la fait glisser sur les longues jambes de son amie, elle se penche en même temps que la culotte descend. Mais lorsqu'elle découvre la vulve, elle donne un gros baiser dessus, ce qui fait cabrer Linda. Elle la hume longuement, ses yeux pétillent, elle dit :

-Comme elle sent bon ta chatte ma chérie, cela va être un plaisir pour moi, de la dévorer !

Linda ne connait pas les plaisirs lesbiens, elle appréhende un peu. Lorraine mène l'ébat, elle bascule Linda sur le canapé, et commence à lui malaxer les seins, elle les périt en faisant grimacer sa complice soumise. Elle roule les mamelons entres ses longs doigts noueux, en femme maitresse, elle les étire en cherchant à faire gémir sa proie.
La vieille coquine vicieuse, lui écrase fortement les mamelons, en ne quittant pas des yeux Linda, elle sourit lorsque que sa supplicier grimace de douleur.

Enfin elle aspire goulument les mamelons l'un après l'autre, et les suce voracement. Cette action fait cabrer Linda, qui pousse un profond soupir. Les succions sont volontairement féroces. C'est la premier fois qu'elle gémit dans les bras d'une femme, elle trouve cela très agréable, d'ailleurs ses petits gémissements le prouvent. Karl regarde sa femme en fronçant le sourcils, il dit :

-Charles regarde somme ma salope se donne sans honte, à la bouche vorace de ta femme !

Charles répond en souriant :

-D'après ce que j'ai compris, tu l'as cherché non, maintenant supportes en les conséquences, tu verras comme je vais bien la déglinguer ta femme mon cochon, que tu vas en être malade de jalousie !

Lorraine, s'active sur les mamelons. Linda n'a jamais ressentit autant de plaisir. Elle repousse son amie pour lui rendre le même plaisir. Ses mains malhabiles caressent, avec douceur les petits seins en forme d'œufs sur le plat. Lorraine bombe le torse pour mieux s'offrir. En tremblant, Linda lui saisit les énormes mamelons, et comme lui a fait précédemment Lorraine, elle lui fait subir les mêmes attouchements, avec la même violence sinon plus.

Lorraine souffle fortement les doigts de son amie lui écrasent les bouts avec une telle brutalité, qu'elle se cabre en grognant :

-Oh putain comme c'est bon, continue ma chérie, oh la vache comme tu apprends vite !

La bouche de Linda prend le relais, les aspirations et les succions successives sur les mamelons, font geindre son amie de plaisir. Les bouts deviennent durs et encore plus épais. Pendant qu'elle suce, Lorraine lui caresse les cheveux, en gémissant. La vieille prend tellement de plaisir que sa chatte laisse échapper un filet continu de cyprine. la bouche de Linda s'enhardît, elle devient plus audacieuse. Sa main précède sa bouche, elle glisse sur le torse, caresse le ventre plat. La bouche prend le relais, elle embrasse chaque parcelle de peau qui se trouve à portée.


La langue glisse sur le nombril, le lèche avant de tenter de le pénétrer. Lorraine se cabre et geignant :

-Oh ma chérie, ma chérie, ne sois pas si impatiente, laisse-moi moi faire d'abord !

Linda se redresse, Lorraine l'enlace et cherche ses lèvres. Linda a un geste de défense, elle se cabre. Mais elle se ravise, et accepte le baiser qui s'avère fougueux. Les langues se nouent comme deux serpents qui cherchent à s'accoupler. Un important échange de salive se fait. le baiser dure un long moment, sous les yeux ébahis des deux hommes. La verge de Charles commence à être opérationnelle, il la caresse sans perdre de vue les deux amantes.

Karl a le pantalon déformé par une énorme bosse. Il passe plusieurs fois sa main dessus en marmonnant :

- Charles, ma salope se donne plus à Lorraine qu'à moi, elle doit aimer les femmes plus que les hommes cette pute je crois !

Charles éclate de rire et répond :

-Tu es jaloux parce que Lorraine sait comment si prendre avec elle, hein mon salaud avoue, je remarque que ta pute comme tu l'appelles, apprend très vite, je suis certain que l'on peut tirer d'elle, quelque chose de positif, j'ai hâte de la défoncer !

Karl hausse les épaules, sa bite emprisonnée dans son carcan de tissu devient douloureuse, il grimace, puis n'y tenant plus, il l'extirpe de son pantalon. Il l'attrape brutalement et l'agite vigoureusement en grognant.

Les bouches se séparent, les yeux de Linda brillent de mille feux. la bouche de son amie, se met à lui parcourir le corps, en lui donnant une multitude de baiser bruyants. Sa langue habile fouille le nombril un instant, et reprend la descente vers le puits d'amour. Automatiquement Linda écarte les jambes. La langue râpeuse passe plusieurs fois sur la fente très humide, qui ne peut plus retenir son jus.

Habilement, Lorraine insère sa langue entre es grandes lèvres, et part à la recherche de la boule magique. La coquine l'enroule sur la protubérance que les grandes lèvres ne peuvent cacher. Les nombreux glissements de la langue râpeuse, sur le clito font geindre faiblement Linda qui se mord la main pour ne pas hurler son plaisir. Plus les minutes passent plus la tension monte dans son corps.

Soudain la langue s'enfonce profondément dans la vulve en ébullition, et la fouille férocement. C'est plus que ne peut supporter Linda, elle se cabre en poussant un long râle et explose, sa jouissance et terrible. Karl n'en revient pas jamais, elle n'a jouit comme cela avec lui. Il envoie sur le sol une giclée de sperme en grimaçant. Charles applaudit de la performance jouissive de Linda.

Lorraine se redresse et invite son amie à la faire jouir à son tour. Comme un automate, Linda se jette sur la chatte suintante de Lorraine, elle aspire le clito hyper gonflé et le suce avec une rare violence. Lorraine défaille, elle grommèle :

-Oh ma chérie, oui, oui, bouffe-moi , mon Dieu je vais jouir oui, oui !

Lorraine se cabre en poussant un grognement terrible sa jouissance, n'est pas simulée, un flot de cyprine est expulsé de sa chatte en feu. elle continue de clamer :

-Oui, oh putain que c'est bon, bouffe-moi le cul maintenant ma chérie, dévore-moi !

Linda est comme déchainée, elle plaque avec force sa bouche sur l'anus de son amie, aspire fortement le muscle affreusement boursouflé, elle réussit à le faire ressortir de trois centimètre. Et son relâcher la succion, le retient prisonnier entre ses lèvres. Lorraine n'en revient pas que c'est possible de faire une chose pareille. Elle se cambre le plus possible, en gémissant. Linda relâche la pression, elle est résolue à faire exploser son amie, pour prouver à son mari qu'elle n'est pas une coincée du cul. Elle appuie sa langue sur l'anus qui cède, et l'enfonce le plus loin possible dans la gaine, qui ne demande qu'à jouir.

Comme une pro, Linda fouille l'anus, il est vrai qu'il est accessible, il a été tellement de fois distendu par de grosses bites, qu'il s'ouvre facilement. Karl serre les dents, sa bite est secouée de spasmes violents, il voit Lorraine agiter sa croupe, en grognant comme un animal en rut. Il sursaute lorsqu'elle pousse un cri presque inhumain. Linda vient de lui donner une jouissance anale exceptionnelle.

Enfin à bout de souffle, Linda délaisse Lorraine. Charles s'avance, sa queue impressionnante oscille sur son bas-ventre, il regarde avec envie Linda, qui en voyant la manche large et épais, écarquille les yeux avec un soupçon de stresse.
Il le frotte quelques secondes sur ses lèvres, en l'incitant :

-Suce ma chérie, suce, montre à ton mari qui tu es une bonne suceuse !

Linda saisit la verge, et lentement la décalotte. Lorsque qu'elle découvre le gland elle défaille, l'engin est monstrueux. Charles insiste :

-Suce ma chérie, suce !

Timidement elle commence a donner quelques coups de langue bien ajustées, sur le chapeau de chair qui déborde de la hampe, pourtant épaisse. Sa langue fait plusieurs fois le tour du gland, titille le frein, lape les perles de rosée, qui s'échappent du méat ouvert.
Elle ouvre fortement la bouche et c'est en se déboitant presque les mâchoires, qu'elle réussit péniblement de gober le monstrueux engin.


Linda s'évertue à sucer le gland, du mieux qu'elle peut, ses mâchoires deviennent tellement douloureuses, qu'elle doit le recracher. Mais en contre partie, elle se met à branler la bite avec comme une espèces de rage. Sa main à chaque descente décalotte totalement le gland violacé. Charles geint de bonheur, de temps en temps, elle donne des coups de langue sur le gland qui ne cesse de perler. Il dit :

-Oh oui, tu es très douée ma chérie, lèche bien mon sceptre, je sens que je vais décharger, ouvre bien la bouche pour recevoir ta récompense ma chérie oh putain ça vient !

Une puissante giclée, suivit de deux autres moins fortes, jaillissent de la verge. Linda en reçoit une partie dans la bouche et une autre sur le visage. Elle branle énergiquement la hampe, pour bien la vider de la semence qui s'y cache encore. Elle avale sans rechigner la semence si généreusement offerte. Il bascule doucement Linda sur le sol, machinalement, elle ouvre les jambes. Il lui lèche le sperme qui recouvre son visage, puis présente sa verge devant le temple. Il la frotte sur les grandes lèvres très humides, et pousse.


Le monstre écrase les grandes, qui ne peuvent que laisser le passage au mandrin volumineux. Lentement le membre puissant s'enfonce dans la vulve, en faisant grimacer Linda. Bien que distendue, la chatte accepte l'engin qui s'enfonce profondément en elle. Elle s'accroche à son amant, en soufflant comme un dragon. Charles commence le va-et-vient. Le gland large, qui racle fortement les parois de la gaine vaginale, garnie de muqueuses sensibles fait geindre la soumise.

la bite de Charles est prise dans un étau de chair, le vagin presse fortement l'intrus en tentant de le retenir prisonnier. Pour Charles, ce n'est que du bonheur. Il fait coulisser sa queue dans le ventre de Linda qui couine de plaisir. Les assauts deviennent de plus en plus violents, les gémissements de Linda son très bruyants, elle agite son bassin en grognant de plaisir. Une jouissance la fait hurler, elle grince des dents tellement c'est violent.

Charles en se cramponnant à elle, roule sur le sol, il fait passer Linda sur lui e lui dit :

-Vas-y ma chérie, montre à ton mari que tu sais baiser !

Elle s'agite sur le pieu qui l'empale, son corps monte et descend sur l'énormité, qui lui fore le ventre. Elle geint comme une bête blessée. Karl regarde sa femme s'agiter, il serre les dents, en la voyant prendre son pied. Charles la conseille :

-Vas un peu plus vite la chérie, cherche ta jouissance, vas-y, vas-y, agite toi plus fort !

Linda se contorsionne comme une danseuse orientale, Charles en gémissant dit :

-Oui, oui, comme ça ma chérie, oui, oui, c'est ça continue, oh comme tu t'y prends bien, encore, encore !

Linda semble survoltée, elle se désaccouple, et se laisse retomber sur la bite en s'empalant jusqu'aux couilles. La coquine recommence ce mouvement plusieurs, à chaque fois elle pousse un long râle. Karl est émerveillé, il bascule Lorraine et la prend par le cul. Elle qui adore la sodomie, rapidement geint de plaisir en agitant sa croupe.

Charles à, chaque descente du corps de son amant sur son engin, lui tire sur les hanches. Les fesses de Linda frappent violement les couilles velues remplit de sperme. Une seconde jouissance fait hurler Linda. Charles donne des coups de boutoir terrible, a chaque coup, il soulève Linda qui ne cesse de gémir. Enfin, il se cambre, se bloque et remplit le ventre de son amante avec sa semence visqueuse. Linda se laisse tomber sur le torse de Charles, les deux halètent, en restant soudés l'un à l'autre.

Lorraine a déjà jouit deux fois sous les assauts incessants de Karl. Il tourne la tête vers le couples enlacé sur le sol. Il délaisse Lorraine et s'approche des deux amants. Il se place derrière sa femme et place contre son anus sa verge gorgée de sang. Il pousse un rugissement sort de la bouche de Linda, qui reçoit pour la première fois de sa vie, une bite dans le cul. Prise par les deux trous en même temps, c'est une nouveauté pour elle. Courageusement elle subit sa première double pénétration et aussi sa première sodomie.

Elle grimace, sans refuser les assauts, elle veut montrer à son mari qu'elle est une bonne baiseuse et non une coincée du cul comme il le prétend. Bien que la douleur la soit présente, elle subit l'enculage avec courage. Elle à l'impression que les deux bites sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare et fine. Charles l'encourage :

-Oui ma chérie agite toi doucement, savoure cet instant de bonheur, surmonte la douleur. Tu vas avoir une jouissance extraordinaire, donne-toi bien, ouvre-toi le plus que tu peux ma chérie !

La double pénétration est fabuleuse, Linda jouit comme jamais elle ne l'a fait. les deux hommes ne la ménagent pas, ils la défoncent rageusement, jusqu'à ce qu'elle jouisse une nouvelle fois. Les estocades sont brutales, les gémissements des trois amants sont inhumains. Les deux baiseurs finissent par lui remplir les entrailles de leur semence. Linda est épuisée par les nombreuses jouissances successives. Lorraine qui restée sur sa faim, se masturbe férocement en regardant le trio se défoncer. Une jouissance très bruyante la fait cabrer.























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Histoire de valeriane

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