ACCUEIL > Divers > Récit : Passage de la Madeleine

Passage de la Madeleine

+14

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/06/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

PASSAGE DE LA MADELEINE
C'est parce qu'on avait envie d'un endroit tranquille pour se donner l'un à l'autre qu'on a découvert le passage de la Madeleine.
Il faut que je vous donne tout le contexte pour que vous compreniez bien.
A l'époque j'étais sorti du système scolaire, que je ne supportais plus, mais je me suis rendu compte au bout d'un moment, que je voulais avoir un travail, et gagner de l'argent pour subvenir à mes besoins. Pour ça, il me fallait un diplôme. J'ai décidé de devenir comptable. J'avais toujours aimé les chiffres.
J'ai intégré un organisme de formation un peu spécial. Une enfilade de bureaux dans une bâtisse rénovée qui proposait un projet qui me concernait au premier abord : prendre en charge une trentaine de personnes qui, jeunes adultes, avaient décroché, et les mener à un diplôme.
C'est comme ça qu'on s'est retrouvés tous ensemble, pour une période de huit mois. Venus d'horizons divers, entre 20 et 25 ans, et avec l'espoir de s'engager dans une formation et de casser la fatalité.
Et j'ai fait connaissance de Maéva. Une petite brune avec un immense sourire et une sensualité qui ne l'était pas moins. Dire ce qui s'est passé entre nous...Un intérêt mutuel qui s'est transformé en une attraction qui s'est affirmée au fil des jours. Jusqu'à ce moment où je lui ai dit:
— J'ai envie de faire l'amour avec toi.
— Viens, on a une heure, il faut en profiter maintenant.
On avait effectivement une pause entre deux cours.
— Mais tu veux aller où ?
— Viens avec moi.
Et c'est comme ça que j'ai fait la connaissance de ce fameux passage.
Je n'avais jamais connu ça dans une autre ville. Il s'agissait d'un passage dans un immeuble qui permettait, sans faire le tour, de passer d'une grande place à une rue. Un passage relativement long. Qui avait, d'un côté et de l'autre, une multitude de fenêtres. Ce pouvait être des commerces, ouverts ou fermés, mais aussi des entrées d'immeuble, d'appartements, en escaliers ou couloirs.
J'ai compris très rapidement pourquoi elle m'avait emmené là. Dans un local vide, comment avaient-ils obtenu la clef je n'en savais rien, un jeune couple faisait l'amour. La fille était appuyée contre le mur, sa robe roulée à sa taille, le cul tendu et offert à un garçon qui la fouillait, allant et venant en elle. Le visage de la fille, son regard, disaient son plaisir.
Le local était en partie dans l'ombre, d'une ombre qui zébrait les yeux, et les visages. Ils étaient pourtant parfaitement visibles. Mais je me suis rendu compte, dans les minutes qui ont suivi, que, si aiguillonné par la curiosité, je laissais mon regard traîner partout, ce n'était pas le cas de ceux qui passaient, et qui avaient la tête dans leurs pensées, leurs préoccupations, leurs soucis. C'était la meilleure cape d'invisibilité, et cela permettait aux couples qui s'accouplaient une tranquillité certes toute relative.
Un peu plus loin, dans un couloir qui partait sur la droite, deux jeunes hommes masturbaient mutuellement des queues dilatées. Et encore plus loin, sur des marches, une blonde très fine, jupe retroussée et slip aux chevilles, tournée vers nous, était tenue par deux mains masculines qui la faisaient monter et descendre sur une queue sur laquelle elle était empalée.
— Comment tu connais cet endroit ?, j'ai demandé à Maéva.
— Réseaux sociaux. C'est le rendez-vous des couples de la ville qui souhaitent se retrouver sans attaches et pousser plus loin une attirance.
— Et tu?
Elle a rougi.
--Non, jamais avec un partenaire. Tu es le premier. Mais j'avais envie depuis très longtemps...Je viens souvent ici...Je suis une grosse voyeuse. J'aime regarder des couples faire l'amour. Souvent je me mets dans un angle où je vois plusieurs partenaires et je me caresse en les regardant. Ca m'excite trop. Je n'arrive pas à épuiser cette excitation. Il y a toujours des couples nouveaux, d'autres qui reviennent...Et toujours des situations, des positions différentes...Je m'étais jurée que si je trouvais un gars...Je viendrais ici...Et tu vois...
Elle m'a entraînée un peu plus loin. Une vitrine. Ce qui était un commerce, vide pour le moment. Un grand local, avec une arrière boutique, séparée de la salle première par du verre dépoli, mais avec une ouverture étroite, de la taille d'une porte, entre les deux.
Elle a tiré une clef de son sac. D'où elle la sortait? Je n'en savais rien. J'ai appris plus tard qu'il y avait un système pour récupérer des clefs, copies d'originaux faites je ne sais comment.
La clef fonctionnait et on s'est retrouvés à l'intérieur. Elle m'a entraîné à l'arrière. Il y avait effectivement une grande arrière-salle et il y restait du matériel laissé là par l'ancien locataire des lieux. Table basse, étagère, chaises, un fauteuil même...
— Viens, j'ai trop envie...
Elle était frémissante de désir...Mais je ne valais pas mieux. Maéva était hyper attirante. Elle avait une sensualité naturelle qui laissait penser à une sexualité explosive. Elle m'a donné la preuve dans les minutes qui ont suivi que c'était bien le cas.
Elle était aussi totalement exhib. D'ailleurs, dès qu'on était rentré dans du flirt, après pas mal de discussions, des moments ensemble, et le tournant quand elle m'avait offert sa bouche et qu'on avait passé une soirée à s'embrasser, c'était qu'elle s'exhibait pour moi et rien que pour moi. Un coin désert, un angle dans lequel d'autres ne nous voyaient pas et c'était parti. Elle sortait un sein et me le montrait, écartait les jambes pour me donner à voir une petite culotte ou une absence de petite culotte.
Il y avait un de ces grands fauteuils de bureau dans la pièce. De la profondeur, un dossier très haut, et des roulettes. Elle s'est laissée tomber dedans, et elle a immédiatement passé ses jambes par dessus les accoudoirs, en même temps qu'elle remontait le tissu d'une jupe plissée très courte, déjà partie bien haut alors qu'elle se laissait glisser sur le cuir qui retenait le dit tissu.
Elle savait me surprendre régulièrement, et ça a été le cas encore une fois. Pour une raison très simple, dessous elle avait un collant, mais un collant spécial.
Il laissait ses parties intimes à nu, un ovale délimitait ce qu'une femme n'offre qu'à son amant.
J'avais déjà vu des porn stars habillées pareillement, moi qui était un grand fan de porno.
— Regarde bien, elle m'a dit.
J'aurais de toute façon été bien incapable de porter mon regard ailleurs. Non seulement son sexe était déjà bien dilaté d'excitation, mais, le plaisir de me mater, de voir mes réactions, de sentir qu'elle me troublait, a fait que sous mes yeux, la dilatation s'est poursuivie et même accentuée. Ses lèvres ont gonflé, se sont allongées et épaissies, j'ai vu son gland clitoridien se décalotter et sortir, et son sexe s'ouvrir suffisamment pour que j'en voie l'intérieur. Elle a suivi son inspiration, continuant sur la même lancée, mais avec une audace supplémentaire, et en semant encore plus le trouble en moi. Elle a inséré ses deux index dans sa vulve, et elle s'est ouverte autant qu'elle le pouvait. Ca m'a donné une bonne vision de son intérieur, dont je pouvais distinguer une bonne partie. Des parois toutes roses, et tout au fond, son utérus, fermé.
Elle m'a laissé tout le temps d'en profiter, restant ouverte, doigts plantés en elle et écartés. Je crois que j'aurais pu rester comme ça des heures. Une forme d'hypnose. Qu'elle a brisé en me disant:
— Je te montre ma chatte, en retour, je veux que tu me montres ta queue.
Une sorte de prix à payer. Mais ça ne m'a pas dérangé, au contraire. Je voulais voir surtout comme elle réagissait. Je me suis défait et exhibé.
On n'avait pas encore eu de rapports sexuels, on n'était pas non plus rentrés dans un flirt poussé. Bien sûr, elle m'avait déjà senti ma queue dure contre elle. Mais c'était la première fois qu'elle voyait ma queue. Et j'avais déjà une belle érection.
— Ben dis donc, elle est belle.
Sa fascination égalait la mienne.
— Je veux que tu te caresses devant moi. Et moi je vais faire pareil. Interdiction de t'approcher de moi.
C'était un paradigme intéressant, comme elle seule pouvait m'en proposer.
On a eu, c'était peut-être une bonne manière de commencer, de se caler sur la même longueur d'ondes, un même geste quasiment au même moment. Elle a amené sa main contre ses lèvres de son sexe en même temps que je venais envelopper ma queue. Je me caressais souvent, quand j'avais envie de sexe, envie de jouir, même si j'étais seul, mais c'était sans doute la première fois que je me caressais sous le regard voyeur et avide d'une fille, et ça changeait la donne. C'était sacrément excitant, et ce qui rendait la chose encore plus troublante, c'était qu'elle se livrait au même exercice au même moment, dans un échange qui signifiait aussi un abandon.
Et elle a bien joué le jeu. Dès les premières secondes. Ses doigts sur ses lèvres gorgées de sang, bien longues, bien épaisses, elle s'est mise à se caresser, son regard planté dans le mien, dans un mouvement circulaire, qui m'a mis dans tous mes états...Ce n'était pas un mouvement léger, au contraire elle se donnait à fond, en voulant à la fois prendre du plaisir et me troubler. D'ailleurs, son corps ne mentait pas, car son sexe, sous l'effet de la caresse, et de son excitation s'est radicalement transformé. Gonflant, se dilatant. Son gland clitoridien s'est allongé et épaissi. Mais le signe le plus évident de son excitation, ça a été la manière dont ses jus intimes se sont mis à couler. Ce qui n'était qu'un ruissellement est devenu une cascade.
Je caressais ma queue très doucement. C'était vrai que quand j'étais seul et que je me masturbais, je variais les rythmes, mais il y avait aussi le fait que je ne voulais pas jouir tout de suite. J'avais le sentiment que c'était un prélude et que, dans les minutes qui viendraient, on basculerait sur autre chose. C'était une mise en bouche, histoire de faire monter l'envie et l'excitation.
Je sentais ma verge se dilater dans ma paume de ma main. J'ai jeté un coup d' oeil sur ma queue. Je crois bien que j'avais été rarement aussi gros. Mais sans doute que j'avais rarement trouvé aussi la partenaire avec qui m'accorder. Maeva avait le sens de l'humour, elle était facile à vivre, mais elle aimait aussi énormément le sexe. Je l'avais senti immédiatement, et je ne pensais pas me tromper.
Comme pour aller dans ce sens, elle m'a dit :
— Prends tes couilles dans la main et caresse-les.
Ce que je ne faisais jamais. J'ai obéi, et j'ai trouvé que c'était un parfait complément. En tout cas, ça a été un complément au plaisir que je ressentais en faisant aller et venir ma main sur ma queue, désormais très dilatée.
Dans une volonté d'équilibre, pour me troubler aussi bien sûr, elle a amené sa main libre sur son gland clitoridien, et elle s'est mise à le frotter. Il avait une belle dimension, que je n'aurais pas soupçonnée, et, vu sa taille, elle a esquissé un mouvement qui était le même que celui que j'avais adopté. Elle le branlait comme elle aurait branlé une queue.
Je me suis dit que je ne risquais pas d'oublier ce moment. En espérant déjà qu'il y en aurait plein d'autres. Manon me semblait une partenaire exceptionnelle, avec qui je pourrais connaître des moments eux aussi exceptionnels.
— J'en peux plus...Approche-toi. J'ai envie que tu rentres dans mon ventre. Et que tu me caresses à l'intérieur. Aussi longtemps que possible. Tu te sens capable de faire ça ?
Elle avait son sac à portée. Elle a tendu la main pour y récupérer un préservatif.
— Viens...Je vais le mettre sur ta queue.
Elle a déchiré l'emballage, a attrapé la rondelle de latex luisante de sécrétions, l'a posée sur mon gland, et a fait glisser le plastique jusqu'à la racine de ma queue d'un mouvement qui a aussi été une caresse.
Le ventre en avant, elle était vraiment offerte et je n'ai pas résisté...J'ai glissé en elle, dans ce sexe chaud, dilaté d'excitation, et je me suis mis à bouger en elle, saisi par un plaisir qu'on partageait. Elle était en plein trip, yeux clos, gémissant, liquide autour de moi, trempant ma queue et le fauteuil.
— Ahhh, elle a gueulé. Je vais jouir. Oh putain!!!
Pour jouir, ça elle a joui, le corps secoué de spasmes, criant sans retenue, en espérant que les cris ne s'entendaient pas trop dans le passage, on était dans un local clos, mais je n'étais pas convaincu...et elle a éjaculé, nous mouillant tous les deux...
Elle a aligné plusieurs orgasmes...Entre deux, elle m'a crié:
— Retiens-toi...Je veux que tu jouisses dans ma bouche...Je veux boire ton sperme jusqu'à la dernière goutte...
Je l'ai fouillée encore, avant qu'elle ne me sorte de sa chatte...
— J'en peux plus...Viens...Dans ma bouche...
Son sexe, à force d'avoir été fouillé, était béant maintenant. Mais c'est bien sa bouche qu'elle m'a offert, se redressant et m'enlevant le préservatif, pour venir lécher ma queue de la langue, avec envie et gourmandise. La chaleur est montée dans mon ventre et j'ai compris que j'allais jouir. Elle a bien resserré sa bouche autour de moi, et toute ma semence est partie dans son gosier. Après que j'aie craché mon sperme à grands traits, elle a gardé ma queue dans sa cavité buccale, léchant les ultimes suppurements qui coulaient de mon méat, pour ne rien perdre.
C'est pendant qu'on se rajustait que je lui ai dit:
— Je reviendrais bien ici avec toi...
— Moi aussi...Mais on pourrait aller aussi chez toi ou chez moi...
Avec la promesse d'autres ébats, et peut-être d'un peu plus, j'ai traversé avec elle cet îlot isolé du reste de la ville qu'était le passage. Comme pour nous rappeler à quoi il était utilisé, mais aussi ce qui s'était passé entre nous, on a encore aperçu des couples qui faisaient l'amour en utilisant toutes les ressources du lieu.
On avait cours dans 25 minutes.
14 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Passage de la Madeleine


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :