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Présentation de mon épouse (Soizic)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/08/2024

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Présentation de mon épouse (Soizic)

Une petite nana qui travaille dans un service comptable, dans la mairie de la commune. Je l’appelle (Soizic) de 1 mètre 65, 90 D, 95 de hanche 75 de tour de taille, chevelure brune, belle toison bien entretenue au niveau du pubis. Fervente du sens slip et des bas avec portes jarretelles, le tout avec des minijupes et soutien-gorge balconnet, fois mariée bien sûr, car avec maman habilement hyper stricte. Toujours très joviale, impudique et allumeuse, pour mon plaisir je le reconnais
Je rencontre cette créature, enfin, c’est plutôt elle qui vient au-devant de moi. Je ne suis pas assez ou trop entreprenante avec les nanas à l’époque, puisque j’ai à la maison de quoi me calmer, il n’y a pas de problème. On se rencontre donc quelque temps avant que je parte à l’armée. Elle accepte tout de suite les mains baladeuses, au cinéma ou dans les escaliers de son immeuble quand je la raccompagne chez sa mère, contrairement aux deux autres filles avec lesquelles j’ai flirté avant. Mis à part Kaïna, une superbe noire comme l’ébène, cousine d’un copain.
Deux ou trois baises, mais pas facile puisque maman travaille chez elle (couturière) et une maman très rétro, quoi « rien avant le mariage ».
Bien sûr, des fiançailles un mois avant d’être incorporé, il faut respecter la tradition.
On s’explique donc sur ce que l’on souhaite vivre en tant que couple, puis sur nos tendances sexuelles. La miss n’est plus vierge, étrange, alors il est bon de savoir.
Moi, je lui explique mon éducation sexuelle et avec qui, puis mes rapports très fusionnels avec une fille qui est peut-être ma demi-sœur, puisqu'aucune certitude.
Elle m’explique la perte de sa virginité avec un de ses oncles qui la dépucelle, jeune, en employant le chantage. Il l’utilise jusqu’au moment où, suite au décès de son père, elle est émancipée pour hériter des biens qui devaient revenir à ce monsieur. Elle me dit que ces rapports l’ont rendue un peu accro au sexe, loin de l’avoir traumatisée, puis surtout la baise, car il n’a fait que la baiser, pas le temps pour vraiment faire l’amour, toujours à la sauvette.
Enfin je suis libéré totalement de l’armée, je la présente donc à mes copains de toujours, puis à mes relations du club de judo, puisqu’elle vient me chercher après mes entraînements. Relations qu’elle ne manque pas d’allumer avec son comportement nature et impudique, malgré un habillement très strict. Celui avec qui je m’entraîne particulièrement, un black (Kamal), bande comme un fou à chaque fois.
Je la présente à ma frangine (Valérie) qui me dit la connaître de vue, elles ont habité le même quartier avant de déménager. Puis ma nana part comme cuisinière pour les colonies de vacances de la ville en juillet et août.
Déjà en manque de rapport, puisque militaire, je me suis soulagé avec d’autres belles créatures.
Ma minette, à son retour, m’explique qu’elle a plein de fantasmes et qu’elle a envie de jeux sexuels. Elle me dit que pour elle, le sexe n’est qu’un plaisir à prendre, qu’elle ne le relie pas aux sentiments. Elle souhaite pouvoir en réaliser certains, donc qu’il faudra soit que je la partage, soit que je la laisse se divertir sans moi.
Sacré dilemme, ces révélations quelques jours avant de se marier. Discours qui est peut-être dû à la lecture de quelques livres érotiques que je lui ai prêtés et qu’elle a emmenés pendant ces deux mois d’absence. Livres que j’ai empruntés chez le bouquiniste. Quelques jours après, j’accepte de la suivre dans ses plaisirs qui sont sûrement les mêmes que les miens, je pense.
On a donc eu encore quelques relations furtives puisqu’à l’époque, pas le moyen de faire autrement. Je continue à me satisfaire avec « Arlette » et si pas disponible, je vois avec « Valérie » qui m’a offert ce service et qui est enceinte de 2 mois, elle travaille chez elle comme Masseuse Kinésithérapeute donc plus facilement disponible.
On se marie en octobre, rien de spectaculaire avec une famille très rétro, un mariage très simple, nuit de noce très courte donc deux ou trois rapports sexuels. Rien d’extraordinaire, mis à part ses tremblements orgasmiques presque épileptiques tellement violents et ce feulement de bêtes, ma minette a des jouissances prématurées. Pendant nos rapports, elle me révèle ses fantasmes, ses envies de jouer les soumises, de bondages, de baises furtives avec des inconnus, et aussi dans la nature et qu’elle souhaite que ce soit moi qui lui offre ces réalisations.
En mai, pendant des ponts, on fait enfin notre voyage de noces, direction un hôtel ancien d’Amsterdam proche du quartier rouge. Bien sûr ce choix n’est pas un hasard puisque pays à la sexualité libre surtout dans ce quartier, plusieurs théâtres pour adultes, sexe shop et des Glory Hole. Je ne suis pas sûr de ma réaction en voyant ma nana sucer, éventuellement baiser avec un autre, un trou de la gloire semble le plus adapté pour un premier essai.
Elle évoque lors de nos rapports ce fantasme de l’inconnu très souvent, ce qui me fait penser qu’il faut que je me fixe sur mes capacités à supporter la réalisation de ses envies.
Un groom de l’hôtel, de surcroît français, auprès duquel je me renseigne m’offre de nous accompagner, car certains de ces endroits sont à éviter, pas top question hygiène. Puis l’activité de ce quartier ne commence vraiment qu’à 22 h, heure à laquelle il quitte son service. J’accepte donc ce service gratuit en plus.
A l’heure dite, nous voilà donc dans le quartier rouge, notre accompagnateur nous montre divers bars à ne pas vraiment fréquenter, des bars à drogue comme il dit. Quelques cabarets presque classiques, puis des théâtres pour adultes. Mon épouse
-- Il y a quoi dans les théâtres pour adultes des stripteases.
Il sourit
--Non, ce sont des gens qui font du sexe comme spectacles. Là, c’est un sexshop, où vous avez un Glory Hole, mais je ne vous recommande pas, il est loin d’être nickel.
-- Je suis peut-être bête, qu’est-ce qu’un trou de la gloire, qu’est-ce que ça fait un truc militaire dans un sexshop.
Il rit, moi aussi d’ailleurs.
-- Ça n’a rien à voir avec du militaire, madame, ce sont des cabines où il y a des trous dans les cloisons pour que les hommes de l’autre côté de la cloison passent leur sexe dedans et que l’homme ou la dame dans la cabine puisse jouer avec.
-- Et oui ma chérie, comme ça, personne ne connaît personne, chaque participant reste incognito.
-- Mais on ne peut que sucer ou masturber, on n’a pas toutes les mêmes hauteurs de jambes.
-- Tous les trous ne sont pas à la même hauteur, bien sûr, je comprends madame fait allusion à un rapport par ces trous pour se positionner devant, c’est pour cela que certains n’ont pas de trous ronds, mais des fentes, ce qui permet toutes les tailles.
-- Ote-moi d’un doute, tu as envie d’essayer, ça peut être.
-- Ben heu pourquoi pas, si tu peux rentrer avec moi dans la cabine.
-- Si vous voulez essayer, je vais vous mener à un autre endroit, car ici, l’hygiène est douteuse. Ça sera un peu plus cher pour monsieur, mais le nettoyage est garanti après chaque utilisation et désinfecté, puis il y a des capotes dans toutes les cabines. Bon, je ne vous cache pas que c’est un ami et chez lui ce sont des fentes, pas des trous.
-- Alors tu veux vraiment essayer, ma chérie
-- Oui oui, mais c’est la première fois que je vais faire du sexe en dehors de notre couple. Mais toi, tu vas être à côté de moi et voir, tu crois que tu vas supporter.
-- Ben si c’est la première fois en dehors de votre relation, pour monsieur, c’est le meilleur moyen de savoir s’il aime ou pas. Si, on ne supporte pas, on ne fait pas de scandale, on s’en va comme on est venu.
J'ai dit que je te suis dans tes envies, même folles, et si je t’amène ici ce n’est pas pour rien. Comme je sens bien que tu as envie alors, il faut que je commence quelque part, ici on est loin des gens qu’on connaît.
On suit donc notre guide vers l’établissement qui semble le meilleur. À l’entrée, on est accueilli par une personne à la caisse à qui notre guide explique notre cas, la personne ne parlant pas le français. Il nous réitère donc le non-emportement et l’évacuation des lieux si cela ne convient pas.
-- Vous allez devoir attendre quelques instants pour prendre la cabine qui est la plus proche de la sortie, où il n’y a pas quatre postes d’accès de demandeur, mais que deux, ce qui laisse madame plus disponible. Puis, comme vous ne connaissez pas trop comment vous allez accepter les réalisations de madame, ça sera moins gênant pour les demandeurs si vous partez.
Un homme sortant, notre groom nous fait signe de le suivre quelques minutes après ce départ.
Notre guide nous amène jusqu’à la cabine et nous montre,
-- Vous voyez, il y a des préservatifs et du papier pour essuyer, puis là la porte d’évacuation qui passe obligatoirement par la caisse pour signaler le départ et pour effectuer le nettoyage.
Le fait est qu’il n’y a pas la forte odeur de sexe qu’on pouvait s’attendre à ressentir.
À peine rentré dans la cabine qu'il y a déjà un demandeur. Ma chérie me regarde.
-- Bon ben, je crois que tu as déjà un client, il n'attend que toi
-- Je peux ?? ?
-- Bien sûr que tu peux, on est là pour ça, il ne va pas attendre trois jours, tu veux essayer ou pas
-- Ben oui
-- Alors vas-y.
Elle s’accroupit devant un membre semi-tendu, un truc d’une taille moyenne, rien à redire. Je la vois le prendre en main et le masturber doucement, il prend tout de suite une belle raideur. Elle le décalotte bien, ce qui fait apparaître un gland rose très sombre.
-- T'es sûr que je peux ? ? ?
-- Tu ne vas pas me demander à chaque fois, tu fais ce que tu as envie pour le moment, ça me va sans problème, j'assume, j’assume, c’est moi qui t’ai amené ici.
Elle pose ses lèvres sur le gland, le suçote un peu en continuant à le masturber, puis de la pointe de sa langue, elle caresse le méat et le frein de cette bite qui gonfle à vue d’œil. Je la vois gober le gland, elle tète, elle aspire tout en manipulant, elle avale le membre sur presque toute sa longueur, effectue des va-et-vient avec sa bouche tout en malaxant les testicules de l’heureux propriétaire. Une autre bite apparaît dans l’autre fente, elle tend la main pour le masturber sans arrêter de pomper le premier. Celui-ci ne tient pas très longtemps, il faut dire que moi non plus quand elle me pompe. J’entends l’homme dire quelque chose que je ne comprends pas, mais le ton veut dire qu’il ne tient plus.
-- Tu n'enlèves pas ta bouche, je veux que tu prennes et que tu avales.
Il lâche son sperme dans sa bouche, elle faille s’étouffer, mais elle avale, comme je lui ai ordonné et moi je bande comme un malade, elle m’obéit sans rechigner alors qu’elle n’aime pas avaler. Elle recommence le même traitement sur le deuxième client.
Moi, je suis dans une vraie torture entre cette pointe de jalousie qui me ronge le cerveau et ne prend pas le dessus grâce à une excitation jamais connue jusqu’à maintenant avec elle.
Elle a à peine fini avec son deuxième client qui lui tient la tête à deux mains pour qu’elle ne s’écarte pas, alors qu’il jouit dans le fond de sa gorge, sa première gorge profonde qui l’a fait tousser. Il apparaît un autre phallus dans la première fente laissée libre, une belle pièce déjà bien ferme, déjà décalottée, 18 bons centimètres à vue d’œil.
Tu n'as qu'envie de sucer.
Moi, j’ai tellement envie de la baiser que je ne comprends pas qu’elle ne fasse que sucer. Je me masturbe très très doucement pour ne pas jouir, pour ne pas faire tomber mon excitation qui me permet d’accepter si facilement ce que je vois.
-- Ben non, mais, toi, tu veux bien que je le fasse ?? ?
-- Bien sûr que je veux, je veux même que tu fasses sans capote, je veux te baiser après lui.
-- Si tu veux vraiment, tu me la guides dans la chatte, comme ça je suis sûr que tu ne me reprocheras rien après, surtout qu’il va jouir en moi là.
-- Je vois que tu veux jouer les soumises, mais ce n’est pas comme ça qu’elles font, tu sais.
-- Oui je sais, mais c’est la première fois, je veux être sûr que tu es d’accord.
-- Bon, allez positionne-toi
Elle se penche en avant et colle son cul sur la fente juste au-dessus de la bite, je prends le phallus en passant ma main entre ses cuisses,
-- Ouiii… merci, mon chéri, trop envie, surtout après les pipes, eux ils ont eu leur plaisir.
Elle avance un peu, je caresse entre ses lèvres et sur son clito avec le gland.
-- OOHH hum.
Et puis je le positionne devant sa fournaise toute juteuse. Elle s’empale dessus d’un seul trait jusqu’à la belle paire de couilles. Lui a passé ses bras dans les deux fentes réservées à cet effet et il l’attrape aux hanches.
-- huumm ouii que c’est bon, ça fait du bien, oh merci, mon chéri, de m’accorder ça.
Vu les boutons à effigie sur les manches qui couvrent ses bras, je sais que c’est notre guide qui est là, mais je ne dis rien à ma chérie.
Ça ne dure pas une éternité, quelques minutes qui à moi me semblent quand même une éternité, ce pilonnage violent et rapide, elle feule.
-- Aarrch le salaud, oui je vais jouir, elle attrape les poignets de son baiseur pour se stabiliser un peu plus.
Je vois ses cuisses et ses fesses trembler, elle tremble de partout, je suis obligé de la retenir, j’ai peur qu’elle tombe.
-- Il va jouir, il gonfle encore, ouiii, il crache dans ma chatte aaachh c’est bon, j’adore, il me remplit.
Effectivement, il lâche son foutre au plus profond de sa chatte en la plaquant fortement contre la mince paroi, contre ses testicules et lâche un râle de plaisir.
Je suis en train de fixer ce qui se passe entre les cuisses de ma propre femme. Enfin, il se retire, un gros filet de sperme sort de sa chatte et va se coller sur une de ses cuisses. Elle est encore toute tremblotante, je la fais venir devant moi.
-- Reste penchée, petite pute, viens devant moi que je te baise aussi.
Elle se penche un peu plus en prenant appui sur le siège où j’étais assis pendant un moment, je m’encastre dans son fourreau tout crémeux et bouillant, comme un fou, je la pilonne.
-- Oohh ouiii, viole-moi, défonce-moi, je t’adore mon chéri.
Je la pilonne tellement fort et vite que ça ne dure pas plus de trois minutes, ce qui ne l’empêche pas elle de retourner dans sa jouissance.
-- Oui salaud oouiichh, c’est bon, jouis dans ma salope de chatte, c’est booon, remplis-moi encore.
Depuis le temps que j’ai envie de jouir, je libère enfin l’enfer qui me ravage le membre depuis le début de ces ébats auxquels je ne participe que par la vue.
On se rajuste un peu, elle n’a juste qu’à laisser retomber sa jupe. Je refuse qu'elle s'essuie
--Tu veux du foutre dans ta chatte, tu en as alors tu le gardes
On sort, en passant devant le caissier, il nous montre son oreille et dit
-- Madame a aimée !
Avec son manque de discrétion, même lui a entendu qu’elle appréciait. On marche jusqu’à l’hôtel, il est à deux ou trois cents mètres de là. Elle est obligée de serrer les cuisses, car le résultat de ces deux baises lui coule dans les cuisses, elle étale donc le sperme dans son entrejambe. Arrivée dans la chambre, elle veut me rouler un patin, je lui dis d’aller se rincer la bouche avant, son haleine sent le sperme.
Après la visite d’Amsterdam, bien sûr, il n’y a pas que le quartier rouge à voir, on rentre chez nous entièrement satisfait de notre voyage, elle du plaisir physique qu’elle y a pris et moi de savoir que je peux supporter quelques dérives de sa part, dérives qui m’excitent bien plus que je ne l’envisageais.
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Histoire de attila

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Commentaires du récit : Présentation de mon épouse (Soizic)

Le 30/08/2024 - 22:24 par JacBZH
Super bon

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