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Que du bonheur 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/08/2024

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La journée se passe comme d'autres, très joueuse Cloé taquine son oncle, et joue, la vampe devant sa tante. Son short taille basse ultra-court met son fessier en valeur. Son croc top moule parfaitement sa poitrine, comme elle ne porte pas de soutien-gorge, ses mamelons, très épais, appuient sur le fin tissu comme pour le percer.

Pendant que sa tante se repose dans un transat à l'ombre d'un olivier. Son oncle, torse nu, sort la tondeuse et raccourci l'herbe de quelques ares de son terrain. Malgré son âge, le bougre est bien agencé, ses muscles se tendent lorsqu'il pousse sur l'engin. Cloé tourne autour de lui en le narguant. Soudain, Paul lâche la tondeuse et se met à courir après sa nièce, qui déguerpit en riant. La jeunette est rapide, mais le vieux encore véloce. Il plonge dessus, et réussit à l'attraper, les deux roulent sur l'herbe, en riant fortement. Lucette secoue la tête en souriant, elle se dit que son mari, avec Cloé, est retombée en enfance.

Les roulages, les étreintes, les galipettes, font que le top remonte en libérant les seins. Cloé est sur le dos, son oncle la tient fermement. À la vue des seins, il desserre son étau. Les petits seins, étalés sur le torse, ressemblent à deux œufs sur plat. Paul ne les quitte pas des yeux.
Déjà lorsqu'il avait vu sa nièce allongée sur son lit, et qui à leur demande se masturbait. L'effet sur lui avait été indécent. Le bougre avait réussi à cacher tant bien que mal son érection.

Là, il est collé à elle, et c'est une autre paire de manches. Une grosse bosse déforme son pantalon de toile. Cloé ne peut ignorer l'état de son oncle, vicieusement, elle se cambre pour bien sentir contre elle le manche de chair qui ne cesse de prendre du volume. Elle tente de se débattre, très troublé, son oncle ne réagit pas immédiatement.


Elle réussit, en s'agitant comme un reptile, à se mettre sur le ventre et cacher sa poitrine. Mais involontairement, elle offre sa croupe. Paul regarde les fesses, une pulsion malsaine le fait agir. Il la saisit par les hanches et tire fortement dessus. Cloé se plie légèrement en deux. Cette position fait que la verge de son oncle et contre son fessier. L'homme, excité, donne quelques coups de reins comme s'il la baisait.

Cloé sent glisser contre ses lobes fessiers, protégé par le short trop serré, la verge tendue du tonton qui est emprisonnée dans son pantalon. Elle l'a vue en action avec sa tante, elle sait qu'elle est puissante et très imposante. Paul donne encore quelques coups de reins violents. Il se penche sur elle et lui murmure au creux de l'oreille :

-Oh toi, toi, si je ne me retenais pas, qu'est-ce que tu prendrais dans le ventre, tu m'excites tellement que je suis prêts à commettre l'irréparable !

Paul roule sur le côté, à côté de sa nièce, il souffle, pour reprendre son calme. Cloé se place latéralement et regarde la bosse que le tonton ne peut cacher. Elle jette un œil vers sa tante qui semble somnoler. Sûrement avec inconsciente, ou par défi, elle pose sa main sur la grosse bosse. Paul se cabre, immédiatement, il regarde vers sa femme qui ne bouge pas.

En poussant un gros soupir, Paul se cabre légèrement. Cloé s'enhardit, elle presse le manche caché sous les tissus. Elle le frotte, sans quitter des yeux son oncle, les regards se croisent, il serre les dents et dit :

-Tu es une petite salope, tu as vu dans quel état tu m'as mis !

Pour toute réponse, Cloé serre très fort la verge de son oncle qui pousse un grognement. Aussi rapide qu'une balle, il se redresse, et saisit la petite salope comme il l'a appelé, et la couche sur ses genoux.

Cloé se débat, ses cris font sursauter Lucette, elle se redresse sur ses coudes et observe le couple en furie. D'un geste brusque, Le tonton en rage, baisse le short, mais malheureusement celui-ci, il se déchire. La coquine ne porte pas plus de culotte que de soutien-gorge. Paul lève la main, et frappe les lobes joufflus, il s'en donne à cœur joie. Des traces rouges marquent la peau sensible, la fessée est sévère.

Cloé s'agite comme un ver en geignant. Lucette se lève du transat et s'avance vers eux. Paul cesse de frapper. Lucette regarde les fesses rougies, elle les caresse en disant :

-Eh bien, tu n'y vas pas de mains mortes ou la vache comme tu l'as arrangé ma petite chérie !

Paul réagit en disant :

-Pour ne pas la violer, je n'ai trouvé que ça pour me clamer, regarde comme elle me fait bander la petite salope !

Cloé se relève, elle se frotte les fesses en grimaçant. Elle se tourne vers son oncle, ses yeux lancent des éclairs, elle grogne :

-Tu es méchant, tu m'as fait mal, et en plus, tu as déchiré mon short, je te hais, je ne veux plus te voir !

Lucette regarde son mari et dit en fronçant les sourcils :

-Eh bien voila, tu as gagné, tu es content de toi !

Paul répond en rageant :

-C'est sa faute, elle l'a bien cherché !

Il reprend la tondeuse en mains et continue son travail. Cloé retire son short en lambeaux, et le laisse tomber au pied de sa tante qui se baisse pour le ramasser. Sa tête est juste à hauteur de la fente de sa nièce, et ne peut s'empêcher de la regarder. Elle relève la tête vers Cloé, et lui dit en souriant :

-Mais tu as joui, oh la salope, ta chatte est trempée, tu aimes la fessée hein avoue !

Cloé se jette dans les bras de sa tante, et en sanglotant dit :

-Oui tante, même très fort, c'était indépendant de ma volonté, tu sais j'ignorais que la fessée me ferait jouir !

La tante, en lui relevant le menton avec deux doigts, lui dit :

-Ce sont des pulsions qui se déclenchent indépendamment de notre volonté ma chérie, tu en as d'autres secrets comme celui-là petite cochonne, dans tous les cas ton cul est vachement rouge !

Cloé hausse les épaules en disant :

-Tonton m'a fait mal, je le hais. Il ne te punit jamais toi !

-Cela nous arrive d'avoir des scènes, mais chaque fois, elles se terminent au lit !

la tante l'enlace, Cloé se blottit contre elle. Doucement Lucette lui caresse les lobes rougis, Cloé frémit en disant :

-Que tes mains sont douces, tante !

Lucette soupire, et lui dit :

-Il est temps ma chérie, que tu enfiles un short, rester avec les fesses a l'air, risque d'éveiller les sens, et de donner des idées malsaines !

Cloé se blottit encore plus contre sa tante et demande :

-Des idées salassent à qui tante !

Lucette répond en secouant la tête :

-Ne fais pas l'innocente ma chérie, tu sais très bien de qui je veux parler, nous sommes, que tonton et moi ici en plus de toi !

Cloé relève la tête vers sa tante, la regarde longuement, elle lui fait un grand sourire et dit en se tortillant contre elle :

-Donc je te fais de l'effet à toi aussi tante !

Lucette, un peu dans l'embarras, lui donne un gros baiser sur le front, et en lui pressant un lobe fessier dit tendrement :

-Je vais être honnête avec toi ma chérie, oui te voir presque nue me trouble terriblement, ta peau est si douce et si fraîche qu'il faut être de bois pour ne pas avoir envie de la caresser, l'embrasser !

Cloé répond en souriant :

-Tu me trouves belle et désirable ?

Lucette un peu prise au piège réplique :

-Oui, très, très, ma chérie, tu es bandante, ton oncle t'en a donné la preuve, c'est pour cela qu'il t'a donné une fessée, il n'en pouvait plus. Et moi rien que de caresser ton petit cul me fait un effet terrible, va t'habiller ma chérie, avant qu'il ne se passe l'irréparable !

Cloé se décolle de sa tante, et pour toute réponse, relève son top et montre ses seins en riant. Lucette en se pinçant les lèvres et dit :

-Mais tu es incorrigible Cloé, je comprends la réaction de ton oncle maintenant !

Cloé disparait en courant en riant au éclat. Elle redescend un peu plus tard en maillot de bain deux pièces, très étroit. Et s'allonge au soleil pour profiter des rayons. Paul a terminé, il est en sueur. Cloé regarde les perles de rosées qui ruissellent sur son torse, il s'arrête à côté d'elle et lui dit :

- Je te conseille de te mettre à l'ombre, tu vas avoir un coup de soleil !

Cloé se met sur le dos et en souriant lui répond avec provocation :

- Oh, je préfèrerai un bon coup de bite, mais je n'ai pas le choix, donc je me contente du soleil !

Paul serre les dents pour ne pas lui plonger dessus et lui défoncer la chatte. Sa tante répond :

-Là ma chérie, tu pousses le bouchon un peu loin, sois plus respectueuse avec ton oncle, parce qu'à force de provocation, tu vas récolter ce que tu sèmes ma chérie !

Elle cambre son bassin en ne quittant pas des yeux son oncle. Le du maillot trop étroit s'insère entre les grandes lèvres en les moulant fortement. Paul écarquille les yeux, il regarde sa femme, qui secoue la tête négativement en murmurant :

-Mais elle le cherche la salope, elle va finir par le trouver !

Cloé se laisse retomber sur l'herbe et agite son bassin, le tissu maintenant sépare les deux lèvres vaginales. Le frottement du tissu sur son petit clito, fait que la petite provocatrice humidifie la culotte du maillot.



















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Histoire de linsee

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Commentaires du récit : Que du bonheur 2

Le 24/08/2024 - 15:14 par michelle2
trop bon

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