Que du bonheur

Cloé, 18 ans, est très fusionnelle avec son oncle Paul. Comme elle n'habite pas loin, elle est souvent chez lui. La tante regarde cela d'un d'air amusé. Bien que la différence d'âge soit énorme, les deux jouent comme des enfants, ils se roulent dans l'herbe, font des parties de jeux de sociétés interminables pour finir endormis, blottit l'un contre l'autre devant la télévision.

Quelques fois, elle dort chez eux. La tante prend soin d'elle comme si c'était sa fille, elle la chouchoute même un peu trop selon les parents de Cloé. Ce sont les vacances, Cloé, comme chaque vacance, les passent chez sa tante et son oncle qu'elle adore. Lucette la tante et bien en chair, mais malgré son âge a encore de beaux reste comme on dit.

Fréquemment, Paul se colle contre elle, la serre très fort en agitant son bassin contre le fessier bien rebondie de sa femme. Lucette ronronne de bonheur comme une chatte. Cela fait saliver la petite voyeuse Cloé, qui aimerait en voir plus. Un matin, Lucette est contre l'évier, Paul lui déboutonne la blouse, et ouvre largement les deux pans. Lucette est nue en dessous. Se croyant seul, Paul caresse la touffe épaisse en disant :

-Tu aimes ça vieille salope, tu veux t'a troussée hein avoue !

En riant, Lucette répond en pressant fortement la bite de son mari au travers son pantalon :

-Oui mon cochon, baise ta vieille, fais la grimper aux rideaux !

Lucette extirpe du pantalon de son mari sa queue, elle l'agite brutalement, la presse, la décalotte fortement, et donne quelques coups de langue sur le gland. Elle s'accroche d'une main au cou de son mari, relève une jambe à hauteur de sa taille et en lui saisissant son braquemart de sa main libre, le dirige vers sa chatte bien fournie. Elle s'empale et commence à s'agiter en grognant comme une bête. Tout cela sous les yeux de Cloé qui vient de descendre de sa chambre. Assise sur une marche de l'escalier, elle ne perd pas une image de la scène.


Pendant de longues minutes, Lucette se défonce sur la queue noueuse de son mari qui gémit terriblement. Cloé sent sa chatte se lâcher, sa culotte s'humidifie de plus en plus, elle passe la main sous sa nuisette et tente, en pressant fortement sa chatte, de faire cesser l'écoulement de cyprine. Elle voit la verge puissante faire des allers et retours interminables dans le ventre de sa tante qui geint de plaisir. Un gémissement terrible fait sursauter la voyeuse, sa tante vient de jouir.


Elle se désaccouple, et se retourne, elle se penche en avant et en remontant sa blouse, offre sa croupe à Paul, qui saisit les larges hanches de sa femme et lui plante sa bite dans le volcan qui rejette sa lave. Prise en levrette, Lucette gémit comme une bête que l'on égorge. la bite de son mari qui lui ramone la chatte, la fait grincer des dents. Une nouvelle jouissance encore plus terrible que la précédente la fait hurler. Cloé a les yeux écarquillés. Sa jeune chatte fuit comme un tonneau percé.


C'est en grognant, comme bête, que son oncle remplit le ventre de sa tante. Cloé, sans faire de bruit, remonte dans sa chambre, et se jette sur son lit. Ses sens sont en ébullitions. Elle retire sa culotte, la jette sur le plancher, retrousse sa nuisette, et commence une masturbation d'enfer. Une jouissance ne lui suffit pas, elle continue de se branler pour en obtenir plusieurs. c'est épuisée, qu'elle se rendort, allonger sur le dos. l'heure tourne, Lucette s'inquiète. D'habitude Cloé est déjà levée depuis longtemps, elle regarde son mari et dit :

-Je vais voir ce qui se passe, j'espère que notre petite princesse n'est pas malade !

Lucette frappe, pas de réponse, elle s'inquiète, et en prenant une grande aspiration ouvre doucement la porte. Elle s'avance doucement, et constate que Cloé dort profondément. Sa nuisette est toute tachée, les poils non drus de son pubis semblent un peu rêches. Lucette en souriant secoue la tête. Elle se penche sur sa nièce et lui donne un baiser sur le front. Mais ce geste tendre réveil Cloé, qui regarde sa tante d'un air étonné, elle lui dit :

-Tu es là tante, tu a besoin de quelque chose ?

Lucette en souriant répond :

-Non, comme tu n'étais pas debout, je me suis inquiétée !

Elle ajoute :

-Alors ta nuit à était rude à ce que je vois ma chérie !

Cloé rougit et honteuse pose ses mains sur sa fente à peine poilue. Lucette en souriant lui dit :

-Oh, il ne faut pas avoir honte de ça m'a chérie, c'est la nature. Moi aussi, encore maintenant, il m'arrive de me masturber !

Cloé fronce les sourcils et réagit :

-Encore maintenant tante, tu te tripotes, et tonton alors, il sert à quoi !

Lucette éclate de rire et réplique :

-Oh, mais tu sais ma chérie, quelques fois tonton et moi nous nous masturbons en nous regardons faire, je t'assure que nos jouissances sont copieuses !

Cloé regarde sa tante, et dit :

J'ai honte de le dire, mais ce matin dans la cuisine, je t'ai vu te faire prendre par tonton. cela m'a tellement excitée, que c'est pour cela que tu m'as retrouvé dans cet état !

Lucette sursaute et dit en riant :

- Ah, ah. Je ne savais pas que j'avais à la maison une petite voyeuse, qui ce branle !

Soudain l'oncle fait son apparition :

-Mais qu'est-ce que vous faites, ça fait une heure que j'attends en bas !

Lucette lui raconte ce que lui a dit sa nièce. Paul se redresse, il regarde le corps que la nuisette transparente, ne peut cacher. Ses yeux ne quittent pas la jeune vulve aux fines lèvres bien dessinées que quelques poils doux garnissent. Il regarde sa nièce, et dit :


-Donc comme cela, ma chérie, d'après ce que rapporte ta tante, tu nous as vus faire l'amour, ça t'a tellement excité, qu'après, tu t'es branlé, c'est bien cela !

-En baissant les yeux, Cloé répond :

-Oui tonton, c'est bien ça, oh comme j'ai honte de vous avoir épiée, vous êtes tant pour moi, oui, oui, je mérite une punition !

Paul en la regardant lui dit :

-Donc ma chérie, tu admets que tu mérites une sanction, je laisse à ta tante le soin de choisir celle que tu mérites !

Lucette prend son rôle au sérieux et dit en toisant sa nièce :

-J'exige que tu nous montres comment que tu te branles !

Paul sursaute, mais n'est pas mécontent de la demande. Cloé sans dire un mot, retrousse sa nuisette en tremblant, écarte doucement les cuisses et pose timidement sa main sur son temple. Ses doigts fébriles commencent à voyager sur sa fente, elle caresse avec douceur les lèvres qui frémissent aux passages des doigts sur elles.

Paul et Lucette sont tout en admiration devant la jeune vulve que quelques poils soyeux cernent. Cloé ferme les yeux, sa respiration s'accélère ainsi que sa masturbation. Elle gémit doucement, elle semble avoir ignoré la présence de sa tante et de son oncle. Ses doigts fins saisissent sa petite boule de chair, la pressent en la faisant cabrer. Plus elle la triture, plus elle prend du volume.

La tante regarde avec intérêt les doigts agiter le clito, elle ravale sa salive, pousse de nombreux soupirs, elle tourne la tête vers son mari, qui bouillonne en voyant la petite chatte s'humidifier.

Soudain Cloé se cabre, et en grimaçant jouit fortement. Elle ouvre les yeux, ils sont luisants, son souffle est rapide. Elle regarde son oncle et sa tante qui lui sourient. Les deux font demi-tour et disparaissent, mais avant sa tante dit :

-Ne tarde pas ma chérie, nous allons déjeuner !