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Qui t'a fait jouir? ton mari, ou un inconnu

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Lue : 2260 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/10/2021

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Tout est parti lors d’une soirée entre amis, ou l’un a lancé un pavais dans la mare. Il avait lu un article sur une femme, qui disait être allée se coucher, après avoir un peu trop bu, et avoir été rejointe par un homme, et avoir accepté dans un semi-sommeil qu’il lui fasse l’amour, avant de se rendre compte après qu’il ne s’agissait pas de son mari !
Moi, ce témoignage me paraissait plausible. Clotilde, mon épouse a éclaté de rire en me disant que j’étais bien un homme, pour croire à de telles élucubrations, qu’une femme reconnaîtrait son mari parmi mille autres durant l’amour, et qu’il lui était impossible de se tromper, même s’il ne s’agissait que d’un cunnilingus…
Réflexion faite, elle avait sans doute raison. J’avais été naïf de croire en la véracité de ce témoignage.
Mais parce qu’il n’est jamais agréable d’avoir tort, j’ai quand même mis en doute la capacité d’une femme à reconnaître son mari, lors d’un cunnilingus, s’il n’est pas de paroles échangées entre eux, et d’autres contacts physique que celui d’une bouche et d’une chatte. C’était peut-être de ma part une réaction de fierté. Après tout, je suis mal placé pour en juger…
Mais d’un autre côté, Clotilde a un défaut. Elle est souvent trop sûre d’elle.
Elle a insisté, affirmant qu’il existait une mémoire des corps, qu’elle connaissait parfaitement ma manière de la caresser après tant d’années passées ensemble, et qu’elle distinguerait forcément s’il s’agissait d’un autre homme, même dans le noir, sans paroles et sans autres contacts physique.
La soirée était douce, les enfants chez les grand parents. Nous étions seuls dans le jardin de notre maison de vacances. La discussion a tourné au jeu, car nous étions en désaccord, chacun cherchant à convaincre l’autre. Elle m’opposait toujours le même argument. Elle était femme, moi pas, donc elle savait ce dont elle parlait tandis que moi je l’ignorais… Alors, pour briser son assurance, j’ai voulu la provoquer.
- Nous fêtons ton anniversaire à la maison ce week-end, avec une vingtaine d’invités. Si, en cours de soirée, tu t’éclipsais dans nôtre chambre, si je te mettais nue sur le lit, avec un foulard sur les yeux, la lumière éteinte, les mains attachées dans le dos pour que ne tu ne puisses pas toucher l’homme qui viendra te faire un cunnilingus, tu serais incapable de me dire ensuite, si c’était moi ou l’un des invités.
Elle a réfléchi un moment avant de me répondre.
- Non, je connais tes mains, ton odeur, ta manière de me lécher, la peau de ton visage. Je saurai si c’est toi.
Elle avait quand l’air moins affirmative. J’ai voulu pousser mon avantage.
- OK, tentons l’expérience. Tu es une belle femme. Je connais suffisamment d’hommes invités, pour proposer ce jeu à l’un d’eux, et qu’il ne refusera pas. Mais ce sera peut-être moi qui entrera dans la chambre. Ce sera à toi après, de me le dire.
Une nouvelle foi, elle réfléchit un instant. Elle me regarde l’air amusé.
- D’accord. Mais je te préviens...tu vas perdre.
Je tiens à préciser que nous ne sommes pas un couple libertin. Libéré oui, mais pas libertin. Nôtre couple a juste traversé un orage il y a trois ans, après la naissance de notre troisième enfant. Je trouvais ma femme moins disponible, moins portée sur le sexe. J’ai eu une aventure avec une jeune femme rencontrée dans mon milieu professionnel. C’était la première fois que ça m’arrivait en douze ans de mariage. Je crois que j’avais envie de plaire, de prouver que je savais susciter du désir. Ma femme s’est aperçue d’un changement en moi. Je n’ai pas voulu, ou su, lui mentir.
Elle m’a posé la bonne question. Savoir si j’étais amoureux d’elle.
La réponse était non. Elle m’a demandé de mettre un terme à cette relation, ce que j’ai fait. Clotilde s’est vengée trois mois plus tard, d’une manière qui ne me fit pas plaisir. Elle m’avoua avoir taillé une pipe au chauffeur de taxi pour payer sa course, alors qu’elle avait de l’argent dans son sac. Elle m’avoua aussi avoir tout avalé, pour ne pas tâcher le siège. En voyant ma détresse, elle m’avoua qu’en fait, il ne s’était rien passé, qu’elle avait tout inventé pour me faire mousser.
Nous en sommes restés là. Pour autant que je sache, en dehors de cette brève histoire, ma femme ne m’a jamais trompé, ni avant, ni après. Chacun de notre côté, nous avons réintroduit de l’érotisme dans nos relations, avons fait plus attention à l’autre, à ses désirs. Et la flamme est revenue. Notre vie sexuelle est pleine, entière, variée. Plus jamais je n’ai éprouvé l’envie d’aller voir ailleurs. Et elle non plus, je crois.
La fameuse soirée se profilait. Elle m’a demandé si je voulais toujours qu’on tente cette expérience. J’ai répondu par l’affirmative.
- Très bien...alors je vais tout faire pour être belle, afin que tu n’es pas de mal à convaincre ton invité mystère.
Elle l’a fait ! Jean’s moulant ses longues jambes, escarpins à talon haut, une bague en argent sur un doigt de pied, un soutien-gorge pigeonnant, un tee-shirt blanc serré à fines bretelles, court en haut comme en bas, pour laisser apparaître son ventre plat et bronzé, ses épaules, et le haut de ses seins. Elle était magnifique ! Je la trouvais un peu trop avenante avec les hommes, par ses rires, ses attitudes.
Sans doute se demandait-elle lequel d’entre eux serait l’éventuel invité-mystère, s’il en était un. Et dès que je parlais à un homme, elle me regardait, en se demandant sans doute si c’était lui à qui je venais de faire la proposition indécente.
Vers vingt trois heures, nous avons mis de la musique. La nuit était tombée. Les gens dansaient dans le jardin, près du buffet. Je lui ai dit que l’heure était venue. Elle m’a suivi dans notre chambre, à l’étage. Je l’ai déshabillée, lui ai noué un foulard sur les yeux, attaché les mains dans le dos avec le cordon d’un peignoir, allongée sur le lit et je lui ai demandé d’écarter les jambes, afin que son sexe soit ouvert, offert.
Je l’ai embrassée sur les lèvres en lui disant qu’elle était très belle, que celui qui viendrait aurait bien de la chance. J’ai passé ma main sur son corps. Elle a frissonné. Sa respiration était un peu forte, preuve qu’elle trouvait la situation excitante. J’ai quitté la chambre, en éteignant la lumière.
Je suis remonté un quart d’heure plus tard, le temps de lui laisser croire que j’avais trouvé un invité-mystère. Je n’avais aucune intention de laisser un autre homme l’emmener au septième ciel avec sa bouche. Dès le moment où elle avait accepté ma proposition, je savais que ce serait moi qui viendrait. Mais j’avais bien préparé mon affaire. Le matin, je m’étais rasé, ce que je fais rarement, afin qu’elle ne puisse me reconnaître quand mes joues entreraient en contact avec l’intérieur de ses cuisses. En plus, j’avais mis des mocassins assez lourds ce soir-là, afin qu’elle entende le bruit de mes pas. Mais avant de monter, je me suis déchaussé pour qu’elle puisse croire, à l’absence de bruits de pas dans l’escalier et le couloir, qu’il s’agissait d’un autre homme.
Quand j’ai ouvert la porte de la chambre, j’ai fait exprès de tâtonner bruyamment avec la main avant de trouver l’interrupteur, comme si j’ignorais la disposition exacte des lieux. J’ai éclairé. Elle avait bien tenu la pose. Elle était superbe, jambes repliées et ouvertes, avec son foulard sur les yeux et ses mains dans le dos qui faisaient saillir ses seins.
Elle avait la mâchoire serrée, sa poitrine montait et descendait quand elle respirait. Ainsi, la situation l’excitait. J’ai eu confirmation quand je lui ai levé et replié les jambes.
Cette position dégageait son sexe, l’écartait encore plus et l’offrait à ma vue. Je l’ai regardé longtemps, comme quelqu’un qui la découvrait. J’ai passé l’ongle de mon index le long de sa fente, pour l’ouvrir. Elle a tremblé, et poussé un petit cri, son sexe rose luisait. Cette découverte m’a fait bander, en même temps que je ressentais une pointe de jalousie. Elle mouillait, alors qu’elle ne savait même pas si c’était moi ou un autre qui était entré dans la chambre, qui allait poser sa langue sur son clitoris… J’ai passé le dos de ma main sur sa chatte, sur l’intérieur de ses cuisses. Elle a frissonné encore. Sa bouche était ouverte, son corps tendu. J’ai pensé que ma femme n’était peut-être pas aussi fidèle que je l’avais cru pour prendre du plaisir, ouvertement, dans une telle situation.
Puis, je suis allé éteindre la lumière, comme quelqu’un qui avait pris le temps de repérer les lieux, de profiter sur spectacle de son corps offert. Je suis revenu vers elle dans l’obscurité. Mes yeux se sont vite habitués à la pénombre, car un peu de lumière du dehors filtrait à travers les volets. J’entendais de la musique, des rires. Elle avait reposé ses pieds sur le lit. J’ai posé le bout de ma langue sur sa fente, et je l’ai remontée pour l’ouvrir, exactement comme avec mon ongle plus tôt. Elle a gémi, s’est cambrée, a ouvert encore un peu plus ses cuisses. Elle s’offrait complètement, et son clitoris était dur. Je sais qu’elle aime que ma langue se concentre sur cette zone. J’ai fait l’inverse, j’ai pénétré son vagin, et remonté ensuite ma langue jusqu’à son clitoris, et j’ai recommencé ce mouvement, qu’elle accompagnait d’un mouvement de son bassin. Je tenais à la caresser d’une manière différente, pour n’éveiller aucun soupçon. Sa respiration devenait plus rapide, elle haletait presque. J’ai récupéré un peu de mouille sur un doigt, et taquiné son petit trou, et l’ai enfoncé légèrement. Du jamais fait. Il était serré. Elle n’a pas résisté. Avec les hanches, elle s’est même empalée sur mon doigt, qui l’avait pénétrée jusqu’à la deuxième phalange. Ainsi, je la tenais, mais me posais des questions. Je poursuivais mon mouvement ascendant de la langue, depuis son chatte jusqu’à son clitoris. Elle avait reposé ses pieds sur le lit, jambes ouvertes et repliées, et poussait sur ses pieds pour accompagner ma langue. Elle gémissait de plus en plus fort. J’ai raccourci l’amplitude du mouvement de ma langue, pour me concentrer sur son clitoris, de bas en haut. J’ai senti que son œillet se contractait autour de mon doigt. C’était un signe annonciateur. Aussitôt, elle a joui, dans un gémissement très aigu, tandis qu’avec son bassin, elle tentait d’échapper à la caresse de ma langue. J’ai enlevé mon doigt de son petit trou, redressé mon visage, et l’ai regardée dans la pénombre. Son corps faisait une tache sombre sur les draps. Elle a serré les jambes, et les a tournées sur le côté. Sa bouche était ouverte. Elle respirait fortement. Mon sexe était dur de désir. J’avais envie de la prendre, mais je ne pouvais pas, sinon elle m’aurait sans doute reconnu. J’étais frustré par ce désir inassouvi, et en même temps en colère contre elle. Je lui en voulais en peu d’avoir éprouvé tant de plaisir, peut-être avec un homme, dont elle ne savait pas s’il s’agissait de son mari ou d’un autre.
Alors, j’ai profité d’elle, comme je ne le fais jamais après un cunnilingus, puisque après le plaisir, elle a besoin de tendresse. Elle m’attire toujours vers elle et me serre dans ces bras. Là, elle avait les mains liées. Je pouvais lui donné autre chose que de la tendresse…Je lui ai remis les jambes dans la position du départ, repliées, cuisses ouvertes et de part et d’autre de son ventre. J’ai levé ses fesses, les ai écartées, j’ai passé ma langue le long de sa raie, et j’ai pénétré sa rosette avec le bout de ma langue. Elle ne s’est pas rétractée. Elle a poussé un gémissement, a commencé à frétiller, comme pour échapper à ma langue, mais je la savais bien. Tout en languant son petit trou, j’excitais à nouveau son petit bouton. Elle se cambrait sous les caresses simultanées. A ma grande surprise, elle atteignit un deuxième orgasme, plus puissant celui là.
Ensuite, j’ai fait quelque chose dont j’avais envie depuis longtemps mais que je n’avais jamais fait, encore un indice pour la faire douter. J’adore les pieds de ma femme. Ils sont bien cambrés, nets, avec des ongles vernis. Depuis que la mode est aux sandales à talons, je les regarde souvent. Alors j’ai embrassé ses pieds, sucé ses doigts dans ma bouche, lentement. J’avais aussi envie qu’elle lèche les doigts de mes mains, de les mettre dans sa bouche. Mais je ne l’ai pas fait, toujours de crainte qu’elle reconnaisse mes mains. J’ai juste passé le dos de ma main sur ses cuisses, son ventre, ses flancs. Son corps semblait électrisé, il frémissait sous ma main. Avant de partir, j’ai sucé le bout de ses seins. Elle a crié, de plaisir ou de surprise, je ne sais pas. Je voulais qu’elle croie que j’étais un inconnu qui avait voulu connaître tout son corps avant de la quitter. Et puis je suis parti, la laissant là, inerte.
Avant de remonter, j’ai pris mon temps. J’éprouvais toujours les mêmes sentiments. De l’excitation, la satisfaction de l’avoir faite jouir à deux reprises, et en même temps de la colère, de la jalousie. Si elle m’avait reconnu, très bien, il était normal qu’elle ait pris autant de plaisir, que son corps ait été si sensible à mes caresses. Mais si elle ne m’avait pas reconnu ? Alors, elle s’était offerte entièrement à un inconnu, sans la moindre retenue, l’avait laissé goûté son petit trou, ses doigts de pied, avait joui… J’étais pris à mon propre jeu, et elle aussi peut-être. Ça fait drôle, après tant d’année de vie commune, de découvrir sa femme sur un jour nouveau. Et si j’avais voulu lui faire l’amour après sa jouissance, aurait-elle refusé ? Je n’en étais pas certain. Elle aurait donc laissé un inconnu jouir en elle, peut-être même aurait-elle eu un troisième orgasme… Je me suis surpris à la traiter de salope. Et en même temps, ce que j’avais découvert d’elle m’excitait.
Je me suis lavé les mains pour enlever toute odeur, j’ai fumé une cigarette et bu un verre de whisky pour qu’elle ne reconnaisse pas le goût de son sexe sur ma bouche. J’ai laissé passer une paire de slows, et je suis allé la retrouver. J’avais remis mes mocassins en bas de l’escalier, pour qu’elle entende le bruit de mes pas. Malgré ses mains liées dans le dos, elle avait réussi à se mettre sur le côté, presque en position fœtale, jambes repliées sur le ventre et dos courbé. Je n’ai pas allumé la lumière tout de suite. J’ai dénoué le cordon qui retenait ses mains, ainsi que le foulard qui masquait ses yeux. Elle est venue se blottir dans mes bras, a embrassé ma bouche, a mis son nez dans mon cou. J’ai compris qu’elle essayait de retrouver mon odeur. J’avais gagné, ou perdu, je ne sais pas. Elle ignorait qui l’avait faite jouir !
J’en ai eu aussitôt confirmation.
- Il paraît que tu as été très bien. J’ai même entendu des compliments sur toi.
- C’était toi ?
- Ça, c’est à toi de me le dire.
- Je ne sais pas...j’ai cru reconnaître ton odeur, ta peau aussi, mais pas ta bouche.
- Tu ne savais pas qui te caressait, mais tu as quand même joui.
- Oui…
Elle semblait désemparée par cette révélation. La pointe de jalousie est revenu en moi. Ma femme s’était livrée totalement, jusqu’à offrir son petit trou, à un homme, dont elle ignorait s’il s’agissait de son mari, ou non. Je croyais maîtriser ce jeu, et découvrais qu’il était allé bien plus loin que je l’avais cru.
- Donc, ça t’a excité d’être caressée par un homme, qui n’était peut-être pas ton mari.
Elle a acquiescé, et est revenue se blottir dans mes bras, comme prise en faute. Il fallait que je digère cet aveu.
- Rhabilles toi ! Les invités doivent se demander ou tu es passé. On va quand même pas leur dire que tu te faisais bouffer la chatte, par tu ne sais qui.
Nous sommes redescendus. Ma femme avait repris sa contenance. À ceux qui s’inquiétaient de son absence, elle répondait qu’elle était montée se changer. En effet, elle avait troqué ses vêtement, contre une robe moulante, qui la rendait sublime.
De la voir si belle, l’idée d’une deuxième tentative, dès ce soir, traversa mon esprit.
Elle allait de groupe en groupe, tout en me regardant du coin de l’œil. Elle cherchait sans doute auprès de nos invités un signe qui aurait trahi l’un d’eux, et me surveillait, pour voir à qui je parlais. Elle avait l’air désemparé. Son désarroi m’a ému. Après tout, j’étais seul responsable de ce qui était arrivé. Je l’ai invitée à danser, l’ai serrée contre moi, et lui ai dit que je l’aimais, que ce n’avait été qu’un jeu sans importance, qu’elle n’avait rien à se reprocher, que son corps fonctionnait bien, voilà tout. Et que j’avais très envie d’elle, ce qui était la vérité.
Nous avons fait l’amour avec lenteur et gravité cette nuit-là, comme un couple qui se retrouve après avoir surmonté un écueil. Je pensais qu’elle me demanderait qui était entré dans la chambre et l’avait caressée. Elle ne l’a pas fait, ni cette nuit, ni au cours des mois suivants. Sans doute préférait-elle garder à cette soirée particulière sa part de mystère. J’ai respecté son silence. Je ne lui ai jamais reparlé de cet épisode. N’empêche qu’il nous a rapprochés physiquement. Comme si nous ressentions une excitation supplémentaire. Moi de savoir qu’elle pouvait se livrer totalement à un inconnu. Elle d’avoir sans doute découvert un aspect trouble de sa sexualité.
Comme chaque année, nous avons loué la même maison, pour le mois d’août. Début juillet, ma femme est revenue pour la première fois sur notre jeu de l’été passé. Nous venions de faire l’amour. La nuit était douce. Je ne m’attendais vraiment pas à sa demande.
- Tu ne crois pas que j’ai le droit à une deuxième chance ?
- Comment ça, une deuxième chance ?
- L’été dernier, tu m’as proposé un jeu. J’ai accepté, et j’ai perdu, pour ne pas avoir trouvé. Alors cette année, c’est moi qui aimerai t’en proposer un. Nous allons bien refaire nôtre soirée pour le quinze août ? Avec les mêmes invités que l’an dernier ?
-Oui...et alors ?
- Alors, je voudrais recommencer, mais un peu différemment. Laisse moi aller jusqu’au bout s’il te plaît ! Ce n’est pas facile à dire, alors ne m’interromps pas. Ce qui m’a le plus troublée l’an dernier, c’est qu’après avoir joui, je sais que si l’homme avait voulu me faire l’amour, j’aurais accepté. Que ce soit toi ou un invité. J’en avais même envie. Alors cette année, je voudrais être nue sur le lit, en position de levrette et qu’un homme entre et me fasse l’amour… toi ou le même homme que l’an dernier, à toi de choisir ! Et cette fois, je crois que je le reconnaîtrai. Mon corps connaît bien ton sexe, tu sais. Tu me mettras si tu veux un bandeau sur les yeux. Mais ne m’attaches pas les mains. Je te promets que je n’essaierai pas de le toucher pour savoir qui il est. Je n’aime pas avoir les mains attachées pendant l’amour, même avec toi. Ça me met mal à l’aise. J’ai l’impression que ça pourrait aller trop loin. Tu acceptes ?
Mal à l’aise… Je n’avais pas eu le sentiment qu’elle était mal à l’aise l’été dernier. Elle avait même accompagné mon doigt quand j’avais pénétré son anus… Mais j’ai dit oui. C’est comme un vertige de découvrir chez sa femme, après tant d’années passées ensemble, une sexualité qu’on ne soupçonnait pas. J’ai quand même posé des réserves, mais pour le principe, comme pour me dédouaner.
- C’est un jeu dangereux. Imagine que ce soit l’un des invités, qui entre dans la chambre, et te fasse l’amour, que tu reconnaisse la forme de sa queue, ou autre chose. Que ce ne soit pas moi, et que tu éprouves quand même du plaisir. Tu ne crois pas que ce serait une issue fatale pour nôtre couple ?
- Non. Pas si tu m’aimes. Parce que moi, je t’aime.
- Moi aussi…
- Alors, il ne peut rien nous arriver...sauf avoir plus envie l’un de l’autre, après.
Voilà. Les dés sont jetés. Le quinze août prochain, ma femme, nue sur son lit, couchée sur le ventre, reins relevés et un bandeau sur les yeux attendra la visite d’un homme qui viendra lui faire l’amour. Et elle ne saura pas qui entrera dans la chambre, qui la pénétrera. Peut-être même qu’elle ne saura pas dire, si c’est moi ou un autre homme, qui lui a fait l’amour.
Quand elle m’a fait cette proposition, c’était évident dans ma tête. Ce serait moi, l’invité-surprise, comme l’été dernier. Mais plus j’y pense, plus j’ai envie d’aller au bout de ce jeu, d’offrir ma femme à un autre homme, et de lui offrir la queue d’un autre homme. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais cette perspective m’excite. Pour être tout à fait honnête, ce qui me retient, c’est que je m’imagine mal présenter l’affaire à un de mes amis.
« Bonsoir, j’ai une proposition à te faire. Tu connais ma femme. En cours de soirée, elle s’absentera, montera dans sa chambre et se mettra nue en levrette sur le lit, les yeux bandés. J’aimerais que tu ailles la sucer, la baiser, sans un mot. Ne t’inquiètes pas, elle est d’accord. C’est un pari entre nous. Elle est persuadée de reconnaître s’il s’agit de moi ou d’un autre homme, même si elle ne le voit pas, ne le touche pas. Ça te tente ? »
Pas facile à dire, non ? Et s’il refuse, s’il en parle aux autres ? Pire, s’il accepte, la fait jouir, et en parle ensuite…
J’ai quand même passé en revue tous les hommes qui devraient être là. Je les connais bien. Par amitié, ils n’oseraient jamais coucher avec ma femme, même s’il la trouvent très attirante. Peu être un, qui je suis sur accepterait. Il a toujours eu un faible pour Clotilde, et m’a toujours dit qu’il aimerait la baiser. Problème...il a une queue énorme, et ma femme comprendrait de suite que ce n’est pas moi. Il faut aussi que l’heureux élu, reste discret, qu’il n’aille pas raconter à qui veut l’entendre, qu’il a baiser ma femme. Nôtre couple n’y survivrait pas.
Il ne reste qu’une solution. Que je sois l’invité-surprise, et le mari en même temps.
Ce soir là, Clotilde était habillée en femme fatale, aguichait les invités. Du regard, Je suivais ce corps sublime déambuler d’invités en invités, riant avec eux. Limite si elle me calculait. Et pourtant, j’avais une envie folle de lui faire l’amour, sans tabou.
Vers vingt trois heures, je lui fit signe de monter, que j’allais la rejoindre.
Je la déshabillé, et comme elle l’avait demandé, je lui laissais les main libres. Je la fis se positionner en levrette. Dieu qu’elle étai belle, attirante.
Je lui proposé de la prendre, là, dans cette position. Elle refusa sèchement. Preuve s’il en est, qu’elle ne se doutait de rien, et qu’elle ne savait pas qui allait monter la baiser.
J’éteignais la lumière, et rejoignais les autres invité. Au bout d’un quart d’heure, je m’éclipsais, et montais à le chambre.
Comme la première fois, je m’étais rasé de près, avait quitté les chaussures. Je profitais de ce que un invité montait aux toilettes, afin de brouillais d’avantage les pistes.
J’arrivais dans la chambre, allumait sans tâtonner cette fois, pour lui laisser supposer que c’était peut-être le même homme que l’année dernière. Pour éviter qu’elle me reconnaisse, j’avais enfilé un préservatif, ce que je ne mettais jamais avec elle.
Je m’approche, passe un doigt sur sa chatte déjà luisante. J’excite le clitoris, légèrement décalotté, écarte les lèvres intimes. Clotilde commence à gémir. J’approche ma queue du point fatidique, celui qui va décider de la suite, et surtout de l’acceptation de ma femme. De mon gland protégé, je vais de va et vient sur les lèvres intime, taquine le clitoris.
- Vas-y...baises-moi, souffle-t-elle.
Je ne peux répondre, mais m’aperçois que son corps réclame, sans savoir qui va la posséder. Lentement, je pénètre sa chatte, en la tenant fermement par les hanches. Elle va et vient sur ma bite, en gémissant de plus en plus fort.
- Oh oui...plus fort...baises moi plus fort.
Je perds toute notion, prend plaisir à baiser cette femme, qui n’est autre que ma femme. Elle s’agite sur ma queue, jusqu’à atteindre l’orgasme. Je me retire lentement, frotte mon gland contre le petit trou. Dans un premier temps, elle se dérobe, puis revient au contact de ma bite. De mes doigts, comme l’an dernier, j’imbibe le petit orifice, y introduit un doigt, puis deux, puis y glisse ma queue. Il s’ouvre sous la pression.
- Non...s’il te plaît...pas ça. Je n’ai jamais fait ça...qui es-tu pour m’enculer...arrêtons tous ça...Assez, ça fait mal...
Trop tard, je suis encré en elle. Je la maintiens solidement par les hanches. Petit à petit, son corps s’adapte, devient plus réceptif à cette sodomie. C’est la première fois que ma femme offre son petit trou. Autant de questions qui travers mon esprit. Elle sait que je ne me serai jamais permis de la sodomiser sans son consentement. D’autant qu’elle m’a toujours refusé cette faveur. Déçu de la voir s’être donné si facilement, je m’apprête à me retirer, quand se déclenche un second orgasme, d’une magnitude hors échelle.
- Viens...dit-elle...vins dans ma bouche...je veux boire ton sperme.
Quitte à ce qu’elle me reconnaisse, j’arrache le préservatif, et m’approche de sa bouche. Elle aspire ma queue de ses lèvres pulpeuses, juste au moment ou j’éjacule. Elle avait dit qu’elle voulais boire du sperme, elle le fit, sans savoir à qui il appartenait.
Je rejoins les invités, entrain de consommé au bar extérieur. Ils observent un changement sur mon visage. Je les rassure en disant que Clotilde n’allait pas tarder à descendre. Elle descendit les escaliers, sous les regards admiratif des invités. Elle se dirigea vers eux, les embrassant tour à tour, pour les remercier, mais aussi pour déceler, par l’odeur, celui qui lui avait fait l’amour.
Elle s’approcha de moi, câline, enroula ses bras autour de mon cou. Bizarrement, elle ne me sentit pas.
- Alors ma chérie...peux-tu me dire qui était avec toi ce soir ? Un inconnu, ou ton mari ?
- Je ne vois toujours pas mon amour.
- Mais as-tu pris du plaisir au moins ?
- Comme jamais...énormément de plaisir...allez, dansons…
Même si ce n’était qu’un jeu, je m’aperçus que ma femme avait pris énormément du plaisir, sans se douter que c’était moi qui lui en donnais. Le point positif était que finalement, j’étais parvenu à la sodomiser, ce qu’elle m’avait toujours refusé. J’en déduis aussi, que son plaisir aurai été le même, si ça avait été un autre homme. Ça, elle ne me la jamais dit.
Ce jour là, nous avons passé une nuit torride à faire l’amour. Clotilde était insatiable. Elle s’offrit comme jamais, sans doute excitée par sa relation de la soirée.
Au petit déjeuner, elle me demanda déjà, ce que j’avais prévu pour l’an prochain. Je lui pris tendrement les lèvres, et sommes retournés au lit.
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Histoire de Aurore34

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